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Patients Prostatite
Une prostatite chronique depuis janvier 2015
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MaxNi27
MaxNi27
Dernière activité le 03/06/2024 à 07:55
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Merci beaucoup pour t’es conseils , je me sent soulager de pouvoir en parler sur ce forum des soucis que je rencontre et d’être écouté ainsi . Je suis loin de Paris (5h précisément) malgré cela j’ai trouvé un biologiste qui me propose un test de stamey mais en 2 fois . Premier jet et ensuite massage puis 2ème jet . Je réalise cet examen demain au laboratoire . Je vous tiendrais informé des résultats . Sinon pour le reste la chlamydia a été traitée par azythromycine et suivi une semaine après d’oflocet pendant 7 jours depuis plus d’un mois ce traitement pris , l’infection ressort négative aux examens urinaire . Et les prises de sang montre une baisse significative des leucocytes par rapport à la prise de sang pendant l’infection . La seule chose qui ressort sur mes ECBU c’est 40000 hématies et ça depuis bien des années j’ai une hématurie macroscopique qui n’a pas bien été explorée et qui devrait (avec le test de stamey) possiblement m’aider à connaître la cause , bactérienne ou non .
Luminessence0088
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Luminessence0088
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Salut ! ça faisait longtemps.
l'ami @tawan77 comment va ? Le protecteur de nos prostates !
Je vois que le forum grandit encore et toujours ! Difficile de s’en réjouir quand on sait de quoi nous conversons mais bon, au moins on se sent moins seul et il faut bien avouer que ce détail là à toute son importante dans notre cas précis. Et oui si c’était aussi simple, seule la parole médicale (qui, je le pense, fait de son mieux) suffirait à taire nos angoisses et nos peurs. Hop, un médicament et c’est fini, comme une vieille toux ! Bon ok stop les fantasmes.
Je vais donner quelques nouvelles concernant mes recherches, en espérant qu’elles puissent aider. Pour ce qui est de mes symptômes je vous invite à remonter un peu le temps sur le forum. J’ai cependant des nouveau symptômes et d’autres qui ont disparus : plus vraiment de douleurs mictionnelles, ni de fièvre (houra j’en pouvais plus) mais des contractions au niveau de l’anus et du pénis qui se contracte tout seul et bouge tout seul (c’est assez étrange à voir) le tout agrémenté de spasmes intempestifs. En outre, des douleurs quotidiennes dans les zones évoquées + dos/reins. Je pensais, dans mon dernier message que je souffrais d’une candidose étant donné mes résultats bizarres d’analyses fongiques urinaires. Que nenni, il se trouve que j’avais un petit déséquilibre mais rien de méchant et qui visiblement n’avait aucun rapport.
Je me suis rendu l’été dernier au cabinet du docteur Beau**** à Aix, un spécialiste des névralgies pudendale, douleurs pelviennes, prostatites etc. Sa collaboratrice m’a reçu et a émis l’hypothèse, après un touché rectal très douloureux d’un syndrome myofascial (contraction musculaire permanentes) des muscles du plancher pelvien. Mon sphincter était si contracté que j’ai failli lui couper les doigts ! Bon j’abuse un peu mais dans l’idée c’était assez flagrant. Heureusement, cette doctoresse avait des phalanges fines contrairement aux mains de bucheron de l’urologue (cependant très pédagogue) de l’institut Fournier pour le test Stamey. Quand j'y pense, mon sphincter a eu plus d'interaction sociale que moi en 2021 🤔
Entre temps j’ai vu un infectiologue, un médecin de la douleur et d’autres urologues. Rien de plus intéressant à dire là-dessus. Au final, aucun rapport avec la prostate.
