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Patients Prostatite
Une prostatite chronique depuis janvier 2015
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WillhelmGM
WillhelmGM
Dernière activité le 10/11/2024 à 11:30
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@Swarzy
Je te rejoins sur les antibiotiques. C'est efficace pour moi, j'essaie d'en prendre le moins possible. Mais difficile de s'en passer sous peine d'aggravation immédiate. Mais depuis quelques lectures sur le forum, j'essaie les traitements naturels qui améliorent bien les choses et permettent de réduire davantage le recours aux antibios. Je regrette de ne m'y être pas mis plus tôt.
WillhelmGM
WillhelmGM
Dernière activité le 10/11/2024 à 11:30
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@Patience86
Non, ça s'est fait naturellement. Ma femme était jeune, ça a pu aider.
morenooo
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Dernière activité le 22/03/2022 à 19:08
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Bonjour , je suis nouveau sur le forum ! J'ai 27 ans j'habite a Marseille et j'endure comme vous il semblerait une prostatite chronique .
Tout a commencer avec un rapport non protégé a mes 22 ans . Suite a ce rapport non protégé j'ai ressenti des brulures au niveau de l'urètre . Ces douleurs m'ont mené a faire des analyses et j'était donc infecté par la Chlamydia Trachomatis . Cette infection a était mal traité par mon médecin de famille et a durer aux alentours d'1 mois .Suite a ca j'ai pris rendez-vous chez un urologue qui m'as prescrit l'antibio suivant : azithromycine Apres avoir pris cet antibio la bactérie a disparu . ( test ECBU , Coton tige urétral , prise de sang )Mais depuis malgré l'infection réglé je continue a avoir des douleurs en urinant ou même grosses commissions ( qui durent 15/30mn après la miction ) . Ces douleurs permanentes varient selon les périodes ( plus ou moins mal ) . J'ai aussi selon le niveau de la crise a uriné normalement ( sensation de blocage )
Pendants 5 ans j'ai donc cherché a résoudre le problème en prenant rendez-vous avec plusieurs urologues mais sans résultats . J'ai essayé plein d'antibiotiques a courts termes mais rien n'as fonctionné . J'ai était redirigé vers un docteur de la douleur qui m'as prescrit des traitements dit "neuro calmant " mais sans résultats non plus . J'ai aussi essayé "ACTITENS" une machine qui envoie des petites décharges électriques pour calmé les douleurs . Qui n'as absolument eu aucun effet non plus .
N'étant pas satisfait de l'implication et des réponses des spécialistes que j'ai consulté j'ai pris rendez-vous ( visio conf ) avec un urologue de Paris que l'on m'as conseillé .
Il m'as donné a faire ( ou refaire ) les examens suivants :
Prélèvements urétral (plus de traces de chlamydia) ,
IRM pelvien ( réalisé aujourd'hui en attente de résultats ) ,
Echographie prostatique ( rien trouvé hors mis une prostate un tout petit peu volumineuse ) ,
Cystoscopie 2x ( rien trouvé )
ECBU 1 jet pour les différentes IST ( en attente des résultats )
Manœuvre de Stamey ou 4 verres ( rendez-vous programmé a Paris laboratoire FOURNIER car je n'ai pas trouvé de labo le faisant aux alentours de Marseille )
Je vous tiendrai au courant des résultats que j'ai obtenue .
J'ai lu précédemment que la Phytothérapie ( plantes ) a eu un effet positif sur les douleurs , je vais donc essayer car je n'ai pas trouvé le moyen de calmer mes douleurs depuis tous ce temps . Aucun traitements n'as calmé mes douleurs a la miction .
