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Patients Cancer de la prostate
Comment le cancer de la prostate chez l’homme affecte sa partenaire
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fadada
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fadada
Dernière activité le 21/11/2024 à 22:26
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Bonjour
Parfait pour toi par rapport à d'autres personnes dans le même état que nous.
Est ce que ton sexe se rétracte aussi ? Tu as plus de sperme qui coule par le méat mais la sensation d'éjaculer est toujours la
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fadada
IRPOISE2010
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Bonjour Fadada,
Je te remercie de ton retour,mon urologue m'avait donné du vitaros aucun effet
bon j'ai laissé tombé,ma femme n'étant pas demandeuse,quelquefois j'aimerai voir si ça peut remarche,ce n'est pas un problème dans le couple, on reste positif, Bonne journée André
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andré le long
schnapsy
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schnapsy
Dernière activité le 06/08/2024 à 17:50
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Merci pour ta réponse, Ffa dada. La première chance, c’est que nous sommes capables de nous adapter et de faire contre mauvaise fortune bon cœur. En fait, on n’a pas trop le choix. L’autre chance, c’est que le couple est solide...
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Schnapsy
fadada
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fadada
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Bonjour
Oui , il faut garder ce couple solide et quand le moral est à zéro il faut en parler avec son ou sa partenaire . Une fois j'avais une belle érection et quand ma femme s'est réveillée au moment de faire l'amour , j'ai senti que ma quéquette perdait de sa raideur . Nous avons fait des petits tripotages pour que la sève remonte mais pas assez pour la pénétration . J'ai descendu prendre une pilule et au bout de 10 à 15 minutes le zizi était en mode de travailler . Nous savons que ce genre de problème reviendra de temps en temps et il y a toujours un moyen pour y remédier . Au début , j'étais pas trop fier de moi mais ma femme a bien compris qu'avec cette opération s'était pas de ma faute . Elle me dit toujours , tu arrives quand même à bander et si de temps en temps il faut prendre une pilule s'est pas dramatique et surtout elle me dit penses à ceux qui voudrait être comme toi au lieu de ne plus pouvoir bander . Même ma doctoresse me demande souvent comment je vais et elle me demande aussi pour mes érections . Au début s'était un peu dur d'en discuter surtout avec une femme . Je suis toujours venu voir ma doctoresse avec ma femme pour qu'elle sache comme moi mon état de santé .
Bonne journée à vous
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fadada
IRPOISE2010
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Merci fadada, c'est une opération qui provoque beaucoup de soucis après,surtout si la partenaire ne veut pas comprendre,moi ça se" passe bien dans le couple,c'est pour moi personnellement que c'est plus compliqué
je te remercie et je te souhaite une bonne journée andré
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andré le long
fadada
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fadada
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Bonjour
hier , je suis allé passer des examens pour le suivi de l'ablation de la prostate . Cet examen s'était un test pour les testicules pour vor si pas de tumeurs ou de grosseurs à ce niveau là. L'infirmière me dit de me mettre nu et de me mettre sue une table et elle me palpe le bas du ventre et aprés elle me dit de m'allonger car elle doit me tater les testicules avec le sourire et d'une gentillesse incroyable . Elle me dit que si j'avais une érection que s'était normale et d'avoir aussi une éjaculation se qui arrive de temps en temps , mais je lui dit que j'avais eu une ablation de la prostate alors pour l'éjaculation pas possible . Elle me tata les boules dans tous les sens et ce qui devait arrver arriva . Une érection de quelques minutes le temps que l'examen soit fini . J'étais un peu gêné et elle m'a dit que c'était normal et qu'elle avait vu pire et c'est là qu'elle m'a dit qui avait du monde qui éjaculait car eux venaient pour un examen de controle et qu'ils avaient encore leur prostate Le principal est de passer son examen de controle et que tout va bien car certaines personnes osent pas se mettre à poils devant le sexe opposé mais comme elle me disait , ele en voit tous les jours et de toutes les tailles et grosseurs
Elle m'a mis en confiance totale . Aprés cet examen pas de problème aux testicules Enfin une bonne nouvelle Ma femmequi était avec moi comme tous les examens que je fais , elle a rigolé de voir ma bête se dresser mais je pars ave la conscience tranquille Je dis à tous les hommes qui doivent faire ces examens n'hésitez pas et allez les faire même si il faut montrer sa zézette et ses fesses , elles ont l'habitude de voir ça tous les jours
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fadada
IRPOISE2010
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andré le long
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Pour info
