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Que penser du coronavirus ?
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kanpanstu
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encore un exemple d'études scientifiques qui se contredisent https://www.marieclaire.fr/oestrogenes-role-protecteur-demence-etude,1470844.asp
Le nombre d'années durant lesquelles vous avez vos règles influerait sur votre risque de démence
Plus les règles apparaissent tôt et disparaissent tard, plus les femmes seraient protégées.
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@kanpanstu
C’est un cas classique de la recherche scientifique, et il a toujours été dit sur ce forum que plusieurs études ayant abouti aux mêmes résultats étaient interessantes pour la validité de ceux-ci, surtout menés par des équipes différentes dans des pays différents ( mais pas trop pour diminuer des interférences multiples ). C’est tout l’intérêt avant de partager une étude de faire quelques recherches bibliographiques ou de lire des éditoriaux qui accompagnent l’article, car des limites sont souvent indiquées.
Concernant votre étude, elle est renforcée pat le fait qu’elle est basée sur un grand nombre de patientes, un peu comme celle du Lancet, et elle a été réalisée au Royaume Uni, qui est bien connu pour avoir de très longs suivis de cohortes de patients, ce qu’heureusement la France a aussi adoptée mais plus récemment .
On peut légitimement penser que d’autres études seront effectuées pour essayer de trancher.
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Et’ la saga des vaccins basés sur la technologie ARNm continue :
Néovacs,société biopharmaceutique à un stade préclinique développant de nouvelles thérapies pour des maladies inflammatoires et auto-immunes, annonce l'entrée en phases nationales de son brevet portant sur ses candidats vaccins à ARNm dans le domaine des allergies.
Pour rappel, un candidat vaccin à ARNm dirigé contre les cytokines IL-4 et IL-13 est développé par Néovacs pour le traitement des allergies. Le concept a été validé par la production d'anticorps neutralisants dans des modèles de souris humanisées. La réponse immunitaire et la tolérance au vaccin sont actuellement en cours d'évaluation chez le primate non humain en conditions R&D, avec des résultats attendus au début du second trimestre 2024.
Ce candidat vaccin IL-4 et IL-13 à ARNm est protégé par un brevet international déposé en août 2021 intitulé « mRNA vaccines comprising IL4 and/or IL13 RNA and uses thereof ».
L'invention revendique l'utilisation d'un vaccin thérapeutique comme traitement des effets pathologiques associés à une surexpression d'IL-4 et d'IL-13, notamment dans l'asthme, les allergies alimentaires, les réponses aux venins et la survenue de chocs anaphylactiques, la dermatite atopique, la fibrose pulmonaire et la bronchopneumopathie chronique obstructive (BPCO).
@kanpanstu la technologie ARNm est vraiment intéressante . et la pandémie a été la révélatrice .
@bibimet75 qui est le « game changer ? »,
@maya78 pour info
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une autre piste pour les vaccins ARNm
Un vaccin sur mesure pour le mélanome.
Les personnes atteintes d'un mélanome ont vécu plus longtemps lorsqu'elles ont été traitées avec un vaccin ARNm stimulant l'immunothérapie et personnalisé pour refléter les antigènes de leur tumeur. Des essais antérieurs avec des vaccins non personnalisés n'ont pas permis d'améliorer l'efficacité des immunothérapies contre le mélanome.
Cependant, ce nouveau vaccin codait jusqu'à 34 antigènes spécifiques à l'individu. Dans un essai portant sur 157 personnes atteintes de mélanome, les personnes ayant reçu le vaccin ARNm en plus de l'immunothérapie présentaient des taux de récidive ou de décès inférieurs sur 18 mois à ceux des personnes ayant reçu l'immunothérapie seule (22 % contre 40 %).
@bibimet75 étonnant. . @kanpanstu pour info
https://www.nature.com/articles/d41591-024-00006-4
Personalized mRNA vaccine boosts melanoma immunotherapy
In patients with resected, high-risk melanoma, the addition of a personalized mRNA-based neoantigen therapy to adjuvant pembrolizumab was more effective than pembrolizumab alone.
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@chatdoc ( cf article supra ).......... tous , car chacun(e) est susceptible un jour d'être concerné (e) .
