Que penser du coronavirus ?

Auto-assemblage en temps réel de constructions artificielles visibles au microscope stéréoscopique dans des échantillons incubés de produits ARNm provenant principalement de Pfizer et Moderna : Une étude longitudinale complète. Un long titre, qui vient enfoncer le clou sur la présence de nanotechnologies dans les injections covid. Car cette fois, cette étude est publiée dans un journal officiel, révisée par les pairs et disponible pour tous en libre accès.

https://youtu.be/rLY-C8wex_k?feature=shared

🔸 L'étude de Young Mi Lee & Daniel Broudy : https://ijvtpr.com/index.php/IJVTPR/article/view/102/291

🧬 Injections covid, Graphène & Nanotech - Une étude officielle ~ Dr. John Campbell

un article intéressant (!) lu sur le site Atlantico ;

Les quatre leçons que le COVID nous a apprises sur le système immunitaire.

Au coeur des bouleversements causés par la pandémie, les chercheurs ont acquis des connaissances fondamentales sur la manière dont le corps combat les infections. Lorsque la pandémie de Covid-19 a déferlé sur la planète il y a désormais cinq ans, personne ne savait véritablement à quoi s’attendre : confrontée à un nouveau virus, l'humanité était immunologiquement naïve.

Quelles sont les grandes leçons de cette pandémie sur le plan immunitaire ?

Antoine Flahault : On peut en effet tirer plusieurs leçons de la pandémie de Covid sur le plan immunologique en particulier.

• La première est la meilleure connaissance que nous avons désormais des rôles respectifs de l’immunité à médiation cellulaire, c’est-à-dire celle liée aux lymphocytes T, et de l’immunité humorale, c’est-à-dire celle due aux anticorps. On accordait auparavant une place prépondérante à l’immunité humorale, et l’on voyait avec inquiétude baisser le taux d’anticorps quelques mois après la vaccination. Mais on s’est rendu compte dans le cas du Covid que la population restait bien protégée contre les formes graves de l’infection alors même que les dernières injections de vaccins étaient lointaines et que les variants du virus avaient évolué et s’étaient même éloignés des épitopes contre lesquels les vaccins avaient été conçus.
• La seconde leçon importante est le rôle mieux compris des interférons, ces protéines qui sont de véritables antiviraux que nous produisons dans notre organisme et qui servent sa défense pendant plusieurs semaines après l’infection. On pensait auparavant que l’interféron n’était qu’un signal d’alerte mais pas un antiviral naturel très puissant à nous protéger.
• Une troisième leçon vient de la meilleure compréhension de ce qu’on appelle parfois l’immunité mucosale, celle qu’acquiert l’épithélium de l’arbre respiratoire supérieur et notamment du nez lors d’une infection et qui nous protège contre une réinfection par le même variant. L’absence d’immunité mucosale conférée par les injections intramusculaires de vaccin contre le Covid explique en partie pourquoi le vaccin n’était pas très performant à lutter contre l’infection et la transmission alors qu’il nous protège efficacement contre les formes graves de Covid.
• Et enfin une quatrième leçon est celle que nous avons apprise avec la survenue de formes persistantes de symptômes après Covid, appelées Covid long. Non que ces formes soient nouvelles et apparues avec le Covid mais jamais auparavant, avec les autres infections virales, on avait pu investiguer aussi profondément et systématiquement ces formes persistantes.

Dans quelle mesure la pandémie de Covid-19 nous a permis de remettre en question certains savoirs en matière d’immunité ?

lOn ne pourra probablement plus désormais conduire d’essais cliniques randomisés pour évaluer les futurs vaccins sur la seule base de l’évolution des taux d’anticorps dans le sang des personnes vaccinées. Il faudra désormais associer aux critères d’évaluation l’étude des lymphocytes T.

On s’était beaucoup plus intéressés aux poumons plutôt qu’à la muqueuse nasale jusqu’à la pandémie de Covid, y compris dans le développement des vaccins. On voit aujourd’hui à quel point le nez est loin d’être un simple conduit d’aération de notre organisme mais sa muqueuse joue un rôle majeur d’alerte et de protection contre les infections respiratoires. L’immunité mucosale a fait naître le concept d’une immunité hybride, acquise tant par la vaccination que par les infections naturelles répétées au Covid.

