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Patients Prostatite
Une prostatite chronique depuis janvier 2015
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Math974
Math974
Dernière activité le 02/11/2024 à 06:46
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9 commentaires postés | 9 dans le forum Prostatite
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@bru13100 voilà 6 ans que je souffre d’hemospermie avec troubles de la miction sans avoir mis le doigt sur quelque chose de probant. Je n’ai que 32 ans et j’avoue que la situation me Frustré énormément. Le seul test que je n’6pas fais jusqu’à ce jours c’est la cystoscopie… peut tu me dire si ce test est « rapide », douloureux et si on peut nous administrer des « tranquillisants » … j’avoue que le simple fait de savoir que quelque chose va devoir emprunter ce chemin me fait partir en courant.
bru13100
bru13100
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@Math974
Salut
Si tu es anxieux comme moi, te dire que ce n'est pas douloureux reviendrait à te mentir. Bien que la perception de la douleur soit subjective. Par contre, l'examen en lui-même est rapide, ça a duré peut-être 3 minutes maxi dans mon cas.
En fait, après t'avoir désinfecté, on te met rapidement un anesthésique local (lidocaïne je pense) dans l'urètre mais, on ve pas se mentir, tu sens tout de même bien le fibroscope y passer. Mais c'est rapide. Ensuite, une fois dans la vessie, l'urologue t'envoie une petite quantité d'eau pour bien examiner l'intérieur. C'est donc assez désagréable mais ça reste supportable. Et, surtout, c'est l'examen roi pour éliminer pas mal de pathologies ennuyeuses ou graves (sténose, lithiase, cystite interstitielle, polypes, tumeurs planes, etc).
Pour gérer mes douleurs chroniques, je vaporise également du cannabis, c'est illégal mais je préfère ça au tramadol, je ne sais pas si ça m'a aidé mais au moins j'étais un peu endormi avant l'examen.
Ha et j'oubliais. Tu vas avoir un peu mal quand tu vas aller uriner les fois suivantes. Là je n'ai plus de brûlures mais encore une légère gêne assez profonde . Je pense que ça va mettre quelques jours à passer.
N'hésite donc pas à en faire une si l'urologue te le propose car tu seras déjà beaucoup plus avancé sur ce que tu as lorsque l'examen aura éliminé les pathologies courantes.
En tout cas, sang dans le sperme, troubles de la miction (lesquels ??), ça pourrait être une prostatite chronique.
Bonne journée !
tawan77
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tawan77
Dernière activité le 28/09/2024 à 11:35
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@bru13100 Salut,
J'ai eu exactement le Même diagnostique que toi à l'époque :)
Je te confirmes qu'un col vésical trop "tonique" (serré) peut entrainer des douleurs, des stase urinaire et des parfois des infections. (prostatites, cystites, urétrites)
Par contre je n'ai pas trouvé la cytoscopie douloureuse. Pas confortable certes, mais pas de douleurs à proprement parlé.
tawan77
Bon conseiller
tawan77
Dernière activité le 28/09/2024 à 11:35
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@bru13100 regardes le compte rendu pre op
bru13100
bru13100
Dernière activité le 13/12/2021 à 13:38
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@tawan77
Salut !
C'est pour ça que j'ai dit que la perception de la douleur était subjective. J'avais déjà une grosse appréhension et je n'étais pas détendu, j'avais peur que le cystoscope ne passe pas dans l'urètre et qu'on me dise "monsieur vous avez une sténose". Du coup dès que l'urologue a introduit le fibroscope, j'ai senti quelque chose de très désagréable. Et, à vrai dire, rien que le fait d'en parler me fait encore mal. 24h après, j'ai plus mal quand j'urine mais j'ai toujours une douleur dans l'urètre. L'examen le plus traumatisant que j'ai fait, ça c'est clair ! Si on m'avait proposé une anesthésie générale comme pour d'autres examens, j'aurais dit oui sans souci.
Et oui, je pense que cette particularité anatomique nous conduit à développer plus facilement une prostatite chronique. Je n'ai jamais eu une seule infection sur un ECBU.
Mais ai-je une prostatite chronique ou ce col vésical suffit il à lui seul à générer l'ensemble de mes symptômes ? C'est la question à laquelle je vais essayer de répondre dans les prochains mois car je ne vais rien lâcher. On va déjà voir si les alpha bloquants agissent, normalement ça devrait être rapide... Je suis déjà content de ne pas avoir une sténose ou une pathologie plus ... grave.
