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Patients Cancer de la prostate
Comment le cancer de la prostate chez l’homme affecte sa partenaire
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fadada
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fadada
Dernière activité le 23/12/2024 à 22:23
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Moi , étant atteint du cancer de la prostate , ablation totale de celle ci ,la vie avec ma femme a un peu changé car les érections sont de plus en plus dures pour en avoir .Il faut être patient et suivre un traitement ci necessaire . Il faut aussi mettre son ou sa partenaire au courant et tout ira mieux dans le couple . Toutes interventions chez ma doctoresse ma femme vient avec moi comme ça elle est au courant comme moi . C'est au bout de deux ans que j'ai ressenti des petites érections .Je suis allé voir ma doctoresse accompagné de ma femme qui m'a proposé de prendre des pilules pour aider mes érections a devenir dures . Je suis retourné voir mon urologue qui lui aussi m'a proposé des injections dans la verge J'ai fait 6 mois d'injections et maintenant je prends une pilules de spedra de temps en temps et j'ai des bonnes érections . A 61 ans , je fais l'amour deux fois par semaine à ma femme avec pénétration
Il faut pas avoir honte d'aller chez son docteur et dire la vérité au sujet de cette maladiepour l'instant tout va bien mais je fais des controles tous les 6 mois
Courage à vous tous
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fadada
schnapsy
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schnapsy
Dernière activité le 06/08/2024 à 17:50
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Ami
Merci pour ta franchise et ton témoignage.
J’ai 70 ans. J’ai subi également une ablation de la prostate il y a 18 mois, opération réussie selon l'urologue qui est très satisfait... Mais l’ai l’impression qu’il ne veut pas entendre les pb qui subsistent, à savoir:
- légères fuites urinaires en cas d’effort prolongé ou de station debout de longue durée
- problèmes d’érections, qui sont peu durables et insuffisantes. Les médocs genre spedra provoquent une hausse de température qui monte jusqu’à 39 durant une quinzaine de minutes, et les injections, désagréables, bien que l’érection est magnifique, ne m’apportent aucun orgasme...
Y a t il d’autres personnes ayant ce genre de pb?
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Schnapsy
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Cet été notre compagnie de théâtre joue le spectacle, un monologue seul en scène inédit sur le sujet de l'ablation de la prostate où le personnage raconte son histoire personnelle.
Le sujet de notre spectacle n’a pratiquement jamais été exploré par le théâtre. D’après l’auteur c’est un tabou qui est fondé sur la peur des hommes à avouer leur impuissance momentanée ou définitive, leur humiliation de l’incontinence, la honte du regard des autres, la solitude enfin… Sur ces questions intimes, les hommes font un blocage, ils sont incapables d’en parler surtout avec leur compagne. Mais notre personnage en parle et il se fait entendre et ose confier sa douleur physique et psychologique, sa détresse et ses doutes.
Ce récit intime sans tabou de Tahar Ben Jelloun marche très bien pour un lecteur seul devant ce texte par contre dit devant un public les mêmes mots peuvent sonner différemment. En travaillant sur l’adaptation et la mise en scène nous avons voulu respecter l’intimité de cette histoire franche et directe racontée par ce mathématicien obligé de s’exprimer avec des mots souvent crus parce qu’il a choisi de dire tout.
Il s’adresse à Catherine, son épouse disparue, qui interviendra avec la voix off d’une comédienne Léa Gabriel, parfois sous la forme de poèmes écrit par Tahar Ben Jelloun.
D’un monologue on passe presque à un dialogue car en parlant ainsi avec celle qu’il a follement aimé elle devient son unique soutien moral face à l’épreuve de la maladie. Il comprendra en même temps que dans son comportement passé avec elle sa lâcheté était souvent plus forte que sa culpabilité.
Le spectacle "L'ABLATION", d'après le texte de Tahar Ben Jelloun, aura lieu au FESTIVAL d'AVIGNON 2018 du 6 au 29 juillet, Théâtre du Centre à 19 h 40 tous les soirs. Le 15 juillet l'équipe du spectacle sera présente à la rencontre organisée par la FNAC d'Avignon à 14 h avec le Professeur , grand urologue Mr François DESGRANDCHAMPS.
