Que penser du coronavirus ?

  @maya78‍   pour répondre à ton 11h43 : les immunologues  et les généticiens  ( gens discrets ) se penchent sur la question ................... Par exemple  :

Le système immunitaire des femmes .... mieux armé face aux coronavirus?

DÉCRYPTAGE - En France, les hommes représentent 73 % des personnes admises en réanimation. Comment expliquer cette nette inégalité face à la maladie?

Par Anne PrigentPublié le 15/04/2020 à 19:54, Mis à jour le 15/04/2020 à 19:54    source : F Sciences

Il est prouvé que les femmes développent une immunité efficace contre la grippe avec une dose de vaccin deux fois moindre que pour  les hommes.
Face au Covid-19, hommes et femmes ne sont pas égaux. Toutes les données mondiales le constatent: les hommes sont plus nombreux à être touchés par les formes graves de la maladie. En France, ils représentent 73 % des personnes admises en réanimation. Le fait d’être de sexe masculin multiplierait par deux ce risque, selon une étude française publiée en ligne le 10 avril dans la revue Obesity. Ces différences avaient déjà été observées lors de précédentes épidémies liées à des coronavirus, comme celle du Sars-CoV-1 en 2003.    

Quant à l'ivermectine

"Il y a plein d'études qui, souvent, ont été mal faites." Mathieu Molimard, pharmacologue et membre de la Société française de pharmacologie et de thérapeutique.

Mathieu Molimard se montre également sévère avec les essais randomisés, considérés comme le "gold standard" des chercheurs : "Peu sont bien faits." Et "dans les études contrôlées, en double aveugle, il n'a pas été montré d'effet sur la décroissance virale qui soit significatif à J -7, ni d'effet clinique significatif dans les études bien faites", poursuit le spécialiste. En effet, les résultats d'une seconde étude randomisée ont été publiés, début mars, dans le Journal of American Medicine Association (lien en anglais). Et ils ne montrent pas d'effet bénéfique du recours à l'ivermectine par rapport à un placebo.

En définitive, les résultats ne sont pas concluants ou présentent un faible degré de certitude, selon le site Meta Evidence (en anglais), de l'université et du CHU de Lyon, qui rassemble les dernières publications sur les différents traitements utilisés contre le Covid-19, dont l'ivermectine.

De son côté, Merck, le premier groupe pharmaceutique à avoir produit l'ivermectine, émet également des réserves. Dans un communiqué daté du 4 février (en anglais), il écrit qu'il n'existe à l'heure actuelle "aucune base scientifique pour un effet thérapeutique potentiel contre le Covid-19 à partir d'études précliniques", qu'il n'y a "aucune preuve significative de l'activité clinique ou de l'efficacité clinique chez les patients atteints de la maladie Covid-19" et souligne un "manque préoccupant de données de sécurité dans la majorité des études".

La piste est-elle abandonnée ?

Non, des données supplémentaires sont attendues. L'Agence européenne des médicaments (EMA) a déconseillé, le 22 mars, l'utilisation de l'ivermectine dans la prévention ou le traitement du Covid-19. "Les données disponibles ne soutiennent pas son utilisation pour le Covid-19 en dehors d'essais cliniques", écrit-elle dans un communiqué (en anglais). Toutefois, elle estime que d'autres études "sont nécessaires pour tirer des conclusions sur l'efficacité et l'innocuité du produit dans la prévention et le traitement du Covid-19".

Même son de cloche aux Etats-Unis, où la Food and Drug Administration (FDA) a jugé (en anglais), le 5 mars, que l'ivermectine ne devait pas être utilisée pour l'instant contre le Covid-19.

Ses positions sont partagées par Carlos Chaccour, chercheur à l'institut ISGlobal et médecin à l'hôpital universitaire de Barcelone, qui a mené une étude sur l'ivermectine publiée dans la revue The Lancet (lien en anglais), en janvier.   il se montre prudent, sans écarter la piste.

Quid alors de son utilisation dans certains pays?

Pour Mathieu Molimard, en Europe comme ailleurs, il s'agit de "décisions politiques" prises par les gouvernants pour tenter de montrer à la population qu'ils se mobilisent face à la pandémie, au mépris de la prudence. "Il faut raison garder. L'urgence ne justifie pas que l'on fasse n'importe quoi", juge-t-il.

Sauf que:

Rappel sur l'Imervectine (l'OMS semble moins bornée que les agences occidentales telles que EMA - FDA):

Une bonne cinquantaine d’essais cliniques sont en cours dans le monde. Et l’OMS étudie actuellement le dossier sur la base des analyses du docteur Andrew Hill qui a mis à jour ses travaux en mars 2021.

Trois autorités de santé  concluent à son efficacité probable, celle de la FLCCC, celle d’un consortium de médecins coordonnés par le cabinet de recherche anglais Evidence based Medecine Consultancy, et enfin, en janvier dernier, celle du docteur Andrew Hill, microbiologiste de l’Université de Liverpool (18 études analysées portant sur 2244 patients). «Toutes les données pointent dans la même direction dans de nombreux pays», estime ce dernier. Les chances de survie seraient ainsi augmentées dans une fourchette de 48 à 88%. Le docteur Hill préconise toutefois de pousser les essais cliniques à une plus grande échelle.

@maritima bonjour 

oui c'est une possibilité ; bon j'ai des cas où le négatif dans le couple c'était le monsieur ! lol 

j'ai lu aussi un dosage d'interféron ?? 

on parle aussi d'immunité mais quand on voit des gens jeunes  et bien portant être gravement malades ça laisse septique ! 

bref il va couler encore de l'encre avant qu'on en sache plus ! 

ET ? .......Pas plus que l'OMS les agences occidentales ne s'opposent aux essais cliniques  bien faits  et non biaisés
mais il demeure que  pour l'heure  ...........