As-tu un lobe médian au niveau de ta prostate ?
Intéressant ton document, il faudrait peut-être que je demande à faire une IRM prostatique. J'ai rendez-vous dans un mois et demi chez un urologue plus côté, un chef de service, on va voir ce qu'il pense de tout ça. Car j'ai tout de même presque tout fait désormais.
Bonne journée à toi
Luminessence0088
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Luminessence0088
Dernière activité le 27/01/2024 à 14:54
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MaxNi27
MaxNi27
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Bonjour , j’ai lu beaucoup de choses intéressantes sur ce forum . Je vous décris mes symptômes , j’ai contracté une bactérie chlamydia il y a une dizaine d’année , mal traitée et finit par un long traitement de bactrim et oflocet par l’urologue qui m’a diagnostiqué une uretro prostatite . J’ai réussis à atténuer mes symptômes de douleurs pelviennes avec des gélules de bruyère/busserole , mais j’ai re contracté cette bactérie il y a peu très vite traitée par azythromicine et oflcet 7jours . Mais depuis les douleurs pelviennes n’ont pas disparu , et probablement encore quelque reste d’uretrite ou meatite plutôt gênante . Avez vous des recommandations ? J’aimerai beaucoup me pencher sur le test de stamey ou même aller jusqu’à la chirurgie laser en espérant que cela puisse m’aider à guérir de tout ces symptômes . Pensez vous que le traitement antibiotique complété d’un massage prostatique est bénéfique ?
MaxNi27
MaxNi27
Dernière activité le 03/06/2024 à 07:55
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tawan77
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tawan77
Dernière activité le 28/09/2024 à 11:35
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@MaxNi27
Salut,
Le test de stamey est la priorité comme tu l'a surement lu sur les pages du Forum. Il est l'examen le plus adapté pour savoir si ta prostatite est bactérienne ou pas. (Je ne comprend toujours pas pourquoi les médecins n'y ont pas recours plus souvent ou sont si réticent à le proposer...)
La spermoculture est un examen alternatif si aucun labo autour de chez toi ne propose le test de stamey.
En fonction des résultats et si tu as de la "chance" d'avoir une bactérie identifiée lors de ce test, tu aura un traitement antibio ciblé pour éradiquer la bactérie.
Même si le résultat est négatif, en pratique, un traitement d'épreuve a base d'antibio à large spectre, et de longue durée (< 4-6 semaines) est souvent mis en place par les urologues. Parfois les patients ont la chance de bien y répondre et de voir leur situation s'améliorer, durablement ou pas.
Tu évoques une chirurgie, qui est aussi une option dans certains cas mais c'est probablement le traitement de dernier recours. D'une part car il a des conséquences sur ta sexualité (éjaculation rétrograde) et d'autre part car on ne peut opérer QUE si il n'y a aucune infection (sous peine de disséminer l'infection dans toute la prostate, ce qui est bien entendu à éviter).
Le laser n'est pas forcément indiqué. La méthode de résection classique est souvent privilégiée car le chirurgien peut "creuser" la ou la prostate est endommagée. Avec le laser, il y a moins de marges de manœuvre. C'est un outil plutot utilsé pour les adénomes. (je ne fait que répéter ce que mon chirurgien m'a dit)
voila voila, bon courage !
tawan77
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tawan77
Dernière activité le 28/09/2024 à 11:35
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@bru13100
Salut comment va tu ?
De ce que j'ai entendu des médecins oui, le col vésical peut etre à l’origine de tes problèmes en effet. C'est une cause possible, et les conséquences sont les infections et inflammations (prostatites).
En réalité, mon chirurgien n'a pas pu etre totalement sûr à ce sujet. Il m'avait dit qu'il ferait une résection de la prostate ET du col vésical.
Ca voulait surement dire qu'il n'était pas 100% sûr de savoir si mon problème était situé sur le col ou au niveau de la prostate ou même autre chose (canal éjaculateur obstrué, acini bouché ect...).
Dans le doute, il a traité toutes les causes possible : Il a "élargi" le col vésical et la partie de l'urètre prostatique et "cureté" la partie centrale de la prostate.
