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Qui aime écrire ? Des lettres, des poèmes, des histoires...
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Aller au dernier commentaireUtilisateur désinscrit
Hé les amis je ne suis pas un poète juste un apprentit à la maternelle , si ça vous plait pas échanger svp les lances avec des roses , car ni le corps ni l'age supporte ses lances merci
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Utilisateur désinscrit
La poésie n'est pas mon fort , mais j'ai ça:
Quelque part vivait dans un petit village monsieur Gérard , il avait 87 ans , de l’énergie a revendre, il en avait bien connus des choses dans sa vie , des guerres , l'amour , les enfants , les grands bonheurs , les grande tragédies, il était un pilier de connaissance pour ses voisin ce jeune couple , les Mercier: Robert venait d'avoir 30 ans , sa compagne Carole en avait 29 , ils avait un fils de 4 ans.
Robert , ingénieur de métier , était un grand homme rude , le visage bien carré , souvent quant il avait le temps , il aimait bien cultivé , dans son jardin , ses propres légumes , mais jamais , il n'entreprenait quelque chose sans demander conseil a son voisin , c'est qu'il était doué , le père Gérard , il connaissait la lune , les marais , il savait exactement quant il fallait mettre une graine.
Il les aimaient aussi ses voisins , le vielle homme , sa famille vivant bien trop loin , et , sa chère Alice disparue depuis trop longtemps .
Un matin comme temps d'autres matins , il mit sur sa gazinière la casserole d'eau pour le café a chauffer , il posa son bol de céramique de céramique écorné sur sa table de cuisine , le pain le beurre , sorti le café en grain du buffet , en versa deux cuillerées , ajouta deux sucres , puis vera le liquide bouillant sur le tout .
Puis il se coupa une tranche de pain , qu'il tartina patiemment de beurre , il trempa cette dernière dans son breuvage, la porta a sa bouche , qu'on ne voyait plus temps sa moustache était épaisse , puis commença a mâcher lentement , la grande pendule sonna sept heure:"-Dong ! Dong!"
L'odeur de café se mélangeait avec l'odeur d'encaustique que dégageait les meubles que régulièrement , plus tard dans la journée , les aides ménagères aux quelles il avait droit , venaient faire briller.
Mais ce matin , quant il eut avalé sa première bouchée , ça n'allait pas , mais alors vraiment pas , temps , pas , qu'il ne pu réagir quand sa tête tomba de tout son poids sur le bol en le renversant .
Le liquide chaud coulait sur la toile cirée de la table et imbibait la joue droite de l'homme paralysé, il ne pouvait bouger , appeler a l'aide ou quoi que ce soit , il sentait que la chaleur coulait aussi sur ses jambes , une douleurs qui n'avait pas de nom lui compressait le cerveau.
Autour de dix heure , Robert s'étonnait de ne pas encore avoir vue son voisin , il alla frapper a sa porte pour savoir comment il allait , mais sa porte était fermée , ce n'était pas normal , il retourna chez lui fit le 18 pour appeler les pompiers , puis il essaya de casser un carreau pour entrer , il lui fallut du temps , contrairement a ce que l'on voit au cinéma casser une vitre ne se fait pas facilement .
Il entra dans la maison , le parquet grinçait , il criait :"-Père Gérard vous allez bien?" c'est alors qu'il vit le vieillard qui baignait dans son jus , vraisemblablement décédé .
Quand les pompiers arrivèrent , il n'y avait plus rien a faire , un médecin constata la mort , maintenant , il fallait retrouvé l'adresse de ses enfants , pour le faire inhumer.
Peu avant le vieillard avait la sensation que sa tête allait exploser , plus ça allait , plus sa vision devint trouble , puis ce fus le noir complet , combien de temps ? Il ne saurait le dire , il se réveilla dans un tunnel , avec au bout une lumière magnifique , il voyait , ressentait , il se sentait heurté aussi parfois , mais son corps qu'il ne percevait plus semblait flotter , plus de forte douleurs , plus de rhumatismes non plus , il était bien , toutefois , le bout du tunnel , cette lumière l'attirait , il ne pouvait y résister .
Ainsi il atteint le bout , pour se retrouver dans un lieu ou tout semblait amour , il percevait autour de lui un monde fou , quelque chose lui disait d'avancer encore et encore, a un moment , il senti une paroi d'une douceur sans pareil , il se frottait dessus temps c'était doux , puis soudain il fut aspiré par cette dernière.
Balloté de droite et de gauche , il perdit encore connaissance un temps , quant il reprit ses esprits, il avait de nouveau un corps , un corps parfait a ce qu'il pouvait ressentir , car il y voyait peu , il flottait encore , souvent il attendait une chanson rassurante , d'une femme qu'il ne pouvait voir , mais qu'il aimait plus que tout .
Il ne regrettait pas d'avoir dans souffert il y avait de cela un temps indéterminé , pour se trouvait aussi bien maintenant .
Hélas a un moment , il ne flotta plus , bien au contraire , il venait de se ramasser sur quelque chose de dure qui l'aspirait vers une lumière , encore une , moins vive , moins amour que la précédente , il se sentait compressait , il manquait d'air , inlassablement encore il allait vers cette lumière, a un moment il senti comme une paire de mains qui lui prenaient la tête pour la tourner.
"-Bien voila c'est fait , madame Favreau , vous avez une magnifique petite fille regardez"
Gérard voyait des chose parfois qui lui étaient familières , mais pas tout encore :"-Comment voulez vous l'appeler?
