Que penser du coronavirus ?

Ça va vous faire plaisir @chatdoc

Résumé

La recherche continue autour de la Covid-19, tant sur son épidémiologie, ses séquelles, les effets de la vaccination que sur l’origine des formes persistantes (Covid long). Récemment, une dizaine de publications ont suscité de nombreux commentaires et ouvert de nouvelles pistes.

En mesurant les concentrations sanguines de plus de 6 600 protéines chez des personnes souffrant de Covid long, une équipe a identifié des anomalies biologiques capables de prédire cette forme prolongée de la maladie, ce qui pourrait contribuer à identifier les marqueurs diagnostiques qui manquent cruellement, mais aussi suggérer des candidats en termes de traitement. Des auteurs chinois ont, eux, signalé des effets positifs d’un traitement à base de probiotiques dans le Covid long.

Également d’intérêt, une étude a identifié des anomalies biologiques et anatomiques associées aux troubles cognitifs, fréquents lors de Covid long. Une autre a évoqué la possibilité que, comme après la pandémie de grippe espagnole, celle de Covid-19 puisse engendrer une vague de syndromes parkinsoniens dans les années ou décennies à venir.

Enfin, divers travaux confirment l’efficacité des vaccins dans la prévention du Covid long, chez les adultes comme chez les enfants.

https://www.vidal.fr/actualites/30633-bonnes-et-mauvaises-nouvelles-de-la-covid-19.html

Bonnes et mauvaises nouvelles de la Covid19

La recherche continue autour de la Covid-19, tant sur son épidémiologie, ses séquelles, les effets de la vaccination que sur l’origine des formes persista

Un témoignage qu’il est utile de se rappeler de décembre 2021 . .(@bibimet75 )

https://www.francetvinfo.fr/sante/maladie/coronavirus/vaccin/hausse-des-hospitalisations-en-reanimation-tant-qu-on-ne-sera-pas-plus-vaccine-on-ne-s-en-sortira-pas-alerte-l-anesthesiste-jean-michel-constantin_4882297.html#xtor=CS2-765-%5Bautres%5D-

Hausse des hospitalisations en réanimation : "Tant qu'on ne sera pas plus vacciné, on ne s'en sortira pas", alerte l'anesthésiste Jean-Michel Constantin

Jean-Michel Constantin, anesthésiste-réanimateur à La Pitié Salpêtrière, secrétaire général de la Société française d’anesthésie et de réanimation, attire l'attention sur l'épuisement des équipes de soignants.

« Outre les millions de vies sauvées, cette percée a permis de confirmer le potentiel thérapeutique révolutionnaire de l’ARNm, et plusieurs centaines d’essais cliniques sont aujourd’hui en cours. “

Cette technologie commence tout juste à arriver sur le marché”, observe Mirella Salvatore, de la faculté de médecine de l’université Cornell, à New York.

Si la plupart d’entre nous ont découvert l’existence de ce type de vaccins à la faveur de la pandémie, l’histoire de leur développement a, en fait, commencé il y a plus de cinquante ans.

https://www.courrierinternational.com/article/covid-19-la-pandemie-a-fait-entrer-la-medecine-dans-l-ere-de-l-arn-messager_226517

Covid-19. La pandémie a fait entrer la médecine dans l’ère de l’ARN messager

Les vaccins à ARN messager étaient à l’étude depuis longtemps. Mais cette technologie n’a réellement émergé qu’après avoir été approuvée pour lutter contre le C...

leurs Direct vient de commencer depuis 2min

https://youtu.be/QVyxqh6DDfI?feature=shared

PIERRE CHAILLOT / COVID-19 : RÉVÉLATIONS EXPLOSIVES !

.Pas de surmortalité ni de saturation hospitalière : le grand théâtre covido-sceptique de Pierre Chaillot en librairies.

https://www.liberation.fr/checknews/pas-de-surmortalite-ni-de-saturation-hospitaliere-le-grand-theatre-covido-sceptique-de-pierre-chaillot-en-librairie-12-20230406_DYCFILG2ABESNFGGOLKTIV2SIA/

Pas de surmortalité ni de saturation hospitalière : le grand théâtre covido-sceptique de Pierre Chaillot en librairies (1/2)

Malmenant les chiffres et les concepts scientifiques, le statisticien revient sur la réalité de la pandémie, dans un ouvrage, «Covid-19 : ce que révèlent les chiffres officiels», truffé de théories toujours douteuses.

