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Bientôt un vaccin contre la Covid-19 ? Qu'en pensez-vous ?
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maritima
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maritima
Dernière activité le 22/11/2024 à 13:43
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Oui, @serpic je le sais mais si j'ai perdu mon temps je l'ai fait au moins pour une bonne cause : le rétablissement d'une vérité occultée.
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maritima. "l'amour pour épée, l'humour pour bouclier" Bernard Werber.
Utilisateur désinscrit
Merci pour tes informations @nicolas2 mais c'est bien ce que je disais comparons
ce qui est comparable..... ton camion n'était pas prévu pour les malades du covid
imagine un camion avec 18 lits de réanimation..... a moins qu'ils ne soient sur plusieurs niveaux !!!!
Mais ce qui est très encourageant c'est de constater l'implication des CHU pour les crises majeures!!
Bonne journée a toi
Utilisateur désinscrit
Occultée volontairement !!!!! @maritima
maritima
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maritima
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Tu crois @serpic ? ( humour )
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maritima. "l'amour pour épée, l'humour pour bouclier" Bernard Werber.
Utilisateur désinscrit
@Stefan
Remettre en cause ceux qui ont failli .... reve toujours
pour les éléments des hopitaux militaires.......... pareil
Pour les cliniques privées @maritima t'en apporte patiemment la preuve
Et puisque tu ne me comprends pas je réitère mes derniers propos du 11h12
chatdoc
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chatdoc
Dernière activité le 22/11/2024 à 12:39
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@bibimet75
Bonjour,
Votre inspiration est très souvent nocturne , c’est intriguant . .
Certes la Médecine est complexe et les années à venir accenturont sans aucun doute cette complexité. Espérons que, comme certains pays, la formation continue des médecins soit plus mis en avant, avec peut-être un caractère obligatoire et une notion de validation (comme nos amis Québécois).
Concernant les vaccins ARNm, certes comme souvent en Pharmacologie un certains nombre d’effets secondaires ou indésirables seront mis en évidence avec le temps et l’utilisation à grande échelle. Cependant, en se fondant sur les vaccins ARNm existants et sur leur mode d’action plutôt bien connu et compris, om peut penser qu’ils seront assez peu nombreux et surtout pas trop négatifs.
De toute façon on en reviendra toujours à la notion bénéfices / risques ( assez difficile à bien assimiler) surtout si elle est appliquée à une population plutôt qu’à l’individu, dernière notion devenant prépondérante dans nos sociétés modernes.
Bonne après-midi. 🫂
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Chatdoc
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chatdoc
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Ami
Bonjour, un document sur l’hôpital militaire et l’unité mobile.
COVID-19: deux hôpitaux de campagne mobilisés contre l’épidémie
Comment se déploie un hôpital de campagne? Quelle organisation des soins est mise en place avec ce type de structure? Utilisés dans le contexte de la crise sanitaire liée au Covid-19, deux modèles d’hôpital de campagne, l’un militaire, l’autre civil, ont été présentés lors du salon virtuel Secours Expo 2021, consacré au secours médical, aux soins d’urgence et à la prévention des risques [1].
Le 16 mars 2020, alors que l’hôpital Emile Muller de Mulhouse se retrouve submergé par les cas graves de Covid-19, avec 15 à 20 patients intubés chaque jour aux urgences, le président de la République, Emmanuel Macron, annonce dans une allocution télévisée le déploiement d’un hôpital de campagne à proximité de l’établissement hospitalier en appui du service de réanimation.
L’annonce est exceptionnelle. Habituellement utilisé lors d’opérations militaires menées à l’étranger pour soigner les blessés de guerre, l’élément militaire de réanimation du service de santé des armées (EMRSSA) est pour la première fois déployé sur le territoire français pour soigner des malades civils.
Un hôpital monté en deux jours
Après l’allocution présidentielle, il a fallu moins d’une semaine pour activer l’hôpital militaire de campagne sur le parking principal du groupe hospitalier de la région de Mulhouse et Sud-Alsace (GHRMSA). Une fois le matériel acheminé sur place depuis Chanteau, près d’Orléans, 48 heures ont été nécessaires pour monter les modules sous tente et rendre le dispositif d’appui opérationnel.
L’EMR se compose d’une grande allée centrale reliée de part et d’autre par des espaces distincts. D’un côté, se trouvent les trois unités de réanimation et une unité de décontamination, tandis que l’unité de pharmacie, la zone de préparation des médicaments, le bureau médical et le poste de commandement sont placés de l’autre côté du couloir central.
« La mission de l’EMRSSA a été clairement définie. Il s’agissait d’aider le service de réanimation de l’hôpital Emile Muller, avec deux objectifs : soigner les patients avec un haut niveau de soins et protéger le personnel soignant du service de santé des armées du risque de contamination par le SARS-CoV2 », a indiqué le Pr Pierre Pasquier (Hôpital d’instruction des armées, Clamart), lors de sa présentation en ligne.
Les unités de réanimation de l’hôpital de campagne disposent d’un total de 30 lits, qui viennent ainsi s’ajouter aux 20 lits de réanimation de l’hôpital de Mulhouse. « On y retrouve les moyens habituels pour soigner en situation critique : des capacités de ventilation mécanique, de perfusion en intraveineuse continue, de nutrition entérale en débit constant et de monitorage continu. »
Plus de 80 soignants mobilisés
L’équipe mobilisée est composée de 83 soignants du service de santé des armées (médecin, anesthésiste, réanimateur, infirmier, aide-soignant, kinésithérapeute…). Les soins de réanimation sont apportés « dans des conditions d’exercice difficiles », avec un espace restreint et une liberté de mouvement limitée par les équipements de protection.
