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Que penser du coronavirus ?
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Perso pour le moment aucune injection... 😛
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@maritima absolument aucun projet mais comme je ne peux pas savoir ce que l'avenir me réservera je précise donc "pour le moment"! D'ailleurs j'ai médicalement nettement plus important à m'occuper que cette vaccination !
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@Philou75FR
Oui ..... je m'en doute bien mais cette vaccination ne vous a pas été conseillée ?
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maritima. "l'amour pour épée, l'humour pour bouclier" Bernard Werber.
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@maritima conseillé par mon ancien médecin traitant et déconseillé par d'autres qui formaient la majorité...
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Sachant également que j'ai eu le Covid dès le mois de mars, bien avant tout confinement et toute information sur le covid... Il a fallu ramer pour passer le test qui n'était pas disponible pour le public, voire également pour le corps medical... A l'époque, c'était essentiellement le monde politique qui pouvait se faire tester...
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@VOTMIEUXETRE
Un compte-rendu plus exact sur la plainte,, dont la date de dépôt est aussi importante .
la plaire été rejetée en première instance.
La plainte déposée en décembre 2020 par le Conseil national de l'Ordre des médecins (Cnom) contre le Pr Christian Perronne, pour des propos jugés controversés sur l'épidémie de Covid-19, a été rejetée en première instance. Le Cnom avait déposé plainte devant la chambre disciplinaire du conseil régional de l'Ordre des médecins d'Ile-de-France, qui l'a "rejetée", a indiqué l'instance dans une décision rendue publique vendredi et dont l'AFP a obtenu copie ce lundi. Le Cnom a indiqué son intention de faire appel "dans les meilleurs délais". L'affaire devrait donc se poursuivre en deuxième instance.
Il y a près de deux ans, le Cnom avait examiné une série de plaintes ou de signalements visant des médecins, pour des faits ou propos tenus publiquement sur la pandémie de coronavirus. Il avait décidé de saisir les chambres disciplinaires de première instance de plaintes et de s'associer à une plainte en cours à l'égard de six médecins, dont l'infectiologue controversé Christian Perronne, alors chef de service des maladies infectieuses et tropicales à l'hôpital Raymond-Poincaré de Garches (AP-HP).
Pas "d'appel à la violence" ni "d'incitation à la haine"Le Cnom lui reprochait ses prises de position publiques, notamment sur la chaîne CNews, sur les réseaux sociaux et dans son ouvrage, depuis le début de la crise du Covid. Dans sa plainte, le Cnom dénonçait plus précisément des "propos outranciers contraires à tout principe de dignité et à plusieurs règles de la déontologie médicale". Il accusait le professeur controversé d'avoir "fait courir un risque injustifié" aux patients par sa défense de l'hydroxychloroquine. Le Pr Perronne a par exemple affirmé que l'usage de l'hydroxychloroquine, promu par le Pr Raoult, aurait pu "éviter 25 000 morts en France". A l'époque, le Covid avait fait 30 000 victimes en France (plus de 150 000 actuellement), sa déclaration sous-entendait que cette molécule avait plus de 85% d'efficacité. Aucune étude sérieuse sur le sujet n'avait confirmé l'efficacité de l'hydroxychloroquine à l'époque, pas plus qu'aujourd'hui.
Mais les arguments du Cnom ont été écartés par la chambre disciplinaire, qui a estimé que les prises de position du Pr Perronne "n'ont pas mis en danger l'action entreprise par les pouvoirs publics", ni promu "un remède ou un procédé illusoire ou insuffisamment éprouvé". La chambre a estimé que ce "spécialiste internationalement reconnu comme un expert dans le domaine de l'infectiologie, était le mieux à même de comprendre les enjeux de santé publique" et était donc "légitime" à s'exprimer sur le sujet. L'instance souligne que le mis en cause n'a pas "appelé à la violence, ou incité à la haine, ou eu un discours 'antivax'" et qu'il n'a pas non plus "gravement mis en cause des confrères"."S'il s'est exprimé dans la presse sur l'action du gouvernement et sur l'industrie pharmaceutique, ainsi qu'il était légitime à le faire et en avait même l'obligation dans ce domaine qui relevait de sa compétence, il s'est borné à porter publiquement mais sans invectives une voix discordante sur un sujet d'intérêt général", considère la chambre. L'AP-HP avait eu une autre lecture de l'affaire, puisqu'elle avait démis Christian Perronne de ses fonctions de chef de service à l'hôpital de Garches fin 2020 en raison de ses propos controversés.