Merci encore de partager vos expériences ca fait avancé les choses . Je me reconnais beaucoup dans vos messages car j'ai passé les pires 5 années de ma vie . Je n'ai depuis plus eu de relations car baisse de la libido ( douleur chronique qui joue sur le moral … ) , peur d'avoir une relation a nouveau non protégé . J'ai comme l'impression de passer a travers d'une partie de ma jeunesse …
Malgré ca il faut continué de ca battre pour trouver le moyen d'aller mieux et on espère un jour trouver la solution a ce problème .
nordistefe
nordistefe
Dernière activité le 25/09/2022 à 14:36
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Bonjour a tous, merci pour vos expériences, à moi maintenant de vous partager mon problème. jai 25 ans et depuis 3 mois je souffre d’une prostatite chronique abactarienne.
ecbu -> rien
prise de sang -> rien
lexoflocacine -> pas d’effet
ecographie -> inflammation prostate
anti inflammatoire -> pas d’effet
je n’ai pas de douleurs ou de difficultés à uriner, cependant je vais uriner énormément facile 20 fois par J.
avez vous des solutions,traitements,remèdes à me proposer svp? Cela devient très pénible au quotidien...cordialement
Gilles30
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Gilles30
Dernière activité le 20/07/2024 à 20:14
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@nordistefe
Bonjour.
Pour ma part j'ai pris: Quercétine pour l'inflammation (très efficace), actuellement prostamol et huile de pépins de courge. Quasi plus de symptômes après 4 mois de traitement.
nordistefe
nordistefe
Dernière activité le 25/09/2022 à 14:36
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@Gilles30 combien de temps de prise pour quercétine ? Actuellement j’ai celexocib 100mg
puis je prendre prostamol malgré mon âge ? Car il est recommandé pour les + de 45 ans
merci
Gilles30
Bon conseiller
Gilles30
Dernière activité le 20/07/2024 à 20:14
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@nordistefe
Quercetine il faut mini 1 mois pour voir les effets. Pour le prostamol je ne sais pas il faut demander au médecin.
nordistefe
nordistefe
Dernière activité le 25/09/2022 à 14:36
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Bon bah après 14 jours de celexocib -> aucun effet
je vais devoir repartir voir l’urologue pour avoir un anti inflammatoire plus efficace...
Papa456
Papa456
Dernière activité le 30/11/2022 à 13:23
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Bonjour,
Je fais suite à mon premier et dernier poste, p31.
Le traitement évoqué est terminé est malheureusement les symptômes sont toujours là, certes, bien amoindris mais ils sont toujours présent.
Mon urologue m'a mis sous anti-inflammatoire (Nifuril en cachet matin-midi-soir) pour traiter l'inflammation, cela fera 2 semaine demain. Il m'a proposé un point dans 4-6 mois me disant que cela mettrait du temps à rentrer dans l'ordre, mais c'est bien la seule personne optimiste, surtout quand je lis tous les avis de ce forum.
Je ne sais plus quoi faire ni quoi prendre, je vais vraiment finir par faire une dépression si je n'en fais pas déjà une. Doit-on vraiment vivre avec ça? Est-ce la prostatite peut partir naturellement? Quels sont les traitements naturels ou non conseillés? Bref, un peu les questions du retour à 0.
Papa456
Papa456
Dernière activité le 30/11/2022 à 13:23
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Par ailleurs, après avoir vu de nombreux urologues, je n'ai pas réussi à trouver le meilleur. Avez-vous des recommandations sur Paris?
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Philippelo
Bonjour,
Je voulais à mon tour témoigner d’une guérison.
J’ai souffert d’une prostatite chronique pendant environ 10 ans, arrivée comme ça, sans événement particulier. 10 ans d’envies impérieuses, de gouttes retardataires, de stress, de déprime mais aussi de recherche… et puis ça va mieux.
J’ai lu et tenté comme tout le monde plein de recettes et méthodes … et je voulais faire part de celle qui a marché pour moi.
J’ai raisonné par pourcentage en me disant : qu'est-ce qui joue, en % sur la pénibilité de cette maladie ?
