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Le diagnostic de votre diabète : quels ont été les premiers signes ?
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iridoc
iridoc
Dernière activité le 22/11/2024 à 03:30
Inscrit en 2012
2 commentaires postés | 1 dans le groupe Vivre avec le diabète de type 2
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Ami
Bonjour,
Je suis diabétique depuis 2007 et j'avoue que le ciel m'est tombé sur la tête quand le diag est tombé.
Mon toubib m'a prescrit des médocs que j'ai pris 3 jours. Mais les effets secondaires étaient si important que j'ai préféré garder mon diabète et stopper le sucre, le pain, les céréales.....ça n'a pas bien fonctionné et je me suis retrouver avec 7 g au mois de Juillet.
Enfin voilà, j’essaie tout ce que je peux.
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Le diabète est une maladie de civilisation. 
C'est beau le progrès !!!!
Utilisateur désinscrit
bcp de malaise donc visite chez le doc et la apres une analyse de sang il a diagnostiquer mon diabete sachant que dans ma famille il y avait deja des diabetiques
faby100
Bon conseiller
faby100
Dernière activité le 22/03/2022 à 10:23
Inscrit en 2013
106 commentaires postés | 7 dans le groupe Vivre avec le diabète de type 2
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Ami
Bonsoir à tous
Tout d'abord je dois dire que j'ai des antécédents familiaux du côté de ma grand-mère paternelle, et cela me fait peur car malheureusement elle est décédée suite à une gangrène due au diabète.
J'ai été diagnostiquée suite à une prise de sang, quand j'ai expliqué à mon médecin traitant les divers symptômes qui m'avaient amené à le consulter.
Soif intense, mictions fréquentes, envie fréquente de manger de tout et n'importe quoi et des troubles de la vue.
Il m'a fait faire une prise de sang de glycémie à jeun qui c est révélee être de 1,90 et d'hémoglobine glyquée qui c'est avérée à 7,2
Je suis sous traitement de metformine 1000 mg à raison de 3 par jour, et de amarel 1 mg à raison de 1 le matin.
Au début de mon traitement je faisais au moins 3 hypoglycémies par jour, j'en fait encore aujourd'hui mais à raison de 1 à 2 par semaine, mais dans l'ensemble mon traitement me réussit bien.
Quand j'ai été diagnostiquée c'est comme si le ciel m'était tombé sur la tête, je l'ai très mal accepté, en plus je suis en surpoids, tous les médecins que je vois me disent que je dois maigrir, mais j'ai beau faire attention mon poids ne varie que de 3 à 5 kgs, de plus je devrais faire de la marche, mais je fais des sciatiques à répétition avec lesquelles je ne peux pas marcher, alors que faire ?????? j'ai accepté aujourd'hui cette maladie qui pourtant est bien sournoise car elle ne se voit pas et peut entrainer beaucoup de complications.
J'ai eu peur il y a 4 mois, car mon hémoglobine glyquée était remontée à 7,2, suite au fait que je ne suivais pas mon régime à cause d'une phase de dépression, aujourd'hui elle est redescendue à 6,2 et mon médecin m'a dit que c'était bon.
Voilà,
Bonne soirée à tous
Amitiés
Faby
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Personne ne sait de quoi demain sera fait...
Utilisateur désinscrit
Bonjour Faby
Merci pour ton partage.
Tu dis faire des hypoglycémies ; je me demande si ça n'est pas en partie parce que tu sembles un peu hyper dosée en médicaments...
A quel moment de la journée fais-tu les hypos ? Moi j'en faisais en fin d'après-midi et depuis qu'on a diminué le dosage de la metformine du midi, ça va beaucoup, beaucoup mieux...
Ma dernière HbA1C est de 6,3% mais je ne prends que de la metformine 850mg matin et soir et du stagid (donc 375mg de metformine) le midi. Moins je prends de médicament, plus je préfère...Il n'y a pas de raison "d'assommer la bête" !