Santé
Covid-19 : l'OMS recommande "de ne pas utiliser" l'ivermectine
Par Sciences et Avenir avec AFP le 02.04.2021 à 16h07 Lecture 4 min.

L'Organisation mondiale de la santé (OMS) recommande de ne pas utiliser l'ivermectine, un médicament antiparasitaire, dont les essais cliniques n'ont pas montré d'efficacité sur les patients atteints du Covid-19. ( déclaration faite le 31 mars 2021 )

Certes @maya78‍   mais c'est  parfois quand il arrive une  infection  potentiellement grave que l'on s'aperçoit que le fait  d'être jeune,  et en bonne santé  n'empêchait pas une faiblesse ou une prédisposition sur un ou qqs gènes  qui ne s'étaient pas encore exprimés..

@maya78 vous êtes étonnante, vous venez de lire que "la mortalité a été de 4,9% parmi 3062 résidents, versus 0 pour 121 dans l’Ehpad observé" et vous n'y voyez rien de plus qu'une "amélioration des symptômes", mais du point de vue de toutes ces personnes en EHPAD, inquiètes au plus haut point, si on leur donnait les éléments pour choisir et écoutait leur choix, je doute qu'elles hésitent devant l'Ivermectine qui a fait qu'il n'y a eu aucune victime dans l'EHPAD cité en exemple. Entre zéro victimes et 5 ou 10 ou 15% de victimes, c'est pus qu'une amélioration, c'est un immense espoir.

Ce matin vous avez vu que l'IHU n'a déploré que 17 victimes sur plus de 15 000 personnes soignées, ça peut aussi se voir comme juste une petite amélioration... mais faites la proportion par rapport au pays dans son ensemble et voyez si on aurait aussi eu à déplorer 90 000 victimes avec de tels traitements.

Je pense que ce sera très difficile à assumer pour ces décideurs, d'ici un an ou deux, lorsque nombre d'affaires se régleront devant des tribunaux, dans divers pays comme internationalement, d'avoir fait obstacle ou retardé des traitements dont l'efficacité s'observe risque de ne pas être particulièrement bien vu. Mais on a déjà vu ça, "responsable mais pas coupable", la justice a d'étranges positionnement parfois.

https://www.lemonde.fr/idees/article/2021/04/28/covid-19-l-inculture-scientifique-des-elites-francaises-a-des-effets-profonds-sur-la-conduite-des-affaires-de-l-etat_6078385_3232.html

Covid-19 : « L’inculture scientifique des élites françaises a des effets profonds sur la conduite des affaires de l’Etat »
Article du Monde Publié le 28 avril 2021 ; Temps de Lecture 4 minutes.

Tribune. Quel est le point commun entre le déclassement scientifique et industriel de la France, la déroute de l’administration dans la gestion de la crise sanitaire et l’appauvrissement du débat dans la sphère publique ? A des degrés différents, tous sont les conséquences de l’affaiblissement de l’enseignement et de la culture scientifiques dans notre société.

Un des effets les plus considérables de l’effondrement de la culture scientifique concerne l’élite gouvernante du pays, qu’il s’agisse des hauts fonctionnaires ou des hommes politiques, souvent les mêmes d’ailleurs. Les polytechniciens, seuls hauts fonctionnaires sensibilisés aux sciences et techniques, ont quasiment disparu des postes-clés de l’Etat au profit des énarques, dont la culture est naturellement administrative. Moins d’un quart des polytechniciens intègrent le service de l’Etat. Le pays ayant donc choisi (ou accepté) de ne plus exiger de ses grands serviteurs une culture scientifique, il ne faut pas s’étonner que ceux-ci n’en comprennent pas les grands enjeux.

Ainsi, même si les causes en sont évidemment complexes, comment ne pas s’interroger sur la relation entre cet affaiblissement de la culture scientifique des élites et notre impréparation face à la crise sanitaire ? Ou avec notre décrochage en matière d’innovation et de recherche ? Le triste sort réservé à Valneva [la biotech française] est malheureusement révélateur. Ni les ministères concernés ni l’ANSM (Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé), pourtant informés très tôt, n’ont pris au sérieux les résultats prometteurs du candidat vaccin de cette société nantaise, ne faisant que conditionner d’éventuelles aides à la constitution d’un énorme dossier administratif. Au même moment, les Britanniques et les Américains, agiles et baignés d’esprit scientifique, lui disaient banco. Résultat : l’usine se monte en Ecosse. A l’image de nos chercheurs qu’on laisse fuir à l’étranger et nourrir nos propres concurrents…

La France ne doute jamais d’elle-même
Cette inculture scientifique des élites a des effets encore plus profonds dans la conduite des affaires de l’Etat. Prenons l’exemple de l’évaluation des politiques publiques.

ETC, être abonné ...

Philippe Juvin, médecin, est chef des urgences de l’hôpital européen Georges-Pompidou et maire (LR) de La Garenne-Colombes (Hauts-de-Seine).

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Serait-ce plus exact que https://geopolintel.fr/article2232.html ?

Ou une question de plus ?

@maritima‍ @serpic‍ (bon anniversaire !), à tous,

Que penser de cet article ? https://geopolintel.fr/article2232.html On garde ses avis pour soi ?

!!!!!!

Bonjour @SepSepien‍ 
merci pour tes souhaits c'est gentil

Concernant l'article précédant 

Si la pandémie avait eu lieu sous la présidence de François Hollande
jamais le Monde n'aurait publié un article à charge comme celui là 
bonne journée 

@Stefan  où vous avez vu que je venais de lire quoi que ce soit sur les statistiques  ???? lol 

Vous avez pris le contrôle de ma tête ? non parce que là pour le coup votre réflexion est étonnante !