.........................................UN PREMIER VACCIN À ARNM CONTRE LE MÉLANOME DISPONIBLE DÈS 2025 ?.....................................
https://www.univadis.fr/viewarticle/premier-vaccin-%25C3%25A0-arnm-contre-m%25C3%25A9lanome-disponible-2023a1000w4k
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maritima. "l'amour pour épée, l'humour pour bouclier" Bernard Werber.
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@chatdoc le 15 à 22h48 encore un article auquel on ne peut accéder sans abonnement..
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@kanpanstu
L’important est traduit plus que chacun puisse en connaître l’essentiel, . .
A ce propos, l’article du Lancet sur les effets des vaccins ARNm et le COVID long, (en accès libre), vos observations sue les statistiques sont toujours attendues.
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Plusieurs fois sur le courûmes, la rétractation d’articles scientifiques médicaux a été évoquée . . Un article vient de faire une mise au point sur ce sujet :
Selon l'analyse de Nature, qui ne porte que sur les revues de langue anglaise, plus de 17 000 avis de rétractation concernant des articles publiés par des coauteurs chinois ont été émis depuis le 1er janvier 2021, date du début de la période d'examen spécifiée dans l'avis.
L'analyse, qui est une mise à jour de celle réalisée en décembre, a utilisé la base de données Retraction Watch, augmentée des avis de rétractation collationnés à partir de la base de données Dimensions, et a bénéficié de l'aide de Guillaume Cabanac, informaticien à l'université de Toulouse, en France. Il n'est pas certain que les listes officielles contiennent le même nombre d'articles rétractés.
@Alain08 , @kanpanstu et @bibimet75
https://www.nature.com/articles/d41586-023-03974-8
More than 10,000 research papers were retracted in 2023 — a new record
The number of articles being retracted rose sharply this year. Integrity experts say that this is only the tip of the iceberg.
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@chatdoc le 17/02 à 8h48, le nombre de rétractation sur les revues de langue anglaise est énorme, c'est bien la preuve que ces revues publient des études ou articles sans en avoir au préalable vérifié l'exactitude et le bien fondé, préférant sans doute faire du "remplissage" avant de rectifier à postériori si nécessaire, et cela ne concerne que les articles de source chinoise si j'ai bien compris.
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@kanpanstu
De très très nombreuses revues sont en langue anglaise car c’est la langue ´ de loin, la plus utilisée en Sciences, et cet article signale surtout que les revues en mandarin n’ont pas été étudiées . . or les articles mis en cause soit des articles publiés par des chercheurs chinois !!
Les revues ont plus ou moins des comités de lecture par leurs pairs et de qualité variables, c’est une des raisons de leur niveau de classement et l’importance de vérifier certains points . . c’est aussi un reproche fait au Pr Raout qui publie surtout dans une revue oui il était tres impliqué et ses collaborateurs membres de comité de rédaction (!).
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@chatdoc on parle de 17.000 rétractations sur des revues de langue anglaise, pas sur des revues éditées en mandarin! S'il ne font que recopier les études chinoises c'est encore plus grave .
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@kanpanstu
Lisez mon propos, ou avez vous lu ce que vous dites dans votre message . . savez-vous combien il y a de revues en anglais et combien d’articles sont publiés par an ?
De début janvier à début juin 2020, il y a eu de plus de 25000 pré-publications et publications sur le covid, et la pandémie commençait . . De plus l’article parle d’articles de recherche en général et non que le Covid, il faut relativiser et la plupart provenant de pays quasiment jamais cité ici . .
Les revues en mandarin sont en plus, et actuellement les chinois ont adopté l’anglais pour beaucoup de publications pour être reconnus internationalement. Et, il y a des éditeurs chinois qui publient des revues en anglais avec pas toujours une même rigueur que les revues anglophones ou celles européennes non anglophones directement publiées dans la langue de Shakespeare. .
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Pour continuer sur les articles rétractés :
Articles rétractés, une étude publiée dans le British Médical Journal :
Objectifs Décrire les articles rétractés provenant des éditions , y compris leurs caractéristiques, leur visibilité et leur impact dans le temps, ainsi que les revues dans lesquelles ils ont été publiés.
