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Patients Prostatite
Une prostatite chronique depuis janvier 2015
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Bichou89
Bichou89
Dernière activité le 01/11/2024 à 12:38
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@swarzy
Salut j'espère que t vas bien ! Je t connais pas quelqu'un de désespéré monsieur !
Qu'est ce qui as changé pour dire ça ?
Swarzy
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Swarzy
Dernière activité le 19/03/2023 à 08:32
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Bonjour.
Nan juste que ça fait trois ans et je vois bien que je guerri pas.
Des fois ça va mieux mais des fois des symptômes reviennent j en déduit donc que la guérison est chimérique comme j ai pu le lire..
Ça m énerve de devoir vivre a 50 % a cause d une prostate...
De vivre avec des pincettes pour ne pas avoir de symptômes voilà tout.
Notamment arrêter le café et l alcool...
Voilà je suis surtout réaliste.
tawan77
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tawan77
Dernière activité le 28/09/2024 à 11:35
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@Swarzy
Salut l'ami, en réponse rapide, non, on n'enlève pas complètement la prostate pour traiter une prostatite. Car les conséquences sont sévères. Plus d'érection du tout, incontinence, ect...
En outre, rien ne garanti que cela résolve les symptomes.
Par contre demandes a ton chirurgien s'il pratique les résections de prostate. C'est l'opération que j'ai réalisé en novembre 2020. En gros il enlève des "copeaux" de prostate à travers l'uretre. Ca peut traiter certaines causes de prostatite et il faut discuter avec le médecin si cela peut ou non t’être bénéfique.
Cette solution, reste néanmoins peu utilisée par les urologues car cela reste invasif et encore une fois, rien ne garanti que cela peut améliorer les problemes. Cela peut aussi les empirer...
Elle a également pour conséquence une éjaculation rétrograde systématique. (c'est embetant mais tres acceptable) Et pour certains des problemes érectile (pas chez moi heureusement).
Je ne regrette absolument pas ce choix car je n'ai plus de problemes avec ma prostate depuis l’opération.
Bonne journée à toi
Swarzy
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Swarzy
Dernière activité le 19/03/2023 à 08:32
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Ok merci @tawan77
Pour cette explication.
Je peux te poser une question je vois que tu es présent depuis de nombreuses années sur ce forum.
Si ton problème est résolu pourquoi tu participes encore a répondre sur le forum ?
Attention ma demande n'est en aucun cas une critique.
De toute façon cette maladie n'est en aucun cas prise au sérieux par la médecine car méconnue.
Je comprends pas que personne n'en parle dans la société ou alors que sur ces forums spécialisés.
Je te remercie encore de tes explications.
tawan77
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tawan77
Dernière activité le 28/09/2024 à 11:35
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Re bonjour @Swarzy
Je participe toujours pour partager mon expérience. Le but d'un forum est de confronter les histoires vécues et échanger avec une communauté qui se rassemble autour d'un sujet commun. Ici c'est la prostatite.
Je ne pense plus (je le pensais avant) qu'on guérisse d'une prostatite. C'est un probleme qu'on traine potentiellement à vie. Il va et viens selon les années. J'ai eu une "rémission" entre 2013 et 2019 ou je pensais etre "guéri" puis un nouvel épisode s'est pointé.
Cette opération m'a apporté un confort de vie dans le sens ou je n'ai pas eu d'infection depuis fin 2019. Cela ne veux pas dire que ca ne reviendra pas un jour.
Comme toi, je pense que la prostatite devrait etre une maladie plus médiatisée, et nous, les victimes de cette maladie devons participer à mieux la faire connaitre.
En outre beaucoup de forumeurs ne viennent que lorsque cela va mal. C'est dommage car il faut aussi venir témoigner lorsque cela va mieux :)
bonne journée à toi
Bichou89
Bichou89
Dernière activité le 01/11/2024 à 12:38
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@Swarzy personnellement quand ça empire j fait recours aux anti inflammatoire. Ça Procure un peu de saulagement temporaire heureusement. Mais j'essaie de ne pas abusé sauf au cas où les doulours sont insupportables.
