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Patients Prostatite
Une prostatite chronique depuis janvier 2015
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Momo1414
Momo1414
Dernière activité le 03/02/2021 à 20:30
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Salut a tous
je viens d’avoir mes resultats du test de stamey ...
j’ai des leuco a 405000 apres massages ce qui est enorme !!! Mais aucun germe n’est retrouvé... je crois que je suis dans la categorie sans espoirs ....
Vers qui me diriger mtn ? Que faire ? Rien ne traitera ce que j’ai ... je suis destiné a subir ca toute ma vie ... je n’ai que 30 ans c’est horrible ...
tawan77
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tawan77
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Salut momo,
Tu peux poster une copie de tes résultats en cachant tes coordonnées stp ?
405.000 leuco /ml est énorme oui. On considère qu'au dessus de 10.000 il y a une infection/inflammation.
Momo1414
Momo1414
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Voila ...

tawan77
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tawan77
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salut Momo,
C'est un nombre de leucocytes assez impressionnant en effet. Tu ne dois pas exagérer quand tu dis avoir une panoplie de symptômes désagréable....
Cependant je pense que tu devrais garder espoir et surtout voir avec l'urologue ce qu'il est possible de faire.
Tu sembles avoir une prostatite inflammatoire non bactérienne. Selon les manuels d'urologistes, c'est la plus commune des prostatites et ca se traite.
Je te conseillerai aussi d'aller voir un centre anti douleur voir un algologue. (un médecin spécialisé dans la gestion de la douleur)
Garde le moral l'ami, cette maladie évolue par crise, avec des périodes mieux que d autres...
tawan77
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tawan77
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@Luminessence0088 tu en es ou de ton traitement ? ca fonctionne ?
tawan77
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tawan77
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@axgtline et toi ? c'est revenus ou pas ?
Luminessence0088
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Luminessence0088
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Salut @tawan77 !
Comment vas-tu ?
De mon côté le traitement a l'oroken m'a beaucoup calme mais pas du tout soigné, y a des jours où j'ai encore un peu mal.. du coup je pense passer sur du Rocefine en IM. Comme toi il me semble et comme un autre membre, on verra bien !
Mais ça va j'ai quand même profité de l'été, des terrasses et du rosé !
Et toi, où en est tu avec tes projets de résection ? Ta prostatite n'est pas revenue ?
ericlapro
ericlapro
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Bonjour a tous
Avez vous un urologue sensible à cette problématique à conseiller en région parisienne ?
Merci par avance !
tawan77
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tawan77
Dernière activité le 11/02/2025 à 08:29
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Salut @Luminessence0088
héhé tu t'es pas laissé allé avec le rosé ^^
Si l'oroken t'as amélioré, il y a des chances pour que tu ai aussi une prostatite bactérienne. La rocéphine est bien plus forte que l'oroken. Je pense que ca pourrait t'aider oui. Vois si ton doc peut te prescrire 5 à 10 injections de 1gr . (10 injections serait ideal pour bien pénétrer la prostate)
De mon coté j'ai fait un autre mini épisode infectieux mi juillet apres un rapport avec mon épouse. La moindre bactérie, même non pathogene qui arrive a trouver son chemin dans mon système urinaire me provoque des soucis. Ca a été traité en quelques jours d'antibio car je l'ai pris tout au début. (avant que ca ne remonte dans la prostate)
Etant donné que la résection prostatique entraine une éjaculation rétrograde, On essaie de faire un bébé d'abord puis apres je fais cette opération.
Je suis sur un forum américain et d'autres personnes ont fait également une résection prostatique qui les a aidé. Bien qu'a ce stade, ca ne soit pas vraiment proposé comme traitement standard pour les prostatites, les résections sont une piste de plus en plus étudiée et ca semble prometteur.
Je suppose aussi que ca dépend du type de prostatite. Ca a l'air d'etre privilégié vers les gens qui ont des prostatites bactérienne et souvent lié à un facteur favorisant. (kyste, probleme anatomique ou autre...)
