- Accueil
- Échanger
- Forum
- Forums généraux
- Revue de presse
- Violence conjugale : 1 homme sur 5 l'avoue
Violence conjugale : 1 homme sur 5 l'avoue
- 1 761 vues
- 1 soutien
- 146 commentaires
Tous les commentaires
Aller au dernier commentaireUtilisateur désinscrit
Chris31
Membre AmbassadeurBon conseiller
Chris31
Membre Ambassadeur
Dernière activité le 03/10/2024 à 09:58
Inscrit en 2014
12 565 commentaires postés | 645 dans le groupe Revue de presse
16 de ses réponses ont été utiles pour les membres
Récompenses
-
Bon conseiller
-
Contributeur
-
Messager
-
Engagé
-
Explorateur
-
Evaluateur
Hip hip hip, scoobidoo tu as un bon point lol
Voir la signature
Chris31- Faites que le rêve dévore votre vie, afin que la vie ne dévore pas votre rêve. Antoine de Saint-Exupéry
Maria12
Bon conseiller
Maria12
Dernière activité le 15/10/2024 à 21:17
Inscrit en 2013
1 867 commentaires postés | 43 dans le groupe Revue de presse
2 de ses réponses ont été utiles pour les membres
Récompenses
-
Bon conseiller
-
Contributeur
-
Messager
-
Engagé
-
Explorateur
-
Evaluateur
Je suis un cancre!
Voir la signature
Maria12.
scoobidoo
Bon conseiller
scoobidoo
Dernière activité le 27/01/2024 à 01:45
Inscrit en 2014
2 713 commentaires postés | 460 dans le groupe Revue de presse
10 de ses réponses ont été utiles pour les membres
Récompenses
-
Bon conseiller
-
Contributeur
-
Messager
-
Engagé
-
Explorateur
-
Evaluateur
Ca change, je n'en ai pas eu beaucoup à l'école, "un peu trop" dissipée !
Francine
Voir la signature
La vie est belle si on ne lui demande pas plus que ce qu'elle peut donner.
Utilisateur désinscrit
Bonsoir, je passe par word, internet free se déconnecte trop fréquemment…et le message s’envole. Donc comme d’habitude, je mets mon grain de sel…
Chantre75, le sujet ouvert s’intitule « les violences conjugales », Peut être , ta compagne se montre violente et tu peux tout à fait t’exprimer sur ce sujet.
Tu peux donc ouvrir un sujet sur l’homosexualité, et surtout nous dire si le fait d’être homosexuelle a une incidence ou pas sur ta pathologie. Carenity est un forum destiné aux échanges entre malades.
L’homosexualité n’est pas une pathologie. Ce n’est pas la peine d’en faire l’apologie ou même de te justifier.
Je pense que la société a beaucoup évolué, et être homosexuel ou hétérosexuel, a chacun de faire ses choix pour vivre sa vie le mieux possible. Nous n’avons en aucun cas le droit de juger à partir du moment où les gens sont heureux.
Je connais des couples jeunes et moins jeunes, hommes ou femmes homosexuels, ils ont le même comportement que les couples hétérosexuels.
Je dois par contre dire qu’il faut dire son choix à son entourage , ne pas faire souffrir pendant des années une épouse qui ne l’est plus et qui pourrait refaire sa vie….ou en arriver à se suicider car un mari a 3 enfants et ne peut ou ne veut faire un choix entre son épouse et son compagnon…(ce sont des exemples vécus.)
Tiens, regarde donc « plus belle la vie » le soir à 20 h15 ou d’autres feuilletons (Docteur HOUSE…) qui banalisent tout à fait ces choix. Combien de présentateurs, d’acteurs, de célébrités n’en font pas toute une histoire…et le ne sont plus ainsi la cible des paparazzis…
Bonne soirée.
