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Que penser du coronavirus ?
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Zen86200
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(n'allez pas me dire @chatdoc que non les chiens sont naturellement immunisé contre le SARS-CoV-2, un virus qui cible l'homme ! Ils sont bien plus proche de nous dans leurs réactions et font probablement aussi du covid-long si empoisonné par des PFAs 🤣)
<< Près de 30 % des chats et des chiens appartenant à des patients atteints de COVID-19 avaient des anticorps contre le SARS-CoV-2 en 2021
Brèves d'actualité Aujourd'hui à 21h55
Mary Van Beusekom, MS
Près de 30 % des chats et des chiens appartenant à des patients infectés par le COVID dans le centre du Texas ont été testés positifs aux anticorps du SRAS-CoV-2, signalant une infection antérieure, de 2020 à 2021, selon une étude publiée hier sur le serveur de préimpression bioRxiv.
Une équipe dirigée par des chercheurs de l'Universidade Federal de Vicosa au Brésil et de l'Université Texas A&M a échantillonné 579 animaux de compagnie de 281 foyers comptant au moins une personne infectée par la COVID de juin 2020 à mai 2021. L'étude n'a pas encore été évaluée par des pairs.
« Parmi tous les animaux sauvages, domestiques et captifs qui peuvent être infectés, les animaux domestiques vivant dans des foyers où sévit une infection humaine active… sont particulièrement à risque en raison de leur proximité prolongée et de leurs relations à l’intérieur avec les humains », ont écrit les auteurs. « Il est donc essentiel de comprendre les facteurs associés à un risque plus élevé de transmission de l’homme à l’animal domestique afin de protéger la santé des animaux de compagnie. »
Les chats plus vulnérables aux infections
Dix-neuf chiens sur 396 (4,8 %) et 21 chats sur 157 (13,4 %) ont été testés positifs au SARS-CoV-2 par RT-qPCR. De plus, 95 chiens sur 382 (25 %) et 52 chats sur 146 (36 %) avaient des anticorps neutralisants contre le SARS-CoV-2. Vingt-six animaux de compagnie de 10 autres espèces ont été testés négatifs.
La caractérisation des infections animales à l'aide d'une surveillance active du SRAS-CoV-2 chez les animaux de compagnie à risque d'infection peut contribuer à la prévention, à la réponse et à la gestion de la pandémie One Health.
Au total, 164 animaux domestiques (29 %) ont été testés positifs au SRAS-CoV-2 via des tests moléculaires et/ou sérologiques, et 110 (39 %) des 281 ménages avaient un ou plusieurs animaux atteints d'infections aiguës ou antérieures.
Par rapport aux chiens, les chats étaient plus susceptibles d'être infectés et présentaient des niveaux d'anticorps plus élevés. Les virus isolés à partir d'un sous-ensemble d'écouvillons respiratoires ont révélé six souches différentes de SARS-CoV-2 chez les chiens et les chats, y compris la lignée B.1.1 chez un chat un mois avant le premier cas humain documenté aux États-Unis.
Les facteurs de risque d’infection humaine incluent le partage du lit et de la nourriture et les baisers. La fréquence des signes cliniques signalés par les propriétaires d’animaux atteints d’infections aiguës était similaire à celle des animaux non infectés, ce qui, selon les auteurs, suggère que tous les signes signalés n’étaient pas causés par la COVID-19.
« La caractérisation des infections animales à l'aide d'une surveillance active du SRAS-CoV-2 chez les animaux de compagnie à risque d'infection peut contribuer à la prévention, à la réponse et à la gestion de la pandémie One Health », ont conclu les chercheurs. >>

Nearly 30% of cats, dogs owned by COVID patients had SARS-CoV-2 antibodies by 2021
In total, 5% of dogs and 13% of cats tested positive for COVID-19 on polymerase chain reaction, and 25% and 36%, respectively, had SARS-CoV-2 neutralizing antibodies.
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MJZen86
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@Zen86200
Et, pourquoi ne pas conclure que des humains ayant eu une infection asymptomatique ont été non enregistrés et ont transmis le virus au chat !!