A bientôt j'espère.
mary28
Bon conseiller
mary28
Dernière activité le 18/03/2024 à 13:38
Inscrit en 2013
69 commentaires postés | 30 dans le groupe Vivre avec le diabète de type 2
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Ami
bonsoir,
Mon diabète a été diagnostiqué j'avais 37 ans et j'en ai 49, perte de poids et c'est surtout lors d'une visite chez mon ophtalmo, je voyais plus grand chose, j'ai été obligée de me faire opérer de la cataracte des deux yeux à 37 ans à cause du diabète,une mauvaise période pour moi que je n'oublierai pas.
Utilisateur désinscrit
Utilisateur désinscrit
Désolée pour toi Mary ! Mais heureusement c'est maintenant derrière toi !
mary28
Bon conseiller
mary28
Dernière activité le 18/03/2024 à 13:38
Inscrit en 2013
69 commentaires postés | 30 dans le groupe Vivre avec le diabète de type 2
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Ami
Bonsoir
oui merci
Naga12
Naga12
Dernière activité le 06/02/2023 à 11:55
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5 commentaires postés | 2 dans le groupe Vivre avec le diabète de type 2
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personnellement, je l'ai vu arriver ce diabète car depuis longtemps j'avais une glycémie élevée toujours proche du maximum. Puis vers mes 65 ans, cela a commencer à dépasser le maximum, et on a débuté les traitements comprimés puis progressivement on en est arrivé à l'insuline.
Utilisateur désinscrit
J’ai le diabète: le choc psycho-émotionnel
« Tranquillement installé sur ton piédestal, tu tombes de haut, tu redeviens le plus commun des mortels. Guérisseur, tu t’es malgré tout laissé piéger par la maladie. Sois humble, mais ne te laisse pas envahir par ton diabète. Ne t’apitoye pas sur ton sort. Prends tes armes et bats-toi jusqu’à ce que victoire s’ensuive… »
À moins qu'il soit fou ou ignare, tout patient qui apprend qu'il a le diabète subit un choc psychologique et émotionnel d’envergure. La plupart des concernés savent déjà plus ou moins ce que ce diagnostic implique. Mais une fois dûment informés ? encore faut-il qu'on le leur annonce correctement (nous en reparlerons au numéro suivant) ? la plupart de ces nouveaux diabétiques ont besoin d’un certain temps pour « digérer » le problème.
Tout dépend évidemment du caractère optimiste ou pessimiste du malade. L’optimiste réagira apparemment bien, tendra à minimiser la gravité, se disant qu'il existe de bons traitements contre le diabète (et c’est vrai), et qu’il mourra probablement d’autre chose, ce qui est d’ailleurs fort possible. C’est bien de rester serein, pourtant cette attitude pourrait être dangereuse en ce sens que l’optimiste invétéré risque aussi de se soigner moins bien en négligeant son traitement.
Le pessimiste quant à lui en fera un véritable drame: il y aura « l’avant » et « l’après » diabète, sa vie ne sera plus jamais la même et il sombrera dans le désespoir. Ceci est tout aussi mauvais, car en plus du diabète, il devra faire soigner sa dépression. Voilà encore un traitement dont le succès n’est pas assuré d’avance.
Mieux vaut être réaliste et se dire qu'en faisant de son mieux, en suivant minutieusement les directives, il aura de sérieuses chances de repousser à plus tard les complications, voire d’y échapper. Mais il devra se faire une raison d’admettre l’entrée dans sa vie de ce diabète qu'il devra garder sous surveillance pour le restant de ses jours.
