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Patients Prostatite
Une prostatite chronique depuis janvier 2015
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Luminessence0088
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Luminessence0088
Dernière activité le 27/01/2024 à 14:54
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Salut tout le monde,
L'ami @tawan77 j'ai suivi ton conseil mais ça n'a pas fonctionné sur moi :( au contraire. Je demande a mon medecin de me prescrire donc du Rocephine en piqure, etant donné que l'oroken avait fonctionné sur moi, et la prosatite est revenue en force ... dès la première piqûre j'ai ressenti des douleurs à la prostate, puis le lendemain fièvre et grosse douleurs j'ai donc arreté les injections. Je ne comprends pas trop comment c'est possible qu'un anti bio me redéclanche cela... mais bon tant pis, rebelote avec du Ciflox (que je ne vais pas prendre très longtemps car trop destructeur)
J'ai vu que l'association Doxycycline et Oroken pouvaient ensemble être un bon rempart aux infections..
fonnet
fonnet
Dernière activité le 11/11/2020 à 14:05
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Bonjour à tous, @Luminessence0088 j'ai toujours eu comme info des urologues que l'Oroken n'était pas adapté à la prostatite car il ne pénètre pas suffisamment l'organe. Je suis surpris de lire que des urologues ont pu prescrire cet antibiotiques à des personnes de ce fil de discussion. Concernant la Rocéphine, attention à la Lidocaïne qui est le solvant fourni avec la forme intramusculaire. En effet, la Lidocaïne peut avoir des effets secondaires importants et qui n'ont rien à voir avec ceux de la Rocéphine. Les urologues qui travaille surtout à l'hôpital ou en clinique n'y pensent pas, car il pratique la Rocéphine en intraveineux et il n'y a pas de solvant (et donc de Lidocaïne) dans cette utilisation.
axgtline
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axgtline
Dernière activité le 13/04/2024 à 19:06
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Bonjour à tous, petit rappel pour moi en essayant de faire court, donc j'ai choppe une prostatite qui a traînée environ 6 mois depuis l'été dernier suite a un rapport non protégé, douleurs lancinantes à la prostate et douleurs vives à l'urètre (brûlures, gênes résiduelles...)
Apres de multiples rdv urologues, médecins et d'innombrables tests, la seule chose qui est ressorti c'est "cocci a gram+" mais sans déterminer exactement le germe, je vais voir un infectiologue a bordeaux en.me disant que.j'en ai trop marre je vais pas rester comme ça tte ma vie, je lui fait prescrire un massage prostatique à l'Institut Fournier a Paris, bilan : prostatite bacterienne à Streptocoques B ( qui correspond bien au cocci a gram + trouve précédemment).
J'ai de la chance ils font en même temps un antibiogrammes et le germes est sensible a de nombreux antibios... Dont le Bactrim qui pénètre très bien dans la prostate, l'idéal étant l'amoxicilline (augmentin) pour ce germre mais qui pénètre moins bien.
L'infectiologue me prescrit 15 jours de Bactrim, (j'en prends pendant 45 jours, après je prends 15 jours d'augmentin de ma propre initiative).
Je.n'ai plus rien depuis plusieurs mois, tout est redevenu comme avant.
Cdtl.
Luminessence0088
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Luminessence0088
Dernière activité le 27/01/2024 à 14:54
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Ah voilà une piste fort intéressante... Merci @fonnet
Et merci pour ta success story @axgtline , c'est très rassurant.
voici d'autres success story de personnes ayant réussi à battre la prostatite. Si vous n’êtes pas anglophone, faites clic droit -> traduire la page en francais : http://forum.prostatitis.org/viewtopic.php?f=2&t=2080
également voici un livre en ligne que j'ai acheté et que je partage avec vous à ce même sujet : https://lire.amazon.fr/?asin=B007B08MYS
Luminessence0088
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Luminessence0088
Dernière activité le 27/01/2024 à 14:54
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j'ai traduis le livre en français, c'est essentiellement basé votre groupe sanguin et son rapport à la nutrition, je n’avais vu cette hypothèse nul part,
je ne sais pas ce que ça vaut :
https://www.dropbox.com/s/s04b1bzduyn2yed/prostate-fr.docx?dl=0
Momo1414
Momo1414
Dernière activité le 03/02/2021 à 20:30
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Salut @axgtline
ton experience donne espoire !