Il est étonnant que votre hypothèse ne soit pas celle des auteurs de l’article, mais vous en savez sans doute plus qu’eux sur le sujet !!
(@bibimet, qui soutient sans savoir !!)
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Bonjour @chatdoc ou une souris/rat que le chat à mangé qui lui aurait transmis 🤣
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Justement @chatdoc si ça à pris 1 mois avant qu'un humain soit assez symptomatique pour être détecté et échantillonné... Ça prouve en soit que quand en février 2020 (le SARS-CoV-2 initial) est trouvé, avec les premiers cas officielle en France ! Le virus circulait probablement, déjà chez des asymptomatiques ou des animaux ! Depuis janvier voir avant ! Vue que le virus n'était pas encore connue n'y recherché ! D'où les études sur échantillons d'eau usée et sur les cas humains ou il y avait des échantillons au frais dans leurs laboratoire ! Et après leurs analyse scientifique, septembre 2019 semble être le début des premiers cas graves donc Août pourrait être le mois de l'arrivée en Europe du premier malade (humains ou animales)
Moi je ne l'ai repéré qu'en décembre 2019... Ou je n'y prêtait pas attention... Comme les docteurs des CHU... C'était une odeur comme une autre dans les courants d'air...
(Édité pour corriger une erreur de mois, j'avais écrit octobre alors que je voulais écrire août et amélioration pour approfondir l'idée que j'avais à soumettre)
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Un exemple qui révèle la complexité de la prise en charge de certains Covid longs :
Comment un neuroscientifique a résolu le mystère de sa propre longue COVID.
Quand Jeff Yau a commencé à ressentir des symptômes étranges après son infection par le COVID-19 - engourdissements, picotements et tremblements - il a vécu ce que des milliers d'autres personnes atteintes d'un COVID long ont constaté : il était difficile de trouver des réponses et les traitements n'étaient pas efficaces.
Mais il est neuroscientifique et dirige un laboratoire qui étudie comment les nerfs nous permettent de sentir et de percevoir le monde. Il disposait de la formation, des ressources et, surtout, d'un solide réseau scientifique pour l'aider à trouver des réponses. Ainsi, lorsque ses traitements ont échoué, Jeff s'est tourné vers la science pour comprendre pourquoi.?
C'est ainsi qu'il a découvert que la cause était un type spécifique d'anticorps qui attaquait son tissu nerveux. Les symptômes de Jeff Yau s'améliorent maintenant. « C'était réconfortant », dit-il, »de pouvoir dire : la science fonctionne, la science a du sens. Et maintenant que nous le savons, quelle est la prochaine étape ?« Les mesures ont montré que les taux d'anticorps contre la neurofascine 155 de Jeff avaient été réduits avec succès le jour suivant l'échange plasmatique, mais au moment où Jeff a reçu sa prochaine série de traitements, les taux sont repartis à la hausse.
L'échange de plasma ne réduisait pas les taux d'anticorps de Jeff assez rapidement pour faire une différence dans ses symptômes.Fort de ses nouvelles connaissances, Jeff est retourné voir son équipe médicale qui lui a proposé un autre plan de traitement. Il a commencé à recevoir du rituximab, un médicament qui tue les cellules qui produisent les anticorps. Le traitement au rituximab s'est avéré efficace chez d'autres personnes atteintes de la variante neurofascine 155 de la PIDC. «
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En espérant que le bénéfice/risque soit bon par la suite... L'idéal ne serait-il pas d'agir en amont en supprimant le stimuli qui rend ces cellules trop productrice ?
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@Zen86200
Il faudrait connaître très précisément le stimuli et la prévalence exacte de cette forme de Covid long.
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@chatdoc déjà j'aimerais savoir si ils prennent en compte l'exposition au virus viable ou mort après convalescence et l'apparition des premiers symptômes de covid-long ou si ils préfèrent l'ignorer !? Pour se concentrer uniquement sur les médicaments qui pourraient soulager les symptômes et donc faire du profit sur des personnes qui n'ont pas assez désinfecter leurs lieux de vie ou faute de chance ont continué à côtoyer des malades en pagaille (comme le personnel hospitalier et infirmiers... Médecin en tout genres...) qui sont quand même les plus porteurs de COVID long avec ceux qui avaient des facteurs aggravant comme les contamination aux PFAS qui atténue l'efficacité du système immunitaire et du vaccin ARNm...
