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Patients Prostatite
Une prostatite chronique depuis janvier 2015
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tawan77
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tawan77
Dernière activité le 28/09/2024 à 11:35
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Alors il est arrivé le plus souvent souvent qu'on ne retrouve pas de germes. Car l'examen le plus souvent prescrit était l'ECBU. ce qui a été mis en avant très souvent était la présence de leucocytes par contre.
Donc j'ai eu nombre de traitement "à l'aveugle' en fait.
Certains ont été complètement inutile, d'autres ont fonctionné. C'est pour ca que je t'invite à discuter avec ton docteur pour un traitement antibio avec un spectre bien large.
Sur toutes les années ou j'étais embeté, on m'a retrouvé plusieurs germes. Le premier épisode était un gonocoque. Par la suite, j'ai eu un streptocoque. qui a été retrouvé par prélèvement urethral.
Plusieurs docteurs pensaient que j'avais une prostatite non bactérienne, et pensaient les antibio inutile. Mais finalement, c'est le traitement antibiotique qui m'a délivré des symptomes.
ericlapro
ericlapro
Dernière activité le 08/11/2020 à 12:00
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Bonjour à tous, avez-vous médecin / urologue / infectiologue qui serait calé sur ce sujet à recommander en région parisienne ? J'ai vu plusieurs urologues qui semblaient ne pas avoir de solution et dire que les douleurs étaient dans ma tête
Merci
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Mangoul
Mangoul
Dernière activité le 13/09/2024 à 00:44
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@ericlapro c’est incroyable ils disent tous ça … faudrait qu’ils soient sanctionnés c’est irresponsables ce qu’ils font.
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axgtline
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axgtline
Dernière activité le 13/04/2024 à 19:06
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Bonsoir à tous je viens vous donner mon témoignage.
Depuis Juin 2019 j'ai eu des symptômes pendant des mois: gêne apres miction, brûlures uretrales intenses, douleurs lancinantes à la prostate,, sensation de balle de golf, léger écoulement transparent...
J'ai consulter plusieurs médecins, 3 urologues, 1 infectiologue tellement j'étais désespéré.
J'ai fait de très nombreux tests, prise de sang, ecbu, spermogrammes, prélèvement urétral... jamais rien n'est ressorti a part cocci a gram + sur ECBU.
Ce qui m'a délivré c'est d'être aller voir un infectiologue à qui m'a refait tous les tests déjà réalisés mais toujours négatifs, du coup j'ai insister lourdement pour faire le test de Stamey a Paris.
Résultat : prostatite bactérienne a Streptocoque B.
Je vous cache pas ma joie d'avoir trouver la cause de mes douleurs après des mois de souffrances physiques et psychologiques.
Pour mes traitements j'ai eu 25 jours de Levofloxacine par le premier Urologue que j'avais consulter mais les douleurs sont revenues à la fin du traitement mais un peu moins intenses, l'infectiologue m'a mis sous Bactrim pendant 2 semaines (j'en ai pris pendant 5) et j'ai pris 2 semaines d'Amoxicilline.
Grâce au test de Stamey avec l'antibiogramme, le Streptocoque B était sensible aux trois antibiotiques que j'ai pris en fait, le plus préconisé étant l'Amoxicilline mais qui n'avait pas un trop bonne diffusion prostatique.
Il faut savoir que les Antibios qui pénètrent le mieux dans la prostate sont en premier les quinolones (Levofloxacine) et en 2e le Bactrim.
Aujourd'hui je suis revenu comme avant plus aucune douleurs mais c'est parti progressivement jusqu'à ne plus rien avoir.
Je peux vous dire que ce sont les 10 semaines d'antibios qui.mon guérie et ca a durer quasiment 8 mois ce cauchemar.
Demandez à faire un test de Stamey !!!
axgtline
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axgtline
Dernière activité le 13/04/2024 à 19:06
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J'ai oublier de dire que j'avais eu Azytromicine et Cerftriaxone lors d'un passage aux urgences aux début de mes symptômes pour suspicion d'IST suite à des brûlures uretrales horribles et douleurs testiculaires, le traitement m'avait soulager sur le coup mais les symptômes sont revenus aussi vite.
Momo1414
Momo1414
Dernière activité le 03/02/2021 à 20:30
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Salut axgtline
je suis content pour toi et ton témoignage donne du reconfort !!
comment se passe cet examen ?
et tu l’as fait ou exactement ?
tu as eu une tri therapie d’antibio en meme temps ?
