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Patients Prostatite
Une prostatite chronique depuis janvier 2015
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Swarzy
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Swarzy
Dernière activité le 19/03/2023 à 08:32
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33 commentaires postés | 33 dans le forum Prostatite
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Bonjour
Je souffre de cette prostatite depuis maintenant trois ans.
A la longue on s'y habitue et on peut tout a fait vivre avec ça.
Au départ ca fait peur c'est frustrant et on se demande ce qui se passe.
Surtout ne pas stresser et écouter son corps. Avec du recul on sait ce qui pourrait déclencher une crise et on évite cette chose justement. Les traitements naturels m ont beaucoup aidé. Des fois on croit qu on est guerri mais nous sommes vite rattrapé par la réalité.
A la longue les symptômes sont de moins en moins présents mais peuvent réapparaître a intervals irréguliers.
Il faut garder espoir et ce dire qu d autre personne ont pire dans la vie.
Il faut rester optimiste.
Bon courage a tous.
morenooo
morenooo
Dernière activité le 22/03/2022 à 19:08
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2 commentaires postés | 2 dans le forum Prostatite
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Rebonjour les amis !
Juste pour faire le point avec vous .
Depuis 1 semaine je prend des pilules d'huile de pépin de courge ainsi que des pilules de Cranberry , ce n'est pas miraculeux mais ca fait effet ca calme les symptômes . Beaucoup moins mal quand je vais uriner , par contre toujours des douleurs a l'éjaculation pendant les rapports .
Je prends que ca pour l'instant j'attends mon rendez-vous en Avril sur Paris ( Manoeuvre de Stamey ) pour en savoir plus . En fonction du résultats ( Prostatite bactérienne ou non ) j'aviserai avec l'urologue pour un traitement anti douleurs ou antibio .
Force a tous ! Lâché rien , a force on va trouver une solution !
Bis
Bichou89
Bichou89
Dernière activité le 01/11/2024 à 12:38
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@morenooo on est tous passé par là. Certe la phase la plus dure pour accepter les démangeaisons de cette maladie chronique. Moi ça fait presque deux ans que je me traîne avec. En gros ce qui m'aide c'est l'anti inflammatoire que je prends dans des phases les plus douleuruse ibuprophene de 400 mg une fois seulement en une seule prise. J'essaye au maximum de ne pas abusé. J me fait semblant que j'ai rien malgré la souffrance pour ne pas prendre ces traitements ambivalent qui peut me causer d'autres symptômes gastriques ou rénaux...
L'éjaculation régulière j'ai l'impression qu'elle me saulage mais pas tout le temps. Des fois sa empire l'inflammation donc il faudra un repos de l'organe.
Chaque cas est différent. Vaut mieux accepté et vivre avec. Ça peut se résoudre toute seule peut être au Fil de temps.
Bn courage
tawan77
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tawan77
Dernière activité le 28/09/2024 à 11:35
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@Papa456
Il y a beaucoup d'urologues compétent. Le souci est de trouver un de ceux qui s'intéresse vraiment aux prostatites. Celle maladie est souvent peu considérée par les uro car bénigne et surement frustrante pour eux car les patients reviennent souvent dans le cabinet avec du mécontentement.
Essaie plusieurs médecins et voit l'uro qui saura t'écouter et te proposer plusieurs options de traitements.
Papa456
Papa456
Dernière activité le 30/11/2022 à 13:23
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@tawan77 j'ai déjà vu 6 urologues à Paris.. Mon soucis semblent les soucier de très loin... D'ou ma demande. Pour rappel, suite au massage de Stamey nous avons retrouvé un streptocoque, j'ai donc pris pour la première fois en 1 ans et 4 mois un antibio pendant 6 semaines (Amoxicilline). J'ai par la suite fait 2 semaines d'anti-inflammatoire (Nifuril par voie oral matin et soir). Certes je vais mieux qu'avant mais j'ai l'impression que c'est en train de revenir depuis 4 jours...
Ne devrais-je pas essayer un autre traitement (Bactrim?) L'urologue me dit d'attendre 4 mois voir si ca repart mais je connais déjà la finalité donc je n'ai pas envie de perdre de temps...
tawan77
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tawan77
Dernière activité le 28/09/2024 à 11:35
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@Papa456
Salut, je ne sais que trop bien à quel point cela est désespérant de multiplier les RDV avec des médecins peu concerné par ce probleme. Mais il en existe certains qui sont plus réceptifs que d'autres. Il faut persévérer et faire comme tu as fait : les essayer pour voir s'ils peuvent aider.