La base de données Retraction Watch a été utilisée pour identifier les articles rétractés provenant d’éditeurs , Web of Science a été utilisé pour le nombre total d'articles publiés et les données de Journal Citation Reports ont été collectées pour montrer les caractéristiques des revues.
Participants : Tous les articles écrits rétractés entre le 1er janvier 2004 et le 26 juin 2022 ont été inclus dans l'étude.
Principaux résultats : Des statistiques descriptives ont été utilisées pour caractériser l'échantillon et analyser la tendance des articles d’éditeurs au fil du temps, ainsi que pour analyser leur impact et leur visibilité en fonction du nombre de citations reçues.
Résultats : 1182 articles de publications ont été identifiés. Le premier article a été publié en 2004 et la première rétractation en 2016. En 2021, les rétractations représentaient 772 (21,8 %) des 3544 rétractations totales. Dans l'ensemble, les articles publiés rétractés ont surtout été publiés dans des revues du deuxième quartile le plus élevé du Journal Citation Reports pour le facteur d'impact (n=529 (44,8 %)) et comptaient quatre à six auteurs (n=602 (50,9 %)). (liste des publications dans l’article)Sur les 1182 articles, presque tous les auteurs répertoriés dans 1143 (96,8%) rétractations provenaient d'institutions chinoises et 909 (76,9%) indiquaient un hôpital comme affiliation principale. 15 revues ont été à l'origine de 812 (68,7 %) des 1182 rétractations, une seule revue étant à l'origine de 166 (14,0 %). Presque tous les articles rétractés (n=1083, 93,8%) avaient reçu au moins une citation depuis leur publication, avec une médiane de 11 citations (intervalle interquartile 5-22).
Conclusions : Les articles rétractés provenant de revues écrites sont de plus en plus fréquents, ce qui pose un problème pour la communauté des chercheurs. Les articles rétractés provenant de revues provenaient le plus souvent de Chine et étaient publiés dans un petit nombre de revues. Néanmoins, les articles détectés peuvent être très différents de ceux qui ne le sont pas. De nouveaux mécanismes sont nécessaires pour identifier et éviter ce type d'inconduite relativement nouveau.
Les revues ayant le plus d’articles rétractés :
Journal Citation Reports quartile
Open access
No (%) of papers retracted for originating from editors (n=1182)
European Review for Medical and Pharmacological Sciences
@kanpanstu , @Alain08 et @bibimet75 (!)
https://www.bmj.com/content/379/bmj-2022-071517
Retracted papers originating from paper mills: cross sectional study
Objectives To describe retracted papers originating from paper mills, including their characteristics, visibility, and impact over time, and the journals in which they were published.Design Cross sectional study.Setting The Retraction Watch database was used for identification of retracted papers from paper mills, Web of Science was used for the total number of published papers, and data from Journal Citation Reports were collected to show characteristics of journals.Participants All paper mill papers retracted from 1 January 2004 to 26 June 2022 were included in the study. Papers bearing an expression of concern were excluded.Main outcome measures Descriptive statistics were used to characterise the sample and analyse the trend of retracted paper mill papers over time, and to analyse their impact and visibility by reference to the number of citations received.Results 1182 retracted paper mill papers were identified. The publication of the first paper mill paper was in 2004 and the first retraction was in 2016; by 2021, paper mill retractions accounted for 772 (21.8%) of the 3544 total retractions. Overall, retracted paper mill papers were mostly published in journals of the second highest Journal Citation Reports quartile for impact factor (n=529 (44.8%)) and listed four to six authors (n=602 (50.9%)). Of the 1182 papers, almost all listed authors of 1143 (96.8%) paper mill retractions came from Chinese institutions and 909 (76.9%) listed a hospital as a primary affiliation. 15 journals accounted for 812 (68.7%) of 1182 paper mill retractions, with one journal accounting for 166 (14.0%). Nearly all (n=1083, 93.8%) paper mill retractions had received at least one citation since publication, with a median of 11 (interquartile range 5-22) citations received.Conclusions Papers retracted originating from paper mills are increasing in frequency, posing a problem for the research community. Retracted paper mill papers most commonly originated from China and were published in a small number of journals. Nevertheless, detected paper mill papers might be substantially different from those that are not detected. New mechanisms are needed to identify and avoid this relatively new type of misconduct.The data that support the findings of this study are available from Retraction Watch. Restrictions apply to the availability of these data, which were used under contract license for this study.
