Mon corps et mon cerveau sont en désaccord

 copine , je sais que tu vas bien et ça c 'est l' essentiel..bises de bonne nuit.

Copinegâteaux, ce n'est pas un péché d'être bienveillant avec soi. J'ai longtemps pensé que c'était faire preuve d'égoïste que de s'occuper de soi. Ce n'est pas vrai et être bienveillant avec soi-même permet d'être mieux avec les autres. On peut changer à tout âge, j'en suis la preuve. Tu ne peux être bien avec les autres si tu n'es pas bienveillante avec toi-même. Pour cela, il faut également que tu ais une meilleure opinion de toi-même. Cela se travaille. Bonne et douce soirée à toi.

D'accord avec Epidavra. Pareil je me pensais égoiste de penser à moi au départ et en fait pas du tout, penser à soi ça aide à être bien dans sa tête, et quand on est bien on peut aider les autres plus facilement

Salut a tous.

Et bien je suis de nature très sportive , je suis une personne qui de basse regorge d'énergie,

mais depuis quelque temps je ressent une très grande fatigue chaque jours.

Mon corps ne suit plus ma volonté, en cherchant désespérément pourquoi je suis devenue comme ça, j'ai compris que mon corps me montrait chaque jours qu'il était faible, je veux dire part la, que chaque gestes du quotidien m'indiquait qu'il était extrêmement fatigué. Qu'il me montrait des signes mais que je ne l'écoutais pas.

J'ai 20 ans, ma vie ne fait que commencé je ne peu pas me permettre d'être aussi en désaccord avec lui, donc j'ai pris sur moi et aujourd’hui je pratique le self motive. 

je vais vous l'expliquer avec mes propre mots:

"Chaque êtres humains sur cette Terre a un grand ennemie , lui même.

La Force de l'homme est ( comme une batterie de téléphone) elle se décharge tout le temps.

A ce moment de sa vie l'homme doit comprendre qu'il va flancher.

Dans ce cas , il doit ce surpassé et garder la tête froide.

Ce dire que cela est passager, que ce n'est qu'un moment de faiblesse,

que c'est un moment qu'il est obliger de passer.

Pour pouvoir franchir ce passage, il faut s'en donné les moyens , avoir un bonne alimentation

faire du sport , et surtout se reposé c'est le puis important.

La première règle du self motive, est de ne jamais abandonner le self motive.

Vous devez tout les jours vous motivé rien est impossible , quand vous avez des taches a faire faite les , vous ne devez pas faire preuve de paraisse je sais que cela est très facile a dire ,mais vous vous devez de le faire sinon vous n’avancerez pas et vous resterez au même stade. 

Le matin je vous conseil de mettre de la musque qui bouge de la musique motivante , et de faire les taches que vous avez a faire. 

Tout ce qu'il vous faut c'est une petit coup de pousse. Chaque jours dites vous, " je dois le faire et je sais que je peux le faire rien est impossible!" après , cela deviendra une habitude.

Le plus dur c'est le départ, le commencement mais une fois que la machine est lancé, et qu'elle a prit sa vitesse de croisière , rien ne peux vous arrêter. 

Voila j'espère avoir été claire et surtout avoir pue vous aider.

Cordialement Jay

cher moi de toute façon  quand je remonte il y a toujours quelqun pour me faire retomber aussi vite aujourd hui a l etang j ai rencontrer quelqun avec qui j avais travailler  cela faisait 20 ans que je ne l avais pas vu 1ere phrase t est toujours aussi patrak qu au boulot tu as toujours des emmerdes tu les aimes  c etait surtout pas la phrase a dire aujourd hui  moi ça toujours ete comme ça  je n ai personne a qui parler a part vous  et maintenant je n emmerde personnes quand je ne suis pas bien je gardes  et je pete de temps en temps je tiens sur un fil j esperes qu il vas resister c est tout 

  Coucou,je vous ai tous et toutes lus!Chouette,je me sens moins seule sauf que perso,je pensais n'avoir plus qu'un corps au vu des douleurs et je me suis proposee pour un echange de cerveau sauf que ...personne ne veut le mien,jamais en repos!

chèr(e)s ami(e)s extra-terrestres :)

Je connais aussi ce problème de procrastination. Comme si il manquait une substance au cerveau pour initier un mouvement qui de fait nous file entre les doigts.

