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- Une prostatite chronique depuis janvier 2015
Patients Prostatite
Une prostatite chronique depuis janvier 2015
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Prostatite51
Prostatite51
Dernière activité le 30/11/2023 à 22:44
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@WillhelmGM
Effectivement avec que 3 jours d antibio tu risque pas d avoir une mycose normalement.
Moi le probleme c est que mon sperme n est pas blanc. Il est transparent la plupart du temps surtout apres une longue abstinence au mieux il est jaune. Ms sur les analyse tjr normal.
courage le plus important c est que tu est un enfant :) . Ce que j espere un jour egalement en bonne santé. Mais quand je regarde mon sperme sa me fait peur. Le spermogramme de ya un an montre d spermatozoïdes mais vraiment pas de bonne qualité
Prostatite51
Prostatite51
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Scarasm
Scarasm
Dernière activité le 12/02/2021 à 09:51
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Bonsoir à tous !
Vendredi j'avais rdv avec mon urologue. Comme dhab il m'a rien trouvé. Pour lui spermoculture et massages prostate n'apporte rien. Il me propose une cystoscopie, avez vous déjà subit ça ? En tout cas je suis reparti avec mes douleurs et sans réponse à mes questions. Envie de mourir !
Scarasm
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Bonsoir à tous !
Vendredi j'avais rdv avec mon urologue. Comme dhab il m'a rien trouvé. Pour lui spermoculture et massages prostate n'apporte rien. Il me propose une cystoscopie, avez vous déjà subit ça ? En tout cas je suis reparti avec mes douleurs et sans réponse à mes questions. Envie de mourir !
djiel69
djiel69
Dernière activité le 10/02/2021 à 17:19
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13 commentaires postés | 13 dans le forum Prostatite
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Salut , il ne faut pas perdre le moral ,c'est pas facile je sais j'ai passé ces 2 week-end avec des douleurs sur aine etc. . Prends l'avis d'un autre urologue si nécessaire.
ThierryLH
ThierryLH
Dernière activité le 30/08/2024 à 04:19
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Bonjour tout le monde.
Je cherche en ce moment du côté du syndrôme du piriforme, appelé aussi fausse sciatique: il s'agit d'un muscle du fessier qui compresse le nerf sciatique. Celà se soigne majoritairement en se faisant injecter de l'acide botulique dans le muscle concerné sous scanner.
Je continue mes recherches et je vous redis.
Bon courage.
tawan77
Bon conseiller
tawan77
Dernière activité le 28/09/2024 à 11:35
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@Scarasm salut l'ami,
Je sais que c'est pas facile quand un médecin te laisse sans solution. Mais il faut continuer de chercher car il y a probablement une possibilité de traitement qui te permette d'améliorer les douleurs. La spermoculture permet de voir si une infection est située dans la prostate. C'est un bon examen, comme le test de stamey. Les deux sont a faire pour aiguiller le diagnostic.
La cytoscopie est aussi un examen important, et si tu n'en a pas fait, alors fonce. C'est pas douloureux (juste un peu désagréable). Ca permettra de voir comment est ton systeme urinaire en direct. Demandes a l urologue comment est ton col vésical. (si il est serré ou pas)
Essayez également de demander à vos urologues respectif ce qu'ils pensent de la résection prostatique pour traiter les prostatites.
La solution chirurgicale n'est peut etre pas adaptée à toutes les situations mais en ce qui me concerne, 3 mois après l'opération, je ne regrette pas du tout. Je suis presque sans douleurs. Disons 80% mieux qu'avant.
On peut dire que je vis quasiment normalement, je revis. J’espère que ca va durer comme ca. J'ai toujours peur que les symptômes reviennent mais a ce stade et depuis mi décembre, je ne prend plus d'antibio, je n'ai plus d'infections, je n'ai plus cette douleur de fond qui augmente et irradie depuis le scrotum jusqu'à l’arrière des jambes.
courage a tous et essayez de garder le moral. c'est difficile mais il y a forcément une solution pour aller mieux. Il suffit de la trouver.
bonne journée
Scarasm
Scarasm
Dernière activité le 12/02/2021 à 09:51
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J'ai déjà vu 2 urologue différents le premier me dis que c'est psychologique que je suis jeune il y a pas de pb. Le 2eme veux pas me faire d'autre examens sous prétexte que je suis jeune hormis la fibroscopie si j'ai une nouvelle crise. Même mon médecin traitant m'a fait faire plus d'examen ! Et pour spermoculture et test de stmay il ma dit que c'est pas la peine... Mare de ce monde médicale 2 ans que je consulte et toujours le même discours
Swarzy
Bon conseiller
Swarzy
Dernière activité le 19/03/2023 à 08:32
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Bonjour
Je souffre de prostatite depuis juillet 2019.