Des propos antivax pourtant avérés
La décision du conseil régional de l'Ordre des médecins de rejeter la plainte du Conseil national de l'Ordre des médecins peut apparaître étonnante, d'autant que Christian Perronne a participé mercredi 19 octobre à une conférence dans une salle du Parlement européen à Strasbourg, à l'initiative de l'eurodéputée du Rassemblement national Virginie Joron. Cette manifestation a rassemblé différentes voix des sphères antivax, covido-complotiste et d'extrême droite. A cette occasion, Christian Perronne a diffusé une présentation où la pandémie de Covid-19 était qualifiée de "plandémie", le vaccin "d'inutile" et les traitements précoces tels que l'hydroxychloroquine crédités d'avoir "fait la preuve de leur efficacité". Des déclarations allant à l'encontre de ce que la communauté scientifique a démontré depuis plus de deux ans.
Depuis 2020, l'AFP Factuel et de nombreux autres médias, dont L'Express, ont consacré plusieurs articles de vérifications des déclarations du Pr Perronne sur la vaccination anti-Covid, l'origine de la maladie de Lyme - qu'il attribue à des médecins nazis - dans lesquels de nombreux scientifiques ont réfuté ses propos.
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@kanpanstu
le long fleuve tranquille d’un prix Nobel de Médecine : ( extrait d’un article dû onde) :
Katalin Karikó
Comment avez-vous décidé de travailler sur l’ARN messager ?
Par hasard. J’étais à l’université de Szeged, en maîtrise, dans un laboratoire spécialisé dans les lipides, un truc assez ennuyeux, et deux étudiants sont venus demander de l’aide pour faire des liposomes, ces bulles de lipides qui permettent d’acheminer l’ADN dans les cellules. J’ai appris à le faire. Et un jour, un professeur est venu au labo, c’était le chef d’une équipe qui travaillait sur l’ARN. Mes compétences l’intéressaient. J’ai basculé et fait ma thèse avec lui. C’était une équipe financée par des industriels. On pensait que l’ARN pouvait avoir un effet antiviral. Mais les expériences étaient difficiles, même si nous avions des résultats encourageants. Ils ont retiré leur soutien.
Direction les Etats-Unis…
J’ai d’abord postulé à Montpellier, à Londres et à Madrid. Les universités étaient prêtes à m’accueillir, mais il me fallait une bourse et la Hongrie n’en donnait pas. J’ai donc pris ma respiration et candidaté aux Etats-Unis, et Temple University, en Pennsylvanie, m’a acceptée.
A l’époque, en 1985, nous avions le droit d’emporter 50 dollars par personne. Donc 100 dollars pour mon mari et ma fille. Moi, rien, car j’avais un contrat de travail. On a vendu notre Lada, changé l’argent au noir et récupéré 800 livres sterling qu’on a cousues dans le nounours de ma fille de 2 ans. Trois allers simples et nous voilà à Philadelphie, juste tous les trois, dans une société inconnue, pas d’amis, le niveau de vie qui s’effondre. En Hongrie, nous avions une machine à laver, là il fallait aller dans une laverie automatique.
