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Que penser du coronavirus ?
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@chatdoc
Que des phrases sorties de leurs contextes, est dont on connaît parfaitement la signification . .
Et vous , arrêtez d'insulter la langue française ; faut pas pousser mémé dans les orties.
Vous n'êtes pas allé ç à l'école ? C'est pourtant obligatoire.
chatdoc
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un véritable « « contrôleur orthographique compulsif », pour masquer votre incapacité à répondre sur le fond . . A la différence de vous, j’ai surtout appris à augmenter savoir et comprendre et à respecter les règles d’une discussion intelligente !!
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Chatdoc
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@chatdoc
Oui, vous avez déjà radoté le même argument, récemment, ...mais nous observons que ça ne change rien : vous méprisez toujours l'orthographe, comme ceux qui ne pensent pas comme vous , d'ailleurs.
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Ami
@VOTMIEUXETRE
Vous confirmez mes propos, vous avez vraiment des problèmes de compréhension, vous confondez les attaques des propos formulés quelqu’un et celles à l’encontre de sa personne . . par contre vue la vulgarité de certains de vos messages, vous êtes la première personne sur ce forum où cette différence s’amenuise fortement . .
“LA VULGARITÉ, ÇA NE S'IMPROVISE PAS. ON EST VULGAIRE. ON NAÎT VULGAIRE. C'EST UNE INFIRMITÉ DE L'ÂME.”
De Guy Bedos.
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kanpanstu
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Accueil » Actualités médicales » Les mesures d’isolement pendant la pandémie ont entraîné des variantes du SRAS-CoV-2 plus rapides et plus transmissibles, révèle une étude
LES MESURES D’ISOLEMENT PENDANT LA PANDÉMIE ONT ENTRAÎNÉ DES VARIANTES DU SRAS-COV-2 PLUS RAPIDES ET PLUS TRANSMISSIBLES, RÉVÈLE UNE ÉTUDE
par Ma Clinique
24 novembre 2023
dans Actualités médicales
Temps de lecture : 4 min
Dans une étude publiée dans la revue Communications naturelles, une équipe internationale de chercheurs a étudié l’impact des changements de comportement humain tels que l’isolement pendant la pandémie de maladie à coronavirus 2019 (COVID-19) sur l’évolution de l’agent causal, le coronavirus 2 (SARS-CoV-2) du syndrome respiratoire aigu sévère. Ils ont découvert qu’à mesure que le SRAS-CoV-2 évoluait de sa forme originale vers des variantes comme Alpha et Delta, les changements dans le virus conduisaient à un schéma dans lequel la quantité maximale de virus dans le corps se produisait plus tôt et était plus élevée. Cependant, la durée globale de l’infection a été réduite. Cette évolution, motivée par la nécessité pour le virus d’augmenter sa capacité à se propager d’une personne à l’autre, a été influencée par des facteurs tels que les pratiques d’isolement.
De plus, la recherche indique qu’à mesure que le virus s’adaptait à ces comportements humains, il y avait une tendance vers des périodes d’incubation plus courtes et un risque plus élevé que l’infection soit asymptomatique, particulièrement visible dans les variantes comme Omicron. Les résultats indiquent le rôle potentiel de l’isolement dans l’induction d’une sélection directionnelle pour une transmissibilité accrue du virus.
Étude : L’isolement peut sélectionner une charge virale maximale plus précoce et plus élevée, mais une durée plus courte dans l’évolution du SRAS-CoV-2. Crédit d’image : Alonafoto/Shutterstock
SommaireArrière-plan
À propos de l’étude
Résultats et discussion
Conclusion
Arrière-plan
Compte tenu de la densité et des activités actuelles de la population mondiale, la sélection induite par l’homme entraîne des changements évolutifs substantiels dans les organismes. La pandémie de COVID-19 a entraîné un ralentissement important des activités humaines et de leur impact environnemental.
Les changements dans la taille de la population, l’immunité et le comportement, induits par les politiques de santé publique, contribuent à l’évolution rapide des virus. L’évolution continue du SRAS-CoV-2, de la souche initiale Wuhan-Hu-1 à des variantes comme Alpha, Delta et Omicron nouvellement apparu, met en évidence la nature dynamique du virus. L’émergence et l’adaptation continues des variantes du SRAS-CoV-2 suggèrent une trajectoire évolutive, soulignant la nécessité d’une vigilance continue et de réponses adaptatives.