Chez moi l'urologue n'a pas vu de facteur favorisant a l'échographie, mais vu qu'on ne voit pas tout, c'est pas facile à déceler. Il est par contre d'accord pour opérer. En fait j'ai consulté deux urologues et les deux sont OK. L'un d'entres eux a été tres positif sur le fait que ca apporte des bénéfices. L'autre a été un peu plus circonspect... on verra ;)
@ericlapro je suis pas sur qu'on puisse citer des noms sur le forum. Mais va sur google et tape "clinique urologie paris". Tu trouvera de tres tres bon médecins. (et tres cher aussi...prend une bonne mutuelle lol)
Luminessence0088
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Luminessence0088
Dernière activité le 27/01/2024 à 14:54
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Salut @tawan77
Une fois de plus merci pour tes informations précieuses ! Elles m'ont été d'une grande aide via ce forum
Ce mini épisode a été traité rapidement ? Qu'as tu pris comme anti bio ?
En effet, écho, scanner c'est difficile d'avoir des info sur la prostate à part une hypertrophie, ou un ardénome, ça ne sert pas à grand chose...
C'est déjà très rassurant que tu aies au moins l'appuie d'un urologue, tu dois être assez content de pouvoir te reposer sur cette option si jamais. J’espère que vous arriverez à avoir un petit enfant ! L'éjaculation rétrograde provoque un peu de plaisir tout de même ?
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Philippelo
Bonjour,
Je voulais à mon tour témoigner d’une guérison.
J’ai souffert d’une prostatite chronique pendant environ 10 ans, arrivée comme ça, sans événement particulier. 10 ans d’envies impérieuses, de gouttes retardataires, de stress, de déprime mais aussi de recherche… et puis ça va mieux.
J’ai lu et tenté comme tout le monde plein de recettes et méthodes … et je voulais faire part de celle qui a marché pour moi.
J’ai raisonné par pourcentage en me disant : qu'est-ce qui joue, en % sur la pénibilité de cette maladie ?
J’ai d’abord essayé d’en saisir les déclencheurs. J’avais lu que le stress, l’alcool, les exitants (caféine, théine), l’alimentation épicée étaient des amplificateurs de symptôme, sans vraiment y croire …
Avec le recul, je vois les choses comme ça (et c’est une perception totalement personnelle)
Stress (40%)
Oui, je l'ai longtemps nié mais l’aspect psychologique est très fort : il faut agir, d’une manière ou d’une autre sur le stress. La maladie se nourrit elle-même du stress qu’elle génère (t’es sûr que t’as pas envie de pisser, là ? sûr ?) … D’ailleurs rien que d’en parler … (!)
J’ai réalisé que je n’étais pas forcément conscient du stress que je subissais (ou me créais) : environnement professionnel, familial, fatigue, et maladie elle-même etc … Bizarrement ça diminuait beaucoup pendant les vacances.
J’ai appris, avec le temps, à lâcher prise d’une manière générale et les symptômes ont bien diminué … Un détail : je suis passé du caleçon au boxer, ça évite le stress de la dernière goutte ... j'ai mes petits rituels, je me nettoie soigneusement le gland avant de dormir notamment (et ça marche bien !)
M'écoutant sur cette maladie, ma femme lui a donné un nom ridicule qui l’a un peu remise à sa place (la prostatite, hein) : “la pissotte”.
Alcool (20%)
oui, des effets, sans aucun doute. Les lendemains de fête les symptômes étaient/sont plus forts, certains alcools particulièrement impactants (champagne, rhum blanc, whisky), d’autres presque bénéfiques (la bière notamment, avec un effet de purge, ou du moins l’ai-je vécu comme ça). Bon après, l’alcool, ça relaxe, donc effet sur le stress, bien sûr … mais attention les effets secondaires si trop grande quantité !
Je me suis fixé quelques règles : pas d’alcool avant le jeudi, par exemple … pas (trop) d’excès…
Alimentation (10%)
Je n’ai pas noté de vrai gros déclencheur. J’ai changé quelques habitudes : passé du thé au café puis à la chicorée mais sans me prendre la tête et en revenant à l’un ou l’autre de temps en temps … J’évite autant que possible le piment fort (ça c’est assez radical, en revanche).
Inconnu (10%)
Et puis parfois : une crise. Aucun signe vraiment annonciateur. Dans les salles de spectacle, notamment, comme si je me projetais sur scène alors que je suis dans le public ! Un peu de pression et ça recommence. J’en ai pris mon parti. Je n’angoisse plus : je sais que ça repartira tout seul.
Mécanique musculaire (20%) - j'ai pas trouvé plus parlant ...
j’ai essayé pas mal de médications mais rien n’a fonctionné. En revanche je m’astreins à faire du gainage, principalement assis sur une chaise : monter les genoux puis étendre les jambes à l’équerre : c’est quasi miraculeux ! La planche aussi, etc.
