Je perds mon élan de vie, est-ce la dépression ?

@Certain Salut faut pas dire de telles choses, c ppeut-êtrel ennemi de ton âme qui essaie de te détruire et comme tu dis , tu tiens debout par miracle?, donc c sue Dieu est là. 

Rappelles toi le fils prodigue. 

Prends rdv avec ton pasteur. 

Tu fais parti des ADD ? ou de quel mouvement ?

Dans Jacques chap 4 il est écrit de s humilier devant Dieu et il te relèvera. 

J aimerai aussi qu il en soit ainsi pour moi. 

À bientôt. 

@Bipo13 Oui, je suis des ADD. Je ne les ai jamais quittées, c'est juste que depuis quelques années je ne vais plus qu'au culte le dimanche matin, et puis, maintenant...avec le virus, je suis un culte en ligne. Vu que je parle italien, je suis le culte de Messine, sur Youtube. 

@Bipo13 Mon pasteur...ne suit pas le bon chemin. Hélas...Et toi, tu fais partie des ADD...? 

@Certain Moi aussi j allzis dans une église ADD à Marseille. 

Ce matin ma femme et ma fille y sont.

Moi bien sûr dans cet état je suis resté à la maison. 

En Normandie qui est le pasteur ? 

Appelles le pour qu il prie avec toi et pour toi. 

@Certain Comment ça il ne suit pas le bon chemin. 

Sinon tu px changer d d'eglise. 

Bonjour à tous,

Je ne vais pas bien comme vous savez, malheureusement j ai pas l impression d être mieux, c peut-être de ma faute. 

J ai peut-être pas su saisir ma chance au bon moment ou je ne sais.

Merci à tous ceux qui m ont laissé des messages d d'encouragements. 

J espère que pour vous ça va. 

Bonne fin de journée. 

Bonjour Aquarella, si je puis me permettre, sûrement vous trouverez des paroles pour exprimer votre expérience de ces moments où on n'a plus envie de rien, car cela touche tout le monde, bipolaire ou pas. D'où que vienne le soutien, et le nombre, c'est important pour apporter toujours plus de relativité, et je vous remercie de vous joindre à nous, pour éviter cet apparté qui pourrait en finir par s'éteindre sans élargissement.

bonjour Bipo13, même si je peux vous dire que pendant 28 ans j'ai exercercé au sein de mon entreprise, sur des métiers techniques du SAV clients, depuis 1 an et demi, je m'occupe de Sécurité tehcnique et de Services aux occupants de la même entreprise: c'est un domaine différent, mais mon goût pour le service aux autres demeure. Pour autant, j'ai une formation plutôt littéraire et un fort goût pour les arts qui y touchent. Et puis, je m'intéresse... à tout! Curieux de nature. Là, vous me trouvez en face de vous pour les raisons que vous connaissez, au contact de mon ex-compagne, dont j'ai été éperdument amoureux, et pour qui j'ai toujours une immense affection autant que de peine, de la voir vivre avec ses difficultés et ne pas chercher à s'en sortir devant des évidences, ou encore une fois elle perd l'occasion de retrouver une vie à deux constructive et stabilisante pour l'accompagner dans des démarches longues à cerner son mal être dont je crains qu'elle le dénie. J'ai renoncé à être père pour aimer ma première femme 29 ans pour un déni de vaginisme, et là je renonce à continuer un couple pour un déni de bipolarité. Je ne peux plus renoncer à tout dans ma vie. Mais je peux continuer à accompagner autrement dans l'amitié la plus profonde, et ainsi continuer à grandir, pour elles, comme pour ceux comme vous qui au travers de nos échanges m'apportent autant que je peux espérer le leur proposer.

Et si je vous proposais de lire de Michel ONFRAY, "Le souci des plaisirs", peut-être vous tous, découvririez que la souffrance pour la rédemption, dont les religions monthéistes de tout bord nous influencent depuis si longtemps, est peut-être aujourd'hui à remettre en question et à comparer aux cultes de nos voisins asiatiques, qui prônent le bien-être, à l'inverse de la martyrisation. Vous y trouveriez une autre image de la conception de la vie et une construction qui remettrait peut-être en cause, nombre de symptômes de nos dépressions. Ce sera peut-être violent pour vous, mais qui sait salvateur d'ouvrir les yeux sur un autre mode de pensée accessible à qui peut se remettre en question pour avancer. Bien à vous, Eric.

Ces fameux 5 points positifs de Freddya sont une bonne discipline pour regarder le verre à moitié vide du côté positif, et donc à moitié plein. Tant qu'on y réfléchit on peut relativiser que d'autres passent leur temps à éviter des bombes, et d'autres encore à chercher à boire, au mieux à manger, pour tenir un jour de plus! Ma devise étant "Quand on cherche, on trouve, et il y a toujours une solution", ne peut manquer de vous parler et de la saisir dans son absolu. J'ai passé presque 30 ans de ma vie à aimer des personnes dans le déni: suis-je pour autant perdu ? J'ai perdu ma capacité de paternité dans la période favorable a priori (j'ai 53 ans), mais j'ai vécu des heures riches d'enseignements au contact de ses personnes, et je leur ai fait du bien en les accompagnant un temps. Et je peux aujourd'hui rebondir et vivre une histoire plus à même de répondre à mes aspirations. J'avais besoin de ce long temps d'apprentissage pour me situer et savoir ce que je voulais de ma vie. Rien n'a été perdu. Il n'y a pas de norme pour grandir, c'est plus ou moins long pour chacun. Oui, je suis passé par des moments bas, avec des remises en question terribles, jusqu'au recours à la prière, le partage avec les amis, la famille, et les spécialistes médicaux ou apparentés: mais jamais je n'ai pensé à un mal-être de dépression, voire de mettre fin à mes jours. C'est dur toujours de réfléchir sur soi et de penser à sortir de ce qui ressemble à une impasse: mais... Il y a toujours une solution, il faut la chercher... Et elle viendra... Toujours! Là je perds mon amour, pour faire un électrochoc à ma compagne, je renonce: j'aurais été le seul à avoir osé mettre le doigt sur ce qui est probablement de sa bipolarité, le seul, et je suis aussi le seul pour qui l'attachement a été aussi fort pour elle, d'en avoir été ainsi perturbée dans un moment charnière de sa vie de femme, pour ses difficultés psychiques et son âge hormonal. C'est regrettable pour nous deux, mais je me sens plus fort pour rebondir et mieux comprendre que je ne puis la sauver, et elle comprendra que pour sa prochaine histoire si elle s'autorise à en vivre une, il lui faudra radicalement s'occuper d'elle, et je pourrai être là en ami cette fois, et non plus en "mari", l'accompagner un peu et me réjouir j'espère, qu'elle trouve enfin chaussure à son pied dans de meilleures dispositions pour elle, et pas avant. Voilà la relativité.