une fois opéré , mon urologue m'avait donné un autre rendez vous même pas 3 mois après pour voir si j'avais pas de fuite urinaire ou de bien contrôler ces fuites . Il m'a aussi mis le doigt dans l'anus pour sentir la suture qu'il avait fait après avoir ôter ma prostate . Maintenant je le verrai si j'ai un problème par rapport aux prises de sang ou si ma doctoresse en décide . Pour te réconforter moi j'ai pas réussi a avoir des érections pendant 18 mois sauf des petits gonflements de rien du tout et quand j'avais ces gonflements pendant la nuit celles ci me réveillaient et j'aurai cru que j'avais un zizi énorme et aussitôt je me touchais la zézette elle était juste un peu gonflée .J'ai fais de injections au bout de un an pendant 6 mois et j'avais pas mal au kiki mais je respectais la dose et il fallait bien se piquer comme il m'avait montré . Tu sais quand j'étais à poils il y a toujours eu des internes filles et garçons mais avec mon consentement . Mon urologue m'a même dit que j'étais courageux car beaucoup de personnes ne voulaient pas être nu devant eux . Il faut bien qu'ils apprennent .le pire que j'ai vu , c'est quand mon urologue m'a montré comment se piquer la verge , il y avait 4 filles et 2 garçons , je peux te dire que j'en menais pas large avec mon petit bout de bite et une fois la piqure faîte la bête s'est allongée pour avoir une érection à peu prés correcte et elles m'ont demandé si ça faisait mal au moment de la piqure .Pas du tout mais il faut bien se piquer dans les corps caverneux , ils sont mous et comme une éponge
Maintenant je prends du spedra 100 mg et a marche pas mal . J'arrive a faire l'amour avec pénétration environ 25 à 30 minutes
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fadada
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Bonjour Fadada,
je te remercie de tout ses renseignements qui sont importants,j'ai rendez-vous tous les 6 mois avec mon urologue mais il ne regarde jamais,il se contente du taux de psa.pour les fuites ilme propose des bandes anti-fuites mais interdictions de porté aucune charges pendant 3 mois,travaillant toujours c'est exclut pour le moment.bonne journée André
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andré le long
fadada
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surtout il faut jouer avec son sexe , le tripoter , se branler ,une fellation aussi même si la bête est en mode de repos , il faut le stimuler . Tous les jours , c'est un travail de longue durée et comme moi il faut prendre du plaisir . Tu sais quand ma femme me faisait des branlettes et que j'avais le kiki mou j'étais pas gêné même pour une fellation , elle même me disait c'est que le début et ça va durer un bon bout de temps avant que ça revienne comme avant . J'espère que ton urologue a mis des séances de kiné pour savoir travailler ton périnée Moi quand je suis allé voir le kiné , elle m'a dit que s'était de la rééducation un peu spéciale . Avant de faire ces séances , elle t'explique le déroulement des séances . Tu es nu devant elle , elle t'allonge su une table et elle t'enfonce un doigt dans l'anus et tu dois serrer les fesses pour faire travailler ton périnée . Les séances durent 30 minutes . A la deuxième séance , j'ai acheté une sonde anale qu'elle te mets dans le fion et branche la sonde sur un ordinateur et tu dois faire le même exercice que l'ordinateur qui te montre . Quand tu es couché sur le dos , elle te mets une serviette sur ton pénis . J'ai fais 5 séances en tout mais d'autres personnes en font une vingtaine . Tu peux aller voir sur internet comment faire travailler le périnée après l'opération de la prostate et il va te dire comment faire et même maintenant tous les jours je fais ces exercices pendant 45 minutes .
J'espère que tu va aller mieux et tu verras le bout du tunnel dans quelque mois
Courage , je suis passé par la et je sais que c'est dur
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fadada
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Traitements du cancer de la prostate : des conséquences sexuelles variables
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Prostate : deux fois plus d'erreurs médicales avec la chirurgie par robot
chqyahoo
@Claudia.L
Les conséquences post-opératoire d'une ablation totale de la prostate sont décrites par le chirurgien comme "potentielles" et "différentes" d'un individu à l'autre. Au début, on s'accroche à ce postulat pour garder l'espoir d'un retour à la normale. Dans les faits, me concernant et j'ai 54 ans, plus de 6 mois après l'opération, je n'ai plus d'érection naturelle. Avant l'opération j'avais une libido plutôt active et des relations sexuelles soutenues et régulières avec ma compagne.
Il s'agit pour moi de le gérer à deux niveaux : psychologiquement j'ai du mal avec des phases de "down" limite dépressives alors que ma compagne est très compréhensive et me soutient beaucoup. Techniquement j'ai recours à des injections d'Edex . C'est assez compliqué à doser et avec un résultat et des douleurs d'intensités assez inégales.
Le désir reste intact ce qui rend d'autant plus compliqué la gestion des relations sexuelles avec la perte de la spontanéité et la gestion du temps puisque qu'une érection sous Edex peut durer plusieurs heures. La crainte de la douleur liée à l'injection rend également la démarche compliquée et il faut réussir à passer outre pour le plaisir de l'un et de l'autre.
A ce stade, je fais avec et je prends beaucoup sur moi.
Mon chirurgien m'a parlé de l'implant qui est certes plus intrusif mais qui permet de retrouver la spontanéité qui accompagne le désir et n'occasionne aucune douleur. On verra ça dans 1 an si aucun retour à la normale ne se présente et si Edex ne réussit pas à me convenir à l'usage.