Selon moi tu as raison de ne pas attendre. Si tes symptômes sont toujours présent, il n'y a pas de raisons de patienter plusieurs mois avant de tenter le bactrim. C'est d'ailleurs un excellent antibio (ancien) pour les prostatites. Il pénètre beaucoup mieux la prostate que l'amoxicilline. (c'est étrange qu'il t'ai donné cet antibio d'ailleurs)
Tu as aussi l'option de la CEFTRIAXONE qui reste tres puissant et agit sur les streptocoques.
Avant mon opération, ce sont ces deux antibio qui m'ont apporté les meilleurs soulagements durant mes 17 années de souffrance ^^
bonne soirée l'ami
WillhelmGM
WillhelmGM
Dernière activité le 10/11/2024 à 11:30
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Un an sans antibiotique, plus longue période en 30 ans de prostatite. J'avais déjà connu une période de 9 mois sans antibio (avant une méga rechute), il y a bien longtemps, avec à peu près les mêmes méthodes.
Au préalable 3 mois de Bactrim, 2x/jour prescrit par l'urologue. Traitement d'attaque. D'ordinaire la prostatite est stabilisée avec un Bactrim tous les 3 jours. Ces derniers temps, même avec 1 comprimé par jour, cela ne suffisait pas. J'ai essayé Oroken qui a eu également un effet favorable quelques temps, mais n'a pas duré. En dernier recours des fluoroquinolones, mais c'est vraiment difficile à supporter sur le long terme, mieux vaut éviter.
En lisant le forum, j'avais noté globalement:
- Activité sportive régulière
- alimentation aux propriétés Anti-inflammatoires et anti bactérienne / viral
- soigner sa flore intestinale
Côté activité sportive je nage tous les jours, à la pause du midi (je soigne des séquelles du covid côté respiration) . J'avais déjà commencé avant de corriger l'alimentation, l'activité sportive seule ne suffit pas.
Côté alimentation, j'ai évité au maximum tout ce qui avait de forts taux d'histamine. Notamment pas de charcuterie, pas de fromage. Diminution des plats industriels. Limitation du gras et viandes rouges.
Diminution de la caféine. Zéro alcool. Diminution des sucres.
Bouillon de brocolis : je prépare un litre que je bois pour moitié en milieu de matinée et pour moitié à 18h00. Bouillon préparé avec du brocolis dans de l'eau frémissante pendant une dizaine de minutes. Les 2 premiers mois, j'en faisais tous les jours, maintenant 1 jour sur 2. Le brocolis, je le mange également, froid ou chaud, avec de la béchamel... Avec 1j sur 2, le premier jour je bois le bouillon et le lendemain, c'est brocolis au menu.
Le soir avant de se coucher, tisane. Je varie avec tout ce qui est bon pour système urinaire/ digestion. Ce n'est pas ce qui manque.
Côté anti-viral/ bactérien, je mange midi et soir 4 à 6 gousses d'ail crues. C'est raide mais bon, une bouchée avec un morceau d'ail ça passe bien. Pour prévenir l'acidité d'estomac, je prends tous les jours, avant le repas du midi, dans un grand verre d'eau une cuillère à café de bicarbonate de sodium. Je fais également une cure de capsules d'origan de 10 jours tous les mois (une capsule au petit déjeuner). Le premier mois j' en prenais tous les jours.
Après toutes ces années d'antibiotiques, l'idée de soigner la flore intestinale me paraissait bien. Je prends régulièrement des probiotiques et je fais mes yaourts maison (1 midi et soir).
Pas certain de pouvoir tenir ce rythme car difficile de conjuguer tout cela avec la vie professionnelle, mais les circonstances exceptionnelles liées au covid (confinement et télétravail) ont permis l'expérience, très concluante.
Cette amélioration côté prostate m'a fait beaucoup de bien, notamment de positiver malgré les conséquences du covid qui traînent (difficultés respiratoires et qques pbs neurologiques).
Espérant que cela en aidera quelques autres.
tawan77
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tawan77
Dernière activité le 28/09/2024 à 11:35
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Sur une note positive, je rajouterai également que tous ceux qui souffrent de prostatite développent une tendance à prendre soin de leur santé en général ce qui, sur le long terme est un réel atout.
Le sport, l'alimentation saine, les compléments naturels, les suivis médicaux permettent de conserver plus longtemps son capital santé.
