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Une prostatite chronique depuis janvier 2015
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Momo1414
Momo1414
Dernière activité le 03/02/2021 à 20:30
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Salut @tawan77
pourras tu nous informer de tes resultats ? Et la suite de tes soins ?
Dans quel labo as tu fait la recherche ? As tu payé de ta poche ?
tawan77
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tawan77
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Salut @Momo1414,
J'ai eu les résultats hier. Tout est négatif. Il semble que l'antibio que j'ai utilisé a été efficace.
Coté cout, j'ai payé une 100ène d'euro de ma poche. Je vais voir si c'est remboursé par la mutuelle.
Coté symptômes. Après avoir arrêté le traitement depuis 3 semaines maintenant, J'ai une gène au niveau de la prostate qui persiste un peu. Probablement un reste inflammatoire.
Chez moi cela se traduit par une tension coté gauche qui part du scrotum vers l’arrière de la cuisse. C'est néanmoins beaucoup plus supportable que pendant la poussée aigue. Comme à chaque épisode, je sent également qu'il y a une certaine sensibilité sur la vessie et je dois prêter attention à bien m'hydrater pour nettoyer le système urinaire qui a été irrité.
Maintenant j'attend mon prochain RDV avec l'urologue, car j'aimerai bien supprimer la cause favorisante de ces prostatites à répétition.
Je vais discuter des bénéfices / risques potentiels d'une résection de prostate. Car selon des rapports de patients mais aussi des études documentées. Une résection peut aider les personnes souffrant de prostatites chronique à se débarrasser de ce trouble.
Les causes favorisante peuvent être multiple :
- calculs prostatique, acinis bouchés, mini kystes infectés, probleme anatomique, reflux urinaire dans la prostate ect...
Chez certaines personnes, dont moi, cette cause n'est pas évidente à trouver et à l'imagerie (echographie), rien de particulier n'a été décelé..
A voir donc, apres l'entretien avec le docteur.
Et toi, ou en est tu ?
bonne journée
Luminessence0088
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Luminessence0088
Dernière activité le 27/01/2024 à 14:54
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Salut les gars ! Je viens me joindre à vous.
J'ai lu toutes les conversations, qui sont vraiment instructives, et pour certains vous semblez mieux informés que des urologues que j'ai pu voir. Je suppose qu'on a tous eu ce reflex d'écumer les forums et différents sites à la recherche d'infos tant cette maladie est peu connue des spécialistes. Pourtant elle semble toucher un homme sur 10 au cours d'une vie, ce n'est pas rien.
Dans mon cas j'ai 25ans, et je traine une prostatite depuis le début de l'année. Mon urologue à cru qu'il s'agissait d'une pyélonéphrite tant les symptômes se ressemblent (quasi les mêmes) et surtout mon taux de psa est totalement bas. Donc je suis passé en ambulatoire après moultes ECBU, echo, scanners, qui n'ont rien donné, dans le but de savoir si je faisais un reflux rénale, qui pourrait expliquer la pyélo. Sauf que non, tout est normal aussi sur le plan physiologique. Donc ne reste que la prostatite par élimination.
Cela dit en passant, en ambulatoire ils m'ont passé un cystoscope, et deux autres sondes. Quand je me suis réveillé, j'ai uriné du sang, mais surtout j'ai vécu l'enfer en terme de douleur, celle ci a atteint des niveau que je ne pensais même pas réalisables. Extrêmement douloureux. Je ne vous le souhaite pas, si vous pouvez éviter, vraiment faites le. ils ont du dilater mon urètre pour passer ces différentes sondes, je vous laisse imaginer.
Puis la fièvre s'en est revenue avec toutes les douleurs lombaires, grosse douleur au niveau de la prostate etc etc etc... donc rebelote pour un traitement de 6 semaines avec de l'OROKEN. On verra bien ou ça nous mène! Pour la douleur je suis comme vous, le mélange tramadol/paracetamol me permet de vivre assez normalement. Dieu bénisse l'opium !
Lol, mais c'est vrai qu'on y pense beaucoup à cette prostate. Heureusement que je suis tombé sur ce forum, vous m'avez beaucoup réconforté, même si les nouvelles ne sont pas toujours réjouissantes, au moins on n'est pas seuls.
