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Patients Cancer de la prostate
Comment le cancer de la prostate chez l’homme affecte sa partenaire
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Jacquotau
Jacquotau
Dernière activité le 20/11/2024 à 09:20
Inscrit en 2020
24 commentaires postés | 4 dans le forum Cancer de la prostate
1 de ses réponses a été utile pour les membres
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Fadada,
Je me ferais prescrire du Spedra pour espacer les piqûres. La première fois que j'ai consulté l'andrologue, il m'était demandé de porter de l'Edex. Après examen il a mis la piqûre dans le stylo "Easypen" et m'a piqué. Puis il m'a remis un document dans lequel était expliqué comment procéder pour se piquer. Dans l'attente du résultat, il m'a fait patienter en salle d'accueil (ce qui n'était pas très confortable avec un bas ventre en folie). Au bout de 20 mn, il m'a rappelé dans son cabinet et a regardé le résultat, parfait dit-il, je vous donne une ordonnance pour l'Edex et pour le Stylo ( celui-ci m'a coûté 75 €, non remboursé par la SS). Au début après un rapport sexuel ma verge était douloureuse mais supportable. Aujourd'hui, je n'ai pratiquement pas de douleur ( le dosage de l'Edex est de 10 microgrammes) par contre les érections sont moins intenses, mais toujours avec pénétration. J'ai constaté une diminution de ma verge au repos depuis l'opération, en érection la grosseur est toujours la même, mais j'ai perdu au moins 3 cm.
Voilà ma complainte du sans prostate.
A bientôt
fadada
Bon conseiller
fadada
Dernière activité le 21/11/2024 à 22:26
Inscrit en 2014
2 275 commentaires postés | 306 dans le forum Cancer de la prostate
78 de ses réponses ont été utiles pour les membres
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Bonjour
moi aussi ma verge a rétrécie de 3à 4 cm de longueur au repos et aussi en érection , du 17 à 18 cm j'ai passé au 13 à 14 cm , un sacré coup et une belle différence mais elle fonctionne encore alors il faut pas demander la lune . Moi aussi après l'essai de l'injection avec mon urologue il a fallu attendre pour voir le résultat et en plus j'étais avec des internes qui apprenaient leur travail mais mon urologue m'avait demandé mon accord avant et dans ces internes l y avaient deux jeunes filles , au début un peu gêné et après roule ma poule mon urologue m'a remercié car beaucoup de patients refusent de montrer leur zigounette . Pour spedra il existe en 100 mg ou 200 mg , moi pour l'instant , j'utilise le 100 mg et ça marche bien .
A+
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fadada
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chqyahoo
@Claudia.L
Les conséquences post-opératoire d'une ablation totale de la prostate sont décrites par le chirurgien comme "potentielles" et "différentes" d'un individu à l'autre. Au début, on s'accroche à ce postulat pour garder l'espoir d'un retour à la normale. Dans les faits, me concernant et j'ai 54 ans, plus de 6 mois après l'opération, je n'ai plus d'érection naturelle. Avant l'opération j'avais une libido plutôt active et des relations sexuelles soutenues et régulières avec ma compagne.
Il s'agit pour moi de le gérer à deux niveaux : psychologiquement j'ai du mal avec des phases de "down" limite dépressives alors que ma compagne est très compréhensive et me soutient beaucoup. Techniquement j'ai recours à des injections d'Edex . C'est assez compliqué à doser et avec un résultat et des douleurs d'intensités assez inégales.
Le désir reste intact ce qui rend d'autant plus compliqué la gestion des relations sexuelles avec la perte de la spontanéité et la gestion du temps puisque qu'une érection sous Edex peut durer plusieurs heures. La crainte de la douleur liée à l'injection rend également la démarche compliquée et il faut réussir à passer outre pour le plaisir de l'un et de l'autre.
A ce stade, je fais avec et je prends beaucoup sur moi.
Mon chirurgien m'a parlé de l'implant qui est certes plus intrusif mais qui permet de retrouver la spontanéité qui accompagne le désir et n'occasionne aucune douleur. On verra ça dans 1 an si aucun retour à la normale ne se présente et si Edex ne réussit pas à me convenir à l'usage.
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Unilabran
@Reno62 Bonjour Je pense qu'il faut vivre normalement sans se poser de question et accepter que comme chacun un jour nous partirons. Mais il faut profiter de la vie. Perso je marche beaucoup, je jardine, je m'occupe..
Et cela aide bien.
Vivons tant que nous pouvons.
Espoir deux personnes comme nous sont maintenant guéries. Arret de traitement et psa à o.o1.
Pourquoi pas pareil pour nous...
Espoir qui vivre.