J'avais un col vésical tres serré et un débit assez faible, donc ca pouvait causer une rétention, des stases urinaire ou reflux... impossible de vraiment savoir en fait, mais je t'avoue qu'a partir du moment ou mes ennuis et mes douleurs ont disparues, c'est le cadet de mes soucis 😁
Pour rappel, opération en novembre 2020 soit 15 mois et plus d'infections ni douleurs depuis cette date. Il m'arrive d'avoir un inconfort minime, temporaire lorsque je ne bois pas assez d'eau OU lorsque j'ai une activité sexuelle trop intense (rapports trop rapprochés, ca doit solliciter un peu trop la prostate).
@+
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Philippelo
Bonjour,
Je voulais à mon tour témoigner d’une guérison.
J’ai souffert d’une prostatite chronique pendant environ 10 ans, arrivée comme ça, sans événement particulier. 10 ans d’envies impérieuses, de gouttes retardataires, de stress, de déprime mais aussi de recherche… et puis ça va mieux.
J’ai lu et tenté comme tout le monde plein de recettes et méthodes … et je voulais faire part de celle qui a marché pour moi.
J’ai raisonné par pourcentage en me disant : qu'est-ce qui joue, en % sur la pénibilité de cette maladie ?
J’ai d’abord essayé d’en saisir les déclencheurs. J’avais lu que le stress, l’alcool, les exitants (caféine, théine), l’alimentation épicée étaient des amplificateurs de symptôme, sans vraiment y croire …
Avec le recul, je vois les choses comme ça (et c’est une perception totalement personnelle)
Stress (40%)
Oui, je l'ai longtemps nié mais l’aspect psychologique est très fort : il faut agir, d’une manière ou d’une autre sur le stress. La maladie se nourrit elle-même du stress qu’elle génère (t’es sûr que t’as pas envie de pisser, là ? sûr ?) … D’ailleurs rien que d’en parler … (!)
J’ai réalisé que je n’étais pas forcément conscient du stress que je subissais (ou me créais) : environnement professionnel, familial, fatigue, et maladie elle-même etc … Bizarrement ça diminuait beaucoup pendant les vacances.
J’ai appris, avec le temps, à lâcher prise d’une manière générale et les symptômes ont bien diminué … Un détail : je suis passé du caleçon au boxer, ça évite le stress de la dernière goutte ... j'ai mes petits rituels, je me nettoie soigneusement le gland avant de dormir notamment (et ça marche bien !)
M'écoutant sur cette maladie, ma femme lui a donné un nom ridicule qui l’a un peu remise à sa place (la prostatite, hein) : “la pissotte”.
Alcool (20%)
oui, des effets, sans aucun doute. Les lendemains de fête les symptômes étaient/sont plus forts, certains alcools particulièrement impactants (champagne, rhum blanc, whisky), d’autres presque bénéfiques (la bière notamment, avec un effet de purge, ou du moins l’ai-je vécu comme ça). Bon après, l’alcool, ça relaxe, donc effet sur le stress, bien sûr … mais attention les effets secondaires si trop grande quantité !
Je me suis fixé quelques règles : pas d’alcool avant le jeudi, par exemple … pas (trop) d’excès…
Alimentation (10%)
Je n’ai pas noté de vrai gros déclencheur. J’ai changé quelques habitudes : passé du thé au café puis à la chicorée mais sans me prendre la tête et en revenant à l’un ou l’autre de temps en temps … J’évite autant que possible le piment fort (ça c’est assez radical, en revanche).
Inconnu (10%)
Et puis parfois : une crise. Aucun signe vraiment annonciateur. Dans les salles de spectacle, notamment, comme si je me projetais sur scène alors que je suis dans le public ! Un peu de pression et ça recommence. J’en ai pris mon parti. Je n’angoisse plus : je sais que ça repartira tout seul.
Mécanique musculaire (20%) - j'ai pas trouvé plus parlant ...
j’ai essayé pas mal de médications mais rien n’a fonctionné. En revanche je m’astreins à faire du gainage, principalement assis sur une chaise : monter les genoux puis étendre les jambes à l’équerre : c’est quasi miraculeux ! La planche aussi, etc.