Comprendre les aspects épidémiologiques et cliniques des maladies infectieuses émergentes est crucial pour développer des traitements et des stratégies adaptatifs. Des forces telles que les interventions pharmaceutiques (l’infection et la réponse aux vaccins et aux médicaments antiviraux), ainsi que les interventions non pharmaceutiques ou NPI (mesures d’isolement, de distanciation sociale, l’utilisation de masques, etc.), sont connues pour agir comme des pressions de sélection sur les individus. le virus. Les chercheurs de cette étude ont analysé les données du SRAS-CoV-2 pour examiner le choc de l’isolement en tant que NPI sur l’évolution des variantes du SRAS-CV-2. Pour la première fois, ils ont quantifié et comparé la dynamique de la charge virale ainsi que l’excrétion virale parmi les variantes en réponse aux mesures d’isolement.
À propos de l’étude
Dans la présente étude, les données longitudinales sur la charge virale ont été obtenues à partir d’articles publiés sur des patients atteints de COVID-19. Des données avec au moins deux points temporels pour les mesures de la charge virale via des échantillons des voies respiratoires supérieures ont été utilisées. Parmi les quatre études choisies, trois ont été menées aux États-Unis d’Amérique (USA) et une au Royaume-Uni (UK). Un modèle d’estimation a été développé à l’aide des données de charge virale de patients infectés par les variantes pré-Alpha (n = 86), la variante Alpha (n = 59), la variante Delta (n = 80) et la variante Omicron (BA.1) (n = 49).
Un modèle non linéaire à effets mixtes a été développé et testé pour décrire la dynamique de l’infection par le SRAS-CoV-2 dans les cellules cibles. Ce modèle d’infection au niveau individuel a été combiné avec un modèle de transmission au niveau de la population pour former un modèle probabiliste de dynamique de population à plusieurs niveaux afin de comprendre l’évolution du SARAS-CoV-2. Le modèle comprenait des paramètres tels que la durée de l’excrétion virale ainsi que l’heure et le montant de la charge virale maximale. De plus, le potentiel de transmission du virus a été estimé pour comprendre les conséquences épidémiologiques des variantes. La modélisation et l’analyse ont été réalisées en utilisant Python et R comme langages de codage. Les données et le code ont été rendus publics sur Zenodo.
Résultats et discussion
Selon l’étude, aucune différence significative n’a été trouvée dans (1) l’heure de pic entre les variantes pré-Alpha et Alpha et (2) la charge virale maximale parmi les variantes Alpha et Delta. Cependant, les charges virales maximales pour les variantes Alpha et Delta se sont révélées plus élevées que celles des variantes pré-Alpha. De plus, la durée maximale et le temps d’excrétion virale se sont avérés plus courts pour les variantes Delta que pour les variantes pré-Alpha ou Alpha. Les résultats suggèrent que le SRAS-CoV-2 évoluait pour former un phénotype plus aigu avec une durée d’excrétion plus courte et une charge virale maximale plus élevée.
Dans l’analyse de la transmission, les chercheurs ont constaté que le potentiel de transmission de la variante Alpha restait à une valeur élevée pendant une durée plus longue que celle des variantes pré-Alpha. Dans la variante Delta, il a été constaté que le potentiel de transmission culminait et diminuait rapidement dans les huit jours suivant l’infection.
Lorsque la dynamique de l’excrétion virale a été comparée, la charge maximale de la variante Alpha s’est avérée plus élevée que celle des variantes pré-Alpha, mais avec une durée inférieure et une transmissibilité plus élevée. Bien qu’un effet similaire ait été observé entre les variantes pré-Alpha et Delta, aucun effet de ce type n’a été observé parmi les variantes Alpha et Delta. En réponse aux changements de comportement humain tels que l’isolement, la période d’incubation s’est avérée diminuer tandis que le nombre d’infections asymptomatiques a augmenté.
L’effet de l’immunité antérieure induite par la vaccination ou des infections antérieures a également été étudié sur l’évolution du SRAS-CoV-2 induite par l’isolement. Les résultats initiaux du modèle sont restés cohérents même lorsque l’immunité préalable des individus était prise en compte.
Le modèle a ensuite été validé à l’aide des données de la sous-variante Omicron BA.1. Il a été constaté que l’évolution du SRAS-CoV-2 vers une charge virale maximale avancée était maintenue mais à un rythme plus lent.
Cependant, comme limite, l’étude n’a pas pris en compte la relation entre les phénotypes cliniques et l’évolution virale ou la dynamique entre les hôtes et les virus.