Je suis en attente de réponse de la part de Marc qui parle de son expérience et donne son adresse mail au tout début de la discussion, lui qui parlait d'un médicament ancien, et assez fort à base de mouche cantharide qui l'a totalement soigné sans aucune récidive. Je vous tiendrais au courant si j'ai le nom
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Utilisateur désinscrit
@Luminessence0088 Cantharis doit être pris de façon systématique car il prend en charge tous les signes de cystite aiguë avec une douleur intense avant, pendant, après la miction. Il se prend, dans ce cas, en dilution moyenne (9 CH), 3 granules toutes les demi-heures.
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tawan77
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tawan77
Dernière activité le 28/09/2024 à 11:35
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Salut l'ami,
Bienvenue sur ce fil de discussion. La prostatite est une maladie bien plus courante que l'on croit en effet. Un paquet de gens subissent cette étape forcée, souvent douloureuse et qui malheureusement dure assez longtemps.
Fort heureusement la plupart d'entre nous ont des périodes de rémissions partielles, voir complète pendant des délais suffisamment long (mois voir années sans symptômes)
L'OROKEN est une céphalosporine 3ème génération qui est une classe antibio souvent efficace pour les maladies urinaire. Son pouvoir de pénétration dans la prostate est cependant assez moyen. Il peut etre intéressant si l'infection n'est pas trop profonde et si le germe est sensible. Tu nous dira si tu ressent des effets positifs.
Bon choix pour le médicament anti douleur, le Tramadol fonctionne super bien.
Je me rappel avoir fait une cytoscopie aussi. Mais ton docteur a du pas etre tres délicat car je n'ai absolument pas subit de douleurs ni saigné.
De mon coté mon traitement antibio a fonctionné. Je suis sans douleurs depuis 2-3 semaines :)
Jai eu un RDV avec l urologue. Je vais faire une resection limitée de la prostate probablement cet hiver pour éliminer un facteur infectieux favorisant.
Courage donc, on s en sort de cette m****
Bonne journée !
Luminessence0088
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Dernière activité le 27/01/2024 à 14:54
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Merci @tawan77 , quel soulagement de savoir que tu pourras enfin utiliser la manière plus forte et en venir à bout. Ton urologue a finalement accepter? Ils vont te faire ça par les voies naturelles ?
Quel antibio as tu pris et pendant combien de temps ?
tawan77
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Dernière activité le 28/09/2024 à 11:35
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Bonsoir !
Oui apparemment ca s opère par l'urètre. Il a pas encore évoqué en détail la procédure mais il m'a exposé les conséquences et les bénéfices qu'on peut en attendre.
En gros ca peut potentiellement aider à éviter la récurrence des infections mais ca peut aussi ne rien faire.
Coté négatif c'est l'éjaculation rétrograde presque assurée...
L' antibio qui me soulage souvent est également une céphalosporine, comme l'OROKEN. Mais c'est la CEFTRIAXONE. Qui se prend par injection.
Bonne soirée !
tawan77
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tawan77
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Donnez un peu des nouvelles de vous tous les autres la un peu ^^
Je suis sur qu'ils vont mieux alors ils oublient le forum
ThierryLH
ThierryLH
Dernière activité le 30/08/2024 à 04:19
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Salut les gars, j'ai lu un article sur le syndrôme de la queue de cheval: il s'agit d'une hernie discale qui compresse les nerfs du sacrum dans la région du coccyx.
Une grande partie des symptômes correspond à ceux que nous évoquons. Je voulais vous en parler pour avoir votre avis, et moi je vais continuer de me renseigner dans ce sens 😉
Bon courage à tous
ThierryLH
ThierryLH
Dernière activité le 30/08/2024 à 04:19
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J'ai vu un médecin spécialisé et il m'a dit que ce n'était pas la queue de cheval ni une névralgie pudendale.
J'ai trouvé cet article qui parle de l'infection et compression de la prostate suite à des multiples constipations
https://www.avogel.ca/blog/fr/les-effets-nefastes-de-la-constipation-sur-la-prostate/
tawan77
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tawan77
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Salut l'ami
J'ai aussi eu ce type de réflexion a l époque.
J'avais fait des tests neurologique afin de voir si ca pouvait etre une compression d'un nerf (nerf pudendal). Mais non. C'est toutefois une piste a explorer (et à éliminer) pour ceux d’entre nous qui galèrent avec les problèmes de prostate. La constipation est aussi un facteur favorisant.