C'est tout ce qui m'aide pour l'instant
Nagumo
Nagumo
Dernière activité le 26/05/2022 à 16:40
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Salut,
Et bien voilà elle est revenue après presque 2 ans d'absence je dirai, sachant que ma première prostatite date de 2012, 10 ans déjà avec des hauts et des bas mais surtout plusieurs années de dérèglements neurologiques, de grosses crises de fibromyalgie sans doute liées à mon nerf pudendal endommagé par mes prostatites à répétitions durant les premières années.
Comme nombreux j'ai vu beaucoup de médecins et d'urologues, mais je dirai que c'est à l'institut fournier que l'on traite le mieux, quand celle ci est infectieuse. Pour moi avoir une prostatite chronique c'est commencer par une prostatite infectieuse, qui se soigne pas divers moyens mais qui se prolonge des semaines et des mois par des douleurs qui persistent alors que la bactérie n'est plus là. Dans mon cas les dernières expériences sont liées à des fellations, qui n'ont parfois durée que quelques secondes ... J'ai cherché quelle pouvaient bien être la bactérie qui pouvait me faire autant de mal et résidant dans la bouche de ma partenaire qui est sans aucun doute saine de toute IST. J'ai longtemps cru à la candidose et j'ai fait donc une cure de Monolaurine, j'ai trouvé cela un peu efficace au début mais en réalité pas vraiment ...
En lisant ce forum de fond en comble je pense qu'E coli est sans doute la cause de mes maux. Quand on a eu une prostatite sévère et qui l'a bien abimée pour toujours, la moindre petite bactérie invisible avec la majorité des tests peut vous bousiller la vie.... Ce qui me donne de l'espoir c'est que j'ai eu plusieurs années sans problèmes et que les dernières rechutes sont liées à la même pratique.
Beaucoup d'Urologue vous ferons passer cela pour des douleurs chroniques et vous ferons prendre des antidépresseurs, voir du Lirica comme j'en ai pris longtemps. Plus jamais !
Je prends actuellement de l'huile de pepin de courges, Quercetine, Tadenan et Tamsulosine en plus du Monolaurine. Le résultat est pas fou mais j'ai des jours avec et des jours sans, pour les douleurs anales quand la prostate irradie un peu trop la zone, je conseille Doliprane en suppositoire avec de la betadine ou Titanoréïne en traitement un par soir c'est assez efficace.
Autre recommandation, éviter trop de masturbation, la caféine ... et l'alcool dans la mesure du possible. Une vie de moine quoi ....
Je vais essayer de faire un test de stamey semaine prochaine à l'institut Fournier en espérant qu'ils me trouvent quelques chose, mais sans trop avoir envie de reprendre des antiobio qui peuvent m'attaquer les tendons, je fais pas mal de sport...
Bon je vous en dirai plus si j'ai de bonnes nouvelles ! mais je garde espoir dans mon cas vu les longues périodes d'accalmie.
Swarzy
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Swarzy
Dernière activité le 19/03/2023 à 08:32
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Bonjour a tous,
Pour moi les prostatites sont toutes bactériennes j en suis convaincu.
Une prostate ne s'emflamme pas toute seule il faut arrêter avec ça. J ai lu tous les articles qui existent sur. Cette maladie...
Maintenant moi j' ai tout fait même stammey a paris, deux spermocultures jamais rien trouvé....
Uniquement des globules blancs dans l urine, plusieurs ecbu sans jamais de germes.
A 90 %. C'est écoli dans la prostate c'est certain.
Maintenant le dilemme c'est de prendre les fluoroquilones deux mois ... Sans garantir une guérison mais avec des effets dévastateurs certains.
Quand je lis des gens qui prennent ça comme des bonbons je suis stupéfait.
Bref en fait c'est une maladie qui pour se soigner peut rendre une personne malade ailleurs a cause des antibiotiques.
Je vous invite à lire les articles sur ces antibiotiques vous verrez.
Je pense que malheureusement j en prendrai pas car si je dois arrêter le sport ma vie s arrête.
Bonne fête de Pâques à tout le monde
Gilles30
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Gilles30
Dernière activité le 20/07/2024 à 20:14
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@Swarzy
Il faut faire attention de ne pas tout mettre sur le compte de la prostate, surtout dans votre cas sans aucune infection mais une inflammation (globules blancs).
Essayez de voir si le problème n'est pas neurologique.
Par ex la névralgie pudendale crée les mêmes symptômes.