Conclusion
En conclusion, les résultats expliquent que les variantes du SRAS-CoV-2 ont évolué vers un phénotype plus aigu en réponse à l’isolement, avec une charge virale maximale plus précoce et plus élevée mais une durée plus courte. Des recherches supplémentaires sont nécessaires pour confirmer ces résultats et comprendre l’effet d’autres interventions sur l’évolution du SRAS-CoV-2 afin de faciliter le développement de stratégies de santé publique améliorées.
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@chatdoc le 28/11 à 8h08, c'est une publication parue sur le site Ma Clinique
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parue le 21/11 dans la rubrique actualités médicales
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Ami
@kanpanstu
Merci, il s’agit apparemment d’un traduction d’un article publié dans Nature Communications » mais pour le moment , je n’ai pu trouver l’article qui a servi de source.
Bon après-midi.
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Ami
@kanpanstu
En fait, voici la traduction de la conclusion de l’article et son lien :
En conclusion, à l'aide de données longitudinales sur la charge virale, nous avons démontré qu'un pic de charge virale plus précoce et plus élevé, mais d'une durée plus courte, a été sélectionné au cours de l'évolution du SRAS-CoV-2. Nous avons émis l'hypothèse que cette évolution de la dynamique de l'infection par le SRAS-CoV-2 pouvait être associée à des interventions non pharmacologiques. Toutefois, il était difficile d'étayer strictement cette hypothèse à l'aide des données actuellement disponibles. Nous avons donc conçu un modèle probabiliste à plusieurs niveaux, et les simulations que nous avons réalisées à l'aide de ce modèle permettent de formuler des hypothèses sur les mécanismes qui sous-tendent l'évolution du virus en cas d'isolement en fonction des phénotypes cliniques.
Les IPN étant l'un des meilleurs moyens de contrôler une pandémie lorsqu'il n'existe pas encore de vaccin, l'isolement en tant qu'IPN forte pourrait être le premier choix d'une stratégie primaire d'atténuation des maladies infectieuses émergentes actuelles et futures.
L'impact du changement de comportement humain sur les schémas d'évolution du virus doit être pris en compte lors de l'évaluation des futurs scénarios de COVID-19. Il serait également essentiel d'étudier l'évolution en tenant compte des interventions privilégiées sur le plan économique, telles que la distanciation sociale et le port de masques, ainsi que l'isolement et les combinaisons de ces mesures58.
Bien que plusieurs types de vaccins contre le COVID-19 soient désormais disponibles, de nombreuses percées infectieuses sont encore observées. Les IPN jouent donc encore un rôle important dans la lutte contre la pandémie de COVID-19. On s'attend également à ce que de nouvelles variantes préoccupantes, apparues après Omicron, deviennent dominantes. Ainsi, en supposant que de nouvelles variantes et d'autres agents pathogènes apparaîtront à l'avenir, il est important de tenir compte de l'évolution des virus pandémiques lors de l'élaboration des stratégies de santé publique.
https://www.nature.com/articles/s41467-023-43043-2
The COVID-19 pandemic has seen the emergence of different variants. Analyzing the evolution from the Wuhan strain to the Delta variant, clinical data reveals a fivefold increase in peak viral load and a 1.5-fold faster time to peak.
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Une publication intéressante :
« En 2022, une modélisation réalisée par l’Imperial college de Londres et mentionnée dans une étude publiée dans la revue scientifique The Lancet Infectious Diseases nous apprenait qu’en 2021, le nombre de morts causés dans le monde par le virus aurait pu s’élever à 31,4 millions sans vaccination, contre 11,6 millions effectivement relevés. La vaccination contre le Covid-19 a donc évité 19,8 millions de décès, ce qui équivaut à une réduction de 63%.
.Vaccination contre le Covid-19 :
la défiance reste malgré les données scientifiques La vaccination est également le meilleur rempart contre le Covid long, qui touche jusqu’à 30% des Français. En effet, d’après une étude publiée dans la revue scientifique The British Medical Journal (BMJ) le 22 novembre 2023, recevoir au moins une dose de vaccin contre le Covid-19 avant la première infection au SARS-CoV-2 est fortement associé à un risque réduit de développer une affection post-Covid.
Malgré ces données, la méfiance envers les vaccins est toujours d’actualité. Ce que l’étude parue dans Nature nous apprend, c’est que cette perception influence même le souvenir de la pandémie, de son impact et du risque sanitaire. Aussi, d’après les scientifiques, il est essentiel de prendre en compte les biais de perception lorsque l’on travaille sur l’état des opinions depuis la fin de la pandémie de Covid-19. »
@Alain08 . .