De là, elle m’oriente vers des kiné pour passer la main. Cela fait aujourd’hui 6mois que je suis des thérapies physiques sans aucune amélioration (je suis pourtant dans une grosse structure spécialisée dans le plancher pelvien). J’ai rdv avec un autre médecin de la douleur dans une semaine, afin de discuter des injections de botox (oui oui). La toxine botulique ou botox pour les intimes est une neurotoxine puissante qui une fois injectée à l’intérieur du muscle lui permet de se détendre totalement, pendant des périodes de 4 à 6 mois. Une seringue dans le pénis ? Je n’avais pas encore testé ! Je vous ferais un compte rendu bien entendu si cela se fait.
Quelle épopée !
Luminessence0088
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Luminessence0088
Dernière activité le 27/01/2024 à 14:54
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@Math974 je ne sais pas si tu as eu ta cystoscopie depuis mais personnellement quand on me l'a fait... J'ai criééééééééé de toutes mes forces tellement j'ai eu mal. C'était vraiment la pire douleur.
Ils n'ont rien pu faire tellement je criais du coup ils m'ont tout fait sous anesthésie générale (cystographie, cystoscopie et d'autres trucs intrusifs)
Ceci étant dit, la plupart du temps sur les forums je vois des témoignages de gars qui ne le vivent pas trop mal, soit un peu gênant soit rien du tout !
du coup moi j'y suis allé traaanquille 😂
MaxNi27
MaxNi27
Dernière activité le 03/06/2024 à 07:55
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J’ai lu l’article que tu as trouvé sur cette personne qui s’est débarrassé du candida avec des techniques de force , j’aimerais aussi essayer de réguler ça , sur mes prélèvements urétraux pas de soucis de levures ou de problèmes mycologique donc bon , je vais quand même prendre quelques pro et prebiotique en adoptant un régime assez strict (ce qui ne pourra pas faire de mal en soi) après tout une hygiène de vie plus que correcte ne pourrait elle pas aider .
Gilles30
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Gilles30
Dernière activité le 20/07/2024 à 20:14
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@Luminessence0088
Oui beaucoup de gens et de médecins mettent tout sur le compte de la prostate alors qu'en fait c'est souvent un problème musculaire au niveau du plancher pelvien avec compression ou irritation du nerfs pudendal qui crée les douleurs et les soucis urinaires.
Il est possible qu'une infection urinaire mal soignée se soit transmise à la prostate créant une prostatite chronique.
Au fil du temps l'infection disparait mais l'inflammation persiste et c'est souvent à ce moment que cette inflammation se propage aux tissus environnants et aux nerfs, dont le pudendal.
Pour moi des séances d'ostéopathie ciblée et la prise de phytothérapie ont permis de diminuer les douleurs au périnée de 90%.
Reste maintenant une sensation d'inconfort dans l'urètre après avoir uriné, sans être systématique.
Luminessence0088
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Luminessence0088
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@Gilles30 c'est cool si tu as pu atténuer et "dompter" la chose.
Oui comme tu dis, tout est lié : le nerf pudendal, les muscles, les organes, les infections, inflammations. etc. D'où là complexité d'établir les bons diagnostiques.
Je vais mettre des images explicatives dans un prochain poste.
Luminessence0088
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Luminessence0088
Dernière activité le 27/01/2024 à 14:54
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Luminessence0088
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Luminessence0088
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Luminessence0088
Dernière activité le 27/01/2024 à 14:54
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Je vous mets également le PDF explicatif en entier pour ceux qui voudraient un peu plus d'infos sur le fonctionnement de cette zone et des dysfonctionnements de celle-ci. C'est un document que j'ai acheté en google scholar et que j'ai grossièrement traduit sur internet :
Luminessence0088
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Luminessence0088
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Philippelo
Bonjour,
Je voulais à mon tour témoigner d’une guérison.
J’ai souffert d’une prostatite chronique pendant environ 10 ans, arrivée comme ça, sans événement particulier. 10 ans d’envies impérieuses, de gouttes retardataires, de stress, de déprime mais aussi de recherche… et puis ça va mieux.
J’ai lu et tenté comme tout le monde plein de recettes et méthodes … et je voulais faire part de celle qui a marché pour moi.