Alors certes, il y a de la souffrance dans la prostatite, mais ca reste une maladie "bégnine" comme disent les docteurs. Dans le sens ou l'on en meurt pas. (je n'aime toutefois pas trop ce terme car cette maladie peut, en période de crise, vraiment impacter la qualité de vie des malades)
bon WE à tous ;)
Gilles30
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Gilles30
Dernière activité le 20/07/2024 à 20:14
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@tawan77
100% d'accord avec toi!
On est beaucoup plus attentif à sa santé. Bon après moi ca m'a fait devenir un peu hypocondriaque donc attention à cela quand même.
Swarzy
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Swarzy
Dernière activité le 19/03/2023 à 08:32
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Bonjour
Peut on réellement guerrir de la prostatite chronique ?
Je songe même à me retirer entièrement la prostate. Est ce possible en cas de prostatite ? Apparemment c'est uniquement en cas de cancer....
A vos avis
Merci
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Philippelo
Bonjour,
Je voulais à mon tour témoigner d’une guérison.
J’ai souffert d’une prostatite chronique pendant environ 10 ans, arrivée comme ça, sans événement particulier. 10 ans d’envies impérieuses, de gouttes retardataires, de stress, de déprime mais aussi de recherche… et puis ça va mieux.
J’ai lu et tenté comme tout le monde plein de recettes et méthodes … et je voulais faire part de celle qui a marché pour moi.
J’ai raisonné par pourcentage en me disant : qu'est-ce qui joue, en % sur la pénibilité de cette maladie ?
J’ai d’abord essayé d’en saisir les déclencheurs. J’avais lu que le stress, l’alcool, les exitants (caféine, théine), l’alimentation épicée étaient des amplificateurs de symptôme, sans vraiment y croire …
Avec le recul, je vois les choses comme ça (et c’est une perception totalement personnelle)
Stress (40%)
Oui, je l'ai longtemps nié mais l’aspect psychologique est très fort : il faut agir, d’une manière ou d’une autre sur le stress. La maladie se nourrit elle-même du stress qu’elle génère (t’es sûr que t’as pas envie de pisser, là ? sûr ?) … D’ailleurs rien que d’en parler … (!)
J’ai réalisé que je n’étais pas forcément conscient du stress que je subissais (ou me créais) : environnement professionnel, familial, fatigue, et maladie elle-même etc … Bizarrement ça diminuait beaucoup pendant les vacances.
J’ai appris, avec le temps, à lâcher prise d’une manière générale et les symptômes ont bien diminué … Un détail : je suis passé du caleçon au boxer, ça évite le stress de la dernière goutte ... j'ai mes petits rituels, je me nettoie soigneusement le gland avant de dormir notamment (et ça marche bien !)
M'écoutant sur cette maladie, ma femme lui a donné un nom ridicule qui l’a un peu remise à sa place (la prostatite, hein) : “la pissotte”.
Alcool (20%)
oui, des effets, sans aucun doute. Les lendemains de fête les symptômes étaient/sont plus forts, certains alcools particulièrement impactants (champagne, rhum blanc, whisky), d’autres presque bénéfiques (la bière notamment, avec un effet de purge, ou du moins l’ai-je vécu comme ça). Bon après, l’alcool, ça relaxe, donc effet sur le stress, bien sûr … mais attention les effets secondaires si trop grande quantité !
Je me suis fixé quelques règles : pas d’alcool avant le jeudi, par exemple … pas (trop) d’excès…
Alimentation (10%)
Je n’ai pas noté de vrai gros déclencheur. J’ai changé quelques habitudes : passé du thé au café puis à la chicorée mais sans me prendre la tête et en revenant à l’un ou l’autre de temps en temps … J’évite autant que possible le piment fort (ça c’est assez radical, en revanche).
Inconnu (10%)
Et puis parfois : une crise. Aucun signe vraiment annonciateur. Dans les salles de spectacle, notamment, comme si je me projetais sur scène alors que je suis dans le public ! Un peu de pression et ça recommence. J’en ai pris mon parti. Je n’angoisse plus : je sais que ça repartira tout seul.
Mécanique musculaire (20%) - j'ai pas trouvé plus parlant ...
j’ai essayé pas mal de médications mais rien n’a fonctionné. En revanche je m’astreins à faire du gainage, principalement assis sur une chaise : monter les genoux puis étendre les jambes à l’équerre : c’est quasi miraculeux ! La planche aussi, etc.