Nagumo
Nagumo
Dernière activité le 26/05/2022 à 16:40
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@Gilles30 pour ceux qui recherchent dans cette direction je conseille le Pr Gérard Amarenco, neuro-urologiste à l’Assistance Publique des Hôpitaux de Paris. Me concernant le diagnostic a été négatif mais ça m’a permis d’avancer avec un autre neurologue pour mes crises de fibromyalgie.
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Les membres participent aussi...
Philippelo
Bonjour,
Je voulais à mon tour témoigner d’une guérison.
J’ai souffert d’une prostatite chronique pendant environ 10 ans, arrivée comme ça, sans événement particulier. 10 ans d’envies impérieuses, de gouttes retardataires, de stress, de déprime mais aussi de recherche… et puis ça va mieux.
J’ai lu et tenté comme tout le monde plein de recettes et méthodes … et je voulais faire part de celle qui a marché pour moi.
J’ai raisonné par pourcentage en me disant : qu'est-ce qui joue, en % sur la pénibilité de cette maladie ?
J’ai d’abord essayé d’en saisir les déclencheurs. J’avais lu que le stress, l’alcool, les exitants (caféine, théine), l’alimentation épicée étaient des amplificateurs de symptôme, sans vraiment y croire …
Avec le recul, je vois les choses comme ça (et c’est une perception totalement personnelle)
Stress (40%)
Oui, je l'ai longtemps nié mais l’aspect psychologique est très fort : il faut agir, d’une manière ou d’une autre sur le stress. La maladie se nourrit elle-même du stress qu’elle génère (t’es sûr que t’as pas envie de pisser, là ? sûr ?) … D’ailleurs rien que d’en parler … (!)
J’ai réalisé que je n’étais pas forcément conscient du stress que je subissais (ou me créais) : environnement professionnel, familial, fatigue, et maladie elle-même etc … Bizarrement ça diminuait beaucoup pendant les vacances.
J’ai appris, avec le temps, à lâcher prise d’une manière générale et les symptômes ont bien diminué … Un détail : je suis passé du caleçon au boxer, ça évite le stress de la dernière goutte ... j'ai mes petits rituels, je me nettoie soigneusement le gland avant de dormir notamment (et ça marche bien !)
M'écoutant sur cette maladie, ma femme lui a donné un nom ridicule qui l’a un peu remise à sa place (la prostatite, hein) : “la pissotte”.
Alcool (20%)
oui, des effets, sans aucun doute. Les lendemains de fête les symptômes étaient/sont plus forts, certains alcools particulièrement impactants (champagne, rhum blanc, whisky), d’autres presque bénéfiques (la bière notamment, avec un effet de purge, ou du moins l’ai-je vécu comme ça). Bon après, l’alcool, ça relaxe, donc effet sur le stress, bien sûr … mais attention les effets secondaires si trop grande quantité !
Je me suis fixé quelques règles : pas d’alcool avant le jeudi, par exemple … pas (trop) d’excès…
Alimentation (10%)
Je n’ai pas noté de vrai gros déclencheur. J’ai changé quelques habitudes : passé du thé au café puis à la chicorée mais sans me prendre la tête et en revenant à l’un ou l’autre de temps en temps … J’évite autant que possible le piment fort (ça c’est assez radical, en revanche).
Inconnu (10%)
Et puis parfois : une crise. Aucun signe vraiment annonciateur. Dans les salles de spectacle, notamment, comme si je me projetais sur scène alors que je suis dans le public ! Un peu de pression et ça recommence. J’en ai pris mon parti. Je n’angoisse plus : je sais que ça repartira tout seul.
Mécanique musculaire (20%) - j'ai pas trouvé plus parlant ...
j’ai essayé pas mal de médications mais rien n’a fonctionné. En revanche je m’astreins à faire du gainage, principalement assis sur une chaise : monter les genoux puis étendre les jambes à l’équerre : c’est quasi miraculeux ! La planche aussi, etc.
Tout ce qui permet de retenir les viscères pour éviter que “ça appuie” sur la zone sensible. D'ailleurs quand c’est trop fort je saisis les viscères à travers la peau du ventre et essaie de les remonter. Ça peut bien soulager … Parfois aussi, le travail digestif peut aider. Une gène ? je machouille un bout de pain ou autre et souvent, ça passe …
Bref, aujourd’hui, je m’estime quasi-guéri. Je sais que ça peut revenir mais aussi que ça peut disparaitre. Il n’y a pas eu de grande révolution, j’ai juste constaté un jour que je n’avais plus eu de vraie crise depuis longtemps et qu’il fallait peut-être que je partage ça avec ceux qui galèrent comme j’ai pu galérer …
Voilà : et donc surtout, relaaax !