10 semaines d’antibio repartie comment ?
et tu dis arret des symptômes progressivement donc pas tout de suite a l’arret des traitement ?
avais tu des gouttes retardataire ? Faible jet ?
merci d’avance pour ta reponse
Prostatite51
Prostatite51
Dernière activité le 30/11/2023 à 22:44
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Bonjour la communauté
Je me retrouve dans certaines de vos publications.
Il y a 2 mois environs lors d un rapport ma capote à craquer. Ma partenaire avait de grosse perte blanche et avait une mycose.
Depuis j'ai des ejaculations précoces qui dure 10 sec ( se n est pas psychologique sa m est jamais arrivé comme sa à long terme) . Uretre qui brule et gratte legerement. Suite à sa je suis partie à un centre de depistage qui m ont fait les test mst et avant d avoir les resultats j'ai eu Azytromicine 4 comprimé en 1 fois. Les test sont revenus negatifs. Et le probleme c est pas réglé. ensuite j ai eu de la doxycline 2 comprimé par jour pendant 15 j. Les symptome d uretre qui brule et qui gratte ont disparu par contre mon état c est empiré. Maintenant j ai des douleurs horrible en bas du ventre (vessie ou prostate)24h24 + douleur testiculaire. L ejaculation precoce est toujour la. Je vais souvent au toilette meme pour quelques gouttes et sa me brule apres avoir uriné en bas du ventre + testicule mais pas a l'uretre.en plus les antibio m ont donné des candidas albicans analysé sur des selles et depuis je suis en traitement pour sa. Je suis retourné faire des test d urine + mst + sanguin toujours negatif.le medecin generaliste ne veut rien faire pour moi. Un urologue m a prescrit encore de Azytromicine + Cerftriaxone . J ai pas encore pris se traitement car j ai des doutes sur l efficacité en sachant que l Azytromicine n a pas marché la 1e fois. J ai insisté pour avoir un autre traitement mais il ne veut rien entendre. J ai peur de trainer sa lontemps en vu des mauvais choix d antibiotique qu on me donne alors que j ai le candida albican a cause de sa. Je suis vraiment perdu.... si vous pouvez me conseiller et m aider svp.
Prostatite51
Prostatite51
Dernière activité le 30/11/2023 à 22:44
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Ah oui et petite précision l'année derniere j avais une petite uretrite qui avait très bien été traité avec de la doxycline 2 fois/j pendant 15 j et sa avait marché super. Ensuite l urologue m a donné Cerftriaxone (500mg en piqure) par securité pour tout éradiqué mais sa n a servi a rien au contraire sa a flinguer mon transit intestinal. D ou ma reticence de reprendre la Cerftriaxone et Azytromicine( que j ai eu a plusieurs reprise y a plusieurs années pour des chlamedia mais qui ont été traité)...
axgtline
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axgtline
Dernière activité le 13/04/2024 à 19:06
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@Momo1414 Le test se fait à l'institut Fournier à Paris, ils sont spécialisés dans les maladies sexuellement transmissibles.
Pour le test a proprement parler, j'ai fait pipi dans un premier flacon (1er jet), ensuite j'ai rempli un deuxième flacon (milieu jet), ensuite le docteur fait un massage de la prostate assez énergique pendant 45s/1min ( position debout pencher en avant) tout en maintenant le flacon au dessous du gland pour récupérer le fluide prostatique (on sent bien que ça sort de la prostate car ça pique un peu dans l'urètre) mais pas de goutte dans mon cas, après le massage j'ai refait pipi dans le même flacon pour que l'urine balaye le liquide prostatique dans l'urètre.
Momo1414
Momo1414
Dernière activité le 03/02/2021 à 20:30
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@axgtline merci pour ta reponse
c’est pris en charge par la secu ?
moi je l’ai fait avec Dr Saada a Paris si sa parle a certains ici
tu as refait un test pour voir si tu avais éliminé le germe ?
tawan77
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tawan77
Dernière activité le 28/09/2024 à 11:35
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Salut a tous,
J'ai fait un test de stamey vendredi dernier. Il y a pas été de main morte sur le massage de la prostate . Mais bon, c'est un passage obligatoire pour prélever des secrétions prostatique
j’attends les résultats mais pour le moment je pense etre tiré d'affaire. J'ai arrêté les antibiotiques le 22 mai et j'ai l'impression qu'il n'y a pas de ré-infection.