Vaccins : les opinions politiques changent notre perception de la pandémie de Covid-19
D’après une étude publiée dans la revue scientifique de référence “Nature” le 1er novembre 2023, les opinions d’une personne sur la...
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Chatdoc
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@chatdoc Merci beaucoup à vous pour vos recherches éclairantes . Le recul permet des analyses intelligentes sur le déroulement de cette pandémie .Merci de nous les servir sur un plateau ! Votre esprit curieux et rigoureux est , pour moi, une garantie de sérieux !
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@Estebane .....
ton 13h09 d'hier 29 /11 = Un message clair auquel répond
https://encrypted-tbn2.gstatic.com/images?q=tbn:ANd9GcSKTzSIiOR81EErPlHT1qp8IgSF45M8b_VX1RrVmnZ5vLlmnmhr
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maritima. "l'amour pour épée, l'humour pour bouclier" Bernard Werber.
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@chatdoc
le nombre de morts causés dans le monde par le virus aurait pu s’élever à 31,4 millions sans vaccination,
Mais comment le savoir avec certitude ?????? Ah, je sens que je vais faire des cauchemars , cette nuit...... et même, une sacrée insomnie s'il faut tout recompter !
Au fait, avec des si , est ce qu'on met toujours Paris en bouteille ?
chatdoc
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@VOTMIEUXETRE
Quelle observation ridicule, de la part de quelqu'un aussi informé que vous, renseignez vous un peu, rajoutez une petite pincée de vos connaissances en médecine et statistiques et vous constaterez que ce résultat est très probable . Il eût fallu que l'on eut suivi vos recommandations antivax, pour que vous comptiez pendant de nombreux mois !!
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Chatdoc
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@chatdoc
A votre contact, je finis par faire des fautes de frappe...au moins vous avez pris votre pied.
chatdoc
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Ami
@VOTMIEUXETRE
I just burst out laughing !!
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Chatdoc
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@chatdoc
Bon, alors si ça vous fait rigoler, tant mieux ....c'est l'extase.
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Attention de ne pas vous étouffer en rigolant. quand même.......
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La COVID longue est l’objet de très nombreuses recherches.
La moitié des cas de COVID longue: au moins 18 mois.
Chez plus de la moitié des patients (57%), la COVID longue durerait plus de 18 mois. Et considérant que la COVID n’est pas encore derrière nous, il est même possible que certains d’entre eux vivent avec des séquelles permanentes.
C’est ce qui se dégage d’une première étude portant sur 806 cas, au Danemark: ceux-ci ont été suivis depuis 2021 par les cliniques spécialisées en COVID longue en raison de leurs symptômes qualifiés de « sévères ». Un des faits qui ressort de cette analyse est que les symptômes sont les mêmes, peu importe le variant du coronavirus —quoique ils semblent être plus aggravants avec le variant Omicron.
L’étude est parue le 29 octobre dans l’International Journal of Infectious Diseases. Elle risque de relancer l’intérêt pour étudier la COVID longue, considérant qu’il n’existe nulle part de traitement, et qu’on ignore pourquoi certains patients ont été à ce point affectés, et pas d’autres. Même la liste des dizaines de symptômes a longtemps fait débat: cela va de la perte de l’olfaction jusqu’à une fatigue extrême en passant par des difficultés à se concentrer et autres problèmes cognitifs.
Étant donné que le coronavirus, ou SRAS-CoV-2, circule toujours, les médecins et les autorités de santé publique ont des raisons de s’inquiéter d’une maladie contagieuse capable de mettre sur le carreau jusqu’à 15% des citoyens qui ont été infectés et ce, pendant des mois, voire des années. « Nous suggérons que la recherche sur des traitements possibles contre la COVID longue se concentre sur ces patients sévèrement affectés », écrivent les cinq chercheurs du département des maladies infectieuses de l’Université d’Aarhus. La bonne nouvelle, à leurs yeux, est qu’un éventuel traitement resterait valable quel que soit le variant.
Le Danemark a eu une longueur d’avance sur plusieurs pays en établissant assez tôt un réseau de soignants spécialisés dans le suivi de ces patients —en autant qu’on puisse se spécialiser dans une maladie dont on ne connaît pas les causes, à part l’infection initiale, et dont on ignore la durée. Par exemple, en janvier 2023, c’est de ce pays qu’était parvenue une étude sur 448 patients, d’où il ressortait que les trois quarts étaient des femmes. L’âge ne semblait pas être un facteur, puisque ces personnes avaient entre 30 et 70 ans.