LadyKat
Bon conseiller
LadyKat
Dernière activité le 13/07/2019 à 08:58
Inscrit en 2013
1 040 commentaires postés | 133 dans le groupe Revue de presse
1 de ses réponses a été utile pour les membres
Récompenses
-
Bon conseiller
-
Contributeur
-
Engagé
-
Explorateur
-
Evaluateur
-
Ami
Je suis rarement sur Carenity les aprèms ou les soirs, aujourd'hui c'est une exception.
J'ai constaté qu'on a BEAUCOUP dévié sur le sujet proposé par Julien concernant les violences conjugales. Je n'aime pas dire que c'est la faute à.... parce que de tout évidence si le sujet de départ a été écarté c'est du à une personne qui a éprouvé le besoin de raconter son histoire perso qui n'avait rien à voir avec le sujet de départ parce que cette même personne n'a jamais évoqué de maltraitance de la part d'une de ses conjoint(es). Ceci dit, je ne dis pas qu'on n'arrive pas à comprendre la souffrance d'une telle situation si on n'a pas vécu soi-même. Beaucoup de personnes dans ce forum ont une grande compassion/compréhension concernant une situation qu'ils n'ont pas forcément vécu eux-mêmes.
Il y a une différence entre les violences conjugales et les violences familiales, les deux sujets méritent d'être évoquer.
Pour moi Carenity est un forum où on peut parler de nos souffrances physiques liés à nos maladies mais également où on peut parler de nos souffrances morales...que ça soit ce qu'on vit aujourd'hui ou qu'on a vécu dans le passé. Ces histoires font parties de la personne que nous sommes devenus aujourd'hui.
A tous les femmes ou hommes qui subissent dans leur foyer des violences physiques ou psychologiques de la part de leur mari, femme, compagnon, compagne... je vous souhaite de trouver le courage d'y mettre fin...même si cela consiste de fuir parce qu'on a pas d'autre choix. Il n'y a pas à avoir honte de se mette en sécurité d'abord pour ensuite essayer d'en discuter avec la personne qui vous tourmente et vous fait peur.
Sur ce, bonne soirée à tous
LadyKat
Bon conseiller
LadyKat
Dernière activité le 13/07/2019 à 08:58
Inscrit en 2013
1 040 commentaires postés | 133 dans le groupe Revue de presse
1 de ses réponses a été utile pour les membres
Récompenses
-
Bon conseiller
-
Contributeur
-
Engagé
-
Explorateur
-
Evaluateur
-
Ami
@arnica, oups.... pendant que j'étais en train de rédiger mon commentaire vous avez posté le vôtre et je constate que j'ai repris quelques remarques semblables aux vôtres. Désolée que je répète les mêmes choses mais je n'ai pas envie de modifier mon commentaire. J'espère que vous ne m'en tiendrez pas rigueur.
Utilisateur désinscrit
c est exactement ce que je disais plus haut,ce sujet concerne aussi bien des hommes que des femmes battues!!dommage que certaines personnes ne suivent pas les sujets,au point de faire de la provoc;c est bien dommage,car sujet interessant!
Utilisateur désinscrit
Maria12
Bon conseiller
Maria12
Dernière activité le 15/10/2024 à 21:17
Inscrit en 2013
1 867 commentaires postés | 43 dans le groupe Revue de presse
2 de ses réponses ont été utiles pour les membres
Récompenses
-
Bon conseiller
-
Contributeur
-
Messager
-
Engagé
-
Explorateur
-
Evaluateur
C'est sympa de bien aimer les handicapés même les trisomiques.
Voir la signature
Maria12.
Donnez votre avis
Articles à découvrir...
04/11/2024 | Actualités
Les ballonnements : tout comprendre pour soulager cet inconfort !
21/10/2024 | Actualités
Les troubles de santé courants chez la femme enceinte : tout ce qu’il faut savoir !
19/10/2024 | Nutrition
Quels sont les nombreux bienfaits anti-inflammatoires et antioxydants du curcuma ?