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@chatdoc le point qui pose d'autres questions est l'affirmation de cette femme selon laquelle l'ansm aurait reconnu que l'état dans lequel elle se trouvait était consécutif à la vaccination, affirmation qui bien sûr demande à être prouvée.
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C’est l’éternel problème des affirmations . . et l’importance de pouvoir les vérifier.
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Parce que vous y croyez vous, à la réincarnation ?
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@macaque
Non, mais à la dissimulation si facile sur les réseaux sociaux . . et, ce forum en est un bel exemple !!
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Un collectif de médecins appelle à stopper la propagation impunie de fausses informations médicales.
L’affaire Booba continue de faire réagir le monde de la santé. Dans une tribune publiée dans L’Express le 29 janvier, un collectif de médecins (réunissant syndicats, jeunes, chercheurs ou encore sociétés savantes*) appelle à « mettre fin à la propagation impunie de fausses informations médicales ».Les signataires se déclarent « très préoccupés par les dérives constatées » sur les réseaux sociaux et certains médias, « qui partagent et diffusent de fausses informations scientifiques et médicales ». Dernier exemple de fake news, mis en lumière par les échanges sur X (ex-Twitter) entre le rappeur Booba et des médecins : les vaccins anti-Covid inefficaces ou responsables de cancers, voire de la maladie de Creutzfeldt-Jakob… « alors qu’aucune donnée épidémiologique ne rapporte une quelconque augmentation de ces maladies en lien avec la vaccination », se désolent-ils dans leur texte.
Pour ces médecins, « ces déclarations inquiétantes mettent en lumière la volonté de certains de semer la confusion et la peur dans le grand public avec des informations non étayées ». Ils rappellent que les affirmations médicales doivent reposer « sur des données solides issues de la science ». Et déplorent, dans le même temps, « que certains individus et médias profitent de la crédulité d’une partie de la population, contribuant ainsi à mettre leur santé en danger ».
Mesures législatives exigéesDans ce contexte, les signataires de la tribune appellent, à l’instar de l’Ordre national des médecins, à « soutenir la législation sur les dérives sectaires en cours de révision à l’Assemblée nationale, plus précisément en introduisant des sanctions pour ceux qui incitent à abandonner ou dénigrer un traitement médical reconnu »
De même, l’article 27 de la loi de 1881 sur la liberté de la presse concernant la publication, la diffusion ou la reproduction de fausses nouvelles, qui s’applique en cas de trouble à la paix publique, « devrait également concerner les cas de mise en danger de la santé publique », avancent les médecins. Lesquels souhaitent aussi « une régulation plus stricte des réseaux d’information pour protéger les citoyens ». « Il est temps de choisir le camp de la santé contre toute forme d’obscurantisme », concluent-ils.
* Parmi les signataires :
Dominique Deplanque, président de la Société française de pharmacologie et thérapeutique ; Manuel Rodrigues, président de la Société française du cancer ; Jérôme Barrière, membre du conseil scientifique de la Société française du cancer ; Rémi Salomon, président de la Conférence nationale des présidents de CME de CHU ; Alain Fischer, président de l’Académie des sciences ; Bernard Castan, président de la Société de pathologie infectieuse de langue française ; Catherine Barthélémy, présidente de l'Académie nationale de médecine ; Olivier Saint-Lary, président du Collège national des généralistes enseignants ; Christophe Leclercq, président de la Société française de cardiologie ; Luc Mouthon, président de la Société nationale française de médecine interne ; Nathalie Salles, présidente de la Société française de gériatrie et de gérontologie ; Arnaud Robinet, président de la Fédération hospitalière de France ; Jérôme Marty, président de l’Union française pour une médecine libre - syndicat ; Franck Devulder, président de la Confédération des syndicats médicaux français ; Agnès Giannotti, présidente de la Fédération française des médecins généralistes ; Mélanie Rica, présidente de Médecins pour demain ; Patricia Lefébure, présidente de la Fédération des médecins de France ; Patrick Gasser, président de l’union syndicale Avenir spé - le Bloc ; Patrick Pelloux, président de l’Association des médecins urgentistes de France ; Jérémy Darenne, président de l’Association nationale des étudiants en médecine de France ; Raphaël Dachicourt, président du Regroupement autonome des généralistes jeunes installés et remplaçants ; Florie Sullerot, présidente de l’Intersyndicale nationale autonome représentative des internes de médecine générale.