J’ai raisonné par pourcentage en me disant : qu'est-ce qui joue, en % sur la pénibilité de cette maladie ?
J’ai d’abord essayé d’en saisir les déclencheurs. J’avais lu que le stress, l’alcool, les exitants (caféine, théine), l’alimentation épicée étaient des amplificateurs de symptôme, sans vraiment y croire …
Avec le recul, je vois les choses comme ça (et c’est une perception totalement personnelle)
Stress (40%)
Oui, je l'ai longtemps nié mais l’aspect psychologique est très fort : il faut agir, d’une manière ou d’une autre sur le stress. La maladie se nourrit elle-même du stress qu’elle génère (t’es sûr que t’as pas envie de pisser, là ? sûr ?) … D’ailleurs rien que d’en parler … (!)
J’ai réalisé que je n’étais pas forcément conscient du stress que je subissais (ou me créais) : environnement professionnel, familial, fatigue, et maladie elle-même etc … Bizarrement ça diminuait beaucoup pendant les vacances.
J’ai appris, avec le temps, à lâcher prise d’une manière générale et les symptômes ont bien diminué … Un détail : je suis passé du caleçon au boxer, ça évite le stress de la dernière goutte ... j'ai mes petits rituels, je me nettoie soigneusement le gland avant de dormir notamment (et ça marche bien !)
M'écoutant sur cette maladie, ma femme lui a donné un nom ridicule qui l’a un peu remise à sa place (la prostatite, hein) : “la pissotte”.
Alcool (20%)
oui, des effets, sans aucun doute. Les lendemains de fête les symptômes étaient/sont plus forts, certains alcools particulièrement impactants (champagne, rhum blanc, whisky), d’autres presque bénéfiques (la bière notamment, avec un effet de purge, ou du moins l’ai-je vécu comme ça). Bon après, l’alcool, ça relaxe, donc effet sur le stress, bien sûr … mais attention les effets secondaires si trop grande quantité !
Je me suis fixé quelques règles : pas d’alcool avant le jeudi, par exemple … pas (trop) d’excès…
Alimentation (10%)
Je n’ai pas noté de vrai gros déclencheur. J’ai changé quelques habitudes : passé du thé au café puis à la chicorée mais sans me prendre la tête et en revenant à l’un ou l’autre de temps en temps … J’évite autant que possible le piment fort (ça c’est assez radical, en revanche).
Inconnu (10%)
Et puis parfois : une crise. Aucun signe vraiment annonciateur. Dans les salles de spectacle, notamment, comme si je me projetais sur scène alors que je suis dans le public ! Un peu de pression et ça recommence. J’en ai pris mon parti. Je n’angoisse plus : je sais que ça repartira tout seul.
Mécanique musculaire (20%) - j'ai pas trouvé plus parlant ...
j’ai essayé pas mal de médications mais rien n’a fonctionné. En revanche je m’astreins à faire du gainage, principalement assis sur une chaise : monter les genoux puis étendre les jambes à l’équerre : c’est quasi miraculeux ! La planche aussi, etc.
Tout ce qui permet de retenir les viscères pour éviter que “ça appuie” sur la zone sensible. D'ailleurs quand c’est trop fort je saisis les viscères à travers la peau du ventre et essaie de les remonter. Ça peut bien soulager … Parfois aussi, le travail digestif peut aider. Une gène ? je machouille un bout de pain ou autre et souvent, ça passe …
Bref, aujourd’hui, je m’estime quasi-guéri. Je sais que ça peut revenir mais aussi que ça peut disparaitre. Il n’y a pas eu de grande révolution, j’ai juste constaté un jour que je n’avais plus eu de vraie crise depuis longtemps et qu’il fallait peut-être que je partage ça avec ceux qui galèrent comme j’ai pu galérer …
Voilà : et donc surtout, relaaax !
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Philippelo
Bonjour,
Je voulais à mon tour témoigner d’une guérison.
