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avatar Piou33

avatar Claudia.L

avatar Dariane

avatar Antonino42

avatar aquarella

avatar Toto62

Dans un contexte où les dépenses de la sécurité sociale sont dans le viseur du nouveau gouvernement, la disparition du ministère du handicap est signe de la dégradation de la prise en charge du handicap en France.

tout le monde a oublié qu’en 2012 avec les derniers textes de décentralisation, ce sont les Départements qui ont récupéré cette compétence entraînant une inégalité de traitement des usagers selon les territoires.

en effet, en fonction des moyens déployés par le Département , un usager devra se conformer aux délais fixés par cette collectivité.

on oublie que les fonctionnaires qui travaillent dans les MDPH sont pour moitié Departement qui connaissent des difficultés financières importantes suite à la perte de recettes ( tva et taxes foncières)

le handicap comme la protection de l’enfance devraient bénéficier de mêmes moyens financiers et humains à l’échelon du territoire français et non à la volonté politique de chaque Departement


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avatar Estebane

avatar Dardar69

avatar Claudia.L

Bonsoir

C'est vrai qu'on a l'impression que rien ne va

Je viens de regarder les actualités du 20 h à la télévision et je n'ai pas entendu une seule bonne nouvelle

Entre l'épidémie de choléra à Mayotte ,l'attaque au couteau dans un lycée professionnel d'un élève envers un professeur ,un glissement de terrain en Papouasie qui a fait 2000 morts etc etc.....Comment être joyeux et avoir un moral à toute épreuve après avoir entendu cela ?

Effectivement on peut échapper à ces mauvaises nouvelles en n'écoutant pas la radio ,en ne regardant pas la télévision et en ne lisant pas les journaux mais est ce bien raisonnable de ne pas se tenir informé de ce qui se passe autour de nous ?

Je rêve secrètement de regarder un jour le journal televisé de 20h où il n'y aurait que des bonnes nouvelles.....


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avatar Nathali57

avatar Claudia.L

avatar maya78

avatar CUICUI60

avatar Claudia.L

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avatar Marie1031

avatar Thotho14

avatar Clovinc

Bonjour,

Je suis l'aidante de ma sœur handicapée depuis de très nombreuses années et je supporte seule cette charge. J'ai aussi été pendant plusieurs années l'aidante de mes deux parents, qui avaient perdu leur autonomie, en même temps que l'aidante de ma sœur. Dans mon cas, étant célibataire, n'ayant pas d'autres ressources que mon salaire, et étant encore loin de la retraite, je suis obligée de continuer à travailler à plein temps quelle que soit ma charge d'aidante, de façon à pouvoir subvenir à mes besoins. D'autant que m'occuper de ma sœur me rajoute des charges financières, sans aucune possibilité de déduction fiscale, comme c'est le cas pour les parents ou les enfants. C'est compliqué parce que les entreprises n'acceptent pas d'aménagements d'horaires, donc on se retrouve à aménager ses horaires en catimini, parce qu'on ne peut pas faire autrement. Cela fait seulement un an que je bénéficie de deux jours de télétravail par semaine, ce qui m'a apporté un peu d'oxygène, surtout que j'ai pas mal de temps de trajet, et a un peu réduit le nombre de demi-journées de congé que je devais prendre de façon anarchique et souvent en urgence (avec souvent des remarques sur ma façon de prendre mes congés). J'avais demandé dès l'automne 2020 à bénéficier d'un peu de télétravail, entre deux confinements, en ayant mis en avant ma situation d'aidante, puisque la loi le permettait, mais cela m'avait été refusé, au nom d'un principe d'égalité avec les salariés n'ayant pas cette charge. L'entreprise où je travaille n'avait alors pas encore mis en place la possibilité de télétravail pour tout le monde.

Depuis 2020, et parce que les difficultés s'étaient exacerbées avec les restrictions liées au COVID, j'essaye de faire de la sensibilisation sur le sujet des aidants auprès des ressources humaines (avant je n'avais jamais abordé ma situation très compliquée qui durait déjà depuis des années), en expliquant que prendre en compte les contraintes des aidants, permet d'éviter des pertes de productivité, tandis que leur mener la vie dure, les contrôler, les stigmatiser, leur mettre des bâtons dans les roues pour les faire craquer, produit l'effet inverse. Jusque là, rien n'a bougé et le problème des aidants est toujours considéré comme un non-sujet sur mon lieu de travail. Je pense pourtant que cela pourrait être valorisant pour les entreprises de prendre ce problème en compte. D'autant que cela va concerner de plus en plus de monde et souvent des personnes encore assez jeunes. Pour ma part la charge est devenue très lourde (triple aidante) alors que je n'avais que 41 ans. Actuellement, aider ma sœur me prend en moyenne 20h par semaine, l'équivalent d'un mi-temps qui se rajoute à mon temps complet professionnel.

Il parait que les bénévoles que nous sommes auprès de nos proches permettent à l'état d'économiser 1,64 milliards d'euros par an.

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avatar Lumelga

avatar annabruno

avatar Mel1991

Bonjour, moi la migraine c'est tous les jours. 30 triptans par mois. Plus de traitement de fond, ça n'a jamais marché. Lorsque j'ai voulu faire un dossier MDPH car au boulot ça devenait hyper compliqué, mon médecin m'a dit qu'il fallait mieux mettre en évidence ma fibromyalgie car il n'était pas certain que ça marche pour les migraines.

On a mit les deux pathologies et ce que ça implique dans le quotidien.

Après de nombreux mois, j'ai eut une réponse positive. Un soulagement et enfin une reconnaissance.

Bon courage à vous.

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avatar Trinette2

avatar 12byron

avatar Marcopolo33

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