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Philippelo
Bonjour,
Je voulais à mon tour témoigner d’une guérison.
J’ai souffert d’une prostatite chronique pendant environ 10 ans, arrivée comme ça, sans événement particulier. 10 ans d’envies impérieuses, de gouttes retardataires, de stress, de déprime mais aussi de recherche… et puis ça va mieux.
J’ai lu et tenté comme tout le monde plein de recettes et méthodes … et je voulais faire part de celle qui a marché pour moi.
J’ai raisonné par pourcentage en me disant : qu'est-ce qui joue, en % sur la pénibilité de cette maladie ?
J’ai d’abord essayé d’en saisir les déclencheurs. J’avais lu que le stress, l’alcool, les exitants (caféine, théine), l’alimentation épicée étaient des amplificateurs de symptôme, sans vraiment y croire …
Avec le recul, je vois les choses comme ça (et c’est une perception totalement personnelle)
Stress (40%)
Oui, je l'ai longtemps nié mais l’aspect psychologique est très fort : il faut agir, d’une manière ou d’une autre sur le stress. La maladie se nourrit elle-même du stress qu’elle génère (t’es sûr que t’as pas envie de pisser, là ? sûr ?) … D’ailleurs rien que d’en parler … (!)
J’ai réalisé que je n’étais pas forcément conscient du stress que je subissais (ou me créais) : environnement professionnel, familial, fatigue, et maladie elle-même etc … Bizarrement ça diminuait beaucoup pendant les vacances.
J’ai appris, avec le temps, à lâcher prise d’une manière générale et les symptômes ont bien diminué … Un détail : je suis passé du caleçon au boxer, ça évite le stress de la dernière goutte ... j'ai mes petits rituels, je me nettoie soigneusement le gland avant de dormir notamment (et ça marche bien !)
M'écoutant sur cette maladie, ma femme lui a donné un nom ridicule qui l’a un peu remise à sa place (la prostatite, hein) : “la pissotte”.
Alcool (20%)
oui, des effets, sans aucun doute. Les lendemains de fête les symptômes étaient/sont plus forts, certains alcools particulièrement impactants (champagne, rhum blanc, whisky), d’autres presque bénéfiques (la bière notamment, avec un effet de purge, ou du moins l’ai-je vécu comme ça). Bon après, l’alcool, ça relaxe, donc effet sur le stress, bien sûr … mais attention les effets secondaires si trop grande quantité !
Je me suis fixé quelques règles : pas d’alcool avant le jeudi, par exemple … pas (trop) d’excès…
Alimentation (10%)
Je n’ai pas noté de vrai gros déclencheur. J’ai changé quelques habitudes : passé du thé au café puis à la chicorée mais sans me prendre la tête et en revenant à l’un ou l’autre de temps en temps … J’évite autant que possible le piment fort (ça c’est assez radical, en revanche).
Inconnu (10%)
Et puis parfois : une crise. Aucun signe vraiment annonciateur. Dans les salles de spectacle, notamment, comme si je me projetais sur scène alors que je suis dans le public ! Un peu de pression et ça recommence. J’en ai pris mon parti. Je n’angoisse plus : je sais que ça repartira tout seul.
Mécanique musculaire (20%) - j'ai pas trouvé plus parlant ...
j’ai essayé pas mal de médications mais rien n’a fonctionné. En revanche je m’astreins à faire du gainage, principalement assis sur une chaise : monter les genoux puis étendre les jambes à l’équerre : c’est quasi miraculeux ! La planche aussi, etc.
Tout ce qui permet de retenir les viscères pour éviter que “ça appuie” sur la zone sensible. D'ailleurs quand c’est trop fort je saisis les viscères à travers la peau du ventre et essaie de les remonter. Ça peut bien soulager … Parfois aussi, le travail digestif peut aider. Une gène ? je machouille un bout de pain ou autre et souvent, ça passe …
Bref, aujourd’hui, je m’estime quasi-guéri. Je sais que ça peut revenir mais aussi que ça peut disparaitre. Il n’y a pas eu de grande révolution, j’ai juste constaté un jour que je n’avais plus eu de vraie crise depuis longtemps et qu’il fallait peut-être que je partage ça avec ceux qui galèrent comme j’ai pu galérer …
Voilà : et donc surtout, relaaax !