Les douleurs résiduelles partent mais un peu comme @axgtline , de manière très progressive cette fois. (Par le passé c'était beaucoup plus rapide)
Je continue quelques compléments alimentaire qui semblent apporter une bonne aide :
- poudre d'ortie
-quercetine
- EPP (extrait de pepins de pamplemousse)
- vitamine C, 1-2G par jour pour acidifier les urines (les bactéries n'aiment pas les urines acides et prolifèrent plus facilement dans les urines alcaline)
- extrait d'ail (anti infectieux naturel)
- prébiotique pour retrouver une flore intestinale correcte
C'est chiant ces épisodes de prostatite... J'ai la chance d'en venir à bout presque à chaque fois mais au prix de long traitements.
Je vais re-consulter et voir si l'urologue serait OK pour me faire une résection de prostate si il pense que ca peux aider en tout cas... Le but serait d'éliminer un facteur favorisant les épisodes infectieux.
Bonne journée
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Philippelo
Bonjour,
Je voulais à mon tour témoigner d’une guérison.
J’ai souffert d’une prostatite chronique pendant environ 10 ans, arrivée comme ça, sans événement particulier. 10 ans d’envies impérieuses, de gouttes retardataires, de stress, de déprime mais aussi de recherche… et puis ça va mieux.
J’ai lu et tenté comme tout le monde plein de recettes et méthodes … et je voulais faire part de celle qui a marché pour moi.
J’ai raisonné par pourcentage en me disant : qu'est-ce qui joue, en % sur la pénibilité de cette maladie ?
J’ai d’abord essayé d’en saisir les déclencheurs. J’avais lu que le stress, l’alcool, les exitants (caféine, théine), l’alimentation épicée étaient des amplificateurs de symptôme, sans vraiment y croire …
Avec le recul, je vois les choses comme ça (et c’est une perception totalement personnelle)
Stress (40%)
Oui, je l'ai longtemps nié mais l’aspect psychologique est très fort : il faut agir, d’une manière ou d’une autre sur le stress. La maladie se nourrit elle-même du stress qu’elle génère (t’es sûr que t’as pas envie de pisser, là ? sûr ?) … D’ailleurs rien que d’en parler … (!)
J’ai réalisé que je n’étais pas forcément conscient du stress que je subissais (ou me créais) : environnement professionnel, familial, fatigue, et maladie elle-même etc … Bizarrement ça diminuait beaucoup pendant les vacances.
J’ai appris, avec le temps, à lâcher prise d’une manière générale et les symptômes ont bien diminué … Un détail : je suis passé du caleçon au boxer, ça évite le stress de la dernière goutte ... j'ai mes petits rituels, je me nettoie soigneusement le gland avant de dormir notamment (et ça marche bien !)
M'écoutant sur cette maladie, ma femme lui a donné un nom ridicule qui l’a un peu remise à sa place (la prostatite, hein) : “la pissotte”.
Alcool (20%)
oui, des effets, sans aucun doute. Les lendemains de fête les symptômes étaient/sont plus forts, certains alcools particulièrement impactants (champagne, rhum blanc, whisky), d’autres presque bénéfiques (la bière notamment, avec un effet de purge, ou du moins l’ai-je vécu comme ça). Bon après, l’alcool, ça relaxe, donc effet sur le stress, bien sûr … mais attention les effets secondaires si trop grande quantité !
Je me suis fixé quelques règles : pas d’alcool avant le jeudi, par exemple … pas (trop) d’excès…
Alimentation (10%)
Je n’ai pas noté de vrai gros déclencheur. J’ai changé quelques habitudes : passé du thé au café puis à la chicorée mais sans me prendre la tête et en revenant à l’un ou l’autre de temps en temps … J’évite autant que possible le piment fort (ça c’est assez radical, en revanche).
Inconnu (10%)
Et puis parfois : une crise. Aucun signe vraiment annonciateur. Dans les salles de spectacle, notamment, comme si je me projetais sur scène alors que je suis dans le public ! Un peu de pression et ça recommence. J’en ai pris mon parti. Je n’angoisse plus : je sais que ça repartira tout seul.
Mécanique musculaire (20%) - j'ai pas trouvé plus parlant ...
j’ai essayé pas mal de médications mais rien n’a fonctionné. En revanche je m’astreins à faire du gainage, principalement assis sur une chaise : monter les genoux puis étendre les jambes à l’équerre : c’est quasi miraculeux ! La planche aussi, etc.
