Étrange : une hausse du lantus provoque une hausse de ma glycémie à jeun

Bjour

Personnellement  ça m'est  déjà  arrivé  de nombreuses fois.

Déjà j'évite  de "jouer"  avec la lente (Lantus) ; il est difficile d avoir un diabète régulier  surtout si on est  irregulietement actif...si on est stressé  (...) si on est sensible  aux virus qui se promènent. Donc beaucoup de si !

Et le jeûne  glucidique ? A t'il  été  tenté?  S'il a été fait et bien fait, c est un bon moyen de vérifier  que la dose de lente est adaptée

Bonjour

C'est quoi un jeune glucide que? 

Bonjour

A propos du jeûne glucidique,  je vais tenter ( ce dimanche 31 janvier après midi ) d'utiliser la galerie de Carenity pour envoyer des documents clairs et précis (  documents datant de quelques années) émanant de l Hôpital  sud francilien de Corbeil Essonne ; je vais vérifier qu'il n'y a pas de copyright (...) si ça ne fonctionne pas ou s'il y a un copyright,  je communiquerai par messagerie privée et/ou ou par  ma boîte mel personnelle ; je viens de voir à l'instant qu'il est possible d'attacher ici dans cette discussion, d'attacher  un fichier jpeg de moins de 2 Mo

"Insulinothérapie Fonctionnelle Théorie et pratique"

 En pièce(s) jointe(s) : Titre et 4ème de couverture du livret réalisé par l'équipe du service de diabétologie de l'hôpital sud-Francilien ( 91 Corbeil Essonne)

Et les pages sélectionnées en rapport avec le jeûne glucidique évoqué dans le forum de discussion  (  lire  Annexe 5   du livret p39 et 40 )

Si vous souhaitez obtenir le document complet, me le demander ; je l'ai scanné :  hélas il est hors commerce et bravo pour le travail réalisé par l'équipe du service de diabétologie. 

La bonne dose de Lantus c'est celle qui vous donne une glycémie normale à jeun, puisque c'est sur la glycémie du matin que l'on ajuste sa quantité à + ou - au moment de l'injection (en principe le soir).

En tout cas il faut toujours faire la Lantus même si on est nauséeux car il ne faut jamais rester sans insuline lente, donc si on a pas faim pour une raison quelconque on ne fait pas de rapide sans oublier de contrôler régulièrement son taux.

Maintenant je pense qu'il ne faut pas faire des expériences de jeûne glucidique sans être encadré par une équipe médical, trop dangereux à mon avis.

Tout à fait d'accord avec le contenu de la contribution de Nickita.

ATTENTION  !

On ne  "joue" pas avec l'insuline lente ( basale) et jamais elle ne doit être stoppée.

Quant au jeûne glucidique, si on le fait, il vaut mieux ne pas être seul(e) à cause des conséquences des hypo nocturnes qui peuvent en résulter.

Mon diabète perso commence à dater ( 1987) et je précise  aussi que je pratique l'insulinothérapie fonctionnelle depuis ces années là ( quoique pendant un an environ je me suis livré à la pesée de tout : un calvaire pour l'entourage familial aussi )    Un jeûne glucidique sur 24 heures, c'est forcément 0 portion de glucides donc 0  unité d'insuline rapide !  Il m'arrive de  "sauter" des repas  et il m'arrive aussi le contraire ( !) ... Et parfois s'en suivent  évidemment des hypos et des hypers.

Pas facile tout ça. 

Attention ! Certes... Mais à cause des  réelles difficultés financières de la Sécu,  force est de constater que nous ne disposons plus comme auparavant de l'encadrement de services médicaux. Aussi, si on n'est pas seul(e) et qu'on a parfaitement compris le processus du diabète, je pense que le jeûne glucidique est faisable.

Bonjour,

L'hyperglycémie au réveil peu être du à une carence en insuline de base (lente) durant la phase de sommeil avec un pic glycémique au réveil que l'on appelle "syndrome de l'aube".

Mais une hyperglycémie au réveil peut aussi être le reflet d'une hypoglycémie nocturne avec un phénomène de rebond !

En augmentant la Lantus au coucher, on peu soit diminer l'effet du "syndrome de l'aube", ou majorer l'hypoglycémie nocturne et donc l'effet rebond au réveil !

Le mieux est de mettre son réveil la nuit, pour quelques tests nocturnes et suivre les tendances glycémiques durant la phase de sommeil afin d'adapter au mieux l'insuline lente.

Sinon : en parler à son médecin est aussi la bonne solution !

:-)