Mais la difficulté à définir les symptômes joue sur les résultats: au Danemark, on s’est uniquement intéressé aux patients qui ont eu des symptômes « sévères ». En comparaison, une étude israélienne parue en janvier dernier et qui portait, elle, sur tous les cas « modérés » —2 millions de dossiers médicaux en tout— concluait que pour près de la moitié des gens, les symptômes ne s’étaient pas encore estompés après un an.
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@chatdoc le01/12 à 20h25, j'ai lu que les femmes étaient plus vaccinées que les hommes fin 2021, mais je viens de lire le contraire en 2022, ce qui me fait douter une fois de plus sur les différents chiffres et statistiques liés au covid, il est bien difficile d'obtenir des vérités incontestables, sauf pour vous peut-être..
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@chatdoc que vous regrettez le fait d'être Français libre à vous, par instants, j'envie également les monégasques ou luxembourgeois, mais je maintiens que l'on ne peut comparer les indicateurs de ces pays avec la France, et quand vous parlez de la redistribution, comparez également si vous y tenez les pourcentages d'habitants vivant sous le seuil de pauvreté dans ces différents pays.
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@kanpanstu
L'étude étant danoise, il faudrait connaître es chiffres de ce pays.
L’objectif de l’étude était de mieux connaître les COVID longues et sévères, et les résultats suggèrent de focaliser les études futures d’approche thérapeutiques sur ces patients en tenant compte de à plus forte prévalence des femmes, le sexe ressortant comme un facteur de risque et pas l’âge . . Ce point est intéressant car les femmes ont des particularités sur le plan biologique et thérapeutique et elles sont très souvent sous-représentées dans les essais thérapeutiques.
Pour avoir une idée de la valeur d’une étude, il faut prendre en compte son niveau de preuves . . et aussi d’évaluer si des études similaires ont été publiées, d’où l’évocation de l’étude israélienne. .
C’est la raison pour laquelle je met souvent des études qui semblent similaires sur ce forum, ce qui est parfois sournoisement étiqueté comme de la répétition ou du matraquage.
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Ami
@kanpanstu
Toujours votre tendance à être caricatural, où avez-vous lu que je regrettais d’être français ?
Qui à partir d’une 7eme place à un classement de l’OCDE en a tiré des conclusions un peu hâtives ?
Neanmoins, le PIB par habitant est aussi à prendre en compte pour évaluer les possibilités d’un pays, ainsi que la connaissance des dépenses , de leur répartition.
Mon peut aussi que la stagnation relative comparée à d’autres pays est assez parallèle à ceux d’autres indicateurs.
Concernant la redistribution, il est important de partir de chiffres validés pour discuter . .
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https://www.youtube.com/watch?v=Ru4JvTPPhys
🔴 Michèle Rivasi dénonçait les contrats Pfizer et le procès avec la Pologne
➡️ Soutenez le Monde Moderne : https://www.patreon.com/lemondemoderneRejoignez cette chaîne pour bénéficier d'avantages exclusifs :https://www.youtube.com/c...
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Ami
@VOTMIEUXETRE
Toujours des hypothèses et elle avait le sens de la comparaison
: »Pendant l’épidémie de Covid-19, elle avait pris position contre la vaccination obligatoire et avait comparé le passe sanitaire à l’apartheid – le régime sud-africain qui de 1948 à 1991 a instauré des lois ségrégationnistes. »
Qui se ressemble, s’assemble !!
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Chatdoc
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Utilisateur désinscrit
comment la crétinerie est appelée à progresser ; 11 mn, ce n'est pas long ; si vous n'avez pas le temps, au moins, les mn 5 et 6.
Quand on veut tuer son chien, on dit qu'il a la rage.
Quand le Pouvoir n'a plus d'argument, il musèle l'opinion et l'accuse de complotisme ; braves gens, réveillez vous.
https://www.youtube.com/watch?v=_--BpPP1c8E
Vaccins : une loi folle veut punir de prison tout débat !
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chatdoc
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@VOTMIEUXETRE
Florian Philippot comme référence, vous avez vraiment des sources très fiables !!
En fait vous êtes sur ce forum depuis le printemps, non ppas pour échanger réellement sur les problèmes de santé mais pour essayer de transformer le débat en arène politique politicienne , pour essayer de faire parler de personnes qui ne représentent plus rien et qui essayent de survivre.