@chatdoc une de mes affirmation de "complotistes" (alors que je ne suis en lien avec personne depuis mon coins pommé...) c'était en arrivant l'année dernière, en parlant d'une de mes convictions et Le Monde sort une vidéo dessus seulement aujourd'hui ! merci mes rêves prémonitoire 🤣

Chapitrage :

00:00:00 Président stressé cherche actionnaires amis pour quotidien déficitaire

00:00:50 LE MONDE: MACRON AGENT DOUBLE

Années 2000: Le Monde coule, Minc à la manoeuvre

00:04:08 2008: Les salariés en grève

00:05:52 QUAND MACRON ENTRE EN SCÈNE

00:07:25 Endeweld « (Macron) dans le capitalisme à la française »

00:08:12 Macron « Vous êtes un genre de prostituée. Le boulot c’est de séduire ».

00:08:50 LA BATAILLE ACTIONNARIALE

00:10:29 LES PRESSIONS DE L’ÉLYSÉE

00:10:51 Sarkozy contre Xavier « Niels » (sic)

00:11:54 Macron roule-t-il pour Minc?

00:15:17 Minc: « Je l’ai retourné pour le monde, il devient notre banquier ».

00:18:23 Sarkozy, « Si ce Niel devient propriétaire du Monde, il ne faudra pas compter sur l’argent du contribuable (…) »

00:20:41 LE « NON » À NICOLAS SARKOZY

00:24:01 « PRIS LA MAIN DANS LE SAC »

00:25:10 De Tricornot: " je vais vous le ramener pour qu’il nous explique"

00:26:50 Macron: « Il faut qu’on remette les choses au point »

00:28:32 Minc : « banquier d'affaires (…) c’est quand même un métier de pute et une excellente préparation à la politique qui est aussi un métier de pute »

00:29:50 FINANCEZ L’INVESTIGATION INDÉPENDANTE !

https://youtu.be/3mnmNsjGVWw?feature=shared

Le Monde : Macron AGENT DOUBLE ?

sur le sujet du forum, et plus spécialement sur les zoonoses :

 »Pour déceler les pathogènes susceptibles d’engendrer des épidémies, l’institut surveille des espèces-réservoirs, c’est-à-dire des animaux capables de répliquer et de disperser certains de ces agents. "Les virus ne sortent pas de nulle part, explique Benoît de Thoisy, chercheur au laboratoire des interactions virus-hôtes. Ils circulent dans l’environnement mais, à la faveur d’un nouveau contact entre deux espèces, d’une modification dans le milieu de l’hôte – une surabondance alimentaire, une sécheresse –, ils peuvent muter, devenir plus virulents ou infecter une nouvelle espèce et déclencher une épidémie." En Guyane, les moustiques sont les vecteurs de maladies comme le paludisme et la fièvre jaune, tandis que les chauves-souris hébergent la rage. "Nous étudions les liens entre les virus et leurs hôtes, leurs façons de s’adapter, de coévoluer", poursuit-il. Les rongeurs sont aussi dans le viseur des chercheurs car ils abritent notamment des hantavirus. Leur diversité ainsi que leur proximité avec les humains accentuent les risques de transmission. »

https://www.caminteresse.fr/sante/prevention-des-pandemies-comment-linstitut-pasteur-de-guyane-anticipe-les-futures-epidemies-11199606/

Prévention des pandémies : comment l’Institut Pasteur de Guyane anticipe les futures épidémies ?

Zika, Covid-19, mpox : les maladies émergentes issues du monde animal se multiplient. Dans les laboratoires de Cayenne, les chercheurs veillent sur le

Avec l'épidémie de Covid-19, des millions de personnes ont perdu l'odorat – parfois en même temps que le goût. Pour mieux comprendre les liens essentiels tissés par les perceptions olfactives entre le cerveau humain et le monde qui l'entoure, la documentariste Cosima Dannoritzer mène l'enquête dans un univers sensoriel largement méconnu, exploré par un nombre croissant de chercheurs. Comme le chef étoilé Emmanuel Renaut, à Megève, qui a envisagé un temps de renoncer à son métier, des millions de personnes ont perdu l'odorat, parfois en même temps que le goût, à la suite d’une infection par le Covid 19. Ces symptômes ont mis en lumière pour le commun des mortels ce que les chercheurs savaient déjà, et ont amplifié les programmes scientifiques dans ce domaine, notamment pour aider les patients à retrouver leurs capacités olfactives. Que ce soit pour savourer les arômes complexes d’un plat, ressentir la proximité affective de ses proches, exprimer une émotion ou être alerté d'un danger, l'odorat tisse entre notre cerveau et le monde extérieur des liens essentiels, mais dont nous ne sommes que rarement conscients. De Dresde à Stockholm en passant par Paris, ce passionnant jeu de piste dans les laboratoires de recherche à la découverte de ce qui se trame sous (et dans) notre nez ouvre les portes d’un univers sensoriel encore largement méconnu.

Question de flair !