Si vous voulez avoir plus d'infos allez sur notre site : pic-art-theatre.fr ou le site du festival d'Avignon off.
Utilisateur désinscrit
fadada
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fadada
Dernière activité le 23/12/2024 à 22:23
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C'est bien de rire du malheur des autres .Je pense que vous avez pas été opéré de la prostate car vous en feriez pas ce genre de théatre . Moi , j'ai été opéré il y a 5 ans bientôt et je me suis pas caché d'en parler mais à une certaine limite . Ma femme est venue avec moi à chacun de mes rendez vous chez ma doctoresse et aussi chez mon urologue . Moi je m'en sors pas si mal que ça car j'arrive encore à bander et d'avoir des érections .Je pense aux patients qui eux ont des fuites urinaire et qui sont venus impuissants à vie .leur vie de couple qui a du en prendre un coup , aux divorcés et même des personnes qui se sont suicidées car ils avaient honte de mettre des couches .Des gars comme moi qui voient plus leur sperme couler par le méat , et de voir leur sexe rétréci de quelque centimètres de longueur , c'est assez dur de l'accepter
Mais tout est bon pour gagner de l'argent sur des maladies qui frappent de plus en plus de personnesJ'espère pour vous , que vous arrivez bien à dormir et de vous regardez dans une glace
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fadada
IRPOISE2010
IRPOISE2010
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Ami
bonjour fadada,
En effet quand on est pas touché,on ne peut en rire,moi ablation en 2015 depuis plus d'érection, mon urologue me propose la piqure,douloureux paraît-il merci à vous de réagir,bonne journée André
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andré le long
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fadada
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J'ai un peu plus de chance que toi car j'ai des érections et je prends de temps en temps une pilule pour durcir mes érections (pilule Spédra 100 mg ) Tu sais avant , j'ai pris du cialis aucun effet , Mon urologue m'a montré comment faire des injections dans son zizi et je me suis fait pendant 6 mois à 2 piqures par semaine tout seul pour faire l'amour à ma femme et je peux te dire que je n'ai pas eu mal après de mettre piqué Il faut bien faire comme il te montre ton urologue et surtout ne pas dépasser la dose prescrite . J'ai été opéré en 2014 Petite question indiscrète et si tu veux bien répondre car beaucoup de personnes opérées ne veulent pas en parler .
As tu eu toi aussi une diminution de ta verge après l'opération car moi j'ai vu mon kiki diminuer de 4 à 5 cm de longueur et en plus il se rétracte assez souvent . Et toi
A+
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fadada
IRPOISE2010
IRPOISE2010
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Ami
Bonjour fadada,
j'ai été opéré en 2015 en effet j'ai une diminution de ma verge,j'ai toujours des fuites après 40 séances de kiné
mon urologue me propôse des bandes anti-fuites, mais cela nécessite de resté 3 mois sans porté aucune charge,je travaille toujours,donc c'est les protections et la pince,je te remercie de ton retour
Bonne journée à toi
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andré le long
fadada
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fadada
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Bonjour irpoise 2010
Oui , tu as pas trop de chance mais tu verras un jour ça ira mieux . Il faut prendre son mal en patience mais c'est pas évident . pour tes érections il y a aussi la pompe et il parait que ça marche pour tout le monde .Si tu n'as pas essayé demande à ton toubib . Moi j'ai été pendant 18 mois sans avoir d'érections . J'avais de temps en temps des petits gonflements de ma verge .quand j'ai vu ma doctoresse et que je lui ai dit ça elle m'a dit c'est un bon début et après ça venu tout doucement . J'ai essayé aussi Vitaros un gel que tu mets au bout de la verge dans le méat mais aucun effet . Je me rappelle lors des injections dans le zizi , je suis voir ma doctoresse pour qu'elle m'explique bien comment faire car mon urologue me l'a montré mais j'avais pas tout compris . elle m'a dit d'aller chercher une injection chez moi et de revenir dans son cabinet pour un essai .Elle me dit de baisser le pantalon et le slip , assis sur une chaise et la elle m'a pris mon sexe pour me montrer comment faire .Tu sais j'avais un peu honte car la bête était petite elle a vu que j'étais pas trop à l'aise et elle m'a dit aussitôt que c'était pas la première fois qu'elle montrait comment faire ces injections . Maintenant plus de honte a me mettre nu devant elle pour mes examenx et en plus elle m'a dit je suis docteur alors j'en vois de toutes sortes .