Source : lequotidiendumedecin.fr
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les dangers des surdiagnosticshttps://www.nationalgeographic.fr/sciences/medecine-sante-cancer-de-la-peau-comment-expliquer-la-hausse-inquietante-des-melanomes
Cancer de la peau : comment expliquer la hausse inquiétante des mélanomes ?
Selon certains spécialistes, « on incite au dépistage précoce de ces mélanomes, ce qui a pour conséquence involontaire les surdiagnostics ».
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@chatdoc vous dites "lorsque des traitements de type vaccin arnm seront envisagés, les critères diagnostiques comprendront au moins la biopsie avec des critères histologiques précis" C'est déjà le cas, les dermatos et les anapath n'ont pas attendus les arnm pour faire les biopsies et les études de prélèvements, le problème est que tout le monde ouvre le parapluie d'où les nombreux surdiagnostics, et ceci est valable pour d'autres spécialités et pathologies.
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C’est bien pour cela qu’il me semblait utile de préciser ce point . . (ce que vous auriez du faire ), , en disant au moins !! Car, le surdiagnostic n’est que provisoire. . et ne vaut il pas être trop prudent avec un mélanome que moins puisque ce n’est qu’une étape du diagnostic.
ce serait, pour vous paraphraser, « le syndrome de la confiture . . «
Et quel était l’intérêt de votre lien, dans le fil de la discussion ?
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@chatdoc l'excès de prudence conduit à des opérations inutiles telles qu'on a pu en voir et que l'on voit encore d'autres domaines comme certaines opérations inutiles comme des appendicectomies, des ablations de prostates, des opérations de cataracte etc. Ces excès de prudence ou parfois l'appât du gain, provoquent des risques et des dépenses inutiles. Pour ce qui est du hors sujet, c'est votre article sur la possibilité d'un vaccin contre le mélanome (quelque peu hors sujet également) qui m'a rappelé ce problème de surdiagnostic.
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@kanpanstu
mon article évoquait les vaccins ARNm qui ont été l’objet de très nombreux échanges sur ce forum, dont certains de type opposition systématique contre la technologie malgré les très nombreuses preuves positives.
Les exemples que vous citez sont sont connus depuis de nombreuses années et sont plus associés à des problèmes de mise en œuvre de moyens diagnostiques récents, comme l’échographie pour l’appendicite, ou à un réel problème de formation continue obligatoire comme souvent signalé sur ce forum. Concernant, les ablations de prostate, nous avons déjà eu ce débat, avec me semble-t-il, des faits pas toujours très précis mis en avant . . je ne suis pas sûr que ce forum soit le lieu d’un tel débat.
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Un excellent résumé :
COVID-19 : LE BILAN CHIFFRÉ DES MESURES SANITAIRES. (Le Point)
Les confinements orchestrés par le gouvernement pendant la pandémie ont permis de sauver de nombreuses vies.
Sur les réseaux sociaux, la nouvelle a suscité la rage des antivax et des opposants aux mesures sanitaires.
Mais les chiffres sont là, factuels : les confinements pendant la pandémie de Covid-19 en France ont permis de réduire de 84 % la transmission du virus.
Pour le couvre-feu à 18 heures, le bénéfice est de 68 %, et de 15 % pour la fermeture des écoles.
Ces résultats ont été publiés dans la revue Epidemics par une équipe internationale pilotée par le Pr Rodolphe Thiébaut, médecin de santé publique à l'université de Bordeaux.
Les chercheurs ont aussi modélisé un scénario de pandémie sans vaccin. Cela aurait conduit à 159 000 morts et à 1,48 million d'hospitalisations supplémentaires.
À l'inverse, si les vaccins avaient été disponibles au centième jour, 71 000 vies auraient été sauvées et 384 000 hospitalisations évitées.