Nos papilles ne discernent en réalité que cinq goûts : sucré, salé, amer, acide et "umami", un terme japonais signifiant… "savoureux", et rapporté parfois à la rondeur du bouillon de viande. Tout le reste de ce que nous appelons le goût provient en fait des informations transmises à notre cortex par des récepteurs olfactifs classés en plus de 400 familles différentes. La recherche internationale a récemment identifié le système neuronal qui les régit et connaît donc désormais l'origine de l'anosmie ou hyposmie (perte totale ou partielle de l'odorat), ce qui lui permet par exemple de travailler sur des implants olfactifs afin de remédier aux cas autrement incurables. En parallèle, elle a mis en évidence la puissance méconnue de ce sens généralement relégué au second plan. Directement relié à la mémoire, l’odorat, comme Marcel Proust l'évoqua avec sa madeleine trempée dans la tisane de tilleul, a ainsi le pouvoir de faire resurgir les émotions du passé. On découvre aussi comment, de façon inconsciente mais décisive,notre nez influence nos attirances amoureuses et amicales, permet de détecter la peur ou la joie chez autrui, et même, s’il est particulièrement sensible, la bonne ou la mauvaise santé d'un organisme. En France, la recherche médicale travaille ainsi avec des chiens pour décoder les marqueurs olfactifs de certaines maladies, dont le cancer du sein, et pouvoir ainsi les traiter précocement… Loin d’être un simple vestige sensoriel légué par de lointains ancêtres chasseurs-cueilleurs, l’odorat continue de guider chaque instant de notre vie.

Réalisation : Cosima Dannoritzer

Pays : France Année : 2024

https://youtu.be/IY3zzOhGGDw?feature=shared

Odorat a la recherche du sens perdu (Source Arte)

Bonjour, Retour de la grippe dans les courants d'air nocturnes sur Loudun...

Ce n'est pas la même que deux semaines plus tôt, pas d'amertume en fond de bouche... Juste la réaction migraineuse frontale qui est la même qu'avec une grippe et l'odeur c'est un mélange d'herbe et de caramel beurre salé grillé... Pas du tout désagréable... Donc la grippe la plus banale qui revient tout les ans... Et pas virulente en se qui me concerne, la sensation au front devrait disparaitre d'ici midi, sauf si le virus venait à prendre ses cartier.

Encore une affaire a suivre 🤣

Covid long chez l’enfant :

Le COVID long chez l’adulte est une réalité difficile à appréhender et une véritable catastrophe dans la vie des patients.

Mais même s’il est plus rare chez l’enfant et l’adolescent, ses conséquences peuvent être encore plus destructrices en raison de son impact sur la scolarité. Les spécialistes ont identifié une quarantaine de symptômes, répertoriés dans un guide pratique récemment publié par un groupe de parents d’enfants malades.

Le COVID long de l’enfant peut se révéler très insidieux, au point que l’enfant ne présente aucun symptôme lors de l’infection initiale. Il est alors essentiel d’interroger un éventuel contage familial. L’enfant peut même obtenir un test négatif.

La maladie évolue de manière similaire à ce qui est observé chez l’adulte : persistance des symptômes ou réapparition après une période asymptomatique chez un jeune auparavant en parfaite santé. Comme chez l’adulte, la difficulté à le reconnaître tient à la diversité des manifestations cliniques.

Le Dr Marc Jamoulle, qui suit particulièrement cette problématique, décrit un tableau parfois inattendu : fatigue et épuisement à l’effort entraînant l’arrêt du sport, troubles cognitifs provoquant une baisse imprévisible des résultats scolaires. L’enfant est alors perçu comme paresseux, voire dépressif. Par exemple, une jeune fille qui adorait courir peut soudainement ne plus suivre et se sentir diminuée, voire humiliée.

Une quarantaine de symptômes recensés:

Les spécialistes ont identifié une quarantaine de symptômes, répertoriés dans un guide pratique récemment publié par un groupe de parents d’enfants malades au sein de l’Association de patients Long Covid , avec l’appui d’un comité scientifique et de ThinkLongCovid.eu.

Ce guide, au contenu technique et pédagogique très soigné, constitue un outil précieux pour les médecins.L’Organisation mondiale de la santé (OMS) a analysé la littérature sur le sujet et souligne elle aussi dans un rapportl’extrême hétérogénéité des symptômes. Selon cet organisme, la persistance de trois symptômes ou plus après une infection aiguë au SARS-CoV-2 peut constituer un critère pour identifier un COVID long pédiatrique. Cependant, des signes isolés comme l’anxiété, la fatigue, les maux de tête, la perte d’appétit, une altération du goût et de l’odorat, des douleurs auriculaires ou une irritation oculaire doivent également être pris en compte.