Chaque jour, les médecins anesthésistes et les réanimateurs de l’hôpital de campagne militaire se réunissent avec leurs confrères de l’hôpital civil « de façon à gérer le flux de patients » entre les deux structures. « L’enjeu était de créer un flux permanent de patients pour ne pas surcharger les capacités d’accueil de l’hôpital civil. »
Un premier patient intubé et sous ventilation est transféré à l’hôpital de campagne le 24 mars 2020. Près d’un mois plus tard, en raison d’une amélioration de la situation, la capacité d’accueil est réduite en démontant 10 lits. La structure comptait alors 46 patients accueillis depuis le début de l’opération. Les installations sont finalement démontées en mai 2020. L’opération n’a pas été reconduite.
Unité mobile polyvalente
Concernant la version civile de l’hôpital de campagne, elle se présente sous la forme d’une unité sanitaire mobile condensée sur un unique véhicule lourd. Une fois le lieu de déploiement défini, cinq cellules peuvent en être extraites sur des rails par un système d’ouverture en accordéon, puis équipées (voir la vidéo de présentation ici). L’unité déployée occupe alors une surface de 66 m2 et mesure 12 mètres de long.
Cette unité a été mise au point par le CHU de Toulouse dans le cadre du programme européen EGALURG, qui vise à soutenir les collaborations pour améliorer les soins de santé dans les situations d’urgence et de catastrophe, a expliqué le Pr Vincent Bounes, chef du Samu 31 au CHU de Toulouse. Cet hôpital de campagne, unique en son genre, a été baptisé Unité mobile polyvalente Europe Occitanie (UMPEO).
Conçu à l’origine pour être utilisé dans les régions pyrénéennes lors de grands événements engendrant des afflux massifs de personnes ou en réponse à des catastrophes susceptibles de saturer les structures de soins locales, le dispositif a finalement été adapté pour aider à faire face à la pandémie de Covid-19.
Cette unité mobile a tout d’abord été déployée en septembre 2020 dans plusieurs petites villes de la chaine pyrénéenne de Haute-Garonne pour une campagne de dépistage du Covid-19 par test PCR. Près de 1 000 tests ont ainsi été réalisés. Il a ensuite été utilisé pendant un mois et demi en appui de l’hôpital de Bayonne comme unité d’hospitalisation de courte durée (circuit hors Covid-19).
Centre de vaccination mobile
Cette solution sanitaire mobile a l’avantage d’être rapide à mettre en place. Seulement 20 à 45 minutes sont nécessaires pour sortir et aligner les cinq cellules à partir du caisson principal. Celles-ci peuvent alors accueillir les cabines de soins intensifs avec tout le matériel nécessaire à la médecine d’urgence. Un maximum de 18 patients en simultané peuvent y être accueillis.
Cet hôpital miniature a aussi la capacité d’être entièrement autonome d’un point de vue technique. « Il dispose d’une capacité énergétique, d’une réserve en eau et en oxygène suffisantes pour assurer deux heures d’autonomie, quels que soient la configuration et le sinistre », a précisé dans sa présentation le Pr Bounes.
L’activité de l’unité mobile est actuellement consacrée à la vaccination contre le Covid-19. Le véhicule se déplace dans les municipalités des zones rurales de Haute-Garonne où l’unité sert de lieu de vaccination de référence, permettant ainsi de faciliter l’accès à la vaccination des personnes âgées et dépendantes. Entre 150 et 300 individus sont vaccinés chaque jour.
Une autre unité mobile similaire a été récemment mise au point pour mener des opérations de décontamination. L’unité mobile de décontamination Europe Occitanie (UMDEO) a également été utilisée en mars 2021 pour une campagne de vaccination contre le Covid-19, qui a permis de vacciner jusqu’à 1 000 personnes en une journée, a précisé le Pr Bounes.
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Chatdoc
coquelicot119
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coquelicot119
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@nicolas2 Bonjour. Ah je comprends maintenant pourquoi il a été transformé en robot !!!!
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@chatdoc Cinquante lignes de copié-collé, c'est votre expression qui compte sur un forum, donnez des liens mais n'encombrez pas inutilement ce forum. Et tout ça pour dire quoi du travail effectif de cet hopital provisoir ?
Pas un mot de vous mais ce texte nous apprend que cet hopital mobile a du commencer à accueillir des personnes au cours de la dernière semaine de mars et a été démonté en mai, soit cinq à six semaines d'activités, avec 46 personnes soignées. Petit bilan face l'ampleur de la crise sanitaire, vraiment très petit. Je vous rapelle qu'il est question de plus de cent mille victimes au cours de cette épidémie.
Effectivement, ça a bien été une opération de communication, un coup très ponctuel qui montre que des finances sont disponibles mais, pas pour le fonctionnement des hopitaux publics.
Vos cinquantes lignes pouvaient n'en occuper que trois, on aurait aussi vite su que c'était de l'esbrouf.
Défendez plutôt la santé publique, si jamais l'idée vous passe par la tête.
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Stefan
Compte suspendu
@maritima Très bien, deux cliniques privées ont participé aux soins, deux sur tout le pays ? Pas plus ?
Capacité de dix patients à Cholet, sept lits occupés, bien ! Et trois patients à Angers, avec dix lits disponibles, quel raz de marée de soins ! C'est pourtant d'une épidémie d'ampleur nationale qu'il est question, pas de dentelle ou de fine broderie !
Ce n'est pas d'une information ponctuelle qu'il est question, mais de la participation concrète des établissements privés aux soins aux personnes victimes du COVID, ce n'est pas sans raison que j'ai rapellé que le syndicats d'établissements privés s'étonnaient de n'avoir pas eu de réponse positive du ministère, quelques accords ponctuels ne font pas une politique d'ampleur nationale. Trouvez mieux.
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Stefan
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Candice.S
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Candice.S
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