Tout ce qui permet de retenir les viscères pour éviter que “ça appuie” sur la zone sensible. D'ailleurs quand c’est trop fort je saisis les viscères à travers la peau du ventre et essaie de les remonter. Ça peut bien soulager … Parfois aussi, le travail digestif peut aider. Une gène ? je machouille un bout de pain ou autre et souvent, ça passe …
Bref, aujourd’hui, je m’estime quasi-guéri. Je sais que ça peut revenir mais aussi que ça peut disparaitre. Il n’y a pas eu de grande révolution, j’ai juste constaté un jour que je n’avais plus eu de vraie crise depuis longtemps et qu’il fallait peut-être que je partage ça avec ceux qui galèrent comme j’ai pu galérer …
Voilà : et donc surtout, relaaax !
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Philippelo
Bonjour,
Je voulais à mon tour témoigner d’une guérison.
J’ai souffert d’une prostatite chronique pendant environ 10 ans, arrivée comme ça, sans événement particulier. 10 ans d’envies impérieuses, de gouttes retardataires, de stress, de déprime mais aussi de recherche… et puis ça va mieux.
J’ai lu et tenté comme tout le monde plein de recettes et méthodes … et je voulais faire part de celle qui a marché pour moi.
J’ai raisonné par pourcentage en me disant : qu'est-ce qui joue, en % sur la pénibilité de cette maladie ?
J’ai d’abord essayé d’en saisir les déclencheurs. J’avais lu que le stress, l’alcool, les exitants (caféine, théine), l’alimentation épicée étaient des amplificateurs de symptôme, sans vraiment y croire …
Avec le recul, je vois les choses comme ça (et c’est une perception totalement personnelle)
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Oui, je l'ai longtemps nié mais l’aspect psychologique est très fort : il faut agir, d’une manière ou d’une autre sur le stress. La maladie se nourrit elle-même du stress qu’elle génère (t’es sûr que t’as pas envie de pisser, là ? sûr ?) … D’ailleurs rien que d’en parler … (!)
J’ai réalisé que je n’étais pas forcément conscient du stress que je subissais (ou me créais) : environnement professionnel, familial, fatigue, et maladie elle-même etc … Bizarrement ça diminuait beaucoup pendant les vacances.
J’ai appris, avec le temps, à lâcher prise d’une manière générale et les symptômes ont bien diminué … Un détail : je suis passé du caleçon au boxer, ça évite le stress de la dernière goutte ... j'ai mes petits rituels, je me nettoie soigneusement le gland avant de dormir notamment (et ça marche bien !)
M'écoutant sur cette maladie, ma femme lui a donné un nom ridicule qui l’a un peu remise à sa place (la prostatite, hein) : “la pissotte”.
Alcool (20%)
oui, des effets, sans aucun doute. Les lendemains de fête les symptômes étaient/sont plus forts, certains alcools particulièrement impactants (champagne, rhum blanc, whisky), d’autres presque bénéfiques (la bière notamment, avec un effet de purge, ou du moins l’ai-je vécu comme ça). Bon après, l’alcool, ça relaxe, donc effet sur le stress, bien sûr … mais attention les effets secondaires si trop grande quantité !
Je me suis fixé quelques règles : pas d’alcool avant le jeudi, par exemple … pas (trop) d’excès…
Alimentation (10%)
Je n’ai pas noté de vrai gros déclencheur. J’ai changé quelques habitudes : passé du thé au café puis à la chicorée mais sans me prendre la tête et en revenant à l’un ou l’autre de temps en temps … J’évite autant que possible le piment fort (ça c’est assez radical, en revanche).
Inconnu (10%)
Et puis parfois : une crise. Aucun signe vraiment annonciateur. Dans les salles de spectacle, notamment, comme si je me projetais sur scène alors que je suis dans le public ! Un peu de pression et ça recommence. J’en ai pris mon parti. Je n’angoisse plus : je sais que ça repartira tout seul.
Mécanique musculaire (20%) - j'ai pas trouvé plus parlant ...
j’ai essayé pas mal de médications mais rien n’a fonctionné. En revanche je m’astreins à faire du gainage, principalement assis sur une chaise : monter les genoux puis étendre les jambes à l’équerre : c’est quasi miraculeux ! La planche aussi, etc.