Effectivement les médecins sont desen parés face à cette maladie.
Comme vous tous j ai compris ce qui se passait chez moi en lisant les forums.
Comme beaucoup examens toujours négatif malgres les différents examens... Alors que nombreux symptômes.
Mon médecin a toujours refusé de me donner des antibiotiques et je l en remercie aujourd'hui.
Les fluoroquilonones sont des véritables poisons. Regarder les forum ça fait froid dans le dos alors imaginez un traitement sur plusieurs semaines. Il peut avoir des séquelles irréversibles bien pire que la prostatite.
Évitez également la cytoscopie qui n a aucun intérêt pour une prostatite si ce n est un risque de sténose sur un urètre déjà fragile.
Mon traitement naturel sans effet secondaire.
FaiteS attention a votre alimentation, faites du sport.
Faites une cure de cranberry tous les jours en cachet ou boisson et faites des tisanes d epilobe.
Éjaculation tous les jours pour purger la prostate. Après tout ça les symptômes vont s estomper avec le temps
Scarasm
Scarasm
Dernière activité le 12/02/2021 à 09:51
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@Swarzy c'est quoi ton traitement naturel ?
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Philippelo
Bonjour,
Je voulais à mon tour témoigner d’une guérison.
J’ai souffert d’une prostatite chronique pendant environ 10 ans, arrivée comme ça, sans événement particulier. 10 ans d’envies impérieuses, de gouttes retardataires, de stress, de déprime mais aussi de recherche… et puis ça va mieux.
J’ai lu et tenté comme tout le monde plein de recettes et méthodes … et je voulais faire part de celle qui a marché pour moi.
J’ai raisonné par pourcentage en me disant : qu'est-ce qui joue, en % sur la pénibilité de cette maladie ?
J’ai d’abord essayé d’en saisir les déclencheurs. J’avais lu que le stress, l’alcool, les exitants (caféine, théine), l’alimentation épicée étaient des amplificateurs de symptôme, sans vraiment y croire …
Avec le recul, je vois les choses comme ça (et c’est une perception totalement personnelle)
Stress (40%)
Oui, je l'ai longtemps nié mais l’aspect psychologique est très fort : il faut agir, d’une manière ou d’une autre sur le stress. La maladie se nourrit elle-même du stress qu’elle génère (t’es sûr que t’as pas envie de pisser, là ? sûr ?) … D’ailleurs rien que d’en parler … (!)
J’ai réalisé que je n’étais pas forcément conscient du stress que je subissais (ou me créais) : environnement professionnel, familial, fatigue, et maladie elle-même etc … Bizarrement ça diminuait beaucoup pendant les vacances.
J’ai appris, avec le temps, à lâcher prise d’une manière générale et les symptômes ont bien diminué … Un détail : je suis passé du caleçon au boxer, ça évite le stress de la dernière goutte ... j'ai mes petits rituels, je me nettoie soigneusement le gland avant de dormir notamment (et ça marche bien !)
M'écoutant sur cette maladie, ma femme lui a donné un nom ridicule qui l’a un peu remise à sa place (la prostatite, hein) : “la pissotte”.
Alcool (20%)
oui, des effets, sans aucun doute. Les lendemains de fête les symptômes étaient/sont plus forts, certains alcools particulièrement impactants (champagne, rhum blanc, whisky), d’autres presque bénéfiques (la bière notamment, avec un effet de purge, ou du moins l’ai-je vécu comme ça). Bon après, l’alcool, ça relaxe, donc effet sur le stress, bien sûr … mais attention les effets secondaires si trop grande quantité !
Je me suis fixé quelques règles : pas d’alcool avant le jeudi, par exemple … pas (trop) d’excès…
Alimentation (10%)
Je n’ai pas noté de vrai gros déclencheur. J’ai changé quelques habitudes : passé du thé au café puis à la chicorée mais sans me prendre la tête et en revenant à l’un ou l’autre de temps en temps … J’évite autant que possible le piment fort (ça c’est assez radical, en revanche).
Inconnu (10%)
Et puis parfois : une crise. Aucun signe vraiment annonciateur. Dans les salles de spectacle, notamment, comme si je me projetais sur scène alors que je suis dans le public ! Un peu de pression et ça recommence. J’en ai pris mon parti. Je n’angoisse plus : je sais que ça repartira tout seul.