16/10/2024 | Nutrition
Qu’est-ce que l’environnement alimentaire et comment influence-t-il notre alimentation ?
09/01/2019 | Nutrition
14/02/2019 | Conseils
La vie amoureuse à l’épreuve de la maladie : comment faire face ?
15/04/2019 | Conseils
S'abonner
Vous souhaitez être alerté des nouveaux commentaires
Votre abonnement a bien été pris en compte
Julien
Bon conseiller
Julien
Dernière activité le 12/06/2024 à 11:32
Inscrit en 2012
10 075 commentaires postés | 815 dans le groupe Revue de presse
24 de ses réponses ont été utiles pour les membres
Récompenses
Bon conseiller
Contributeur
Messager
Engagé
Explorateur
Evaluateur
La prévalence de la violence conjugale (ici aux États-Unis) dépasse celle du diabète, selon cette étude de l'Université du Michigan, représentative au niveau national, et qui marque d’abord avec ce ratio : 1 homme sur cinq aux États-Unis reconnait avoir déjà fait preuve de violence envers son conjoint ou partenaire intime. Seconde conclusion, certains symptômes physiques apparaissent associés à la violence conjugale. Nouveau zoom dans le Journal of the American Board of Family Medicine sur une forme d’agressivité masculine désormais mieux détectable, lors d’examens de routine, grâce à des signes d’alerte dont certains étaient jusque-là inconnus.
L’étude a porté sur les données de 530 hommes âgés de 42 ans en moyenne à 84% professionnellement actifs et de tous niveaux de revenus de la National Comorbidity Survey-Replication (2001-2003), une enquête sur la violence masculine et conjugale et ses caractéristiques. . La violence conjugale a été définie comme pousser, empoigner, bousculer, jeter quelque chose, donner des gifles ou des coups, des coups de pied, mordre, battre, étouffer, brûler ou menacer avec un couteau ou un pistolet.
1 homme sur 5 aux États-Unis reconnait avoir usé de violence à l’égard de sa partenaire intime. Contrairement à ce que les gens racontent sur la violence masculine, en faisant souvent référence à des personnes qu'ils n’ont jamais rencontrées ou à des faits d’actualité, un homme sur 5 au moins l’a déjà pratiquée, et une femme sur 5 l’a donc subie, explique l'auteur principal, le Dr Vijay Singh, du Département de médecine d'urgence et familiale de l'Université du Michigan. Un ratio valable pour toutes les communautés, les ethnies, les niveaux de revenus, et quel que soit le facteur sociodémographique, souligne l’auteur. Pour les Etats-Unis, ces données d’enquête concordent avec les données épidémiologiques : Chaque année, environ 320.000 visites en ambulatoire et 1.200 décès chez les femmes sont dus à la violence conjugale dont les coûts sociaux et de santé sont estimés à 8,3 milliards de dollars.
Une menace détectable :
Car l’étude constate aussi que plus de la moitié des hommes qui s’avouent violents ont passé au moins une visite médicale de routine au cours l’année précédente et près d'un tiers au moins une visite aux urgences. Une opportunité pour le dépistage de ce trouble du comportement, bien que peu de travaux aient été jusque-là réalisés sur la façon d'identifier les auteurs de violence conjugale. Pourtant certains signes bien détectables sont associés au risque de comportement violent. Précisément, l’analyse montre que, si le taux moyen de perpétration de la violence conjugale masculine est de 19,2%,
· le syndrome du côlon irritable est associé à une probabilité double de violence conjugale sur sa partenaire (OR : 2,61),
· l'insomnie, à une probabilité accrue de 33% (OR : 1,33),
· l'abus de substances et la toxicomanie, à une probabilité accrue de 76% (OR : 1,76),
· avoir été victime ou témoin de violence à l‘enfance à une probabilité double (OR, 1,99/2,02).
SanteLog