Tout ce qui permet de retenir les viscères pour éviter que “ça appuie” sur la zone sensible. D'ailleurs quand c’est trop fort je saisis les viscères à travers la peau du ventre et essaie de les remonter. Ça peut bien soulager … Parfois aussi, le travail digestif peut aider. Une gène ? je machouille un bout de pain ou autre et souvent, ça passe …
Bref, aujourd’hui, je m’estime quasi-guéri. Je sais que ça peut revenir mais aussi que ça peut disparaitre. Il n’y a pas eu de grande révolution, j’ai juste constaté un jour que je n’avais plus eu de vraie crise depuis longtemps et qu’il fallait peut-être que je partage ça avec ceux qui galèrent comme j’ai pu galérer …
Voilà : et donc surtout, relaaax !
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Philippelo
Bonjour,
Je voulais à mon tour témoigner d’une guérison.
J’ai souffert d’une prostatite chronique pendant environ 10 ans, arrivée comme ça, sans événement particulier. 10 ans d’envies impérieuses, de gouttes retardataires, de stress, de déprime mais aussi de recherche… et puis ça va mieux.
J’ai lu et tenté comme tout le monde plein de recettes et méthodes … et je voulais faire part de celle qui a marché pour moi.
J’ai raisonné par pourcentage en me disant : qu'est-ce qui joue, en % sur la pénibilité de cette maladie ?
J’ai d’abord essayé d’en saisir les déclencheurs. J’avais lu que le stress, l’alcool, les exitants (caféine, théine), l’alimentation épicée étaient des amplificateurs de symptôme, sans vraiment y croire …
Avec le recul, je vois les choses comme ça (et c’est une perception totalement personnelle)
Stress (40%)
Oui, je l'ai longtemps nié mais l’aspect psychologique est très fort : il faut agir, d’une manière ou d’une autre sur le stress. La maladie se nourrit elle-même du stress qu’elle génère (t’es sûr que t’as pas envie de pisser, là ? sûr ?) … D’ailleurs rien que d’en parler … (!)
J’ai réalisé que je n’étais pas forcément conscient du stress que je subissais (ou me créais) : environnement professionnel, familial, fatigue, et maladie elle-même etc … Bizarrement ça diminuait beaucoup pendant les vacances.
J’ai appris, avec le temps, à lâcher prise d’une manière générale et les symptômes ont bien diminué … Un détail : je suis passé du caleçon au boxer, ça évite le stress de la dernière goutte ... j'ai mes petits rituels, je me nettoie soigneusement le gland avant de dormir notamment (et ça marche bien !)
M'écoutant sur cette maladie, ma femme lui a donné un nom ridicule qui l’a un peu remise à sa place (la prostatite, hein) : “la pissotte”.
Alcool (20%)
oui, des effets, sans aucun doute. Les lendemains de fête les symptômes étaient/sont plus forts, certains alcools particulièrement impactants (champagne, rhum blanc, whisky), d’autres presque bénéfiques (la bière notamment, avec un effet de purge, ou du moins l’ai-je vécu comme ça). Bon après, l’alcool, ça relaxe, donc effet sur le stress, bien sûr … mais attention les effets secondaires si trop grande quantité !
Je me suis fixé quelques règles : pas d’alcool avant le jeudi, par exemple … pas (trop) d’excès…
Alimentation (10%)
Je n’ai pas noté de vrai gros déclencheur. J’ai changé quelques habitudes : passé du thé au café puis à la chicorée mais sans me prendre la tête et en revenant à l’un ou l’autre de temps en temps … J’évite autant que possible le piment fort (ça c’est assez radical, en revanche).
Inconnu (10%)
Et puis parfois : une crise. Aucun signe vraiment annonciateur. Dans les salles de spectacle, notamment, comme si je me projetais sur scène alors que je suis dans le public ! Un peu de pression et ça recommence. J’en ai pris mon parti. Je n’angoisse plus : je sais que ça repartira tout seul.
Mécanique musculaire (20%) - j'ai pas trouvé plus parlant ...
j’ai essayé pas mal de médications mais rien n’a fonctionné. En revanche je m’astreins à faire du gainage, principalement assis sur une chaise : monter les genoux puis étendre les jambes à l’équerre : c’est quasi miraculeux ! La planche aussi, etc.