Tout ce qui permet de retenir les viscères pour éviter que “ça appuie” sur la zone sensible. D'ailleurs quand c’est trop fort je saisis les viscères à travers la peau du ventre et essaie de les remonter. Ça peut bien soulager … Parfois aussi, le travail digestif peut aider. Une gène ? je machouille un bout de pain ou autre et souvent, ça passe …
Bref, aujourd’hui, je m’estime quasi-guéri. Je sais que ça peut revenir mais aussi que ça peut disparaitre. Il n’y a pas eu de grande révolution, j’ai juste constaté un jour que je n’avais plus eu de vraie crise depuis longtemps et qu’il fallait peut-être que je partage ça avec ceux qui galèrent comme j’ai pu galérer …
Voilà : et donc surtout, relaaax !
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miguel1975
miguel1975
Dernière activité le 06/05/2023 à 10:29
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Ami
Miguel, 40 ans, Nantes avec une prostatite chronique depuis début 2015
Bonjour,
Tout d’abord merci d’avoir créé un blog pour cette maladie méconnue !
Pour ma part j’ai subi en début d’année une résection du col vésical (clapet à la sortie de la vessie) qui était trop rigide et déclenchait chez moi entre 10 à 15 mictions par jour.
Cette opération a eu lieu le 12 janvier 2015 et ensuite j’ai été sous traitement anti-inflammatoire pendant 1 mois et tout se passait bien, à l’arrêt de mon traitement j’ai constaté quelques jours après des brulures lorsque j’urinais et des douleurs dans les bourses et c’était le début de la galère !
J’ai été hospitalisé dans un 1er temps pour une prostatite aigue au mois de mars 2015 pendant 7 jours ou j’ai subi un traitement antibiotiques et antidouleurs ensuite retour à la maison avec un traitement de 2 mois sous antidouleurs et anti-inflammatoires par voie orale.
Pendant cette période la douleur a toujours été présente mais supportable, le gros inconvénient est une baisse de la libido et pendant les crises aigu et une éjaculation rétrograde.
Au mois de mai de retour une grise violente avec des douleurs pelviennes insupportable (j’avais stoppé mon traitement), je rappelle la clinique et je suis de nouveau hospitalisé et recommence un traitement par voie intraveineuse d’antibiotiques et d’antidouleurs pendant 5 jours. A ma sortie un traitement par voie oral m’attendait avec du Tramadol pour la gestion de la douleur, l’antibiotique Cefixine (Oroken) pour traiter le germe et du Seroplex soit disant pour « chinter » l’information à mon cerveau que j’ai mal et eux pendant une durée de 6 mois!
Ce dernier étant un antidépresseur je pense que mon Urologue n’a pas eu le courage de me dire qu’il souhaitait traité une éventuelle baisse de morale !
Pendant ce traitement les douleurs au niveau de la vessie et des bourses ne me quitte guère même si elles sont peu douloureuses !
Aujourd’hui je suis de nouveau à la clinique, encore une crise !
Rebelote je suis de nouveau sous traitement antibiotiques et antidouleurs, 4 jours d’hospitalisation (Septembre 2015) car le traitement est par voie intraveineuse !
On va me poser un cathéter veineux par voie centrale avec une pompe afin de pouvoir me traiter sous antibiotique « Tienam » pendant un mois et bien entendu je continu mon traitement par voie oral d’antidouleur « Tramadol ».
D’autre part j’ai pris RDV dans un centre antidouleurs à Nantes (4 mois d’attente), j’ai RDV le 21 octobre 2015, j’espère qu’ils auront un traitement efficace à me proposer !
Cette maladie est compliqué car mal connu par mon entourage et cela ne se voit pas alors si physiquement je présente bien pour eux tout va bien !
C’est pourtant pas le cas, je suis fatigué et depuis le début de mon traitement en Mars il m’est difficile de tenir éveiller des longues journées et il faut que je tienne car je suis Cadre dans l’industrie et mes clients commence à dire « Il est encore en arrêt ».
Et oui même si je fais tout pour limiter mes absences au travail j’ai été obligé de stopper mon activité pendant mes hospitalisations et 3 semaines après l’hospitalisation du mois de mars car j’étais très fatigué !
Mon patron est compréhensible mais va-t-il accepter cette situation pendant plusieurs mois ou plusieurs années je le crains !
Moi je ne tiendrais pas pendant plusieurs années, je veux retrouver ma vie d’avant avec une libido épanoui, un bon moral et surtout plus de douleurs !
Si des personnes vivent ou ont vécu la même situation je serais heureux de partager un moment d’échange avec eux.
Miguel