je t’ai peut etre deja demander mais peux tu me redire quels étaient tes symptomes ?
cordialement
Baba27
Baba27
Dernière activité le 24/09/2020 à 12:53
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Bonjour et merci beaucoup pour vos messages. Je me retrouve un peu dans vos témoignages. J'ai 34 ans et au mois de janvier j'ai eu des grosses douleurs dans la vessie, dans l'urètre et parfois sur les côtés en bas du dos. Mon jet urinaire était lent et faible parfois il s'arrêtait en court de miction et ça me brûlait dans l'urètre (c'était très douloureux). J'ai étais voir mon médecin généraliste et il m'a fait faire une ecbu. Leucocytes un peu élevés mais pas de germes. Mon médecin m'a prescrit Ofloxacine 2 comprimés par jours pendant une semaine et du doliprane. Ça m'a soulagé mais mon jet urinaire était toujours faible. Au mois de février le retour des mêmes douleurs. Ecbu négatif. Ofloxacine pendant 1 semaine. Soulagement mais jet urinaire toujours faible. Au mois de mars, retour des douleurs. Mais là je me décide d'aller aux urgences. ECBU négatifs, prise de sang rien. Je repars avec une échographie de la prostate à passer. Je vais voir mon médecin. Diclofenac sodique (anti inflammatoire) 1 comprimé par jours pendant 6 jours, Ofloxacine 1 comprimé par jours pendant 2 semaines, Dutasteride (Avodart) 1 capsule par jours pendant 1 mois. Un rendez vous avec un urologue à prendre. Résultats de l'échographie. Prostate de 32 cc. Calcifications paramediane gauche évoquant une séquelle de prostatite mais pas récente. Pas de résidu vésicale postmictionnel. Mon rendez vous avec l'urologue a été reporté à cause du Covid19 car pas urgent d'après l'urologue. Nous sommes au mois de septembre j'ai rendez vous à la fin du mois. Depuis le mois de mars que j'attends le rendez vous. Je n'ai pas eu depuis de grosses douleurs. Ma vessie ne me fait plus mal par contre après chaque miction ou ejaculation ça me brûle un peu au niveaux du méat et dans l'urètre mais c'est supportable. Mon jet est toujours un peu lent. Voilà merci de m'avoir lu dans mon aventure 😉
Baba27
Baba27
Dernière activité le 24/09/2020 à 12:53
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Est ce que quelqu'un sait si une prostate mesurée à 32 cc par échographie sus pubienne est une grosse prostate ou dans la normalité ?
Est ce qu'une urétrite peut occasionner un jet urinaire faible ?
Merci.
Eztry5
Eztry5
Dernière activité le 21/06/2024 à 15:44
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@Baba27 cela dépend de ton âge.
Plus tu es vieux plus ta prostate prend du volume.
Moi par exemple elle fait 14cc (j’ai 21 ans) donc si tu as entre 20 et 40 ans et une prostate de 32cc, je ne pense pas que ça soit normal après je ne suis pas médecin aha.
Et moi même j’ai eu une urétrite et je n’avais pas un jet faible mais uniquement des brûlures en urinant.
Baba27
Baba27
Dernière activité le 24/09/2020 à 12:53
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@Eztry5 Merci bien. De toute manière j'en saurais plus avec l'urologue.
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Philippelo
Bonjour,
Je voulais à mon tour témoigner d’une guérison.
J’ai souffert d’une prostatite chronique pendant environ 10 ans, arrivée comme ça, sans événement particulier. 10 ans d’envies impérieuses, de gouttes retardataires, de stress, de déprime mais aussi de recherche… et puis ça va mieux.
J’ai lu et tenté comme tout le monde plein de recettes et méthodes … et je voulais faire part de celle qui a marché pour moi.