Enfin, si le confinement avait été avancé d'une semaine, 20 000 décès auraient pu être empêchés. Ces résultats sont assez comparables à ceux qu'ont obtenus d'autres équipes en France et à l'étranger. Ils devraient aider à définir une stratégie optimale pour se préparer à une prochaine pandémie. « Il faut maintenant combiner ces données avec celles des effets de certaines mesures, comme le confinement, sur la santé des populations pour trouver un bon équilibre entre bénéfices et risques »,précise Rodolphe Thiébaut.
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Bonjour à tous, d'après le dernier bulletin de santé publique France, les indicateurs covid sont tous en baisse et à un niveau bas et le pic de la grippe semble être derrière nous puisque les indicateurs en ville et à l'hôpital sont en baisse par rapport à la semaine précédente, mais la circulation du virus grippal est encore importante.
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@kanpanstu
C'est bien à ce lien que je faisais allusion à 14h43 .
Bonne soirée à Vous .
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maritima. "l'amour pour épée, l'humour pour bouclier" Bernard Werber.
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@kanpanstu
Pour être précis, dans l’article de « The Conversation « auquel se réfère le Vidal. il est spécifié :
« Mais les poumons ne sont pas les seuls organes touchés. Une hypothèse est que des microthromboses inflammatoires ou des microhémorragies pourraient survenir aussi au niveau des autres organes, dans les petits vaisseaux appelés capillaires distaux. Ceci pourrait entraîner une mauvaise oxygénation tissulaire et expliquer les épisodes brutaux de malaises, de douleurs (musculaires, cardiaques) ou de brouillard cérébral dont se plaignent les patients Covid long.Ces microthromboses pourraient être initialement réversibles. Cependant, en cas de répétition des épisodes, elles pourraient conduire à la constitution de zones moins bien irriguées – de façon irréversible – ou de petits hématomes. Ceci est particulièrement préoccupant si ces microthromboses surviennent dans le cerveau.
Il est important d’être factuel.
Donc, fin 2022, sauf erreur de ma part, nous en étions au stade d’hypothèse.
Le message de 10:04 est toujours valable . .
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ci-joint une brochure neurex de juin 21 adressée au grand public où l'on découvre l'implication fréquente de virus y compris respiratoires tels que le covid 19 mais aussi celui de la grippe espagnole, russe, h1n1, dans des pathologies du cerveau, parfois plusieurs semaines ou mois après l'infection comme dans le cadre du covid long
file:///C:/Users/jlhen/Downloads/Fascicule_Covid19_N3_FR_2021.pdf
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Décidément j'ai du mal avec les liens, il s'agit de la brochure N°3 de NEUREX de juin 21 dont le titre est "covid 19, virus et maladies du cerveau.
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Virus et Cerveau :
Un virus a radicalement transformé le cerveau de nos ancêtres.
Une ancienne infection, par un rétrovirus, a considérablement transformé le cerveau des vertébrés à mâchoires.
Et si un rétrovirus était responsable de l'architecture de notre cerveau ? Et même de celle de tous les vertébrés, amphibiens, poissons, reptiles et mammifères. C'est en tout cas l'opinion des chercheurs de l'Institut des sciences de Cambridge qui publient, dans la revue Cell, une étude sur la myéline, un tissu adipeux qui enveloppe les axones. Cette substance contribue à une conduction plus rapide des impulsions nerveuses et sert également de structure de soutien aux nerfs.
La myéline est apparue pour la première fois dans l'arbre de vie à peu près au même moment que les mâchoires (il y a 360 millions d'années) et son importance dans l'évolution des vertébrés est reconnue depuis longtemps, mais jusqu'à présent, on ne savait pas quels mécanismes moléculaires avaient déclenché son apparition.
Une ancienne infection.