Tout ce qui permet de retenir les viscères pour éviter que “ça appuie” sur la zone sensible. D'ailleurs quand c’est trop fort je saisis les viscères à travers la peau du ventre et essaie de les remonter. Ça peut bien soulager … Parfois aussi, le travail digestif peut aider. Une gène ? je machouille un bout de pain ou autre et souvent, ça passe …
Bref, aujourd’hui, je m’estime quasi-guéri. Je sais que ça peut revenir mais aussi que ça peut disparaitre. Il n’y a pas eu de grande révolution, j’ai juste constaté un jour que je n’avais plus eu de vraie crise depuis longtemps et qu’il fallait peut-être que je partage ça avec ceux qui galèrent comme j’ai pu galérer …
Voilà : et donc surtout, relaaax !
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Philippelo
Bonjour,
Je voulais à mon tour témoigner d’une guérison.
J’ai souffert d’une prostatite chronique pendant environ 10 ans, arrivée comme ça, sans événement particulier. 10 ans d’envies impérieuses, de gouttes retardataires, de stress, de déprime mais aussi de recherche… et puis ça va mieux.
J’ai lu et tenté comme tout le monde plein de recettes et méthodes … et je voulais faire part de celle qui a marché pour moi.
J’ai raisonné par pourcentage en me disant : qu'est-ce qui joue, en % sur la pénibilité de cette maladie ?
J’ai d’abord essayé d’en saisir les déclencheurs. J’avais lu que le stress, l’alcool, les exitants (caféine, théine), l’alimentation épicée étaient des amplificateurs de symptôme, sans vraiment y croire …
Avec le recul, je vois les choses comme ça (et c’est une perception totalement personnelle)
Stress (40%)
Oui, je l'ai longtemps nié mais l’aspect psychologique est très fort : il faut agir, d’une manière ou d’une autre sur le stress. La maladie se nourrit elle-même du stress qu’elle génère (t’es sûr que t’as pas envie de pisser, là ? sûr ?) … D’ailleurs rien que d’en parler … (!)
J’ai réalisé que je n’étais pas forcément conscient du stress que je subissais (ou me créais) : environnement professionnel, familial, fatigue, et maladie elle-même etc … Bizarrement ça diminuait beaucoup pendant les vacances.
J’ai appris, avec le temps, à lâcher prise d’une manière générale et les symptômes ont bien diminué … Un détail : je suis passé du caleçon au boxer, ça évite le stress de la dernière goutte ... j'ai mes petits rituels, je me nettoie soigneusement le gland avant de dormir notamment (et ça marche bien !)
M'écoutant sur cette maladie, ma femme lui a donné un nom ridicule qui l’a un peu remise à sa place (la prostatite, hein) : “la pissotte”.
Alcool (20%)
oui, des effets, sans aucun doute. Les lendemains de fête les symptômes étaient/sont plus forts, certains alcools particulièrement impactants (champagne, rhum blanc, whisky), d’autres presque bénéfiques (la bière notamment, avec un effet de purge, ou du moins l’ai-je vécu comme ça). Bon après, l’alcool, ça relaxe, donc effet sur le stress, bien sûr … mais attention les effets secondaires si trop grande quantité !
Je me suis fixé quelques règles : pas d’alcool avant le jeudi, par exemple … pas (trop) d’excès…
Alimentation (10%)
Je n’ai pas noté de vrai gros déclencheur. J’ai changé quelques habitudes : passé du thé au café puis à la chicorée mais sans me prendre la tête et en revenant à l’un ou l’autre de temps en temps … J’évite autant que possible le piment fort (ça c’est assez radical, en revanche).
Inconnu (10%)
Et puis parfois : une crise. Aucun signe vraiment annonciateur. Dans les salles de spectacle, notamment, comme si je me projetais sur scène alors que je suis dans le public ! Un peu de pression et ça recommence. J’en ai pris mon parti. Je n’angoisse plus : je sais que ça repartira tout seul.
Mécanique musculaire (20%) - j'ai pas trouvé plus parlant ...
j’ai essayé pas mal de médications mais rien n’a fonctionné. En revanche je m’astreins à faire du gainage, principalement assis sur une chaise : monter les genoux puis étendre les jambes à l’équerre : c’est quasi miraculeux ! La planche aussi, etc.