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@Zen86200
vous faites vos propres recherches, votre propos est peu clair et votre utilisation de « i ils préfèrent l'ignorer « est trop tendancieuse et tellement imprégnée de vos hypothèses toujours pas validées que cela ne présente pas d’intérêt en ce qui me concerne !!
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Plusieurs malades contagieux (Covid19) au center Parc Loudun Roiffé ça empeste depuis le rond-point avant l'entré... Désolé j'ai écrit comme un cochon garé dans un fossé le temps de reprendre ma respiration et me moucher le nez...
En dehors du poste de garde a l'entrée, il n'y avait pas un chat dehors et pourtant même fenêtre et clim fermé j'ai eu l'odeur aussi forte qu'en présence à moins de 8m d'un malade contagieux !
Depuis je suis allé chez mon client et revenu par une autre route ! Pour mon odorat il y à l'équivalent d'un cluster au niveau du Center Parc du bois aux daims... Mais d'ici quelques jours ça devrait aller mieux... Ou pas si d'autres clients se contamine avec le virus resté ici et là 🤧
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MJZen86
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@bibimet75
Et toujours cette franchise inexistante, que vous ne puissiez pas changer est évident, il est vrai que pour un Membre Ambassadeur on s’attendrait que ce soit un pré-requis dans sa communication, . et, vous confirmez bien mon opinion sur vous a ce sujet . .
Question nuance sur le sujet lorsque l’on est incapable de répondre aux résultats corrélation ou causalité, et que l’on ne tient pas compte du rapport bénéfice risque, c’est que l’on ne comprend pas grand chose aux études médicales et à leur application pour des décisions de traitements ou de prévention !!
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Bravo, vous venez de trouver le dernier 😂 🤣 Bonne recherche pour le suivant
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@bibimet75
Malheureusement, votre incapacité à évoluer est trop prégnante . .
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Que d'efforts pour me laisser un nouveau message... ça vous donne une occupation 😂
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Surveillance des pathologies infectieuses depuis le Covid : état des lieux et plan d'actions en AURA
6 février 2025
Découvrez les défis sanitaires de l'après-Covid et les solutions en Auvergne-Rhône-Alpes. Depuis la pandémie de COVID-19, de nouvelles épidémies bouleversent notre quotidien : bronchioles, rougeole, coqueluche, infections invasives à méningocoques ....
Pourquoi ces maladies refont-elles surface ? Quels moyens mettons-nous en oeuvre pour y faire face ?
Chapters :
00:00 Introduction
02:53 Prévention des infections à VRS (virus respiratoire syncitial)
18:20 Recrudescence des cas d’infections invasives à méningocoque
34:09 Recrudescence des cas de rougeole
44:01 Recrudescence des cas de coqueluche
https://youtu.be/W7R_gPnh89s?feature=shared
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J'aime bien en fin de vidéo quand le public lui fait remarquer qu'elle à oublier dans la liste le vaccin COVID... Elle nous sort "c'est un vaccin impeut particulier..." 🤣
Elle apporte quelques informations intéressantes, il y as aussi des contradictions flagrante ! Exemple : les 4000 étudiants qu'il ont voulu vacciné pour la méningite... A l'université de Grenoble... Circulation très active avec 3 cas en septembre 2024... Seulement 450 étudiants soit 11% se sont faits vacciner... Pas de nouveaux cas depuis... Elle précise bien que la campagne de pub était accès sur les lieux où le virus se transmettait le plus... soirées étudiantes et les boîtes de nuit ! Car c'est où il y a le plus de cas de contamination... Ils sont con à l'AURA ? Fallait ciblé les étudiants qui participent à se genre de soirée étudiante et qui passe leurs soirée en boîte de nuit... C'est peut être pour ça qu'il n'ont eu que 450 qui se sont sentis concerner et se sont vaccinés ? Les autres préférant étudié... D'où les excuses trouvé 🤣
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ravi les opposants aux vaccins qui ont tellement critiqué ceux-ci que les vaccins rougeole et coqueluche ont été moins injectés.
