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Que penser du coronavirus ?
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@maritima Sans doute, mais le virus n'attaque pas le cerveau de tous les malades du Covid. Par ailleurs les vaccins anti-Covid peuvent eux aussi causer des dommages, sur d'autres organes du corps, comme l'a relevé l'ANSM.
maritima
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maritima
Dernière activité le 22/11/2024 à 13:43
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@bibimet75
Publié le 21/10/2021 l'Express
" Selon les résultats d'une très large étude américaine publiée dans The Lancet Psychiatry, 13% des patients ont reçu, pour la première fois de leur vie, un diagnostic de troubles neurologiques ou psychiatriques dans les six mois suivant l'infection. L'anxiété (17%) et les troubles de l'humeur (14%) sont les plus fréquemment retrouvés, mais aussi les troubles liés à l'utilisation de substances psychoactives (7%) ou encore l'insomnie (5%)."
Je ne pense pas ( mais à vérifier ) que les dommages occasionnés dans d'autres organes atteignent des taux similaires
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maritima. "l'amour pour épée, l'humour pour bouclier" Bernard Werber.
Utilisateur désinscrit
A vérifier effectivement @maritima .
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Plus de 5.000 nouveaux cas de Covid sont enregistrés chaque jour dans le pays selon Santé publique France, bien que le nombre de patients hospitalisés reste lui quasiment stable depuis la mi-octobre. Et des chercheurs européens en ont appris un peu plus sur ce virus, qui peut laisser des séquelles dans notre organisme. Il serait en effet capable de passer par le sang,tout droit jusqu'à notre cerveau.
DÉCRYPTAGE :
C'est une découverte inquiétante sur le virus du Covid-19. Des chercheurs européens, dont une équipe lilloise, viennent de démontrer que même dans les formes légères de la maladie, le virus passe par le sang pour entrer dans le cerveau et y laisse des séquelles.
Jusqu'ici, les chercheurs pensaient que le coronavirus pouvait atteindre le cerveau par le nez. On sait maintenant qu'il arrive aussi très vite dans le sang et qu'il attaque directement la barrière de cellules qui protège notre cerveau des microbes. Même chez les personnes qui ont peu de symptômes, le virus va créer des sortes de brèches.
C'est ce qu'explique Vincent Prévost, neuroscientifique à l'Inserm, à Lille. "Dans un premier temps, ces microhémorragies dans le système nerveux central vont être très néfastes. Et ensuite, une fois que ces cellules sont mortes et que le sang ne circule plus à travers ces vaisseaux, ça va créer des vaisseaux fantômes. C'est-à-dire que l'on a le fantôme du vaisseau qui reste dans le cerveau, mais il n'y a plus de sang qui passe à travers. Donc les neurones ne vont plus avoir accès aux nutriments dont ils ont besoin pour fonctionner."
La bonne nouvelle, c'est que le phénomène est réversible. Les vaisseaux fantômes disparaissent en effet d'eux-mêmes, mais ces zones du cerveau restent fragilisées. Cela explique peut-être les migraines, la fatigue ou encore le brouillard cérébral dont souffrent les patients Covid longs. Les scientifiques redoutent également d'avoir découvert un nouveau facteur de risque des maladies d'Alzheimer et de Parkinson.
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attention, une nouvelle vague arrive
Pays-Bas : la flambée des cas de Covid-19 force le gouvernement à imposer de nouvelles restrictions
RETOUR DE BÂTON - Face à l'explosion des nouvelles contaminations aux Pays-Bas ces derniers jours, le Premier ministre, Mark Rutte, a annoncé ce mardi de nouvelles restrictions sanitaires, parmi lesquelles l'obligation du port du masque dans les lieux publics fermés.
La situation n'est pas au beau fixe aux Pays-Bas. Le Premier ministre néerlandais Mark Rutte a annoncé ce mardi une série de mesures pour contrer une flambée du nombre des contaminations de Covid-19. "Cela ne surprendra personne que nous ayons un message difficile ce soir. Le nombre des contaminations et des admissions à l'hôpital augmente rapidement", a déclaré le Premier ministre au cours d'une conférence de presse à La Haye. Les nouvelles restrictions entreront en vigueur samedi.
chatdoc
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chatdoc
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@bibimet75
Pour évaluer complètement les risques des vaccins versus ne pas être vacciné ne se résume pas à la seule question "corrélation ou causalité ?", suite à un effet constaté dans les suites de la vaccination. Ce n’est que le début pour une analyse complète. En simplifiant, il y a 3 étapes :
* C’est celle ’ qui correspond à celle ci-dessus, un évènement indésirable survient suite à une injection vaccinale, on essaye alors de déterminer si le nombre de survenue d’un évènement semblable, (si les données existent, et les britanniques ont une excellence dans ce domaine), survient dans la population générale est similaire, inférieure ou supérieure, par exemple comme pour les fausses couches. Les chiffres sont le plus souvent ceux observés par tranche de 100 000 personnes. De plus l’étude des dossiers médicaux permet de déterminer où non s’il y a des populations à risque.
Si en post-vaccinal, le nombre est supérieur, et de façon statistiquement significatif), on dit qu’il y a corrélation probable, ce qui en Pharmacovigilance est considérée comme "oui corrélation ".
* Puis, il faut déterminer le même travail chez les personnes ayant eu l’infection, et dans le cadre de la pandémie, on prend la population qui a eu un test positif. Le nombre de malades qui ont eu une maladie X est alors comparé à celui de la population "normale " comme pour les événements post-vaccinaux. A partir des deux chiffres obtenus, on a une idée plus précise du risque que pourrait entraîner la maladie vis à vis d’une pathologie donnée.
* Mais il y a une 3ème étape, c’ est la prise en compte de l’intégralité de l’ensemble des conséquences de la maladie versus ceux de la vaccination, ce qui est souvent exprimé par ce que l’on appelle "balance bénéfice-risque " en population.
De déterminer en présence de la survenue d’un effet indésirable grave dans les jours qu'il suivent une injection vaccinale, s’il y corrélation ou causalité. Si la conclusion est causalité, ce qui est très regrettable, n’est que le début d’une longue démarche . . .
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furete
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comment se retirer de ces discussions ?
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Si cette pandémie semble peu à peu moins présente dans nos esprits, elle n'est nullemnt finie . .
Et voilà, retour du masque à l'école primaire dans 32 départements :
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Chatdoc
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@furete arrête de poster
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Une étude étonnante est actuellement disponible en prépublication, et qui devrait être publiée dans Frontiers in Immunology dans les semaines à venir :
" les individus qui ont reçu un vaccin diphtérie ou tétanos depuis moins de 10 auraient moitié moins de probabilité de présenter des symptômes de COVID-19 sévère que ceux qui n’ont pas reçu ces vaccins "
https://www.medrxiv.org/content/10.1101/2021.06.09.21257809v1.full
Cette étude inclut plus de 100 000 patients, (âge moyen de 71 ans dont 54% de femmes), avec données complètes sur leur état vaccinal et avec tests Covid-19.
Plus de 13 000 patients furent testés pour le COVID-19, 2783 ont eu un test +, et 1185 ont présenté des symptômes de COVID sévère.
Ceux qui avaient été vaccinés avaient significativement moins de risques de présenter des symptômes sévères . .
Les résultats de ce travail ne peuvent que nous interpeller,
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Chatdoc
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Hervé49
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Hervé49
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Le masque est de plus en plus présent dans les media, devrons nous le porter bientôt dans la rue, les transports, en forêt, à la plage ?
Mais est-il utile, nécessaire, indispensable, incontournable ?