C’est en travaillant sur les réseaux de gènes mobilisés par les cellules productrices de myéline, les oligodendrocytes, que les scientifiques ont identifié une séquence génétique dérivée d'un rétrovirus et qui est indispensable pour la synthèse de la myéline. Elle a été baptisée RetroMyelin : "elle est essentielle dans l’expression de la protéine basique de la myéline et à d’autres gènes vitaux pour la myélinisation. L'ARN de RetroMyelin se lie à un facteur de transcription, SOX10, et facilite la transcription des gènes critiques de la myéline", explique, à Sciences et Avenir, Tanay Ghosh, premier auteur de l'article.Pour s'assurer de la fonction de RetroMyelin, la séquence a été inhibée expérimentalement dans les oligodendrocytes et les cellules progénitrices des oligodendrocytes (les cellules souches dont sont dérivés les oligodendrocytes) de rongeurs. Et ceux-ci n'ont plus été capables de produire de la myéline.
L'équipe a ensuite voulu savoir si RetroMyelin était présent chez d'autres espèces de vertébrés et a recherché des séquences similaires dans les génomes de vertébrés à mâchoires, de vertébrés sans mâchoires et de plusieurs espèces d’invertébrés. Ils ont identifié des séquences analogues dans toutes les autres classes de vertébrés à mâchoires (oiseaux, poissons, reptiles et amphibiens), mais ils n'ont pas identifié RetroMyelin chez les vertébrés sans mâchoire ainsi que chez les invertébrés.
Pas d'origine commune.
Il fallait aussi déterminer si l'infection s'était produite une fois chez un ancêtre commun à tous les vertébrés à mâchoires ou si le rétrovirus avait infecté les différents groupes de façon indépendante. Pour répondre à ces questions, les scientifiques ont construit un arbre phylogénétique à partir de 22 espèces de vertébrés à mâchoires et ont comparé leurs séquences de RetroMyelin. L'analyse a révélé que les séquences de RetroMyelin étaient plus similaires au sein des espèces qu'entre différentes espèces, ce qui suggère qu'il y a eu plusieurs vagues d'infection au sein des vertébrés. "Il n'est toutefois pas possible de déterminer le moment où chaque branche a été infectée", explique Tanay Ghosh.
@kanpanstu virus et cerveau, une très ancienne relation .
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@chatdoc Vous êtes trop rigoriste, il ne s'agit pas de classer ces "remèdes" de phytothérapie (ou autres médecines non conventionnelles", mais de les étudier sérieusement et cliniquement et ensuite de conclure s'ils peuvent avoir un intérêt thérapeutique sans aller jusqu'à une amm ou un remboursement et en précisant les risques associés, ne serait-ce qu'à titre d'information pour tous ceux qui à tort ou à raison essaient de multiples "remèdes miracles", contre l'arthrose par exemple, chaque semaine voit débarquer une nouvelle solution meilleure que toutes les autres.
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@chatdoc vous prenez l'exemple de la vigne, oui d'une année sur l'autre il y a des différences, suivant l'arrosage ou l'ensoleillement différent de la parcelle, et d'autres causes encore. Mais prenons par exemple la teneur en tanins (qui représentent certains bienfaits pour la santé), on sait que des cépages comme le malbec, le mourvèdre ou le merlot contiennent beaucoup plus de tannin que les crus du beaujolais et de Bourgogne pour ne citer qu'eux , et ce fait ne changera pas d'une année sur l'autre, même si la vinification et l'élevage peuvent augmenter les tannins, les cépages les plus tanniques resteront les mêmes. On peut donc en tirer des conclusions, même non précises.
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@kanpanstu
Le problème, c'est le coût que cela représente pour une incertitude importante . . . . et, l'obtention de données pas forcément reproductibles et de possibilités de déposer un brevet protecteur.
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Ami
@kanpanstu
un exemple de réponse :
Certains effets secondaires peuvent apparaître après l’utilisation de plantes riches en tanins. En effet, plus les plantes ont une concentration de tanins élevés, plus le risque de toxicité est important. Quelques précautions sont donc de mise. Prenez notamment les plantes riches en tanin en dehors des repas. En effet, les tanins risquent de bloquer l’assimilation des nutriments et risquer ainsi de se mêler aux protéines. Il est également conseillé de consommer les tanins en dehors des heures de prise des médicaments si vous suivez un traitement quelconque. En effet, ils peuvent bloquer l’absorption des médicaments.
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Hervé49
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Le masque est de plus en plus présent dans les media, devrons nous le porter bientôt dans la rue, les transports, en forêt, à la plage ?
Mais est-il utile, nécessaire, indispensable, incontournable ?