-Géraldine " Répondit la voix si douce , qu'il percevait depuis des jours
Il se passa encore beaucoup de temps , puis Géraldine trouva une vue correct , elle pouvait voir , sa maman , son papa , mais le plus important était qu'elle savait , que la mort n'était pas une fin , il fallait qu'elle le dise , mais a chaque fois qu'elle voulait parler , il ne sortait de sa bouche que des : "-Ageu! Agueu , gueu , gueu !" Ce qui laissait la maman ou le papa dire : "-Elle n'est pas adorable notre fille , regarde la nous sourire et nous parler"
C'était énervant cette situation , elle avait temps a apprendre au monde , temps et si bien que parfois , de se voir impuissante comme ça , devant un tel savoir elle en pleurait , alors papa , ou maman la câlinai ou lui donnait a manger.
Il se passa environ un ans comme ça , a chaque fois qu'elle voulait leur raconter ce qu'elle avait vécus , les mots ne sortait pas comme elle le souhaitait , puis un jour enfin , elle se concentra fort :"-Mamamama, maman , maman " hélas a la minute ou elle prononça ces premiers mots , elle oublia tout son passé
Bonne nuit a tous
maritima
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maritima
Dernière activité le 24/11/2024 à 22:37
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D'où tenez-vous cette étrange(?) histoire @Eauclair ?
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maritima. "l'amour pour épée, l'humour pour bouclier" Bernard Werber.
Utilisateur désinscrit
De mon cerveau, il en sort régulièrement des comme ça
maritima
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Dernière activité le 24/11/2024 à 22:37
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Oui, mais celle-ci est d'inspiration très particulière @Eauclair
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maritima. "l'amour pour épée, l'humour pour bouclier" Bernard Werber.
Chris31
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Chris31
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@Eauclair Bonjour , décidément tu me surprendras tous les jours lol , tu as une imagination ....non seulement riche mais aussi remplie de curiosités ! Bravo à ton talent d'écrivain ....
Bonjour aussi @maritima
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Chris31- Faites que le rêve dévore votre vie, afin que la vie ne dévore pas votre rêve. Antoine de Saint-Exupéry
Utilisateur désinscrit
Que voulez vous dire par inspiration particulière ? @maritima, différentes des autres ? Oui , les autres étaient vrais , celle ci est une fiction , en douce que ce serait bien si ça pouvait être vrai.
Un jour il m'a été dit que notre corps était comme un PC , que ce n'était pas parce qu'un ordinateur tombait en panne qu'internet arrêtait de tourner, partant de cette idée , je raconte une petite histoire , après , il fallait bien expliquer pourquoi , si c'était vrai , personne ne le savait , l'explication était toute trouvée , a partir du moment ou l'enfant prenait conscience d'elle , tout ce qui était arrivait avant ne comptait plus , seul sa future évolution primait .
Hélas cela ne reste qu'une histoire , ça ne nous arrivera pas.
Content de t'avoir fais plaisir @Chris31
Bisous les filles , bon lundi
Nathali57
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Nathali57
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@Eauclair waouh pour cette histoire si bien contée
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🌈
maritima
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maritima
Dernière activité le 24/11/2024 à 22:37
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Certes @Eauclair ,
c'est une fiction ( encore que ....) mais ...sans le savoir ( ou en le sachant ....) vous avez illustré la question de la transmigration des âmes.
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maritima. "l'amour pour épée, l'humour pour bouclier" Bernard Werber.
Utilisateur désinscrit
Ne croyais pas a ce que j'écris , ce n'est la que pure fiction @maritima, on a beaucoup plus de chance de devenir de la viande froide, mais c'est agréable de se laisser aller a penser que tout est possible
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Utilisateur désinscrit
Bonjour, à toutes et tous !
J'écris depuis l'âge de huit ans. D'ailleurs, si l'on veut faire la genèse de ma maladie, il faudrait remonter jusque-là.
J'ai commencé avec mon bic bleu de l'école par inscrire des phrases isolées sur le grand carton blanc du miroir qu'avaient un jour acheté mes parents. Puis j'ai ajouté toutes sortes de textes dans mon escarcelle : des poèmes, des histoires en musique et pour enfants, des nouvelles et aujourd'hui, j'ai aussi commencé un roman assez étonnant puisque c'est un polar et que jusqu'à présent j'écrivais plutôt du poétique, de l'autobiographique et de la romance. Mais je me sens devenir de plus en plus écrivain, même si je ne suis pas édité et que cela n'est pas mon but - à l'heure actuelle je m'oriente vers la recherche en psychologie.
J'aimerais beaucoup vous lire, j'aimerais pouvoir partager ensemble nos écrits en toute simplicité et pour vous encourager, je poste un poème qui raconte un moment important de ma vie.
Bien à vous !
L’épée
Armée d'une épée qui tranche la peur et le mensonge, remet inexorablement coup après coup le cœur à l'épreuve, le courage n'a qu'un unique choix : grossir toujours plus que l'angoisse et la douleur qui ne cessent de grandir, un torrent qui frappe les paupières le matin et s'engouffre dans l'obscurité du sommeil inquiet ! La tête ne dort pas, le guerrier ne se repose pas... Les trêves sont courtes, l'immobilité de la rage
est fébrile, la guerre fait fureur ! L'esprit croit en la force, vaine puissance de la destruction et l'amour pleure. Homme de cœur, être de peur, regarde au loin le drapeau blanc de la paix, desserre ta main de la colère et du glaive. Alors, un peu de temps, un matin tu as posé tes doigts blessés sur la poitrine gonflée de pitié de ton amie et elle t'a sauvé. Tu n'avais plus peur que de la perdre et tu as bu l'eau de ses pensées. Ô guerrier, tu as rangé l'épée et jusqu'au fourreau, les armes sont retournées à l'immobilité. Tout est redevenu facile comme lorsque tu étais enfant, insouciant, confiant.
Nora