Tout ce qui permet de retenir les viscères pour éviter que “ça appuie” sur la zone sensible. D'ailleurs quand c’est trop fort je saisis les viscères à travers la peau du ventre et essaie de les remonter. Ça peut bien soulager … Parfois aussi, le travail digestif peut aider. Une gène ? je machouille un bout de pain ou autre et souvent, ça passe …
Bref, aujourd’hui, je m’estime quasi-guéri. Je sais que ça peut revenir mais aussi que ça peut disparaitre. Il n’y a pas eu de grande révolution, j’ai juste constaté un jour que je n’avais plus eu de vraie crise depuis longtemps et qu’il fallait peut-être que je partage ça avec ceux qui galèrent comme j’ai pu galérer …
Voilà : et donc surtout, relaaax !
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Philippelo
Bonjour,
Je voulais à mon tour témoigner d’une guérison.
J’ai souffert d’une prostatite chronique pendant environ 10 ans, arrivée comme ça, sans événement particulier. 10 ans d’envies impérieuses, de gouttes retardataires, de stress, de déprime mais aussi de recherche… et puis ça va mieux.
J’ai lu et tenté comme tout le monde plein de recettes et méthodes … et je voulais faire part de celle qui a marché pour moi.
J’ai raisonné par pourcentage en me disant : qu'est-ce qui joue, en % sur la pénibilité de cette maladie ?
J’ai d’abord essayé d’en saisir les déclencheurs. J’avais lu que le stress, l’alcool, les exitants (caféine, théine), l’alimentation épicée étaient des amplificateurs de symptôme, sans vraiment y croire …
Avec le recul, je vois les choses comme ça (et c’est une perception totalement personnelle)
Stress (40%)
Oui, je l'ai longtemps nié mais l’aspect psychologique est très fort : il faut agir, d’une manière ou d’une autre sur le stress. La maladie se nourrit elle-même du stress qu’elle génère (t’es sûr que t’as pas envie de pisser, là ? sûr ?) … D’ailleurs rien que d’en parler … (!)
J’ai réalisé que je n’étais pas forcément conscient du stress que je subissais (ou me créais) : environnement professionnel, familial, fatigue, et maladie elle-même etc … Bizarrement ça diminuait beaucoup pendant les vacances.
J’ai appris, avec le temps, à lâcher prise d’une manière générale et les symptômes ont bien diminué … Un détail : je suis passé du caleçon au boxer, ça évite le stress de la dernière goutte ... j'ai mes petits rituels, je me nettoie soigneusement le gland avant de dormir notamment (et ça marche bien !)
M'écoutant sur cette maladie, ma femme lui a donné un nom ridicule qui l’a un peu remise à sa place (la prostatite, hein) : “la pissotte”.
Alcool (20%)
oui, des effets, sans aucun doute. Les lendemains de fête les symptômes étaient/sont plus forts, certains alcools particulièrement impactants (champagne, rhum blanc, whisky), d’autres presque bénéfiques (la bière notamment, avec un effet de purge, ou du moins l’ai-je vécu comme ça). Bon après, l’alcool, ça relaxe, donc effet sur le stress, bien sûr … mais attention les effets secondaires si trop grande quantité !
Je me suis fixé quelques règles : pas d’alcool avant le jeudi, par exemple … pas (trop) d’excès…
Alimentation (10%)
Je n’ai pas noté de vrai gros déclencheur. J’ai changé quelques habitudes : passé du thé au café puis à la chicorée mais sans me prendre la tête et en revenant à l’un ou l’autre de temps en temps … J’évite autant que possible le piment fort (ça c’est assez radical, en revanche).
Inconnu (10%)
Et puis parfois : une crise. Aucun signe vraiment annonciateur. Dans les salles de spectacle, notamment, comme si je me projetais sur scène alors que je suis dans le public ! Un peu de pression et ça recommence. J’en ai pris mon parti. Je n’angoisse plus : je sais que ça repartira tout seul.
Mécanique musculaire (20%) - j'ai pas trouvé plus parlant ...
j’ai essayé pas mal de médications mais rien n’a fonctionné. En revanche je m’astreins à faire du gainage, principalement assis sur une chaise : monter les genoux puis étendre les jambes à l’équerre : c’est quasi miraculeux ! La planche aussi, etc.