Le rêve américain…
C’est l’histoire de beaucoup d’immigrants, partout dans le monde. Le quotidien est une épreuve continuelle. Pour tenir, il faut une foi inébranlable en soi et beaucoup travailler. C’est pour ça que les immigrants sont si particuliers, qu’ils accomplissent des choses incroyables. Au laboratoire, j’ai travaillé comme une folle, appris énormément de choses, beaucoup publié, si bien qu’au bout de trois ans j’ai reçu une offre d’embauche de l’université Johns-Hopkins. Quand j’en ai parlé à mon patron, il m’a dit qu’il n’en était pas question, que je lui devais mon invitation aux Etats-Unis. Et quand j’ai décidé d’accepter, il m’a dénoncée aux services de l’immigration qui ont voulu m’expulser. J’ai dû payer 1 000 dollars de frais d’avocats – j’en gagnais 17 000 par an. Le tribunal m’a donné raison mais, entre-temps, Johns-Hopkins avait annulé mon contrat au motif que j’étais une fugitive…
« Toute ma vie j’ai travaillé avec des gens d’autres domaines, à chercher des terrains communs et à s’enrichir mutuellement de nos approches »J’ai trouvé un CDD à Bethesda, près de Washington, dans une faculté de médecine militaire. Ma famille était restée à Philadelphie, moi je dormais dans mon bureau car on ne pouvait pas payer deux loyers, je me lavais au gymnase. Neuf mois comme ça. Finalement, après des dizaines de candidatures, j’ai été acceptée à l’université de Pennsylvanie.
La prestigieuse UPenn, une des universités privées de l’Ivy League…
Oui, chez Elliot Barnathan, au département de cardiologie. Il m’a toujours soutenue. Mes recherches sur l’ARN messager n’étaient pas au cœur de l’activité de l’équipe, mais il avait confiance en moi. Sauf qu’en 1995, au bout de cinq ans, la direction de l’université m’a rétrogradée, écartée de la liste académique, parce que je n’avais pas obtenu de financement des NIH [instituts américains de la santé] ou d’ailleurs. J’avais le choix entre rester comme assistante de recherche avec un salaire de misère ou partir. Je suis restée car j’aimais mon travail et l’équipe. Et je voyais que nous progressions. C’est essentiel : être tenace, ce n’est pas s’entêter pour s’entêter, c’est tenir compte des progrès, des résultats, et, s’ils sont là, y croire et poursuivre. Je n’avais plus de bureau, mais Elliot m’a accueillie dans le sien, a financé mes recherches et créé un poste temporaire pour moi.
Enfin un peu de stabilité…
Deux ans. Car en 1997, il a quitté UPenn. Sa remplaçante ne voulait plus de moi. Là, j’ai été sauvée par un ancien étudiant, David Langer, devenu résident [interne] en neurochirurgie, qui a convaincu son patron de m’accueillir. Voilà pourquoi toute la recherche sur l’ARN messager a été conduite au département de neurochirurgie, ce qui à première vue n’a pas beaucoup de sens, mais le département était riche, ça ne leur coûtait pas grand-chose de me donner un peu d’espace et 40 000 dollars de salaire annuel. Et l’ARN messager pouvait aider à lutter contre les accidents vasculaires cérébraux (AVC). En tout cas, c’était notre idée. Toute ma vie j’ai travaillé avec des gens de domaines autres que le mien – des chimistes en Hongrie, un cardiologue, des neurochirurgiens –, à chercher des terrains communs et à s’enrichir mutuellement de nos approches.
La rencontre avec l’infectiologue Drew Weissman devant la photocopieuse, moment devenu légendaire, s’inscrit-elle dans cette lignée ?
Bien sûr. Je plaidais pour l’ARN messager partout où je pouvais. A UPenn, j’avais du mal à me faire entendre car c’était un des temples de la thérapie génique, qui consiste à modifier l’ADN pour vaincre les maladies d’origine génétique. Mais ces interventions sont aussi très risquées. UPenn l’a appris à ses dépens avec la mort d’un jeune homme pendant un essai clinique, en 1999, ce qui a conduit à tout arrêter.
Mon argument, c’était que la plupart des pathologies sont temporaires. Pour soigner les multiples ampoules sur les mains de ma fille [Susan Francia, qui est double championne olympique d’aviron pour les Etats-Unis], je n’ai pas besoin de modifier son génome. Avec l’ARN messager, vous délivrez une information que vos cellules vont transformer en protéines thérapeutiques, et ça s’arrête dès que vous êtes guéri, ou immunisé si c’est un vaccin. Quand j’ai croisé Drew, qu’il m’a expliqué qu’il voulait mettre au point un vaccin contre le sida, je lui ai dit que je pouvais lui fabriquer de l’ARN pour ça. Et il m’a répondu oui.