Mais j'ai l'impression à vous rencontrer ici et à vous lire, que nous avons (aurions) toutes et tous (pas vu d'hommes encore)un besoin de lâcher prise avec un environnement, une emprise, une malédiction qui nous renferme dans un fonctionnement destructeur. Ne serions-nous pas des hyper-sensibles, des empathes qui s'ignorent souvent, nous subissons le monde extérieur là ou d'autres saurons utiliser des filtres protecteurs ?

Notre corps (cerveau) commence gentiment  à nous informer qu'il n'en peut plus. Mais nous sommes par ailleurs résistantes au changement, et des dures à cuire, pleine de volonté, on poursuit la lutte, on aime les défis. Puis l'on continue à agir, autour de nous, activement ou passivement, on écoute on rassure, on est là pour les uns et les autres que ce soit concrètement ou par nos préoccupations constantes, on fait face à des conditions stressantes sans savoir en sortir vraiment, ou on se lance dans quinze mille projets en voulant à tout prix les faire aboutir...on est un peu obsessionnelles...

Je crois beaucoup au pouvoir de l'esprit sur le corps. Je m'en veux de ne pas avoir compris plus tôt mon processus psychologique, ma nature aussi physique. Mais aujourd'hui, je fais des liens. Alors j'accepte quelques médicaments, histoires de voir, quelques compléments alimentaires. On a quand même besoin de soutiens. Et une visite chez une psychanalyste (pas encore pris le rendez-vous...procrastination quand tu nous tiens !).

Personnellement j'ai arrêté de me culpabiliser de "ne plus pouvoir", de ne "plus vouloir" car je sais que je dois passer par là. Je n'arrive pas à travailler comme je le souhaite. Par contre j'entends bien retrouver ma nature profonde, bout-en-train , créative, active, après avoir reconsolider les bases et effectué quelques transformations : accepter le fait que MOI j'ai le droit d'exister et de réussir, et que j'ai le droit de ne penser qu'à moi parfois et d'être bien Qu'en pensez-vous ?

Patience...courage... à tous

 je crois aussi au pouvoir de l' esprit, mais là, ça nous dépasse....nous  ne sommes pas assez concentrées, dispersées..et sans connaissances de nous même ou presque, le peux que je connaisse de moi, c 'est grâce à la danse , qui impliquait , une bonne connaissance de notre corps, élémentaire, sans cela , c 'était la chute des portés, cheville foulée, claquage e.c.t.

c'est vrai Physalis, on est dépassées bien souvent, trop souvent. Dispersées aussi. Ça me parle bien. J'ai aussi arrêté la danse, le sport...on a beau être motivée, quand on a mal, on doit changer de pratiques. Est-ce que tu utilises tes connaissances pour travailler encore des postures ? pour faire des exercices ?

Copinegâteaux, la situation que tu décris est ignoble ! je comprends bien ce que tu as pu ressentir ! En fait c'est ça, il y a des gens qui n'ont aucun tact, voire qui sont mauvais et ont un malin plaisir à remuer le couteau dans la plaie. Je connais cela aussi. Et je m'en veux dans ces cas-là. Mais curieusement, j'en suis arrivée à ne plus avoir aucun tact non plus vis-à-vis de ces personnes. J'en deviens "mauvaise". C'est ce genre de situations qui nous touchent. Moi je tente de ne pas me rabaisser à ce niveau d'esprit mais à prendre la leçon en travaillant la prise de distance. Au lieu de devenir aigrie ou aussi cons qu'eux (pardonnez l'expression), ce qui me ferait encore plus de mal, j'essaie de renvoyer ces crasses à l'expéditeur ! ce n'est pas inintéressant :)