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miguel1975
miguel1975
Dernière activité le 06/05/2023 à 10:29
Inscrit en 2015
1 commentaire posté | 1 dans le forum Prostatite
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Ami
Miguel, 40 ans, Nantes avec une prostatite chronique depuis début 2015
Bonjour,
Tout d’abord merci d’avoir créé un blog pour cette maladie méconnue !
Pour ma part j’ai subi en début d’année une résection du col vésical (clapet à la sortie de la vessie) qui était trop rigide et déclenchait chez moi entre 10 à 15 mictions par jour.
Cette opération a eu lieu le 12 janvier 2015 et ensuite j’ai été sous traitement anti-inflammatoire pendant 1 mois et tout se passait bien, à l’arrêt de mon traitement j’ai constaté quelques jours après des brulures lorsque j’urinais et des douleurs dans les bourses et c’était le début de la galère !
J’ai été hospitalisé dans un 1er temps pour une prostatite aigue au mois de mars 2015 pendant 7 jours ou j’ai subi un traitement antibiotiques et antidouleurs ensuite retour à la maison avec un traitement de 2 mois sous antidouleurs et anti-inflammatoires par voie orale.
Pendant cette période la douleur a toujours été présente mais supportable, le gros inconvénient est une baisse de la libido et pendant les crises aigu et une éjaculation rétrograde.
Au mois de mai de retour une grise violente avec des douleurs pelviennes insupportable (j’avais stoppé mon traitement), je rappelle la clinique et je suis de nouveau hospitalisé et recommence un traitement par voie intraveineuse d’antibiotiques et d’antidouleurs pendant 5 jours. A ma sortie un traitement par voie oral m’attendait avec du Tramadol pour la gestion de la douleur, l’antibiotique Cefixine (Oroken) pour traiter le germe et du Seroplex soit disant pour « chinter » l’information à mon cerveau que j’ai mal et eux pendant une durée de 6 mois!
Ce dernier étant un antidépresseur je pense que mon Urologue n’a pas eu le courage de me dire qu’il souhaitait traité une éventuelle baisse de morale !
Pendant ce traitement les douleurs au niveau de la vessie et des bourses ne me quitte guère même si elles sont peu douloureuses !
Aujourd’hui je suis de nouveau à la clinique, encore une crise !
Rebelote je suis de nouveau sous traitement antibiotiques et antidouleurs, 4 jours d’hospitalisation (Septembre 2015) car le traitement est par voie intraveineuse !
On va me poser un cathéter veineux par voie centrale avec une pompe afin de pouvoir me traiter sous antibiotique « Tienam » pendant un mois et bien entendu je continu mon traitement par voie oral d’antidouleur « Tramadol ».
D’autre part j’ai pris RDV dans un centre antidouleurs à Nantes (4 mois d’attente), j’ai RDV le 21 octobre 2015, j’espère qu’ils auront un traitement efficace à me proposer !
Cette maladie est compliqué car mal connu par mon entourage et cela ne se voit pas alors si physiquement je présente bien pour eux tout va bien !
C’est pourtant pas le cas, je suis fatigué et depuis le début de mon traitement en Mars il m’est difficile de tenir éveiller des longues journées et il faut que je tienne car je suis Cadre dans l’industrie et mes clients commence à dire « Il est encore en arrêt ».
Et oui même si je fais tout pour limiter mes absences au travail j’ai été obligé de stopper mon activité pendant mes hospitalisations et 3 semaines après l’hospitalisation du mois de mars car j’étais très fatigué !
Mon patron est compréhensible mais va-t-il accepter cette situation pendant plusieurs mois ou plusieurs années je le crains !
Moi je ne tiendrais pas pendant plusieurs années, je veux retrouver ma vie d’avant avec une libido épanoui, un bon moral et surtout plus de douleurs !
Si des personnes vivent ou ont vécu la même situation je serais heureux de partager un moment d’échange avec eux.
Miguel