J’ai raisonné par pourcentage en me disant : qu'est-ce qui joue, en % sur la pénibilité de cette maladie ?
J’ai d’abord essayé d’en saisir les déclencheurs. J’avais lu que le stress, l’alcool, les exitants (caféine, théine), l’alimentation épicée étaient des amplificateurs de symptôme, sans vraiment y croire …
Avec le recul, je vois les choses comme ça (et c’est une perception totalement personnelle)
Stress (40%)
Oui, je l'ai longtemps nié mais l’aspect psychologique est très fort : il faut agir, d’une manière ou d’une autre sur le stress. La maladie se nourrit elle-même du stress qu’elle génère (t’es sûr que t’as pas envie de pisser, là ? sûr ?) … D’ailleurs rien que d’en parler … (!)
J’ai réalisé que je n’étais pas forcément conscient du stress que je subissais (ou me créais) : environnement professionnel, familial, fatigue, et maladie elle-même etc … Bizarrement ça diminuait beaucoup pendant les vacances.
J’ai appris, avec le temps, à lâcher prise d’une manière générale et les symptômes ont bien diminué … Un détail : je suis passé du caleçon au boxer, ça évite le stress de la dernière goutte ... j'ai mes petits rituels, je me nettoie soigneusement le gland avant de dormir notamment (et ça marche bien !)
M'écoutant sur cette maladie, ma femme lui a donné un nom ridicule qui l’a un peu remise à sa place (la prostatite, hein) : “la pissotte”.
Alcool (20%)
oui, des effets, sans aucun doute. Les lendemains de fête les symptômes étaient/sont plus forts, certains alcools particulièrement impactants (champagne, rhum blanc, whisky), d’autres presque bénéfiques (la bière notamment, avec un effet de purge, ou du moins l’ai-je vécu comme ça). Bon après, l’alcool, ça relaxe, donc effet sur le stress, bien sûr … mais attention les effets secondaires si trop grande quantité !
Je me suis fixé quelques règles : pas d’alcool avant le jeudi, par exemple … pas (trop) d’excès…
Alimentation (10%)
Je n’ai pas noté de vrai gros déclencheur. J’ai changé quelques habitudes : passé du thé au café puis à la chicorée mais sans me prendre la tête et en revenant à l’un ou l’autre de temps en temps … J’évite autant que possible le piment fort (ça c’est assez radical, en revanche).
Inconnu (10%)
Et puis parfois : une crise. Aucun signe vraiment annonciateur. Dans les salles de spectacle, notamment, comme si je me projetais sur scène alors que je suis dans le public ! Un peu de pression et ça recommence. J’en ai pris mon parti. Je n’angoisse plus : je sais que ça repartira tout seul.
Mécanique musculaire (20%) - j'ai pas trouvé plus parlant ...
j’ai essayé pas mal de médications mais rien n’a fonctionné. En revanche je m’astreins à faire du gainage, principalement assis sur une chaise : monter les genoux puis étendre les jambes à l’équerre : c’est quasi miraculeux ! La planche aussi, etc.
Tout ce qui permet de retenir les viscères pour éviter que “ça appuie” sur la zone sensible. D'ailleurs quand c’est trop fort je saisis les viscères à travers la peau du ventre et essaie de les remonter. Ça peut bien soulager … Parfois aussi, le travail digestif peut aider. Une gène ? je machouille un bout de pain ou autre et souvent, ça passe …
Bref, aujourd’hui, je m’estime quasi-guéri. Je sais que ça peut revenir mais aussi que ça peut disparaitre. Il n’y a pas eu de grande révolution, j’ai juste constaté un jour que je n’avais plus eu de vraie crise depuis longtemps et qu’il fallait peut-être que je partage ça avec ceux qui galèrent comme j’ai pu galérer …
Voilà : et donc surtout, relaaax !
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Philippelo
Bonjour,
Je voulais à mon tour témoigner d’une guérison.