J’ai souffert d’une prostatite chronique pendant environ 10 ans, arrivée comme ça, sans événement particulier. 10 ans d’envies impérieuses, de gouttes retardataires, de stress, de déprime mais aussi de recherche… et puis ça va mieux.
J’ai lu et tenté comme tout le monde plein de recettes et méthodes … et je voulais faire part de celle qui a marché pour moi.
J’ai raisonné par pourcentage en me disant : qu'est-ce qui joue, en % sur la pénibilité de cette maladie ?
J’ai d’abord essayé d’en saisir les déclencheurs. J’avais lu que le stress, l’alcool, les exitants (caféine, théine), l’alimentation épicée étaient des amplificateurs de symptôme, sans vraiment y croire …
Avec le recul, je vois les choses comme ça (et c’est une perception totalement personnelle)
Stress (40%)
Oui, je l'ai longtemps nié mais l’aspect psychologique est très fort : il faut agir, d’une manière ou d’une autre sur le stress. La maladie se nourrit elle-même du stress qu’elle génère (t’es sûr que t’as pas envie de pisser, là ? sûr ?) … D’ailleurs rien que d’en parler … (!)
J’ai réalisé que je n’étais pas forcément conscient du stress que je subissais (ou me créais) : environnement professionnel, familial, fatigue, et maladie elle-même etc … Bizarrement ça diminuait beaucoup pendant les vacances.
J’ai appris, avec le temps, à lâcher prise d’une manière générale et les symptômes ont bien diminué … Un détail : je suis passé du caleçon au boxer, ça évite le stress de la dernière goutte ... j'ai mes petits rituels, je me nettoie soigneusement le gland avant de dormir notamment (et ça marche bien !)
M'écoutant sur cette maladie, ma femme lui a donné un nom ridicule qui l’a un peu remise à sa place (la prostatite, hein) : “la pissotte”.
Alcool (20%)
oui, des effets, sans aucun doute. Les lendemains de fête les symptômes étaient/sont plus forts, certains alcools particulièrement impactants (champagne, rhum blanc, whisky), d’autres presque bénéfiques (la bière notamment, avec un effet de purge, ou du moins l’ai-je vécu comme ça). Bon après, l’alcool, ça relaxe, donc effet sur le stress, bien sûr … mais attention les effets secondaires si trop grande quantité !
Je me suis fixé quelques règles : pas d’alcool avant le jeudi, par exemple … pas (trop) d’excès…
Alimentation (10%)
Je n’ai pas noté de vrai gros déclencheur. J’ai changé quelques habitudes : passé du thé au café puis à la chicorée mais sans me prendre la tête et en revenant à l’un ou l’autre de temps en temps … J’évite autant que possible le piment fort (ça c’est assez radical, en revanche).
Inconnu (10%)
Et puis parfois : une crise. Aucun signe vraiment annonciateur. Dans les salles de spectacle, notamment, comme si je me projetais sur scène alors que je suis dans le public ! Un peu de pression et ça recommence. J’en ai pris mon parti. Je n’angoisse plus : je sais que ça repartira tout seul.
Mécanique musculaire (20%) - j'ai pas trouvé plus parlant ...
j’ai essayé pas mal de médications mais rien n’a fonctionné. En revanche je m’astreins à faire du gainage, principalement assis sur une chaise : monter les genoux puis étendre les jambes à l’équerre : c’est quasi miraculeux ! La planche aussi, etc.
Tout ce qui permet de retenir les viscères pour éviter que “ça appuie” sur la zone sensible. D'ailleurs quand c’est trop fort je saisis les viscères à travers la peau du ventre et essaie de les remonter. Ça peut bien soulager … Parfois aussi, le travail digestif peut aider. Une gène ? je machouille un bout de pain ou autre et souvent, ça passe …
Bref, aujourd’hui, je m’estime quasi-guéri. Je sais que ça peut revenir mais aussi que ça peut disparaitre. Il n’y a pas eu de grande révolution, j’ai juste constaté un jour que je n’avais plus eu de vraie crise depuis longtemps et qu’il fallait peut-être que je partage ça avec ceux qui galèrent comme j’ai pu galérer …
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miguel1975
miguel1975
Dernière activité le 06/05/2023 à 10:29
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1 commentaire posté | 1 dans le forum Prostatite
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Ami
Miguel, 40 ans, Nantes avec une prostatite chronique depuis début 2015
Bonjour,
Tout d’abord merci d’avoir créé un blog pour cette maladie méconnue !