Tout ce qui permet de retenir les viscères pour éviter que “ça appuie” sur la zone sensible. D'ailleurs quand c’est trop fort je saisis les viscères à travers la peau du ventre et essaie de les remonter. Ça peut bien soulager … Parfois aussi, le travail digestif peut aider. Une gène ? je machouille un bout de pain ou autre et souvent, ça passe …
Bref, aujourd’hui, je m’estime quasi-guéri. Je sais que ça peut revenir mais aussi que ça peut disparaitre. Il n’y a pas eu de grande révolution, j’ai juste constaté un jour que je n’avais plus eu de vraie crise depuis longtemps et qu’il fallait peut-être que je partage ça avec ceux qui galèrent comme j’ai pu galérer …
Voilà : et donc surtout, relaaax !
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miguel1975
miguel1975
Dernière activité le 06/05/2023 à 10:29
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Ami
Miguel, 40 ans, Nantes avec une prostatite chronique depuis début 2015
Bonjour,
Tout d’abord merci d’avoir créé un blog pour cette maladie méconnue !
Pour ma part j’ai subi en début d’année une résection du col vésical (clapet à la sortie de la vessie) qui était trop rigide et déclenchait chez moi entre 10 à 15 mictions par jour.
Cette opération a eu lieu le 12 janvier 2015 et ensuite j’ai été sous traitement anti-inflammatoire pendant 1 mois et tout se passait bien, à l’arrêt de mon traitement j’ai constaté quelques jours après des brulures lorsque j’urinais et des douleurs dans les bourses et c’était le début de la galère !
J’ai été hospitalisé dans un 1er temps pour une prostatite aigue au mois de mars 2015 pendant 7 jours ou j’ai subi un traitement antibiotiques et antidouleurs ensuite retour à la maison avec un traitement de 2 mois sous antidouleurs et anti-inflammatoires par voie orale.
Pendant cette période la douleur a toujours été présente mais supportable, le gros inconvénient est une baisse de la libido et pendant les crises aigu et une éjaculation rétrograde.
Au mois de mai de retour une grise violente avec des douleurs pelviennes insupportable (j’avais stoppé mon traitement), je rappelle la clinique et je suis de nouveau hospitalisé et recommence un traitement par voie intraveineuse d’antibiotiques et d’antidouleurs pendant 5 jours. A ma sortie un traitement par voie oral m’attendait avec du Tramadol pour la gestion de la douleur, l’antibiotique Cefixine (Oroken) pour traiter le germe et du Seroplex soit disant pour « chinter » l’information à mon cerveau que j’ai mal et eux pendant une durée de 6 mois!
Ce dernier étant un antidépresseur je pense que mon Urologue n’a pas eu le courage de me dire qu’il souhaitait traité une éventuelle baisse de morale !
Pendant ce traitement les douleurs au niveau de la vessie et des bourses ne me quitte guère même si elles sont peu douloureuses !
Aujourd’hui je suis de nouveau à la clinique, encore une crise !
Rebelote je suis de nouveau sous traitement antibiotiques et antidouleurs, 4 jours d’hospitalisation (Septembre 2015) car le traitement est par voie intraveineuse !
On va me poser un cathéter veineux par voie centrale avec une pompe afin de pouvoir me traiter sous antibiotique « Tienam » pendant un mois et bien entendu je continu mon traitement par voie oral d’antidouleur « Tramadol ».
D’autre part j’ai pris RDV dans un centre antidouleurs à Nantes (4 mois d’attente), j’ai RDV le 21 octobre 2015, j’espère qu’ils auront un traitement efficace à me proposer !
Cette maladie est compliqué car mal connu par mon entourage et cela ne se voit pas alors si physiquement je présente bien pour eux tout va bien !
C’est pourtant pas le cas, je suis fatigué et depuis le début de mon traitement en Mars il m’est difficile de tenir éveiller des longues journées et il faut que je tienne car je suis Cadre dans l’industrie et mes clients commence à dire « Il est encore en arrêt ».
Et oui même si je fais tout pour limiter mes absences au travail j’ai été obligé de stopper mon activité pendant mes hospitalisations et 3 semaines après l’hospitalisation du mois de mars car j’étais très fatigué !
Mon patron est compréhensible mais va-t-il accepter cette situation pendant plusieurs mois ou plusieurs années je le crains !
Moi je ne tiendrais pas pendant plusieurs années, je veux retrouver ma vie d’avant avec une libido épanoui, un bon moral et surtout plus de douleurs !
Si des personnes vivent ou ont vécu la même situation je serais heureux de partager un moment d’échange avec eux.
Miguel