J’ai souffert d’une prostatite chronique pendant environ 10 ans, arrivée comme ça, sans événement particulier. 10 ans d’envies impérieuses, de gouttes retardataires, de stress, de déprime mais aussi de recherche… et puis ça va mieux.
J’ai lu et tenté comme tout le monde plein de recettes et méthodes … et je voulais faire part de celle qui a marché pour moi.
J’ai raisonné par pourcentage en me disant : qu'est-ce qui joue, en % sur la pénibilité de cette maladie ?
J’ai d’abord essayé d’en saisir les déclencheurs. J’avais lu que le stress, l’alcool, les exitants (caféine, théine), l’alimentation épicée étaient des amplificateurs de symptôme, sans vraiment y croire …
Avec le recul, je vois les choses comme ça (et c’est une perception totalement personnelle)
Stress (40%)
Oui, je l'ai longtemps nié mais l’aspect psychologique est très fort : il faut agir, d’une manière ou d’une autre sur le stress. La maladie se nourrit elle-même du stress qu’elle génère (t’es sûr que t’as pas envie de pisser, là ? sûr ?) … D’ailleurs rien que d’en parler … (!)
J’ai réalisé que je n’étais pas forcément conscient du stress que je subissais (ou me créais) : environnement professionnel, familial, fatigue, et maladie elle-même etc … Bizarrement ça diminuait beaucoup pendant les vacances.
J’ai appris, avec le temps, à lâcher prise d’une manière générale et les symptômes ont bien diminué … Un détail : je suis passé du caleçon au boxer, ça évite le stress de la dernière goutte ... j'ai mes petits rituels, je me nettoie soigneusement le gland avant de dormir notamment (et ça marche bien !)
M'écoutant sur cette maladie, ma femme lui a donné un nom ridicule qui l’a un peu remise à sa place (la prostatite, hein) : “la pissotte”.
Alcool (20%)
oui, des effets, sans aucun doute. Les lendemains de fête les symptômes étaient/sont plus forts, certains alcools particulièrement impactants (champagne, rhum blanc, whisky), d’autres presque bénéfiques (la bière notamment, avec un effet de purge, ou du moins l’ai-je vécu comme ça). Bon après, l’alcool, ça relaxe, donc effet sur le stress, bien sûr … mais attention les effets secondaires si trop grande quantité !
Je me suis fixé quelques règles : pas d’alcool avant le jeudi, par exemple … pas (trop) d’excès…
Alimentation (10%)
Je n’ai pas noté de vrai gros déclencheur. J’ai changé quelques habitudes : passé du thé au café puis à la chicorée mais sans me prendre la tête et en revenant à l’un ou l’autre de temps en temps … J’évite autant que possible le piment fort (ça c’est assez radical, en revanche).
Inconnu (10%)
Et puis parfois : une crise. Aucun signe vraiment annonciateur. Dans les salles de spectacle, notamment, comme si je me projetais sur scène alors que je suis dans le public ! Un peu de pression et ça recommence. J’en ai pris mon parti. Je n’angoisse plus : je sais que ça repartira tout seul.
Mécanique musculaire (20%) - j'ai pas trouvé plus parlant ...
j’ai essayé pas mal de médications mais rien n’a fonctionné. En revanche je m’astreins à faire du gainage, principalement assis sur une chaise : monter les genoux puis étendre les jambes à l’équerre : c’est quasi miraculeux ! La planche aussi, etc.
Tout ce qui permet de retenir les viscères pour éviter que “ça appuie” sur la zone sensible. D'ailleurs quand c’est trop fort je saisis les viscères à travers la peau du ventre et essaie de les remonter. Ça peut bien soulager … Parfois aussi, le travail digestif peut aider. Une gène ? je machouille un bout de pain ou autre et souvent, ça passe …
Bref, aujourd’hui, je m’estime quasi-guéri. Je sais que ça peut revenir mais aussi que ça peut disparaitre. Il n’y a pas eu de grande révolution, j’ai juste constaté un jour que je n’avais plus eu de vraie crise depuis longtemps et qu’il fallait peut-être que je partage ça avec ceux qui galèrent comme j’ai pu galérer …
Voilà : et donc surtout, relaaax !