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Unilabran
@Reno62 Bonjour Je pense qu'il faut vivre normalement sans se poser de question et accepter que comme chacun un jour nous partirons. Mais il faut profiter de la vie. Perso je marche beaucoup, je jardine, je m'occupe..
Et cela aide bien.
Vivons tant que nous pouvons.
Espoir deux personnes comme nous sont maintenant guéries. Arret de traitement et psa à o.o1.
Pourquoi pas pareil pour nous...
Espoir qui vivre.
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chqyahoo
@Claudia.L
Les conséquences post-opératoire d'une ablation totale de la prostate sont décrites par le chirurgien comme "potentielles" et "différentes" d'un individu à l'autre. Au début, on s'accroche à ce postulat pour garder l'espoir d'un retour à la normale. Dans les faits, me concernant et j'ai 54 ans, plus de 6 mois après l'opération, je n'ai plus d'érection naturelle. Avant l'opération j'avais une libido plutôt active et des relations sexuelles soutenues et régulières avec ma compagne.
Il s'agit pour moi de le gérer à deux niveaux : psychologiquement j'ai du mal avec des phases de "down" limite dépressives alors que ma compagne est très compréhensive et me soutient beaucoup. Techniquement j'ai recours à des injections d'Edex . C'est assez compliqué à doser et avec un résultat et des douleurs d'intensités assez inégales.
Le désir reste intact ce qui rend d'autant plus compliqué la gestion des relations sexuelles avec la perte de la spontanéité et la gestion du temps puisque qu'une érection sous Edex peut durer plusieurs heures. La crainte de la douleur liée à l'injection rend également la démarche compliquée et il faut réussir à passer outre pour le plaisir de l'un et de l'autre.
A ce stade, je fais avec et je prends beaucoup sur moi.
Mon chirurgien m'a parlé de l'implant qui est certes plus intrusif mais qui permet de retrouver la spontanéité qui accompagne le désir et n'occasionne aucune douleur. On verra ça dans 1 an si aucun retour à la normale ne se présente et si Edex ne réussit pas à me convenir à l'usage.
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Unilabran
@Reno62 Bonjour Je pense qu'il faut vivre normalement sans se poser de question et accepter que comme chacun un jour nous partirons. Mais il faut profiter de la vie. Perso je marche beaucoup, je jardine, je m'occupe..
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Espoir deux personnes comme nous sont maintenant guéries. Arret de traitement et psa à o.o1.
Pourquoi pas pareil pour nous...
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Louise
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Louise
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Ami
Une étude danoise met en lumière cet effet, indiquant que la moitié des femmes dont le mari est atteint par ce type de cancer ont vu leur santé se dégrader.
Avec près de 54.000 nouveaux cas estimés en France en 2011, le cancer de la prostate est le cancer le plus fréquent à la fois chez l’homme. L’impact de cette maladie se limite rarement à la seule personne concernée : les proches, et plus particulièrement la·e partenaire du malade, en subissent les conséquences.
D’après une présentée à la conférence de l’Association européenne d’urologie (AEU), près de la moitié des femmes dont le mari souffre d’un cancer de la prostate ont vu leur propre santé se dégrader. Les scientifiques ont interrogé 56 femmes dont le partenaire est atteint par ce type de cancer. Grâce à un groupe de discussion, les chercheurs danois de l’hôpital universitaire de Herlev et Gentofte ont observé la présence de sentiments comme l’isolement et la peur, ainsi que l’inquiétude au fur et à mesure que le cancer de leur mari progresse. Cette étude, menée avec les épouses d'hommes atteints d'un cancer de la prostate métastatique et traités par hormonothérapie, est l'une des premières à être réalisée sur la façon dont le cancer de la prostate affecte les partenaires des personnes atteintes.
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En effet, le traitement hormonal, qui ralentit la croissance de la tumeur, provoque de la fatigue, une fragilité générale et une perte de libido. "Leurs maris sont fatigués à la fois par la maladie et par le traitement, ce qui signifie qu'ils ne peuvent pas socialiser en tant que couple, et les femmes se sentent coupées du soutien social", indiquent les auteurs de l’étude, Jeanne Avlastenok et Peter Østergren. "Elles ont aussi développé peu à peu une réelle peur d'être seules, même au sein de la relation. Elles sentent qu'elles doivent être fortes, ce qui signifie qu’elles ne peuvent pas partager le fardeau de la maladie."
L’augmentation des tâches quotidiennes, ainsi que les craintes concernant les douleurs liées à la maladie, viennent s’ajouter à la liste des préoccupations qui accablent ces femmes. Le professeur Hein van Poppel, secrétaire général adjoint de l’AEU, a commenté ces résultats : "De nombreux patients atteints du cancer de la prostate vivent des moments difficiles, tant physiquement qu'émotionnellement, et ce travail montre que ce stress peut déborder et affecter leurs partenaires. Ce n'est bon pour aucun des deux. Une bonne santé mentale et émotionnelle doit faire partie de la façon dont nous jugeons un traitement, et nous devons essayer de faire en sorte que les patients et leurs partenaires obtiennent le soutien dont ils ont tous les deux besoin."
Source : Santé Magazine