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chqyahoo
@Claudia.L
Les conséquences post-opératoire d'une ablation totale de la prostate sont décrites par le chirurgien comme "potentielles" et "différentes" d'un individu à l'autre. Au début, on s'accroche à ce postulat pour garder l'espoir d'un retour à la normale. Dans les faits, me concernant et j'ai 54 ans, plus de 6 mois après l'opération, je n'ai plus d'érection naturelle. Avant l'opération j'avais une libido plutôt active et des relations sexuelles soutenues et régulières avec ma compagne.
Il s'agit pour moi de le gérer à deux niveaux : psychologiquement j'ai du mal avec des phases de "down" limite dépressives alors que ma compagne est très compréhensive et me soutient beaucoup. Techniquement j'ai recours à des injections d'Edex . C'est assez compliqué à doser et avec un résultat et des douleurs d'intensités assez inégales.
Le désir reste intact ce qui rend d'autant plus compliqué la gestion des relations sexuelles avec la perte de la spontanéité et la gestion du temps puisque qu'une érection sous Edex peut durer plusieurs heures. La crainte de la douleur liée à l'injection rend également la démarche compliquée et il faut réussir à passer outre pour le plaisir de l'un et de l'autre.
A ce stade, je fais avec et je prends beaucoup sur moi.
Mon chirurgien m'a parlé de l'implant qui est certes plus intrusif mais qui permet de retrouver la spontanéité qui accompagne le désir et n'occasionne aucune douleur. On verra ça dans 1 an si aucun retour à la normale ne se présente et si Edex ne réussit pas à me convenir à l'usage.
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Unilabran
@Reno62 Bonjour Je pense qu'il faut vivre normalement sans se poser de question et accepter que comme chacun un jour nous partirons. Mais il faut profiter de la vie. Perso je marche beaucoup, je jardine, je m'occupe..
Et cela aide bien.
Vivons tant que nous pouvons.
Espoir deux personnes comme nous sont maintenant guéries. Arret de traitement et psa à o.o1.
Pourquoi pas pareil pour nous...
Espoir qui vivre.
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Louise
Animatrice de communautéBon conseiller
Louise
Animatrice de communauté
Dernière activité le 06/10/2020 à 12:05
Inscrit en 2017
1 216 commentaires postés | 9 dans le forum Cancer de la prostate
1 de ses réponses a été utile pour les membres
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Evaluateur
Ami
Une étude danoise met en lumière cet effet, indiquant que la moitié des femmes dont le mari est atteint par ce type de cancer ont vu leur santé se dégrader.
Avec près de 54.000 nouveaux cas estimés en France en 2011, le cancer de la prostate est le cancer le plus fréquent à la fois chez l’homme. L’impact de cette maladie se limite rarement à la seule personne concernée : les proches, et plus particulièrement la·e partenaire du malade, en subissent les conséquences.
D’après une présentée à la conférence de l’Association européenne d’urologie (AEU), près de la moitié des femmes dont le mari souffre d’un cancer de la prostate ont vu leur propre santé se dégrader. Les scientifiques ont interrogé 56 femmes dont le partenaire est atteint par ce type de cancer. Grâce à un groupe de discussion, les chercheurs danois de l’hôpital universitaire de Herlev et Gentofte ont observé la présence de sentiments comme l’isolement et la peur, ainsi que l’inquiétude au fur et à mesure que le cancer de leur mari progresse. Cette étude, menée avec les épouses d'hommes atteints d'un cancer de la prostate métastatique et traités par hormonothérapie, est l'une des premières à être réalisée sur la façon dont le cancer de la prostate affecte les partenaires des personnes atteintes.
Partager le fardeau
En effet, le traitement hormonal, qui ralentit la croissance de la tumeur, provoque de la fatigue, une fragilité générale et une perte de libido. "Leurs maris sont fatigués à la fois par la maladie et par le traitement, ce qui signifie qu'ils ne peuvent pas socialiser en tant que couple, et les femmes se sentent coupées du soutien social", indiquent les auteurs de l’étude, Jeanne Avlastenok et Peter Østergren. "Elles ont aussi développé peu à peu une réelle peur d'être seules, même au sein de la relation. Elles sentent qu'elles doivent être fortes, ce qui signifie qu’elles ne peuvent pas partager le fardeau de la maladie."
L’augmentation des tâches quotidiennes, ainsi que les craintes concernant les douleurs liées à la maladie, viennent s’ajouter à la liste des préoccupations qui accablent ces femmes. Le professeur Hein van Poppel, secrétaire général adjoint de l’AEU, a commenté ces résultats : "De nombreux patients atteints du cancer de la prostate vivent des moments difficiles, tant physiquement qu'émotionnellement, et ce travail montre que ce stress peut déborder et affecter leurs partenaires. Ce n'est bon pour aucun des deux. Une bonne santé mentale et émotionnelle doit faire partie de la façon dont nous jugeons un traitement, et nous devons essayer de faire en sorte que les patients et leurs partenaires obtiennent le soutien dont ils ont tous les deux besoin."
Source : Santé Magazine