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Mon fils les a eu et comme c'était milieu fin 2018 les premiers quand le système immunitaire est pour partie inexistant faudra que je vois avec le docteur si il doit refaire une 3e dose de certains comme celui cité dans la vidéo @chatdoc la science avance mais c'est souvent après avoir reculé... Affaire à suivre
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Les chauves-souris sont surveillés pour voir l’éventuelle évolution des coronavirus qu’elles peuvent transmettre. Leur capacité à se défendre vis à vis des virus qu’elles portent intrigue les chercheurs. Les résultats d’une étude ouvre une voie d’explication :
Les chauves-souris ont une défense antivirale intégrée.
L'étude de 20 génomes de chauves-souris a révélé des adaptations immunitaires qui les rendent presque invincibles face aux infections virales. Nombre de ces adaptations sont communes à toutes les espèces étudiées par les chercheurs, ce qui suggère qu'elles sont apparues chez un ancêtre commun à toutes les chauves-souris, à peu près au moment où les fossiles suggèrent qu'elles ont évolué vers le vol motorisé. La raison pour laquelle les deux semblent avoir évolué conjointement n'est pas claire, mais elle pourrait être liée aux exigences métaboliques du vol, qui entraînent la production de substances chimiques toxiques dans leur corps. Ces adaptations pourraient les aider à faire face à cette toxicité, avec en prime une immunité contre les virus.https://www.nature.com/articles/s41586-024-08471-0.
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@chatdoc c'était Publié le 19 avril 2022 à 17h16, mis à jour le 19 avril 2022 à 17h38
<< Cette fermeture est une première. En cause : la présence importante du virus notamment dans le Sud-ouest. Un élevage de canard a par exemple été abattu à 300 mètres de ce parc. Plus largement en France, l'épizootie 2021-2022 qui touche plusieurs départements est la plus sévère qui ait touché le pays, avec plus de 1100 foyers en élevage et plus de dix millions de volailles abattues, un record. >>
https://www.tf1info.fr/regions/video-grippe-aviaire-les-aigles-de-rocamadour-confines-2217139.html

Grippe aviaire : les aigles de Rocamadour confinés après la mort de trois chouettes | TF1 INFO
[VIDÉO] Le parc ornithologique de Rocamadour est fermé pendant trois semaines. En cause : la présence de la grippe aviaire dans le département. Les responsables des lieux font part de leur inquiétude. - Grippe aviaire : les aigles de Rocamadour confinés après la mort de trois chouettes (Régions). TF1 INFO
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je vois mal les canards d'élevage aller chié sur les volières des chouettes... a moins qu'une partie de leurs nouriture ne soit originaire du dit élevage (vue la proximité, les courants d'air diurnes sont l'autre option)
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MJZen86
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ça expliquerait aussi pourquoi les chouettes et non les aigles...
et pour les élevages ça serait bien de savoir si c'est après des épisodes météo ensoleillée ou plutôt après des périodes fortement nuageuse... les UV n'étant pas les mêmes les virus restent plus longtemps viable même en journée en fonction du manque de soleil
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maritima
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Prévention COVID : Et si ?
https://www.santelog.com/actualites/prevention-covid-leau-ozonee-toujours-efficace-contre-le-sars-cov-2?

Prévention COVID : L’eau ozonée toujours efficace contre le SARS-CoV-2 ?
L’eau ozonée est de plus en plus utilisée pour ses capacités désinfectantes, dans certains espaces publics, comme les piscines ou les salles de classes mais également les hôpitaux, cette équipe de l’Université d’Osaka est pourtant l’une des premières à regarder si l’eau ozonée est bien efficace contre le virus SARS-CoV-2 présent dans la salive des patients ou des usagers. L’étude, publiée dans le Journal of Hospital Infection révèle cependant que 2 composants de la salive, l’amylase et la mucine de la salive diminuent les effets virucides de l’eau ozonée.
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maritima. "l'amour pour épée, l'humour pour bouclier" Bernard Werber.
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Ça c'est intéressant et du coup je me demande si les odeurs était aussi soumise à un type de vibration spécifique 😉
<< EN BREF
🔬 Les chercheurs ont découvert que chaque virus émet des vibrations uniques, permettant une différenciation précise.