Si tu as une question à me poser , n'hésites pas
A+
Bonne journée
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fadada
schnapsy
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schnapsy
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Ami
Je me retrouve dans tt ce qui est dit: pb d’érections, fuites urinaires au moindre effort... J’ai essayé la piqûre, mais malgré une érection de rêve, aucun orgasme car l’organe est trop congestionné, avec des sensations désagréables. Avec le cialis, mêmes effets.
Alors j’ai essayé de ne prendre qu’un demi cachet la veille... et, miracle. Ce demi cachet a des effets positifs durant 3 jours. Bon, c’est pas comme avant, l’érection n’est pas trop longue mais bon, ça permet qd même une pénétration... Ensuite, il faut faire preuve d’imagination et improviser. Parfois j’arrive à conclure, parfois je termine manuellement... et ma femme aussi. En se synchronisant bien, on arrive à un plaisir presque plus fort qu’avant.
J’ai subi l’ablation il y a 18 mois environ.
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Schnapsy
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Traitements du cancer de la prostate : des conséquences sexuelles variables
Recherche et liens utiles - Cancer de la prostate
Prostate : deux fois plus d'erreurs médicales avec la chirurgie par robot
chqyahoo
@Claudia.L
Les conséquences post-opératoire d'une ablation totale de la prostate sont décrites par le chirurgien comme "potentielles" et "différentes" d'un individu à l'autre. Au début, on s'accroche à ce postulat pour garder l'espoir d'un retour à la normale. Dans les faits, me concernant et j'ai 54 ans, plus de 6 mois après l'opération, je n'ai plus d'érection naturelle. Avant l'opération j'avais une libido plutôt active et des relations sexuelles soutenues et régulières avec ma compagne.
Il s'agit pour moi de le gérer à deux niveaux : psychologiquement j'ai du mal avec des phases de "down" limite dépressives alors que ma compagne est très compréhensive et me soutient beaucoup. Techniquement j'ai recours à des injections d'Edex . C'est assez compliqué à doser et avec un résultat et des douleurs d'intensités assez inégales.
Le désir reste intact ce qui rend d'autant plus compliqué la gestion des relations sexuelles avec la perte de la spontanéité et la gestion du temps puisque qu'une érection sous Edex peut durer plusieurs heures. La crainte de la douleur liée à l'injection rend également la démarche compliquée et il faut réussir à passer outre pour le plaisir de l'un et de l'autre.
A ce stade, je fais avec et je prends beaucoup sur moi.
Mon chirurgien m'a parlé de l'implant qui est certes plus intrusif mais qui permet de retrouver la spontanéité qui accompagne le désir et n'occasionne aucune douleur. On verra ça dans 1 an si aucun retour à la normale ne se présente et si Edex ne réussit pas à me convenir à l'usage.
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Unilabran
@Reno62 Bonjour Je pense qu'il faut vivre normalement sans se poser de question et accepter que comme chacun un jour nous partirons. Mais il faut profiter de la vie. Perso je marche beaucoup, je jardine, je m'occupe..
Et cela aide bien.
Vivons tant que nous pouvons.
Espoir deux personnes comme nous sont maintenant guéries. Arret de traitement et psa à o.o1.
Pourquoi pas pareil pour nous...
Espoir qui vivre.
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chqyahoo
@Claudia.L
Les conséquences post-opératoire d'une ablation totale de la prostate sont décrites par le chirurgien comme "potentielles" et "différentes" d'un individu à l'autre. Au début, on s'accroche à ce postulat pour garder l'espoir d'un retour à la normale. Dans les faits, me concernant et j'ai 54 ans, plus de 6 mois après l'opération, je n'ai plus d'érection naturelle. Avant l'opération j'avais une libido plutôt active et des relations sexuelles soutenues et régulières avec ma compagne.