Vous faites du survivalisme politique, alors cherchez d’autres lieux que Carenity !!
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Chatdoc
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@chatdoc
toujours la même critique sur la forme ????? Tu le fais exprès ou quoi ?
Pas de réponse concrètes sur les problèmes de fond......quel fun....
de toutes façons, je n'ai pas d'ordres à recevoir de toi.
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Ami
@VOTMIEUXETRE
Mais c’est vous qui ne donnez jamais d’arguments et qui vous contentez d’affirmations non argumentées . . c’est la base d’une discussion sérieuse, et vous ironisez pour masquer vos carences . .
»La charge de la preuve est l'obligation faite à une personne ou à l'une des parties en présence d'apporter, par des arguments étayes et vérifiables, la preuve qu'une proposition avancée est vraie ou bien fausse, selon le cas. La charge de la preuve est une notion importante en droit (civil ou pénal) et dans les débatsscientifiques. »
Surprenant qu’un esprit supérieur comme vous n’applique pas cette règle !!
Et’ votre conclusion montre combien vous ne supportez pas que l’on s’oppose à votre discours sans fondement.
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Un sujet majeur concernant la crise de COVID :
Les politiciens britanniques ont eu du mal à comprendre les données scientifiques relatives au COVID,
Les hommes politiques britanniques n'avaient pas les connaissances scientifiques nécessaires pour comprendre les conseils fondés sur la recherche pendant la pandémie de COVID-19, a-t-on appris lors d'une enquête publique sur la réponse du pays à la crise. Le conseiller scientifique en chef de l'époque,
Patrick Vallance, a déclaré que le premier ministre de l'époque, Boris Johnson, avait du mal à comprendre les données présentées dans les graphiques.
Selon le virologue Shahid Jameel, l'une des difficultés résidait dans le fait que les données changeaient parfois rapidement. "La science est un processus que la plupart des gens, y compris les hommes politiques - et certains scientifiques - ne comprennent pas.
https://www.nature.com/articles/d41586-023-03706-y
‘Politicians don’t understand science’: advisers give evidence at UK COVID inquiry
Patrick Vallance, Chris Witty and others reflect on advising the UK government during the ongoing investigation into the country’s pandemic response.
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kanpanstu
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@chatdoc le 01/12 à 9h03, j'appelle votre "sujet majeur" enfoncer une porte ouverte, si les politiciens avaient les connaissances scientifiques nécessaires pour comprendre les conseils fondés sur la recherche pendant l'épidémie du covid alors que les scientifiques eux-mêmes naviguaient dans l'incertitude, ils ne seraient pas politiques mais scientifiques et auraient fait d'autres études que sciences po ou l'ena par exemple pour ne citer que la France. C'est donc pour cela qu'ils se sont entourés de spécialistes scientifiques et ont tenu compte de leurs conseils plus ou moins éclairés avec plus ou moins de bonheur.
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D'ailleurs si nous avions eu Aurélien Rousseau comme président, nous aurions été confinés à de multiples reprises et le serions peut-être encore (j'exagère un peu..)
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Vous aimez être caricatural dans vos commentaires . . mais point trop n’en faut.
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https://www.youtube.com/watch?v=G1nFY0RAKSQ
Jean-Dominique Michel : "ce n'est pas à l'Etat de se mêler de la santé des gens"
Interview de Jean-Dominique Michel consacrée à la sortie de son livre sur la gestion du COVID et sur son désastre. Une interview à ne pas mettre entre toutes...
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@VOTMIEUXETRE qui est ce pov' type ?
un illuminé ?
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@nicolas2
de qui parle-t-on ?
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Une source incroyable : quelques rappels pour se faire une opinion !!
@VOTMIEUXETRE vous avez bien lu, conspirationniste !!
Éric Verhaeghe - Conspiracy Watch | L'Observatoire du conspirationnisme
Éric Verhaeghe (1968 - ) est un entrepreneur et blogueur français évoluant dans la sphère conspirationniste antivax.
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@chatdoc
Franchement, j'ai peur ; rien qu'à voir son regard, je sens qu'il va me tuer.
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@VOTMIEUXETRE
Vos propos sont caricaturaux!!
Encore une parole sans savoir, ouvrez le lien . .
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Chatdoc
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Hervé49
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Hervé49
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Le masque est de plus en plus présent dans les media, devrons nous le porter bientôt dans la rue, les transports, en forêt, à la plage ?
Mais est-il utile, nécessaire, indispensable, incontournable ?