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@chatdoc concernant anthony fauci, je pense avoir confondu avec de santis, quand je vois le parcours de Fauci et sa gestion de la pandémie, vous ne pouvez évidemment pas l'avoir critiqué..
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@chatdoc enfin vous me donnez plaisir à lire un de vos articles, merci.
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@chatdoc je précise que l'article qui m'a intéressé est celui sur l'épopée de Katalin Kariko
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Aveyron : Plus de 200 communes en zone réglementée pour lutter contre le Covid de la vache
EPIZOOTIE Vingt-cinq municipalités du département étaient précédemment concernées
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@nicolas2 une vache aurait copulé avec un pangolin!
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@kanpanstu et c'est là le fond du problème car en fait on ne peut plus se fier aux vaches et on ne peut plus copuler tranquillement avec elle !
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@nicolas2 et concernant la variole du singe, ce si terrible fléau qui devait nous écraser, vous n'auriez rien à nous rapporter pour nous effrayer un peu plus ?
C'est dommage d'abandonner un si prometteur sujet, vraiment dommage !
On a oublié les pangolins, les chauves souris, maintenant les singes, quel sera le prochain sujet pour nous effrayer ?
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Covid-19 :
Les effets secondaires du vaccin auraient un lien direct avec la production d’anti-corps
IL FAUT SOUFFRIR POUR… Il n’est toutefois pas nécessaire d’avoir souffert pour que le vaccin ait fonctionné dans la plupart des cas
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@nicolas2 vous rigolez! j'ai eu un mal de chien en haut du bras gauche, d'ailleurs j'en ai parlé à mon chien et il m'a dit qu'il comprenait ma douleur.
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@kanpanstu si toi c'est un mal de chien en haut du bras gauche, moi c'est le bras droit
peut être que pour d'autres ce sera sur le 3ème bras
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Covid long : une nouvelle voie de recherche
Les scientifiques proposent une nouvelle explication à la longue période de COVID.
Des recherches menées par Benjamin Abramoff, MD, MS, directeur de la clinique d'évaluation et de récupération post-COVID montrent que des composants du virus SARS-CoV-2 restent dans l'intestin de certains patients atteints de COVID longue durée, provoquant une inflammation persistante, un dysfonctionnement du nerf vague et des symptômes neurologiques.
Ces résultats pourraient ouvrir la voie à des traitements possibles, notamment des médicaments qui stimulent la sérotonine.
A suivre . .
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@chatdoc on s'était dit rendez-vous dans 10 ans...
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@kanpanstu ...... " Place des grands hommes "
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maritima. "l'amour pour épée, l'humour pour bouclier" Bernard Werber.
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cf 9h40 @chatdoc ....... @kanpanstu ....... à tous
"L’hypothèse des chercheurs est que le SARS-CoV-2 pourrait se calfeutrer au niveau de la muqueuse intestinale car celle-ci est plus « permissive » sur le plan immunitaire que le reste de l’organisme, dans la mesure où elle doit tolérer la flore bactérienne. D’autres virus comme le VIH utilisent cette stratégie d’échappement. Initialement présent au niveau des muqueuses pulmonaires, le SARS-Cov-2 pourrait donc descendre au niveau intestinal et y persister sans que le système immunitaire ne parvienne à l’éliminer tout à fait« .
https://www.santementale.fr/2023/05/covid-long-le-role-des-muqueuses-mis-en-evidence/
Covid long : le rôle des muqueuses mis en évidence - Santé Mentale
Plusieurs mois après une infection par le SARS-CoV-2, certains patients présentent encore des symptômes. Ce phénomène est communément appelé « Covid long ». Dans de nouveaux travaux, des équipes de recherche de l’Inserm et d’Université Paris Cité1 en collaboration avec l’université de Minho à Braga (Portugal), ont montré qu’il pourrait s’expliquer biologiquement par des anomalies du système immunitaire associées à la présence persistante du virus dans les muqueuses de l’organisme. Ces résultats publiés dans la revue Nature Communication pourraient à plus long terme ouvrir la voie à un outil diagnostic pour le Covid long comme l'explique ci-dessous, par voie de communiqué, l'Inserm..
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maritima. "l'amour pour épée, l'humour pour bouclier" Bernard Werber.