Tout ce qui permet de retenir les viscères pour éviter que “ça appuie” sur la zone sensible. D'ailleurs quand c’est trop fort je saisis les viscères à travers la peau du ventre et essaie de les remonter. Ça peut bien soulager … Parfois aussi, le travail digestif peut aider. Une gène ? je machouille un bout de pain ou autre et souvent, ça passe …
Bref, aujourd’hui, je m’estime quasi-guéri. Je sais que ça peut revenir mais aussi que ça peut disparaitre. Il n’y a pas eu de grande révolution, j’ai juste constaté un jour que je n’avais plus eu de vraie crise depuis longtemps et qu’il fallait peut-être que je partage ça avec ceux qui galèrent comme j’ai pu galérer …
Voilà : et donc surtout, relaaax !
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miguel1975
miguel1975
Dernière activité le 06/05/2023 à 10:29
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1 commentaire posté | 1 dans le forum Prostatite
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Ami
Miguel, 40 ans, Nantes avec une prostatite chronique depuis début 2015
Bonjour,
Tout d’abord merci d’avoir créé un blog pour cette maladie méconnue !
Pour ma part j’ai subi en début d’année une résection du col vésical (clapet à la sortie de la vessie) qui était trop rigide et déclenchait chez moi entre 10 à 15 mictions par jour.
Cette opération a eu lieu le 12 janvier 2015 et ensuite j’ai été sous traitement anti-inflammatoire pendant 1 mois et tout se passait bien, à l’arrêt de mon traitement j’ai constaté quelques jours après des brulures lorsque j’urinais et des douleurs dans les bourses et c’était le début de la galère !
J’ai été hospitalisé dans un 1er temps pour une prostatite aigue au mois de mars 2015 pendant 7 jours ou j’ai subi un traitement antibiotiques et antidouleurs ensuite retour à la maison avec un traitement de 2 mois sous antidouleurs et anti-inflammatoires par voie orale.
Pendant cette période la douleur a toujours été présente mais supportable, le gros inconvénient est une baisse de la libido et pendant les crises aigu et une éjaculation rétrograde.
Au mois de mai de retour une grise violente avec des douleurs pelviennes insupportable (j’avais stoppé mon traitement), je rappelle la clinique et je suis de nouveau hospitalisé et recommence un traitement par voie intraveineuse d’antibiotiques et d’antidouleurs pendant 5 jours. A ma sortie un traitement par voie oral m’attendait avec du Tramadol pour la gestion de la douleur, l’antibiotique Cefixine (Oroken) pour traiter le germe et du Seroplex soit disant pour « chinter » l’information à mon cerveau que j’ai mal et eux pendant une durée de 6 mois!
Ce dernier étant un antidépresseur je pense que mon Urologue n’a pas eu le courage de me dire qu’il souhaitait traité une éventuelle baisse de morale !
Pendant ce traitement les douleurs au niveau de la vessie et des bourses ne me quitte guère même si elles sont peu douloureuses !
Aujourd’hui je suis de nouveau à la clinique, encore une crise !
Rebelote je suis de nouveau sous traitement antibiotiques et antidouleurs, 4 jours d’hospitalisation (Septembre 2015) car le traitement est par voie intraveineuse !
On va me poser un cathéter veineux par voie centrale avec une pompe afin de pouvoir me traiter sous antibiotique « Tienam » pendant un mois et bien entendu je continu mon traitement par voie oral d’antidouleur « Tramadol ».
D’autre part j’ai pris RDV dans un centre antidouleurs à Nantes (4 mois d’attente), j’ai RDV le 21 octobre 2015, j’espère qu’ils auront un traitement efficace à me proposer !
Cette maladie est compliqué car mal connu par mon entourage et cela ne se voit pas alors si physiquement je présente bien pour eux tout va bien !
C’est pourtant pas le cas, je suis fatigué et depuis le début de mon traitement en Mars il m’est difficile de tenir éveiller des longues journées et il faut que je tienne car je suis Cadre dans l’industrie et mes clients commence à dire « Il est encore en arrêt ».
Et oui même si je fais tout pour limiter mes absences au travail j’ai été obligé de stopper mon activité pendant mes hospitalisations et 3 semaines après l’hospitalisation du mois de mars car j’étais très fatigué !
Mon patron est compréhensible mais va-t-il accepter cette situation pendant plusieurs mois ou plusieurs années je le crains !
Moi je ne tiendrais pas pendant plusieurs années, je veux retrouver ma vie d’avant avec une libido épanoui, un bon moral et surtout plus de douleurs !
Si des personnes vivent ou ont vécu la même situation je serais heureux de partager un moment d’échange avec eux.
Miguel