Ces dernières confèrent à l’organisme une protection de barrière à l’infection par l’épithélium nasal et l’arbre respiratoire supérieur tandis que le vaccin protège surtout les poumons et les organes profonds.Ces leçons, apprises à nos dépens après la pandémie de Covid-19, pourraient-elles nous aider en cas de nouvelle pandémie ?

Ces leçons, tirées d’une pandémie ayant généré de très gros investissements de recherche partout dans le monde et notamment dans le domaine de l’immunologie, nous aident à mieux comprendre la réponse immunitaire de notre organisme face aux agressions infectieuses, de manière générale. Par exemple, nous appréhendons mieux désormais les réactions auto-immunes post-infectieuses. Nous comprenons mieux pourquoi les personnes vaccinées contre la fièvre jaune depuis dix ans n’ont souvent aucun anticorps détectable dans leur organisme mais restent parfaitement protégées contre cette maladie hémorragique. Nous comprenons mieux aussi pourquoi les personnes présentant un déficit dans leur capacité à produire de l’interféron sont particulièrement vulnérables vis-à-vis d’infections comme le Covid ou la grippe. Oui, en cas de nouvelle émergence épidémique nous aurons beaucoup avancé dans ces domaines et nous ne procèderons pas de la même manière tant pour la recherche et le développement de vaccins et de traitements que dans la prise en charge des patients.

Il reste cependant beaucoup à découvrir sur ces sujets mais on dispose avec le Covid d’une quantité et d’une qualité inédites de résultats de recherche dans le domaine des maladies infectieuses et de l’immunologie qui devraient nous permettre de faire des progrès majeurs et de raccourcir les délais de recherche et développement des vaccins et des traitements de ces maladies.

La lutte contre le VIH et les maladies infectieuses appartient-elle au passé ?

YouTube · Le Point.

Bien que des progrès considérables aient été réalisés dans la lutte contre le VIH et d'autres maladies infectieuses, ces défis restent d'actualité. Où en sommes-nous dans la quête de traitements et de vaccins, et quelles nouvelles menaces émergent aujourd'hui dans ce domaine de la santé publique ?

Une conférence depuis le Paris-Saclay Summit Choose Science en compagnie de :

Francine Ntoumi, présidente de la Fondation congolaise pour la recherche médicale, professeure en épidémiologie moléculaire des maladies infectieuses à l’Institut de médecine tropicale de l’université de Tübingen en Allemagne

Modérateur : Fabrice Dupreuilh, journaliste au Point

Paris Saclay Summit, un événement organisé par Le Point, Région Île-de-France, Agglomération Paris-Saclay & le Département de l'Essonne.

Avec le soutien du Ministère de l'Enseignement supérieur et de la Recherche & France Science

En partenariat avec Université Paris-Saclay, Institut Polytechnique de Paris, EUGLOH CEA, CNRS - Centre national de la recherche scientifique, CNRS à Paris-Saclay, Ifremer, INRAE, Inria, inrae-ile-de-france, Inserm, IRD, ONERA - The French Aerospace Lab, AXA Research Fund, AXA, Danone, Data4, EDF, Groupe La Poste, Nokia Bell Labs, Roche, Groupe SNCF, Groupe Bouygues, Eurocontrol, kadans science partner, S[cube]-partageonslessciences.com, Start in Saclay ABG Association Bernard Gregory, Cityz, ECN, France Télévisions, MédiaTransport, The Conversation France, Le Crayon Media

Avec l’appui de Impulse Partners

https://youtu.be/1gFIBbDGbAg?feature=shared

La lutte contre le VIH et les maladies infectieuses appartient-elle au passé ?