J’ai d’abord essayé d’en saisir les déclencheurs. J’avais lu que le stress, l’alcool, les exitants (caféine, théine), l’alimentation épicée étaient des amplificateurs de symptôme, sans vraiment y croire …
Avec le recul, je vois les choses comme ça (et c’est une perception totalement personnelle)
Stress (40%)
Oui, je l'ai longtemps nié mais l’aspect psychologique est très fort : il faut agir, d’une manière ou d’une autre sur le stress. La maladie se nourrit elle-même du stress qu’elle génère (t’es sûr que t’as pas envie de pisser, là ? sûr ?) … D’ailleurs rien que d’en parler … (!)
J’ai réalisé que je n’étais pas forcément conscient du stress que je subissais (ou me créais) : environnement professionnel, familial, fatigue, et maladie elle-même etc … Bizarrement ça diminuait beaucoup pendant les vacances.
J’ai appris, avec le temps, à lâcher prise d’une manière générale et les symptômes ont bien diminué … Un détail : je suis passé du caleçon au boxer, ça évite le stress de la dernière goutte ... j'ai mes petits rituels, je me nettoie soigneusement le gland avant de dormir notamment (et ça marche bien !)
M'écoutant sur cette maladie, ma femme lui a donné un nom ridicule qui l’a un peu remise à sa place (la prostatite, hein) : “la pissotte”.
Alcool (20%)
oui, des effets, sans aucun doute. Les lendemains de fête les symptômes étaient/sont plus forts, certains alcools particulièrement impactants (champagne, rhum blanc, whisky), d’autres presque bénéfiques (la bière notamment, avec un effet de purge, ou du moins l’ai-je vécu comme ça). Bon après, l’alcool, ça relaxe, donc effet sur le stress, bien sûr … mais attention les effets secondaires si trop grande quantité !
Je me suis fixé quelques règles : pas d’alcool avant le jeudi, par exemple … pas (trop) d’excès…
Alimentation (10%)
Je n’ai pas noté de vrai gros déclencheur. J’ai changé quelques habitudes : passé du thé au café puis à la chicorée mais sans me prendre la tête et en revenant à l’un ou l’autre de temps en temps … J’évite autant que possible le piment fort (ça c’est assez radical, en revanche).
Inconnu (10%)
Et puis parfois : une crise. Aucun signe vraiment annonciateur. Dans les salles de spectacle, notamment, comme si je me projetais sur scène alors que je suis dans le public ! Un peu de pression et ça recommence. J’en ai pris mon parti. Je n’angoisse plus : je sais que ça repartira tout seul.
Mécanique musculaire (20%) - j'ai pas trouvé plus parlant ...
j’ai essayé pas mal de médications mais rien n’a fonctionné. En revanche je m’astreins à faire du gainage, principalement assis sur une chaise : monter les genoux puis étendre les jambes à l’équerre : c’est quasi miraculeux ! La planche aussi, etc.
Tout ce qui permet de retenir les viscères pour éviter que “ça appuie” sur la zone sensible. D'ailleurs quand c’est trop fort je saisis les viscères à travers la peau du ventre et essaie de les remonter. Ça peut bien soulager … Parfois aussi, le travail digestif peut aider. Une gène ? je machouille un bout de pain ou autre et souvent, ça passe …
Bref, aujourd’hui, je m’estime quasi-guéri. Je sais que ça peut revenir mais aussi que ça peut disparaitre. Il n’y a pas eu de grande révolution, j’ai juste constaté un jour que je n’avais plus eu de vraie crise depuis longtemps et qu’il fallait peut-être que je partage ça avec ceux qui galèrent comme j’ai pu galérer …
Voilà : et donc surtout, relaaax !
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Philippelo
Bonjour,
Je voulais à mon tour témoigner d’une guérison.
J’ai souffert d’une prostatite chronique pendant environ 10 ans, arrivée comme ça, sans événement particulier. 10 ans d’envies impérieuses, de gouttes retardataires, de stress, de déprime mais aussi de recherche… et puis ça va mieux.