Tout ce qui permet de retenir les viscères pour éviter que “ça appuie” sur la zone sensible. D'ailleurs quand c’est trop fort je saisis les viscères à travers la peau du ventre et essaie de les remonter. Ça peut bien soulager … Parfois aussi, le travail digestif peut aider. Une gène ? je machouille un bout de pain ou autre et souvent, ça passe …
Bref, aujourd’hui, je m’estime quasi-guéri. Je sais que ça peut revenir mais aussi que ça peut disparaitre. Il n’y a pas eu de grande révolution, j’ai juste constaté un jour que je n’avais plus eu de vraie crise depuis longtemps et qu’il fallait peut-être que je partage ça avec ceux qui galèrent comme j’ai pu galérer …
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miguel1975
miguel1975
Dernière activité le 06/05/2023 à 10:29
Inscrit en 2015
1 commentaire posté | 1 dans le forum Prostatite
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Ami
Miguel, 40 ans, Nantes avec une prostatite chronique depuis début 2015
Bonjour,
Tout d’abord merci d’avoir créé un blog pour cette maladie méconnue !
Pour ma part j’ai subi en début d’année une résection du col vésical (clapet à la sortie de la vessie) qui était trop rigide et déclenchait chez moi entre 10 à 15 mictions par jour.
Cette opération a eu lieu le 12 janvier 2015 et ensuite j’ai été sous traitement anti-inflammatoire pendant 1 mois et tout se passait bien, à l’arrêt de mon traitement j’ai constaté quelques jours après des brulures lorsque j’urinais et des douleurs dans les bourses et c’était le début de la galère !
J’ai été hospitalisé dans un 1er temps pour une prostatite aigue au mois de mars 2015 pendant 7 jours ou j’ai subi un traitement antibiotiques et antidouleurs ensuite retour à la maison avec un traitement de 2 mois sous antidouleurs et anti-inflammatoires par voie orale.
Pendant cette période la douleur a toujours été présente mais supportable, le gros inconvénient est une baisse de la libido et pendant les crises aigu et une éjaculation rétrograde.
Au mois de mai de retour une grise violente avec des douleurs pelviennes insupportable (j’avais stoppé mon traitement), je rappelle la clinique et je suis de nouveau hospitalisé et recommence un traitement par voie intraveineuse d’antibiotiques et d’antidouleurs pendant 5 jours. A ma sortie un traitement par voie oral m’attendait avec du Tramadol pour la gestion de la douleur, l’antibiotique Cefixine (Oroken) pour traiter le germe et du Seroplex soit disant pour « chinter » l’information à mon cerveau que j’ai mal et eux pendant une durée de 6 mois!
Ce dernier étant un antidépresseur je pense que mon Urologue n’a pas eu le courage de me dire qu’il souhaitait traité une éventuelle baisse de morale !
Pendant ce traitement les douleurs au niveau de la vessie et des bourses ne me quitte guère même si elles sont peu douloureuses !
Aujourd’hui je suis de nouveau à la clinique, encore une crise !
Rebelote je suis de nouveau sous traitement antibiotiques et antidouleurs, 4 jours d’hospitalisation (Septembre 2015) car le traitement est par voie intraveineuse !
On va me poser un cathéter veineux par voie centrale avec une pompe afin de pouvoir me traiter sous antibiotique « Tienam » pendant un mois et bien entendu je continu mon traitement par voie oral d’antidouleur « Tramadol ».
D’autre part j’ai pris RDV dans un centre antidouleurs à Nantes (4 mois d’attente), j’ai RDV le 21 octobre 2015, j’espère qu’ils auront un traitement efficace à me proposer !
Cette maladie est compliqué car mal connu par mon entourage et cela ne se voit pas alors si physiquement je présente bien pour eux tout va bien !
C’est pourtant pas le cas, je suis fatigué et depuis le début de mon traitement en Mars il m’est difficile de tenir éveiller des longues journées et il faut que je tienne car je suis Cadre dans l’industrie et mes clients commence à dire « Il est encore en arrêt ».
Et oui même si je fais tout pour limiter mes absences au travail j’ai été obligé de stopper mon activité pendant mes hospitalisations et 3 semaines après l’hospitalisation du mois de mars car j’étais très fatigué !
Mon patron est compréhensible mais va-t-il accepter cette situation pendant plusieurs mois ou plusieurs années je le crains !
Moi je ne tiendrais pas pendant plusieurs années, je veux retrouver ma vie d’avant avec une libido épanoui, un bon moral et surtout plus de douleurs !
Si des personnes vivent ou ont vécu la même situation je serais heureux de partager un moment d’échange avec eux.
Miguel