Et, comme le Covid est le sujet du forum :

https://www.vrt.be/vrtnws/fr/2025/02/19/1-patient-covid-sur-20-souffrant-de-perte-de-lodorat-ne-sent-t/

1 patient sur 20, souffrant de perte de l'odorat à cause du Covid, ne perçoit toujours presque plus les odeurs

L'AFP a également contacté l'organisme Graphene Flagship, financé par la Commission européenne. Ce projet "regroupe près de 170 partenaires universitaires et industriels de 22 pays" pour travailler sur ce matériau, indique le site internet.Ester Vázquez, experte en santé et sécurité du graphène de Graphene Flagship explique que la microscopie n'est pas une méthode adéquate pour étudier la présence de graphène ou d'oxyde de graphène : "les tests réalisés (dans le rapport, NDLR) sont insuffisants pour caractériser le graphène, ils montrent seulement quelques images de microscopie qui ressemblent à des images de graphène et d'oxyde de graphène dans la littérature.

Cela est loin d'être une preuve scientifique - l'identification du graphène nécessiterait des analyses plus poussées utilisant d'autres techniques

."Campra écrit également dans son étude que "les résultats et les conclusions de ce rapport n'impliquent aucune position institutionnelle de l'Université d'Almería", qui dans un communiqué s'est défendue d'avoir un lien avec cette étude face à l'ampleur prise par cette fausse information.

Contactée par l'AFP, l'Université d'Almería a précisé qu'il était "faux" de dire qu'elle a réalisé cette étude et publié ces résultats. "Des résultats qui, par ailleurs, ont déformé le contenu d'un rapport non officiel d'un professeur de l'UAL concernant l'analyse d'un échantillon d'origine inconnue et sans aucune traçabilité", a-t-elle ajouté."99.99% d'oxyde de graphène"Le rapport de Campra a été popularisé par cette vidéo virale du "Stew Peters Show" où le Dr. Jane Ruby, se basant sur le document, affirme que l'ARN du vaccin Pfizer "est à 99,99% de l'oxyde de graphène", ce qu'elle présente comme une "preuve scientifique" que "les injections de Covid sont un empoisonnement de masse" et un "génocide". L'AFP a déjà vérifié une autre affirmation de Jane Ruby dans la même émission : elle affirmait à tort que les vaccins à ARNm contre le COVID-19 rendaient le bras magnétique par un phénomène de "magnétofection".

Les antivax ne connaissent souvent pas les sujets dont ils parlent . .

La pandémie de Covid est toujours l’objet de nombreuses recherches, et les scientifiques cherchent à comprendre certains faits actuellement mal compris pour éviter les interprétations . . :

Les scientifiques décrivent un syndrome rare consécutif aux vaccinations CovidLes vaccins Covid-19 ont eu un effet protecteur puissant et ont permis d'éviter des millions de décès. Mais chez un petit nombre de personnes, les vaccins ont pu entraîner une constellation d'effets secondaires tels que la fatigue, l'intolérance à l'exercice, le brouillard cérébral, les acouphènes et les vertiges, regroupés sous le terme de « syndrome post-vaccinal ». E. John Wherry, docteur en pharmacie et titulaire de la chaire de pharmacologie des systèmes et de thérapeutique translationnelle, invite à la prudence dans l'interprétation de ce résultat. Par exemple, il est possible qu'une partie de la protéine provienne d'infections à coronavirus non détectées. « J'aimerais voir plus de données sur ce sujet », a-t-il déclaré.

https://www.nytimes.com/2025/02/19/health/covid-post-vaccination-syndrome.html 

nytimes.com

Sur TF1 ils ont fait un reportage :

Allô le doc : Covid long, le chemin de croix

Le Covid-19 fait beaucoup moins parler de lui. Mais le Dr Vincent Valinducq parle du Covid long, qui dure plus de quatre semaines. Comment le suspecter ? Quels sont les traitements existants ?