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@kanpanstu
Il y aura tellement de sujets différents qui occuperont nos esprits que j’en doute . .
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d'après le point de ce jour de santé publique , les indicateurs syndromiques concernant le covid 19 sont depuis 2 semaines en légère baisse sinon stables pour les plus de 65 ans. Espérons que le retour de températures plus basses et d'un climat plus humide ne les fassent pas repartir à la hausse, ceci dit, tout est relatif, il a fait 30° à l'ombre cette après-midi à Perpignan , nous n'avons pas vu une goutte de pluie depuis plusieurs semaines et nous repartons pour un hiver en arrêté sécheresse...
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Lu dans « ça m’intéresse « :
Les infections comme le Covid-19 pourraient augmenter le risque de neurodégénérescence, et par ce biais, contribuer au développement de la maladie d'Alzheimer.
Le Covid-19 est-il un facteur de risque de la maladie d’Alzheimer ? Possible, mais pas certain. Selon une étude parue le 18 octobre dans le Journal of Neurochemistry, les infections virales à l’instar de celle provoquée par le SARS-CoV-2 pourraient augmenter le risque de neurodégénérescence, ce dernier pouvant contribuer au développement de la maladie d'Alzheimer.
Des similitudes entre les deux maladies
C’est en étudiant les symptômes neurologiques du Covid-19 que des scientifiques de l’Université de Californie à Irvine ont élaboré leur hypothèse. Voici ce qu'il en est. Certains cas de Covid souffrent de brouillard cérébral, de maux de tête ou encore d’un manque de concentration. “Les patients atteints du COVID-19 présentent un spectre de symptômes neurologiques, ce qui indique que le COVID-19 peut affecter le cerveau de diverses manières”, écrivent les auteurs dans leur article. “De nombreuses études, passées et récentes, suggèrent un lien entre les infections virales et un risque accru de neurodégénérescence, soulevant des inquiétudes quant aux effets neurologiques du COVID-19 et à la possibilité qu'il puisse contribuer à l'apparition de la maladie d'Alzheimer (MA) ou aggraver une pathologie déjà existante.” L’impact des symptômes neurologiques pourrait déterminer ce qui conduit à Alzheimer.
Les chercheurs notent que les deux maladies partagent certaines comorbidités et facteurs de risque comme l’âge du patient. “Alors que le COVID-19 entraîne généralement un large éventail de symptômes, notamment une détresse respiratoire, l’infection a été associée à des modifications de la structure et du fonctionnement du cerveau, également associées à une neuroinflammation et à une potentielle neurodégénérescence”, indiquent-ils. “De plus, des déficiences cognitives à long terme ont été observées après la COVID-19.” Pour eux, les deux maladies pourraient renforcer les effets l’un l’autre, travaillant ensemble pour nuire à la santé du cerveau.
“Je pense qu'au cours des prochaines années, de nouvelles preuves étayeront davantage l'existence d'un lien entre l'infection [virale] et les maladies neurodégénératives”, déclare l'auteur correspondant Thomas Lane, PhD, de l'UC Irvine, dans un communiqué de presse. “Des recherches supplémentaires sont nécessaires pour comprendre l'impact du COVID-19 sur les maladies neurodégénératives. des maladies comme Alzheimer”, conclut son équipe dans l’étude.
Covid et Alzheimer : il y aurait un lien, selon ces chercheurs
Les infections comme le Covid-19 pourraient augmenter le risque de neurodégénérescence, et par ce biais, contribuer au développement de la maladie d'A
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@VOTMIEUXETRE
Curieuse relation avec votre voisin, vous ne semblez pas sûr la même longueur d’ondes, est-ce le hasard ?
Et , pour la question, c’est une réponse très significative que vous donnez. . .
mais vous devez le savoir.
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@chatdoc
Nous ne sommes pas sur la même longueur d'ondes, mon voisin et moi, évidemment.
Mais en tant que professeur d'histoire, il va sans doute avoir intérêt à modifier son idéologie ; ( personnellement , je préfère ne pas être à sa place actuellement) .
Le hasard ? Je n'y crois pas trop; j'ai tendance à être très déterministe.