🧪 La technique BioSonics détecte des fréquences vibratoires 1 million de fois plus aiguës que ce que l’oreille humaine peut entendre.
🔍 Le suivi des trajectoires virales offre des insights sur la désassemblage et les interactions environnementales des virus.
🧬 Cette avancée pourrait révolutionner les diagnostics précoces et transformer notre compréhension des dynamiques virales. >>

Dans le domaine de la science, l'exploration des propriétés physiques des virus a toujours fasciné les chercheurs. Récemment, une équipe de scientifiques de l'Université d'État du Michigan a découvert que les virus, ces entités microscopiques qui nous sont souvent invisibles, vibrent de manière unique. Ces découvertes pourraient transformer notre compréhension des dynamiques virales et ouvrir
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Grippe d’origine zoonotique : la DGS appelle à une vigilance renforcée
La DGS appelle à une vigilance accrue vis-à-vis des virus influenza d’origine animale. Si aucune transmission interhumaine n’a été observée à ce jour, le virus influenza aviaire hautement pathogène H5N1 impose un renforcement des mesures de surveillance et de prévention.
Laurence Houdouin 06 février 2025
La direction générale de la Santé (DGS) a émis un DGS-Urgent à l’attention des professionnels de santé pour les appeler à une vigilance renforcée vis-à-vis du risque de transmission à l’homme des virus influenza d’origine zoonotique (virus influenza aviaire ou influenza porcin) [1].
Une circulation qui s’intensifie
Le virus influenza aviaire hautement pathogène (IAHP) H5N1 circule à l’échelle mondiale, intensément depuis plusieurs années, principalement chez les oiseaux sauvages et les volailles domestiques. Il peut également infecter de nombreuses espèces de mammifères sauvages et domestiques, ainsi que des bovins. Aucune transmission interhumaine n’a été notifiée à ce jour et, actuellement, le niveau de risque est considéré comme « faible » pour la santé humaine, et « faible à modéré » pour les personnes les plus exposées, par l’Organisation mondiale de la santé (OMS) et le Centre européen de prévention et de contrôle des maladies (ECDC). Cependant, au cours des derniers mois une augmentation des cas de transmission à l’être humain a été observée au niveau international. À noter qu’aucun cas humain n’a été rapporté en France.
Trois critères pour le diagnostic
Compte tenu de l'augmentation du risque de circulation d’un virus de ce type adapté à l’homme, la DGS insiste sur l’importance d’interroger tout patient avec syndrome grippal sur la notion d’exposition à des animaux et elle renvoie sur la conduite à tenir récemment actualisée par Santé publique France : « Surveillance et investigation des cas de grippe humaine due à un virus influenza d’origine aviaire ou porcine » [2]. Par rapport à la précédente version du 25 octobre 2022, des changements ont été introduits, notamment concernant la définition des cas de grippe zoonotique qui repose sur trois types de critères (cf. Figure) :
clinique : signes cliniques d’infection respiratoire aiguë et/ou d’infection oculaire (notamment conjonctivite) ;
épidémiologique : exposition à risque (contact direct ou indirect avec un animal infecté ou susceptible de l’être ou avec son environnement) dans les 10 jours précédant l’apparition des signes cliniques ;
virologique : résultat de RT-PCR grippe positif pour un virus influenza de type A et négatif, ou non conclusif, pour les sous-types d’influenza saisonniers H1 et H3.
Des cas possibles…
Toute personne présentant un critère clinique et un critère épidémiologique est considérée comme un cas possible. Un prélèvement nasopharyngé et conjonctival (si signes oculaires) doit alors être prescrit sans délai.
La recherche de grippe par RT-PCR doit cibler le type (A et B) et le sous-type grippal saisonnier (H1 et H3). La prise en charge de cette analyse sur prélèvement respiratoire a été étendue chez les personnes symptomatiques exposées à un virus influenza zoonotique, et cela toute l’année [3].
Dans l’attente du résultat, des consignes de mesures d’hygiène et de prévention sont données au patient (limitation au strict minimum des contacts, port du masque et gestes barrières). Un dépliant d’information sur les bons réflexes à adopter en cas de grippes aviaire et porcine est disponible sur le site de Santé publique France.