J’ai lu et tenté comme tout le monde plein de recettes et méthodes … et je voulais faire part de celle qui a marché pour moi.
J’ai raisonné par pourcentage en me disant : qu'est-ce qui joue, en % sur la pénibilité de cette maladie ?
J’ai d’abord essayé d’en saisir les déclencheurs. J’avais lu que le stress, l’alcool, les exitants (caféine, théine), l’alimentation épicée étaient des amplificateurs de symptôme, sans vraiment y croire …
Avec le recul, je vois les choses comme ça (et c’est une perception totalement personnelle)
Stress (40%)
Oui, je l'ai longtemps nié mais l’aspect psychologique est très fort : il faut agir, d’une manière ou d’une autre sur le stress. La maladie se nourrit elle-même du stress qu’elle génère (t’es sûr que t’as pas envie de pisser, là ? sûr ?) … D’ailleurs rien que d’en parler … (!)
J’ai réalisé que je n’étais pas forcément conscient du stress que je subissais (ou me créais) : environnement professionnel, familial, fatigue, et maladie elle-même etc … Bizarrement ça diminuait beaucoup pendant les vacances.
J’ai appris, avec le temps, à lâcher prise d’une manière générale et les symptômes ont bien diminué … Un détail : je suis passé du caleçon au boxer, ça évite le stress de la dernière goutte ... j'ai mes petits rituels, je me nettoie soigneusement le gland avant de dormir notamment (et ça marche bien !)
M'écoutant sur cette maladie, ma femme lui a donné un nom ridicule qui l’a un peu remise à sa place (la prostatite, hein) : “la pissotte”.
Alcool (20%)
oui, des effets, sans aucun doute. Les lendemains de fête les symptômes étaient/sont plus forts, certains alcools particulièrement impactants (champagne, rhum blanc, whisky), d’autres presque bénéfiques (la bière notamment, avec un effet de purge, ou du moins l’ai-je vécu comme ça). Bon après, l’alcool, ça relaxe, donc effet sur le stress, bien sûr … mais attention les effets secondaires si trop grande quantité !
Je me suis fixé quelques règles : pas d’alcool avant le jeudi, par exemple … pas (trop) d’excès…
Alimentation (10%)
Je n’ai pas noté de vrai gros déclencheur. J’ai changé quelques habitudes : passé du thé au café puis à la chicorée mais sans me prendre la tête et en revenant à l’un ou l’autre de temps en temps … J’évite autant que possible le piment fort (ça c’est assez radical, en revanche).
Inconnu (10%)
Et puis parfois : une crise. Aucun signe vraiment annonciateur. Dans les salles de spectacle, notamment, comme si je me projetais sur scène alors que je suis dans le public ! Un peu de pression et ça recommence. J’en ai pris mon parti. Je n’angoisse plus : je sais que ça repartira tout seul.
Mécanique musculaire (20%) - j'ai pas trouvé plus parlant ...
j’ai essayé pas mal de médications mais rien n’a fonctionné. En revanche je m’astreins à faire du gainage, principalement assis sur une chaise : monter les genoux puis étendre les jambes à l’équerre : c’est quasi miraculeux ! La planche aussi, etc.
Tout ce qui permet de retenir les viscères pour éviter que “ça appuie” sur la zone sensible. D'ailleurs quand c’est trop fort je saisis les viscères à travers la peau du ventre et essaie de les remonter. Ça peut bien soulager … Parfois aussi, le travail digestif peut aider. Une gène ? je machouille un bout de pain ou autre et souvent, ça passe …
Bref, aujourd’hui, je m’estime quasi-guéri. Je sais que ça peut revenir mais aussi que ça peut disparaitre. Il n’y a pas eu de grande révolution, j’ai juste constaté un jour que je n’avais plus eu de vraie crise depuis longtemps et qu’il fallait peut-être que je partage ça avec ceux qui galèrent comme j’ai pu galérer …
Voilà : et donc surtout, relaaax !