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@maritima @VOTMIEUXETRE
un lien pour la discussion en cours :
Selon une équipe composée de scientifiques et de philosophes, la théorie de l'évolution formulée par Charles Darwin au 19e siècle n'est qu'un "cas...
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@chatdoc .......
Plus qu'intéressant !! et ..... à décanter en n'oubliant pas le rappel énoncé :
" Une théorie n'est "scientifique" que si les principes qui la constituent conduisent à au moins une prédiction suffisamment précise pour pouvoir être testée par une expérience (ou une mesure)susceptible de la réfuter…"
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maritima. "l'amour pour épée, l'humour pour bouclier" Bernard Werber.
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Utilisateur désinscrit
C'est tout chaud, !!!!!!!!!!!!!!!
https://www.youtube.com/watch?v=E4ki4_56LaQ
Pfizer : "Le vaccin ARNm contre la COVID-19 présente des risques accrus de myocardite/péricardite"
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@VOTMIEUXETRE
absolument rien de nouveau, on en a parler sur ce forum plusieurs fois, l’art de ressortir de vieilles informations . .
information de juillet 2022 et il y en a eu d’autres depuis !!
Dans le cadre du dispositif de surveillance renforcée des vaccins contre le Covid-19, EPI-PHARE (groupement d’intérêt scientifique ANSM-Cnam) a conduit une nouvelle étude de pharmaco-épidémiologie sur le risque de...
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La suite :
Une étude de l'Université de Pennsylvanie révèle qu'une baisse du taux de sérotonine pourrait être responsable des symptômes neurologiques du Covid long.
« Covid long : un taux de sérotonine bas, biomarqueur de la maladie"Les médecins traitant des patients atteints de Covid long s'appuient sur les rapports personnels de ces patients pour déterminer si leurs symptômes s'améliorent. Maintenant, nos recherches montrent qu'il existe des biomarqueurs que nous pourrions être en mesure d'utiliser pour offrir aux malades des traitements ou des essais cliniques qui traitent des causes spécifiques de leurs symptômes de Covid long et évaluer plus efficacement leurs progrès", explique la co-auteure principale, la Pr Sara Cherry.
De plus, des tests sur des animaux ont montré que les niveaux de sérotonine pouvaient être rétablis et que les troubles de la mémoire étaient susceptibles d'être inversés grâce à un traitement avec des précurseurs de la sérotonine ou des inhibiteurs sélectifs de la recapture de la sérotonine (ISRS). Cette découverte ouvre la voie au développement de nouveaux traitements et à l'amélioration du diagnostic du Covid long."Le Covid long varie d'un patient à l'autre, et nous ne comprenons pas parfaitement ce qui cause les différences de symptômes", explique le co-auteur principal,
Pr Christoph Thaiss dans un communiqué. "Notre étude offre une occasion unique pour des recherches plus approfondies afin de déterminer combien de personnes atteintes du Covid long sont affectées par la voie liant la persistance virale, la carence en sérotonine et le dysfonctionnement du nerf vague et de découvrir des cibles supplémentaires pour les traitements à travers les différents symptômes que les patients ont."
Covid long : un taux de sérotonine bas pourrait être en cause
Une étude de l'Université de Pennsylvanie révèle qu'une baisse du taux de sérotonine pourrait être responsable des symptômes neurologiques du Covid long..
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Mais justement @kanpanstu le but de ces études, petites et grandes est de tenter de le déterminer ..... donnez du temps au temps ! ;-)
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maritima. "l'amour pour épée, l'humour pour bouclier" Bernard Werber.
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@maritima bonjour, ce qui me chiffonne, c'est le nombre de plus en plus important d'études publiées qui commencent ou concluent par "il se pourrait que...". Quel est l'intérêt de publier sans aucune certitude sinon celui de se faire "mousser" , de justifier l'argent dépensé ou de plaire au financeur. Le rédacteur en chef de the Lancet déclarait en 2016 au sujet de la recherche médicale "une grande partie de la littérature scientifique, probablement la moitié, pourrait être fausse. Affligée d'études avec des échantillons réduits, d'effets infimes, d'analyses préliminaires invalides, et de conflits d'intérêt flagrants, avec l'obsession de suivre les tendances d'importance douteuse à la mode, la science a pris le mauvais tournant vers les ténèbres. Le docteur Marcia Angell, un médecin longtemps rédacteur du new england medical journal, disait à la même époque "il n'est tout simplement plus possible de croire une grande partie des publications de la recherche clinique". Je serais curieux de connaître le nombre d'essais cliniques parus ces dernières décennies qui faisaient état de progrès importants dans le traitement des cancers et qui, pour une partie non négligeable d'entre eux n'ont fait qu'apporter de faux espoirs aux malades.