Quoi qu'il en soit, le nouveau patient diabétique doit assumer, accepter une fois pour toutes son diagnostic. Quand ce patient est de surcroît médecin, sa réaction peut être encore différente de celle du commun des mortels. Car il sait, il connaît d’emblée les vraies conséquences que pourra avoir le diabète sur sa vie future. Médecin depuis 1970, ayant bien-sûr suivi et traité de nombreux patients diabétiques dans ma pratique de généraliste, voici en quelques lignes ce qui m’est arrivé le 5 février 1997 :
« Je suis carrément tombé du haut de mon piédestal, car comme médecin, on se croit intouchable, la maladie, c’est pour les autres… ». Mais voilà, ce jour-là les résultats des analyses que j’avais demandées et qui tombaient sur mon bureau étaient irréfutables: glycémie à jeun 130 mg/dL [7,2 mmol/L]. Au-delà de 126 mg/dL [7,0 mmol/L], le diabète est probable. Présence de glycosurie 147 mg/dL (normalement < 30), ce qui signifie du sucre dans les urines et, normalement, il ne peut pas y en avoir. Incrédule, je téléphonai au labo pour avoir plus de précisions, car la valeur de l’hémoglobine glyquée (HgbA1c) était encore largement en deçà du seuil requis pour qu’il y ait diabète (le seuil à ne pas dépasser étant de 6,5 à 7%). Très aimable, le médecin-chef du labo me suggéra de faire le test d’hyperglycémie provoquée par voie orale, ce que je fis immédiatement. Le résultat fut pour moi une catastrophe, l’anomalie était patente: une glycémie postprandiale jusqu’à 370 mg/dL [20,5 mmol/L] après 1 heure (valeur normale: de 80 à 160 mg/dL [4,4 à 8,9 mmol/L] pour le labo de l’époque), ce qui permettait d’entériner avec certitude un trouble de la glycorégulation. Le protocole accompagnant ce résultat était d’ailleurs implacable : courbe diabétique ! Des valeurs obtenues ne laissaient planer aucun doute.
Une bonne promenade dans
la nature permet souvent de
recouvrer un meilleur moral
lors des moments difficiles..
?
En apprenant cela, mon moral tomba à zéro, ce fut ressenti comme un coup de massue me tombant sur la tête, un monde s’effondrait, car je savais que ma vie ne serait plus jamais comme avant. Je savais… Depuis ma dernière année de médecine, en tant que stagiaire interne des hôpitaux, et après comme médecin traitant, j’ai eu l’occasion de côtoyer de nombreux cas, malades du diabète de type 2. Car c’est bien de cela qu’il s’agissait. Je connaissais donc très bien les caractéristiques et la pathologie liées à cette maladie, son évolution lente mais progressive, amenant irrémédiablement à des complications des plus sérieuses, s’aggravant toujours plus au fur et à mesure que le temps passe, et raccourcissant l’espérance de vie de plusieurs années en moyenne. C’est ce que disait la science à cette époque. Fallait-il accepter cela ?
Au début, je ne l’acceptais pas. Je n’admis pas d’être atteint à mon tour, comme n’importe quel autre patient. Comment m’étais-je laissé piéger ? Pourtant, je savais ! Le médecin en moi refusa d’accepter ce diagnostic! Je mis des mois, peut-être plus d’un an avant de me résigner à l’admettre. Pourtant, il fallut bien que je le fis, mais cela m’a couté beaucoup d’efforts.
Et puis, je me posai des tas de questions : qu’avais-je donc fait de mal, était-ce moi le coupable de ce nouvel état ? Depuis combien de temps la maladie évoluait-elle ? L’avais-je héritée de mes parents ? Avais-je commis des erreurs dans ma façon de vivre, ma façon de me nourrir ? Bref, quelle était chez moi la cause réelle de ce que, du jour au lendemain, je me retrouvai diabétique ? Et puis, que faire ? Quelle attitude adopter ? Se laisser aller ou, au contraire, se battre activement pour essayer d’éradiquer cette dangereuse maladie ?
Très vite, j’eus fait mon choix : j’allais trouver les réponses à toutes ces questions, j’allais tenter de définir les causes de ma maladie, d’en parfaire le diagnostic, d’arrêter de me culpabiliser, d’en faire une obsession, et ensuite de mettre en œuvre tout ce que j’avais encore dans le ventre pour me traiter le mieux possible…
Vaincrele DT2, mercredi 15 mai 2013
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Julien
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Julien
Dernière activité le 12/06/2024 à 11:32
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