Faut passer par TF1+ pour avoir accès au reportage

La théorie de la fuite du laboratoire du COVID-19 semble désormais vraie : James Pinkerton

https://youtu.be/Oq3N87PolYA?feature=shared

COVID lab leak theory now appears true: James Pinkerton | QNews

Conclusions

En conclusion, cette étude met en lumière le paysage clinique complexe auquel sont confrontés les patients hospitalisés atteints de maladies hématologiques, en particulier dans le contexte de l’infection par le SRAS-CoV2. La prévalence élevée des infections secondaires, y compris la réactivation virale, et leur association avec une mortalité accrue soulignent la nécessité d’approches de gestion adaptées qui tiennent compte des défis uniques posés à la fois par les affections hématologiques sous-jacentes et par les agents infectieux. En identifiant les principaux facteurs de risque et leurs implications, cette recherche ouvre la voie à l’amélioration des soins aux patients et éclaire les futures interventions visant à réduire la morbidité et la mortalité dans cette population vulnérable. D’autres études sont nécessaires pour explorer des stratégies préventives et thérapeutiques spécifiques ciblant les infections secondaires dans cette cohorte.

https://www.mdpi.com/1999-4915/17/2/274

Effect of Secondary Infections on the Outcomes of Patients with Hematological Malignancies and SARS-CoV-2 Infection: Results from the HM-COV 3.0 Study

Patients with hematological malignancies (HMs) are at higher risk of severe COVID-19 and secondary infections, which further complicate their outcomes. This study evaluated the impact of secondary infections (SIs) on mortality in hospitalized HM patients with SARS-CoV-2 infection and identified risk factors associated with SIs. We included 217 patients with HMs and COVID-19 admitted to a tertiary hospital in Rome, from April 2020 to September 2022. SIs occurred in 44.2% of patients, with bloodstream infections (42.7%) and respiratory infections (30.5%) being most frequent; among the latter, COVID-19-associated pulmonary aspergillosis (CAPA) was observed in 41.4% of cases. Viral reactivations, predominantly CMV, occurred in 9.2% of patients. The overall mortality rate was 29%, with higher mortality observed in patients with SIs (47.4% vs. 14.7%, p < 0.01). Risk factors for SIs included severe COVID-19 (OR = 2.957, p < 0.05) and prolonged hospitalization (OR = 1.095, p < 0.001). Severe COVID-19 (OR = 8.229, p < 0.001), intensive care unit (ICU) admission (OR = 15.232, p < 0.001), chronic steroid therapy (OR = 2.803, p < 0.05), SIs (OR = 2.892, p < 0.05), and viral reactivation (OR = 6.269, p < 0.01) were independent predictors of mortality. SIs and viral reactivations are common in patients with HMs and SARS-CoV-2 infection and significantly increase mortality, highlighting the need for timely management and preventive strategies in this vulnerable population.

Et on reparle d’ effet nocebo :

« Certains spécialistes sont très préoccupés par la facilité avec laquelle ce type d'effet se développe, particulièrement chez les adolescents. Il a par exemple été démontré que la présence dans une classe d'un ou une élève souffrant d'un trouble de santé mentale a été associé à une probabilité plus élevée de poser un diagnostic similaire chez ses pairs. Au début des années 2020, une étonnante propagation du syndrome de Gilles de la Tourette, au sein de groupes de jeunes, apparemment due à une utilisation commune de TikTok et YouTube, a également marqué les esprits.Mais les ados ne sont pas les seules cibles potentielles. Que l'on parle des effets secondaires des vaccins contre le Covid-19, d'expositions potentielles au plomb ou aux éoliennes, les adultes sont également très exposés, comme l'ont démontré de nombreux travaux. Les spécialistes ont peu de recommandations à formuler, d'autant plus que personne n'est à l'abri. Kate Faasse confie avoir elle-même été victime du phénomène à plusieurs reprises: «Si une chercheuse sur les effets nocebo peut ressentir des effets nocebo, je soupçonne que n'importe qui le peut.» »

https://www.slate.fr/tech-internet/tomber-malade-tiktok-effet-nocebo-reseaux-sociaux-phenomene-maladie-physique-corps-humain-sante-mentale

Vous pouvez tomber malade juste en regardant TikTok et ce phénomène inquiète les spécialistes

L'effet nocebo, connu depuis une soixantaine d'années, a gagné en ampleur à cause d'internet.