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@kanpanstu
Pas opposée à ce que vous écrivez mais l'on ne va pas revenir sur l'usage du conditionnel en médecine puisqu'une découverte n'est vrai que tant qu'une autre ne l'a pas démontrée inexacte ou partielle .
Cela dit , si les faux espoirs sont cruels ,est-ce que l'absence d'espoir est meilleure ? tout dépend de la personnalité de qui les reçoit . Et cela rejoint le dilemme du praticien : doit-il tout dire ( ou pas ) au patient ?
Tout cela sans juger ou préjuger des aspects financiers que vous mentionnez sauf que je suis plus à l'aise sur le mode psy que sur le mode logique comptable ( que je reconnais tout de même comme n'étant pas à négliger, cela va de soi ).
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maritima. "l'amour pour épée, l'humour pour bouclier" Bernard Werber.
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@kanpanstu En effet, je me demande si cela est vraiment utile ! Je pense que c'est uniquement une question de subventions : Il faut bien justifier de cet argent même si c'est totalement inutile !
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@VOTMIEUXETRE
Une vérification de la qualité des liens que l’on partage est, sans doute, plus judicieux que d’autres remarques . .
Et’ votre relatif aveuglement vis à vis du contenu de certaines émissions de Sud-Radio est très révélateur . .
« A l’appui, le président du parti Les Patriotes partage une capture d’écran visiblement prise sur le site de Pfizer où l’on peut lire, en anglais : «Une myocardite (inflammation du muscle cardiaque) et une péricardite (inflammation de la paroi extérieure du cœur) sont survenues chez certaines personnes ayant reçu des vaccins Covid-19 à ARNm […] le plus souvent chez des adolescents de sexe masculin âgés de 12 à 17 ans. Chez la plupart de ces personnes, les symptômes sont apparus quelques jours après la vaccination.»Dans une autre capture d’écran partagée sur les réseaux sociaux, on peut lire que Pfizer indique à la suite qu’il faut consulter «immédiatement un médecin», si l’on présente l’un de ces symptômes : «douleur thoracique», «essoufflement ou difficulté à respirer», «sensation de battements rapides, de palpitations ou de battements de cœur».On peut effectivement retrouver ce passage accolé à plusieurs communiqués de Pfizer publiés depuis septembre sur diverses actualités du laboratoire, dont le dernier du 13 octobre qui aborde notamment des «mises à jour des prévisions pour l’année 2023». Mais la reconnaissance de cet effet indésirable, comme sa mention par Pfizer n’ont rien de nouveau. On le retrouve par exemple dans des communiqués de janvier 2022 ou septembre 2021 publié par le laboratoire. »
Pfizer vient-il de reconnaître le risque de myocardite et de péricardite lié au vaccin anti-Covid ?
Plusieurs comptes antivax affirment que le laboratoire pharmaceutique a publié un communiqué de presse affirmant définitivement que le vaccin à ARNm «présente des risques accrus» de myocardite et de péricardite.
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Une vérification de la qualité des liens que l’on partage est, sans doute, plus judicieux que d’autres remarques . .cf @chatdoc 12h14
Le partage des liens ne vous rappelle rien @VOTMIEUXETRE ? pourquoi ces liens là et pas d'autres sauf à tenter de convaincre ou d'infléchir ?
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maritima. "l'amour pour épée, l'humour pour bouclier" Bernard Werber.
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Hervé49
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Le masque est de plus en plus présent dans les media, devrons nous le porter bientôt dans la rue, les transports, en forêt, à la plage ?
Mais est-il utile, nécessaire, indispensable, incontournable ?