Si le patient requiert une prise en charge hospitalière, il doit être orienté vers le SAMU/Centre 15.
En cas de résultat du test positif pour un virus influenza de type A et négatif, ou non conclusif, pour un sous-type H1 ou H3, le patient correspond à la définition d'un cas probable de grippe zoonotique. Il doit être signalé sans délai au point focal de l’Agence régionale de santé (ARS) par le médecin prenant en charge le patient, ou le biologiste en lien avec le clinicien.
... aux cas confirmés
Le cas est confirmé lorsque le Centre national de référence des virus des infections respiratoires (CNR) a objectivé la présence d’un virus influenza d’origine aviaire/porcine. Une concertation entre la DGS, l’ARS, Santé publique France, un infectiologue référent et le CNR sera alors réalisée afin de définir précisément les modalités les plus adaptées pour la prise en charge du patient et de ses contacts.
Au total, la situation actuelle souligne l'importance d'une surveillance rigoureuse et d’une étroite collaboration entre les secteurs de la santé humaine et animale. Identifier rapidement les cas potentiels et appliquer les mesures de précaution restent les meilleurs moyens de prévenir tout risque d’évolution de ces virus vers une transmission plus large.
Cet article d'actualité rédigé par un auteur scientifique reflète l'état des connaissances sur le sujet traité à la date de sa publication. Il ne s'agit pas d'une page encyclopédique régulièrement remise à jour. L'évolution ultérieure des connaissances scientifiques peut le rendre en tout ou partie caduc.
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Le Julian Assange du Covid19 et une femme... Et c'est lamentable se que le gouvernement chinois lui fait subir...
<< Il y a cinq ans, la journaliste chinoise Zhang Zhan documentait le début de la crise du Covid-19. Reporters sans frontières (RSF) appelle à la libération immédiate de cette héroïne de l'information qui a alerté le monde sur la pandémie, et qui, en grève de la faim pour dénoncer l’injustice qu’elle subit, risque de mourir en détention.
Début février 2020, la journaliste chinoise Zhang Zhan découvre des rumeurs sur la propagation d’une maladie inconnue qui cause la mort de nombreux habitants de la ville de Wuhan, dans le centre-est de la Chine. Malgré le risque de contagion, elle parcourt 850 km pour couvrir la situation sur le terrain, au cœur de ce qui deviendra l’une des pandémies les plus meurtrières de l’histoire moderne. Dans sa tentative de dissimuler l’ampleur de la pandémie et sa propre responsabilité, le régime chinois arrête puis condamne la journaliste à quatre ans de prison.
Cinq ans plus tard — après avoir purgé une première peine de prison injuste — Zhang Zhan est de nouveau détenue, arrêtée quelques semaines seulement après avoir partagé sur les réseaux sociaux des informations sur le harcèlement par le régime chinois de défenseurs des droits humains. De retour derrière les barreaux depuis août 2024, elle a récemment entamé une nouvelle grève de la faim pour protester contre les mauvais traitements qui lui sont infligés par le régime. Selon les informations de RSF, Zhang Zhan — déjà très affaiblie avant ces derniers mois d’enfermement — est actuellement nourrie de force par les autorités pénitentiaires.
"Zhang Zhan devrait être célébrée pour avoir alerté la communauté internationale sur la pandémie de Covid19. Au lieu de cela, elle subit encore la répression du régime chinois et lutte pour sa liberté et sa survie en prison. Après quatre années d’emprisonnement injuste, elle risque aujourd’hui de ne pas surmonter sa une seconde incarcération. Il est plus urgent que jamais que la communauté diplomatique internationale fasse pression sur Pékin pour obtenir sa libération immédiate.
Antoine Bernard : Directeur du plaidoyer et de l’assistance de RSF
La journaliste qui a révélé l’affaire du COVID-19
Début 2020, Zhang Zhan s’est rendue à Wuhan pour couvrir l’épidémie de COVID-19, après avoir lu un message en ligne dans lequel un internaute disait être “laissé pour mort” par les autorités. Cela l’a poussée à enregistrer plus d’une centaine de vidéos montrant des hôpitaux débordés, des commerces vides et des familles de victimes harcelées par les autorités.