Il s'agit pour moi de le gérer à deux niveaux : psychologiquement j'ai du mal avec des phases de "down" limite dépressives alors que ma compagne est très compréhensive et me soutient beaucoup. Techniquement j'ai recours à des injections d'Edex . C'est assez compliqué à doser et avec un résultat et des douleurs d'intensités assez inégales.
Le désir reste intact ce qui rend d'autant plus compliqué la gestion des relations sexuelles avec la perte de la spontanéité et la gestion du temps puisque qu'une érection sous Edex peut durer plusieurs heures. La crainte de la douleur liée à l'injection rend également la démarche compliquée et il faut réussir à passer outre pour le plaisir de l'un et de l'autre.
A ce stade, je fais avec et je prends beaucoup sur moi.
Mon chirurgien m'a parlé de l'implant qui est certes plus intrusif mais qui permet de retrouver la spontanéité qui accompagne le désir et n'occasionne aucune douleur. On verra ça dans 1 an si aucun retour à la normale ne se présente et si Edex ne réussit pas à me convenir à l'usage.
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Unilabran
@Reno62 Bonjour Je pense qu'il faut vivre normalement sans se poser de question et accepter que comme chacun un jour nous partirons. Mais il faut profiter de la vie. Perso je marche beaucoup, je jardine, je m'occupe..
Et cela aide bien.
Vivons tant que nous pouvons.
Espoir deux personnes comme nous sont maintenant guéries. Arret de traitement et psa à o.o1.
Pourquoi pas pareil pour nous...
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Louise
Animatrice de communautéBon conseiller
Louise
Animatrice de communauté
Dernière activité le 06/10/2020 à 12:05
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Ami
Une étude danoise met en lumière cet effet, indiquant que la moitié des femmes dont le mari est atteint par ce type de cancer ont vu leur santé se dégrader.
Avec près de 54.000 nouveaux cas estimés en France en 2011, le cancer de la prostate est le cancer le plus fréquent à la fois chez l’homme. L’impact de cette maladie se limite rarement à la seule personne concernée : les proches, et plus particulièrement la·e partenaire du malade, en subissent les conséquences.
D’après une présentée à la conférence de l’Association européenne d’urologie (AEU), près de la moitié des femmes dont le mari souffre d’un cancer de la prostate ont vu leur propre santé se dégrader. Les scientifiques ont interrogé 56 femmes dont le partenaire est atteint par ce type de cancer. Grâce à un groupe de discussion, les chercheurs danois de l’hôpital universitaire de Herlev et Gentofte ont observé la présence de sentiments comme l’isolement et la peur, ainsi que l’inquiétude au fur et à mesure que le cancer de leur mari progresse. Cette étude, menée avec les épouses d'hommes atteints d'un cancer de la prostate métastatique et traités par hormonothérapie, est l'une des premières à être réalisée sur la façon dont le cancer de la prostate affecte les partenaires des personnes atteintes.
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En effet, le traitement hormonal, qui ralentit la croissance de la tumeur, provoque de la fatigue, une fragilité générale et une perte de libido. "Leurs maris sont fatigués à la fois par la maladie et par le traitement, ce qui signifie qu'ils ne peuvent pas socialiser en tant que couple, et les femmes se sentent coupées du soutien social", indiquent les auteurs de l’étude, Jeanne Avlastenok et Peter Østergren. "Elles ont aussi développé peu à peu une réelle peur d'être seules, même au sein de la relation. Elles sentent qu'elles doivent être fortes, ce qui signifie qu’elles ne peuvent pas partager le fardeau de la maladie."
L’augmentation des tâches quotidiennes, ainsi que les craintes concernant les douleurs liées à la maladie, viennent s’ajouter à la liste des préoccupations qui accablent ces femmes. Le professeur Hein van Poppel, secrétaire général adjoint de l’AEU, a commenté ces résultats : "De nombreux patients atteints du cancer de la prostate vivent des moments difficiles, tant physiquement qu'émotionnellement, et ce travail montre que ce stress peut déborder et affecter leurs partenaires. Ce n'est bon pour aucun des deux. Une bonne santé mentale et émotionnelle doit faire partie de la façon dont nous jugeons un traitement, et nous devons essayer de faire en sorte que les patients et leurs partenaires obtiennent le soutien dont ils ont tous les deux besoin."
Source : Santé Magazine