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miguel1975
miguel1975
Dernière activité le 06/05/2023 à 10:29
Inscrit en 2015
1 commentaire posté | 1 dans le forum Prostatite
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Ami
Miguel, 40 ans, Nantes avec une prostatite chronique depuis début 2015
Bonjour,
Tout d’abord merci d’avoir créé un blog pour cette maladie méconnue !
Pour ma part j’ai subi en début d’année une résection du col vésical (clapet à la sortie de la vessie) qui était trop rigide et déclenchait chez moi entre 10 à 15 mictions par jour.
Cette opération a eu lieu le 12 janvier 2015 et ensuite j’ai été sous traitement anti-inflammatoire pendant 1 mois et tout se passait bien, à l’arrêt de mon traitement j’ai constaté quelques jours après des brulures lorsque j’urinais et des douleurs dans les bourses et c’était le début de la galère !
J’ai été hospitalisé dans un 1er temps pour une prostatite aigue au mois de mars 2015 pendant 7 jours ou j’ai subi un traitement antibiotiques et antidouleurs ensuite retour à la maison avec un traitement de 2 mois sous antidouleurs et anti-inflammatoires par voie orale.
Pendant cette période la douleur a toujours été présente mais supportable, le gros inconvénient est une baisse de la libido et pendant les crises aigu et une éjaculation rétrograde.
Au mois de mai de retour une grise violente avec des douleurs pelviennes insupportable (j’avais stoppé mon traitement), je rappelle la clinique et je suis de nouveau hospitalisé et recommence un traitement par voie intraveineuse d’antibiotiques et d’antidouleurs pendant 5 jours. A ma sortie un traitement par voie oral m’attendait avec du Tramadol pour la gestion de la douleur, l’antibiotique Cefixine (Oroken) pour traiter le germe et du Seroplex soit disant pour « chinter » l’information à mon cerveau que j’ai mal et eux pendant une durée de 6 mois!
Ce dernier étant un antidépresseur je pense que mon Urologue n’a pas eu le courage de me dire qu’il souhaitait traité une éventuelle baisse de morale !
Pendant ce traitement les douleurs au niveau de la vessie et des bourses ne me quitte guère même si elles sont peu douloureuses !
Aujourd’hui je suis de nouveau à la clinique, encore une crise !
Rebelote je suis de nouveau sous traitement antibiotiques et antidouleurs, 4 jours d’hospitalisation (Septembre 2015) car le traitement est par voie intraveineuse !
On va me poser un cathéter veineux par voie centrale avec une pompe afin de pouvoir me traiter sous antibiotique « Tienam » pendant un mois et bien entendu je continu mon traitement par voie oral d’antidouleur « Tramadol ».
D’autre part j’ai pris RDV dans un centre antidouleurs à Nantes (4 mois d’attente), j’ai RDV le 21 octobre 2015, j’espère qu’ils auront un traitement efficace à me proposer !
Cette maladie est compliqué car mal connu par mon entourage et cela ne se voit pas alors si physiquement je présente bien pour eux tout va bien !
C’est pourtant pas le cas, je suis fatigué et depuis le début de mon traitement en Mars il m’est difficile de tenir éveiller des longues journées et il faut que je tienne car je suis Cadre dans l’industrie et mes clients commence à dire « Il est encore en arrêt ».
Et oui même si je fais tout pour limiter mes absences au travail j’ai été obligé de stopper mon activité pendant mes hospitalisations et 3 semaines après l’hospitalisation du mois de mars car j’étais très fatigué !
Mon patron est compréhensible mais va-t-il accepter cette situation pendant plusieurs mois ou plusieurs années je le crains !
Moi je ne tiendrais pas pendant plusieurs années, je veux retrouver ma vie d’avant avec une libido épanoui, un bon moral et surtout plus de douleurs !
Si des personnes vivent ou ont vécu la même situation je serais heureux de partager un moment d’échange avec eux.
Miguel