Dans ses reportages, qu’elle a partagés sur ses comptes YouTube, WeChat et Twitter, elle révèle également que les crématoriums fonctionnent jour et nuit, alors même que les médias d’État affirment que la situation est sous contrôle et que les autorités tentent d’étouffer l’affaire.En mai 2020, elle disparaît mystérieusement avant que les autorités ne confirment sa détention. Son acte d’accusation l’accuse d’avoir diffusé de “grandes quantités de fausses informations”. En 2021, elle est condamnée à quatre ans de prison par un tribunal de Shanghai pour provocation de “querelles et de troubles”.
Lauréate du Prix RSF de la liberté de la presse
Tout au long de sa détention, RSF a fait campagne pour obtenir sa libération et a dénoncé les mauvais traitements dont elle a été victime en prison. Au cours de ses premiers mois de détention, Zhang Zhan, lauréate du Prix RSF de la liberté de la presse 2021, a failli mourir après avoir entamé une grève de la faim totale pour protester contre son incarcération. Les autorités pénitentiaires l’avaient alors nourrie de force à l’aide d’une sonde nasale et l’ont parfois laissée menottée des journées entières.
Classée 172e sur 180 pays et territoires dans le Classement mondial de la liberté de la presse établi par RSF en 2024, la Chine est la plus grande prison au monde pour les journalistes et les défenseurs de la liberté de la presse, avec au moins 124 d’entre eux actuellement emprisonnés.
Publié le 07.02.2025

Il y a cinq ans, la journaliste chinoise Zhang Zhan documentait le début de la crise du Covid-19. Reporters sans frontières (RSF) appelle à la libération immédiate de cette héroïne de l'information qui a alerté le monde sur la pandémie, et qui, en grève de la faim pour dénoncer l’injustice qu’elle subit, risque de mourir en détention.
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Le fait d'enfermer les gens dans leurs chambres avec une mauvaise aération et les endormir...
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C’est beau d’écrire mais oui sont les preuves de vos affirmations . . on ne peut se contenter de votre obsession à prouver vos théories . .
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Pourtant il y à bien des études sur le sujet et j'ai été obligé de faire des recherches en anglais pour en trouver une nouvelle plus détaillé vue que vous ignorez celle en France sur les hôpitaux @chatdoc ...
Conclusions
Une étude des caractéristiques de ventilation dans un ancien hôpital touché par une épidémie de COVID-19 en hiver a révélé que,
1)
Les taux de ventilation dans les services étaient tombés à 30 % de la valeur nominale. Les taux de ventilation dans les chambres à plusieurs lits variaient de 4 % à 31 % de la valeur nominale, et le taux de ventilation dans la salle de traitement était de 10 %.
2)
Lorsque les portes étaient ouvertes, le manque de taux de ventilation par rapport à la valeur de conception pourrait augmenter la concentration moyenne d'air contenant des virus de 3,2 fois dans les chambres simples, de 3,3 fois dans une chambre du personnel et de 3,8 fois dans les chambres de 6 lits.
3)
Le manque de ventilation pourrait augmenter la concentration d’air contenant le virus de 47 fois dans la salle de traitement et de 67 fois dans une chambre avec un patient infecté.
4)
L'ouverture de la porte de la pièce augmente le taux de ventilation de la pièce. En revanche, elle provoque la propagation de l'air contenant des virus dans le couloir et dans les autres pièces.
5)
Même lorsque l'alimentation en air (OHU) a été interrompue la nuit pour maintenir la température ambiante, le taux de ventilation est resté proche du taux de ventilation prévu grâce à l'ouverture de la porte. Cependant, la fermeture de la porte aurait entraîné une très mauvaise ventilation dans la pièce.
6)
Au début de l'épidémie, le NHF a été utilisé dans une chambre avec un taux de ventilation de 10 % inférieur à celui prévu. Pendant l'épidémie, de nombreux patients ont utilisé des chambres à plusieurs lits avec un contrôle de la ventilation inadéquat. La mauvaise ventilation des bâtiments anciens peut avoir eu une incidence sur les cas d'épidémie dans les hôpitaux. Il est essentiel de vérifier les caractéristiques de la ventilation, en particulier dans les bâtiments anciens.