Pour ma part j’ai subi en début d’année une résection du col vésical (clapet à la sortie de la vessie) qui était trop rigide et déclenchait chez moi entre 10 à 15 mictions par jour.
Cette opération a eu lieu le 12 janvier 2015 et ensuite j’ai été sous traitement anti-inflammatoire pendant 1 mois et tout se passait bien, à l’arrêt de mon traitement j’ai constaté quelques jours après des brulures lorsque j’urinais et des douleurs dans les bourses et c’était le début de la galère !
J’ai été hospitalisé dans un 1er temps pour une prostatite aigue au mois de mars 2015 pendant 7 jours ou j’ai subi un traitement antibiotiques et antidouleurs ensuite retour à la maison avec un traitement de 2 mois sous antidouleurs et anti-inflammatoires par voie orale.
Pendant cette période la douleur a toujours été présente mais supportable, le gros inconvénient est une baisse de la libido et pendant les crises aigu et une éjaculation rétrograde.
Au mois de mai de retour une grise violente avec des douleurs pelviennes insupportable (j’avais stoppé mon traitement), je rappelle la clinique et je suis de nouveau hospitalisé et recommence un traitement par voie intraveineuse d’antibiotiques et d’antidouleurs pendant 5 jours. A ma sortie un traitement par voie oral m’attendait avec du Tramadol pour la gestion de la douleur, l’antibiotique Cefixine (Oroken) pour traiter le germe et du Seroplex soit disant pour « chinter » l’information à mon cerveau que j’ai mal et eux pendant une durée de 6 mois!
Ce dernier étant un antidépresseur je pense que mon Urologue n’a pas eu le courage de me dire qu’il souhaitait traité une éventuelle baisse de morale !
Pendant ce traitement les douleurs au niveau de la vessie et des bourses ne me quitte guère même si elles sont peu douloureuses !
Aujourd’hui je suis de nouveau à la clinique, encore une crise !
Rebelote je suis de nouveau sous traitement antibiotiques et antidouleurs, 4 jours d’hospitalisation (Septembre 2015) car le traitement est par voie intraveineuse !
On va me poser un cathéter veineux par voie centrale avec une pompe afin de pouvoir me traiter sous antibiotique « Tienam » pendant un mois et bien entendu je continu mon traitement par voie oral d’antidouleur « Tramadol ».
D’autre part j’ai pris RDV dans un centre antidouleurs à Nantes (4 mois d’attente), j’ai RDV le 21 octobre 2015, j’espère qu’ils auront un traitement efficace à me proposer !
Cette maladie est compliqué car mal connu par mon entourage et cela ne se voit pas alors si physiquement je présente bien pour eux tout va bien !
C’est pourtant pas le cas, je suis fatigué et depuis le début de mon traitement en Mars il m’est difficile de tenir éveiller des longues journées et il faut que je tienne car je suis Cadre dans l’industrie et mes clients commence à dire « Il est encore en arrêt ».
Et oui même si je fais tout pour limiter mes absences au travail j’ai été obligé de stopper mon activité pendant mes hospitalisations et 3 semaines après l’hospitalisation du mois de mars car j’étais très fatigué !
Mon patron est compréhensible mais va-t-il accepter cette situation pendant plusieurs mois ou plusieurs années je le crains !
Moi je ne tiendrais pas pendant plusieurs années, je veux retrouver ma vie d’avant avec une libido épanoui, un bon moral et surtout plus de douleurs !
Si des personnes vivent ou ont vécu la même situation je serais heureux de partager un moment d’échange avec eux.
Miguel