Que penser du coronavirus ?

Bonjour à tous et à toutes !

... et bon après-midi.

En l'absence de réponse à ma question pour avoir une définition des"personnes à risques", je vous joins un extrait d'un article d'Ouest France qui montre l'intérêt de celle ci .

@Philou75FR

J'espère que vous comprendrez qu'être d'accord sur les mots est indispensable avant de pouvoir envisager une discussion sérieuse.

Limiter les obligations aux personnes à risques ?

En Grèce, l’obligation vaccinale s’en tient aux plus de 60 ans.

Pourrait-on envisager cela en France ? Pour Serge Slama, « cela se justifierait » mais ce serait « une rupture d'égalité ». « Imaginez qu’on impose cette obligation pour les personnes en surpoids, ce qui est un facteur de risque…

On est sur une pente glissante », estime ce juriste. Pour lui, , à l’exception de l’obligation de recevoir une troisième dose pour garder son passe sanitaire, qui n’a, dans un premier temps, concerné que les plus de 65 ans. Le plus probable reste donc une obligation vaccinale contenue à toutes les personnes majeures.

En France, il existe déjà une autre obligation vaccinale. Depuis le 1er janvier 2018, les bébés doivent recevoir onze vaccins, contre seulement trois (DTP) auparavant. La mesure d’Agnès Buzyn, la ministre de la Santé de l’époque, avait été largement critiquée.

Mais le Conseil d’État avait estimé dans son arrêté du 6 mai 2019, qu’elle n’était pas contraire au « droit à l’intégrité physique et au respect de la vie privée », car elle était justifiée « par la protection de la santé publique ».

Un argument valable également pour la vaccination contre le Covid-19, a priori.« Si on avait affaire à un vaccin purement égoïste (ne protégeant que la personne), le raisonnement pourrait conduire à exclure toute obligation ; mais dans l’hypothèse où il vise à limiter la contagion (ce qui semble avéré depuis peu pour le Covid), l’État peut prendre la main », explique Xavier Bioy, professeur à l’Université Toulouse Capitole et co-directeur des Masters « Droit des libertés » et « Éthique, soin et recherche »

Pour info : @bibimet75

@chatdoc

Depuis le début je suis contre l'obligation... Donc les personnes à risques feront ce qu'elles voudront sachant que ce sera fortement recommandé pour elle...

Vous cherchez des problèmes là où il n'y en a pas.

Nota : ras-le-bol de cette guerre des discriminations pour une égalité pour tous... Des discrimination, Il y en a partout et il y en aura toujours...

@Philou75FR @Anna13 et les autres.....

L'espoir d'un vaccin plus sûr, fabriqué sur le même mode que l'actuel contre la grippe... sans ARNm:

Le laboratoire Valneva basé près de Nantes a livré les premières doses de son vaccin sans ARNm contre le Covid-19 au Bahreïn, soit 200 000.

De même, livraison prévue d'ici mai 2022 en France.

@Philou75FR

Absolument pas, vous ne m'aviez pas posé une question sur ce sujet ?

Vous avez changé de point de vue . .

Reformulez votre question !

Malheureusement pour Valneva, son vaccin arrive plus de 16 mois après les premiers vaccins Covid, dont les vaccins ARNm, et déjà plus de 10 milliards de doses injectées. Et la pandémie est en train de changer de visage avec les nouveaux variants.

Heureusement pour Valneva, ses autres vaccins contre la maladie de Lyme (en collaboration avec Pfizer) et le chikungunya (virus ARN) progressent.Dans le monde du médicament il est souvent important d’arriver en tête.

https://www.usinenouvelle.com/article/maladie-de-lyme-valneva-avance-vers-la-phase-iii-pour-son-vaccin.N1782522

Le vaccin Valneva sans ARNm contre le Covid bientôt en France: le labo en attend moins d'effets secondaires et une action plus complète que les vaccins déjà sur le marché.

« Nous espérons recevoir une opinion positive du comité CHMP de l’Agence européenne du médicament fin avril ce qui pourrait nous permettre de livrer nos premières doses en Europe en mai », a affirmé Franck Grimaud, directeur général du laboratoire franco-autrichien, le 5 avril 2022. En effet Valneva pourrait bien sortir le premier vaccin français contre le Covid-19 ce printemps, dans une vingtaine d’états de l’Union européenne, dont la France et l’Allemagne. 

A noter: L’objectif pour ce vaccin, déjà approuvé à Bahreïn, est de devenir un rappel universel.