Mécanique musculaire (20%) - j'ai pas trouvé plus parlant ...
j’ai essayé pas mal de médications mais rien n’a fonctionné. En revanche je m’astreins à faire du gainage, principalement assis sur une chaise : monter les genoux puis étendre les jambes à l’équerre : c’est quasi miraculeux ! La planche aussi, etc.
Tout ce qui permet de retenir les viscères pour éviter que “ça appuie” sur la zone sensible. D'ailleurs quand c’est trop fort je saisis les viscères à travers la peau du ventre et essaie de les remonter. Ça peut bien soulager … Parfois aussi, le travail digestif peut aider. Une gène ? je machouille un bout de pain ou autre et souvent, ça passe …
Bref, aujourd’hui, je m’estime quasi-guéri. Je sais que ça peut revenir mais aussi que ça peut disparaitre. Il n’y a pas eu de grande révolution, j’ai juste constaté un jour que je n’avais plus eu de vraie crise depuis longtemps et qu’il fallait peut-être que je partage ça avec ceux qui galèrent comme j’ai pu galérer …
Voilà : et donc surtout, relaaax !
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Philippelo
Bonjour,
Je voulais à mon tour témoigner d’une guérison.
J’ai souffert d’une prostatite chronique pendant environ 10 ans, arrivée comme ça, sans événement particulier. 10 ans d’envies impérieuses, de gouttes retardataires, de stress, de déprime mais aussi de recherche… et puis ça va mieux.
J’ai lu et tenté comme tout le monde plein de recettes et méthodes … et je voulais faire part de celle qui a marché pour moi.
J’ai raisonné par pourcentage en me disant : qu'est-ce qui joue, en % sur la pénibilité de cette maladie ?
J’ai d’abord essayé d’en saisir les déclencheurs. J’avais lu que le stress, l’alcool, les exitants (caféine, théine), l’alimentation épicée étaient des amplificateurs de symptôme, sans vraiment y croire …
Avec le recul, je vois les choses comme ça (et c’est une perception totalement personnelle)
Stress (40%)
Oui, je l'ai longtemps nié mais l’aspect psychologique est très fort : il faut agir, d’une manière ou d’une autre sur le stress. La maladie se nourrit elle-même du stress qu’elle génère (t’es sûr que t’as pas envie de pisser, là ? sûr ?) … D’ailleurs rien que d’en parler … (!)
J’ai réalisé que je n’étais pas forcément conscient du stress que je subissais (ou me créais) : environnement professionnel, familial, fatigue, et maladie elle-même etc … Bizarrement ça diminuait beaucoup pendant les vacances.
J’ai appris, avec le temps, à lâcher prise d’une manière générale et les symptômes ont bien diminué … Un détail : je suis passé du caleçon au boxer, ça évite le stress de la dernière goutte ... j'ai mes petits rituels, je me nettoie soigneusement le gland avant de dormir notamment (et ça marche bien !)
M'écoutant sur cette maladie, ma femme lui a donné un nom ridicule qui l’a un peu remise à sa place (la prostatite, hein) : “la pissotte”.
Alcool (20%)
oui, des effets, sans aucun doute. Les lendemains de fête les symptômes étaient/sont plus forts, certains alcools particulièrement impactants (champagne, rhum blanc, whisky), d’autres presque bénéfiques (la bière notamment, avec un effet de purge, ou du moins l’ai-je vécu comme ça). Bon après, l’alcool, ça relaxe, donc effet sur le stress, bien sûr … mais attention les effets secondaires si trop grande quantité !
Je me suis fixé quelques règles : pas d’alcool avant le jeudi, par exemple … pas (trop) d’excès…
Alimentation (10%)
Je n’ai pas noté de vrai gros déclencheur. J’ai changé quelques habitudes : passé du thé au café puis à la chicorée mais sans me prendre la tête et en revenant à l’un ou l’autre de temps en temps … J’évite autant que possible le piment fort (ça c’est assez radical, en revanche).
Inconnu (10%)
Et puis parfois : une crise. Aucun signe vraiment annonciateur. Dans les salles de spectacle, notamment, comme si je me projetais sur scène alors que je suis dans le public ! Un peu de pression et ça recommence. J’en ai pris mon parti. Je n’angoisse plus : je sais que ça repartira tout seul.
Mécanique musculaire (20%) - j'ai pas trouvé plus parlant ...
j’ai essayé pas mal de médications mais rien n’a fonctionné. En revanche je m’astreins à faire du gainage, principalement assis sur une chaise : monter les genoux puis étendre les jambes à l’équerre : c’est quasi miraculeux ! La planche aussi, etc.