Les intestins "poreux" et les selles stagnantes font que les bactéries peuvent traverser la parois intestinale et infecter la prostate qui est située à proximité. Dans ce cas les infections sont plutot situées en périphérie de la prostate et plus facilement visible à l'échographie. (pas tout le temps néanmoins)
Un Autre facteur favorisant sont les infections ascendante (une bacterie remonte le long de l urètre et trouve son chemin vers la prostate).
On a aussi les problemes de mauvaise vidange de la vessie qui sont un facteur courant d'infection. Pour vérifier ca, on vous fera une échographie vésicale avant et apres avoir uriné afin de voir si il y a ce qu'on appelle "un résidu post mictionnel"
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miguel1975
miguel1975
Dernière activité le 06/05/2023 à 10:29
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Ami
Miguel, 40 ans, Nantes avec une prostatite chronique depuis début 2015
Bonjour,
Tout d’abord merci d’avoir créé un blog pour cette maladie méconnue !
Pour ma part j’ai subi en début d’année une résection du col vésical (clapet à la sortie de la vessie) qui était trop rigide et déclenchait chez moi entre 10 à 15 mictions par jour.
Cette opération a eu lieu le 12 janvier 2015 et ensuite j’ai été sous traitement anti-inflammatoire pendant 1 mois et tout se passait bien, à l’arrêt de mon traitement j’ai constaté quelques jours après des brulures lorsque j’urinais et des douleurs dans les bourses et c’était le début de la galère !
J’ai été hospitalisé dans un 1er temps pour une prostatite aigue au mois de mars 2015 pendant 7 jours ou j’ai subi un traitement antibiotiques et antidouleurs ensuite retour à la maison avec un traitement de 2 mois sous antidouleurs et anti-inflammatoires par voie orale.
Pendant cette période la douleur a toujours été présente mais supportable, le gros inconvénient est une baisse de la libido et pendant les crises aigu et une éjaculation rétrograde.
Au mois de mai de retour une grise violente avec des douleurs pelviennes insupportable (j’avais stoppé mon traitement), je rappelle la clinique et je suis de nouveau hospitalisé et recommence un traitement par voie intraveineuse d’antibiotiques et d’antidouleurs pendant 5 jours. A ma sortie un traitement par voie oral m’attendait avec du Tramadol pour la gestion de la douleur, l’antibiotique Cefixine (Oroken) pour traiter le germe et du Seroplex soit disant pour « chinter » l’information à mon cerveau que j’ai mal et eux pendant une durée de 6 mois!
Ce dernier étant un antidépresseur je pense que mon Urologue n’a pas eu le courage de me dire qu’il souhaitait traité une éventuelle baisse de morale !
Pendant ce traitement les douleurs au niveau de la vessie et des bourses ne me quitte guère même si elles sont peu douloureuses !
Aujourd’hui je suis de nouveau à la clinique, encore une crise !
Rebelote je suis de nouveau sous traitement antibiotiques et antidouleurs, 4 jours d’hospitalisation (Septembre 2015) car le traitement est par voie intraveineuse !
On va me poser un cathéter veineux par voie centrale avec une pompe afin de pouvoir me traiter sous antibiotique « Tienam » pendant un mois et bien entendu je continu mon traitement par voie oral d’antidouleur « Tramadol ».
D’autre part j’ai pris RDV dans un centre antidouleurs à Nantes (4 mois d’attente), j’ai RDV le 21 octobre 2015, j’espère qu’ils auront un traitement efficace à me proposer !
Cette maladie est compliqué car mal connu par mon entourage et cela ne se voit pas alors si physiquement je présente bien pour eux tout va bien !
C’est pourtant pas le cas, je suis fatigué et depuis le début de mon traitement en Mars il m’est difficile de tenir éveiller des longues journées et il faut que je tienne car je suis Cadre dans l’industrie et mes clients commence à dire « Il est encore en arrêt ».
Et oui même si je fais tout pour limiter mes absences au travail j’ai été obligé de stopper mon activité pendant mes hospitalisations et 3 semaines après l’hospitalisation du mois de mars car j’étais très fatigué !
Mon patron est compréhensible mais va-t-il accepter cette situation pendant plusieurs mois ou plusieurs années je le crains !
Moi je ne tiendrais pas pendant plusieurs années, je veux retrouver ma vie d’avant avec une libido épanoui, un bon moral et surtout plus de douleurs !
Si des personnes vivent ou ont vécu la même situation je serais heureux de partager un moment d’échange avec eux.
Miguel