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miguel1975
miguel1975
Dernière activité le 06/05/2023 à 10:29
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1 commentaire posté | 1 dans le forum Prostatite
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Ami
Miguel, 40 ans, Nantes avec une prostatite chronique depuis début 2015
Bonjour,
Tout d’abord merci d’avoir créé un blog pour cette maladie méconnue !
Pour ma part j’ai subi en début d’année une résection du col vésical (clapet à la sortie de la vessie) qui était trop rigide et déclenchait chez moi entre 10 à 15 mictions par jour.
Cette opération a eu lieu le 12 janvier 2015 et ensuite j’ai été sous traitement anti-inflammatoire pendant 1 mois et tout se passait bien, à l’arrêt de mon traitement j’ai constaté quelques jours après des brulures lorsque j’urinais et des douleurs dans les bourses et c’était le début de la galère !
J’ai été hospitalisé dans un 1er temps pour une prostatite aigue au mois de mars 2015 pendant 7 jours ou j’ai subi un traitement antibiotiques et antidouleurs ensuite retour à la maison avec un traitement de 2 mois sous antidouleurs et anti-inflammatoires par voie orale.
Pendant cette période la douleur a toujours été présente mais supportable, le gros inconvénient est une baisse de la libido et pendant les crises aigu et une éjaculation rétrograde.
Au mois de mai de retour une grise violente avec des douleurs pelviennes insupportable (j’avais stoppé mon traitement), je rappelle la clinique et je suis de nouveau hospitalisé et recommence un traitement par voie intraveineuse d’antibiotiques et d’antidouleurs pendant 5 jours. A ma sortie un traitement par voie oral m’attendait avec du Tramadol pour la gestion de la douleur, l’antibiotique Cefixine (Oroken) pour traiter le germe et du Seroplex soit disant pour « chinter » l’information à mon cerveau que j’ai mal et eux pendant une durée de 6 mois!
Ce dernier étant un antidépresseur je pense que mon Urologue n’a pas eu le courage de me dire qu’il souhaitait traité une éventuelle baisse de morale !
Pendant ce traitement les douleurs au niveau de la vessie et des bourses ne me quitte guère même si elles sont peu douloureuses !
Aujourd’hui je suis de nouveau à la clinique, encore une crise !
Rebelote je suis de nouveau sous traitement antibiotiques et antidouleurs, 4 jours d’hospitalisation (Septembre 2015) car le traitement est par voie intraveineuse !
On va me poser un cathéter veineux par voie centrale avec une pompe afin de pouvoir me traiter sous antibiotique « Tienam » pendant un mois et bien entendu je continu mon traitement par voie oral d’antidouleur « Tramadol ».
D’autre part j’ai pris RDV dans un centre antidouleurs à Nantes (4 mois d’attente), j’ai RDV le 21 octobre 2015, j’espère qu’ils auront un traitement efficace à me proposer !
Cette maladie est compliqué car mal connu par mon entourage et cela ne se voit pas alors si physiquement je présente bien pour eux tout va bien !
C’est pourtant pas le cas, je suis fatigué et depuis le début de mon traitement en Mars il m’est difficile de tenir éveiller des longues journées et il faut que je tienne car je suis Cadre dans l’industrie et mes clients commence à dire « Il est encore en arrêt ».
Et oui même si je fais tout pour limiter mes absences au travail j’ai été obligé de stopper mon activité pendant mes hospitalisations et 3 semaines après l’hospitalisation du mois de mars car j’étais très fatigué !
Mon patron est compréhensible mais va-t-il accepter cette situation pendant plusieurs mois ou plusieurs années je le crains !
Moi je ne tiendrais pas pendant plusieurs années, je veux retrouver ma vie d’avant avec une libido épanoui, un bon moral et surtout plus de douleurs !
Si des personnes vivent ou ont vécu la même situation je serais heureux de partager un moment d’échange avec eux.
Miguel