Ces résultats ont contribué à la mise en place de mesures de ventilation urgentes dans les hôpitaux et à la sensibilisation du gouvernement japonais à leur égard.
Déclaration de conflits d'intérêts
Les auteurs déclarent qu’ils n’ont aucun intérêt financier concurrent connu ni aucune relation personnelle qui aurait pu sembler influencer le travail rapporté dans cet article.
https://www.sciencedirect.com/science/article/pii/S2950362024000626#
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@Zen86200
Arrêtez de mélanger tout, de ne pratiquement jamais vraiment vous êtes de plus en plus girouette, . . je sors du dialogue !!
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Au Québec les langues commence aussi à se confier... Même si rien vraiment nouveau...
<< Directeur national de santé publique durant la pandémie de COVID-19, Horacio Arruda s'ouvre sur son expérience cinq ans après le début de la crise. (Frédéric Matte/Le Soleil) Le 8 février 2025 à 04h00 locale>>

Arruda croyait que la pandémie «durerait trois à six mois»
1ER DE 2 / Cinq ans après le début de la pandémie de COVID-19, Horacio Arruda se replonge dans cette période brûlante où il était dans le feu de l’action. Dans une rare entrevue, celui que tout le monde connaît comme le Dr Arruda se confie sur ses fiertés, ses regrets, sa démission et les tartelettes.
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@chatdoc le déni c'est pas une preuve d'autres choses à moins que vous ne soyez en lien avec les comploteurs ?
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@Zen86200
Encore une fois, finissez une discussion plutôt que dès qu'un obstacle seprésente de l'éviter. . car vous finissez par tout mélanger et être toujours dans le superficie !
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@chatdoc le 8 à 14h29, et oui, beaucoup se sont trompés pendant cette pandémie, telle que Agnès Buzyn ministre de la santé qui déclarait le 24/01/2020 "les risques de propagation du virus sont très faibles"
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@kanpanstu
Vous avez raison, mais des données sur le virus et ses conséquences étaient accessibles presque tous les jours et les paroles prononcées ne peuvent, a posteriori, être commentées de la même façon pour celles dites le 24 janvier ou le 15 février.
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Ami
Étude récente :
le COVID-19 augmente-t-il le risque de maladie d'Alzheimer ?
(le 8 FÉVRIER 2025). Étude récente :
le COVID-19 augmente-t-il le risque de maladie d'Alzheimer ?
De nouvelles recherches ont découvert un lien entre le COVID-19 et certains marqueurs sanguins associés à des protéines défectueuses dans le cerveau. L'étude, dirigée par l'Imperial College de Londres et l'Institute of Dementia Research du Royaume-Uni, a révélé que les personnes atteintes du COVID-19 étaient plus susceptibles d'avoir des niveaux élevés de biomarqueurs amyloïdes, un indicateur clé de la maladie d'Alzheimer. Les résultats suggèrent que même une infection légère ou modérée au COVID-19 peut accélérer les processus biologiques qui favorisent l’accumulation d’amyloïde nocif dans le cerveau, ce qui peut augmenter le risque de développer la maladie d’Alzheimer à l’avenir, en particulier chez les personnes présentant des facteurs de risque existants.
Les chercheurs soulignent toutefois qu’il est important de ne pas tirer de conclusions et soulignent que leur étude, basée sur des observations, n’établit pas de lien direct de cause à effet entre le COVID-19 et la démence. En outre, ils notent qu’il n’est pas encore clair si cet effet est spécifique au COVID-19 ou s’il peut également s’appliquer à d’autres maladies courantes telles que la grippe ou la pneumonie.
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
22/02/2025 | Conseils
10 conseils pour éviter le surmenage émotionnel lorsqu'on vit avec une maladie chronique
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Hervé49
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Le masque est de plus en plus présent dans les media, devrons nous le porter bientôt dans la rue, les transports, en forêt, à la plage ?
Mais est-il utile, nécessaire, indispensable, incontournable ?