Tout ce qui permet de retenir les viscères pour éviter que “ça appuie” sur la zone sensible. D'ailleurs quand c’est trop fort je saisis les viscères à travers la peau du ventre et essaie de les remonter. Ça peut bien soulager … Parfois aussi, le travail digestif peut aider. Une gène ? je machouille un bout de pain ou autre et souvent, ça passe …
Bref, aujourd’hui, je m’estime quasi-guéri. Je sais que ça peut revenir mais aussi que ça peut disparaitre. Il n’y a pas eu de grande révolution, j’ai juste constaté un jour que je n’avais plus eu de vraie crise depuis longtemps et qu’il fallait peut-être que je partage ça avec ceux qui galèrent comme j’ai pu galérer …
Voilà : et donc surtout, relaaax !
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miguel1975
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Dernière activité le 06/05/2023 à 10:29
Inscrit en 2015
1 commentaire posté | 1 dans le forum Prostatite
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Ami
Miguel, 40 ans, Nantes avec une prostatite chronique depuis début 2015
Bonjour,
Tout d’abord merci d’avoir créé un blog pour cette maladie méconnue !
Pour ma part j’ai subi en début d’année une résection du col vésical (clapet à la sortie de la vessie) qui était trop rigide et déclenchait chez moi entre 10 à 15 mictions par jour.
Cette opération a eu lieu le 12 janvier 2015 et ensuite j’ai été sous traitement anti-inflammatoire pendant 1 mois et tout se passait bien, à l’arrêt de mon traitement j’ai constaté quelques jours après des brulures lorsque j’urinais et des douleurs dans les bourses et c’était le début de la galère !
J’ai été hospitalisé dans un 1er temps pour une prostatite aigue au mois de mars 2015 pendant 7 jours ou j’ai subi un traitement antibiotiques et antidouleurs ensuite retour à la maison avec un traitement de 2 mois sous antidouleurs et anti-inflammatoires par voie orale.
Pendant cette période la douleur a toujours été présente mais supportable, le gros inconvénient est une baisse de la libido et pendant les crises aigu et une éjaculation rétrograde.
Au mois de mai de retour une grise violente avec des douleurs pelviennes insupportable (j’avais stoppé mon traitement), je rappelle la clinique et je suis de nouveau hospitalisé et recommence un traitement par voie intraveineuse d’antibiotiques et d’antidouleurs pendant 5 jours. A ma sortie un traitement par voie oral m’attendait avec du Tramadol pour la gestion de la douleur, l’antibiotique Cefixine (Oroken) pour traiter le germe et du Seroplex soit disant pour « chinter » l’information à mon cerveau que j’ai mal et eux pendant une durée de 6 mois!
Ce dernier étant un antidépresseur je pense que mon Urologue n’a pas eu le courage de me dire qu’il souhaitait traité une éventuelle baisse de morale !
Pendant ce traitement les douleurs au niveau de la vessie et des bourses ne me quitte guère même si elles sont peu douloureuses !
Aujourd’hui je suis de nouveau à la clinique, encore une crise !
Rebelote je suis de nouveau sous traitement antibiotiques et antidouleurs, 4 jours d’hospitalisation (Septembre 2015) car le traitement est par voie intraveineuse !
On va me poser un cathéter veineux par voie centrale avec une pompe afin de pouvoir me traiter sous antibiotique « Tienam » pendant un mois et bien entendu je continu mon traitement par voie oral d’antidouleur « Tramadol ».
D’autre part j’ai pris RDV dans un centre antidouleurs à Nantes (4 mois d’attente), j’ai RDV le 21 octobre 2015, j’espère qu’ils auront un traitement efficace à me proposer !
Cette maladie est compliqué car mal connu par mon entourage et cela ne se voit pas alors si physiquement je présente bien pour eux tout va bien !
C’est pourtant pas le cas, je suis fatigué et depuis le début de mon traitement en Mars il m’est difficile de tenir éveiller des longues journées et il faut que je tienne car je suis Cadre dans l’industrie et mes clients commence à dire « Il est encore en arrêt ».
Et oui même si je fais tout pour limiter mes absences au travail j’ai été obligé de stopper mon activité pendant mes hospitalisations et 3 semaines après l’hospitalisation du mois de mars car j’étais très fatigué !
Mon patron est compréhensible mais va-t-il accepter cette situation pendant plusieurs mois ou plusieurs années je le crains !
Moi je ne tiendrais pas pendant plusieurs années, je veux retrouver ma vie d’avant avec une libido épanoui, un bon moral et surtout plus de douleurs !
Si des personnes vivent ou ont vécu la même situation je serais heureux de partager un moment d’échange avec eux.
Miguel