Que penser du coronavirus ?

@chatdoc  Votre 10h10...  J'ajouterai à "la stigmatisation par citations interposées est plutôt douteuse" : de même par chansons interposées 

@bibimet75 

Vous ne pouvez pas vous empêchez de "souffler sur les braises" . . 

Favoriser les échanges et débats ne serait il pas plus enrichissant intellectuellement et humainement ?

@furete Vous avez bien raison, tous ces lavages de linges sales n'a pas sa place sur carenity, c'est tout simplement disgracieux.

Bonne journée 

@chatdoc  Vous dénoncez certaines pratiques... que j'ai complétées, et ça ne vous plaît pas !?

@chatdoc 

Bonjour,

Et à qui la faute si on ne peut pas avoir d'échange, à ceux qui veulent suivre la ligne du parti, avec le doigt sur la couture du pantalon.

Quel est mon crime, donner une version autre que celle des journalistes qui ne savent que faire la propagande du parti, moi quand je mets un lien de vidéo, c'est pour permettre de penser et de voir autrement.

C'est sur que penser c'est commencer à désobéir, et de plus en plus de monde ne tient pas à penser, il préfère que l'état prenne des décisions à leur place, ceci qu'elle soit bonne ou mauvaise !

https://fb.watch/v/48cHvrYmG/

Ce lien est plus simple à comprendre, enfin peut-être.

Source indirecte .......... et tout est dit !!!!!!!!!! 

Quelques précisions sur la vaccination   :      pour tous ...... les pour / les  contre / les  indécis /

Il n'a jamais été dit  que  la vaccination protégeait à 100% (  exactement comme le vaccin anti-grippal  qui n'empêche pas à 100%  d'attraper la grippe  en période d'épidémie)

Et si je joins  qqs extraits d'un  article, ce n'est pas pour polémiquer mais pour montrer  que le factuel n'a de sens que lorsqu'il est  compris  et les  chiffres ou pourcentages , bien interprétés.

Desinfox
" Non, "40% d'infections chez des vaccinés" ne signifie pas que le vaccin est inefficace
Selon les derniers chiffres d'infection au variant delta en Israël ou au Royaume-Uni, plus de 40% des personnes contaminées étaient... vaccinées. Un chiffre qui montre plus la montée en puissance de la vaccination et la contagiosité du variant delta que l'inefficacité du vaccin.

Eclairage :

Les publications se multiplient sur les réseaux sociaux : "Cinquante vaccinés parmi les 117 morts du variant delta au Royaume-Uni", "40% de vaccinés parmi les nouvelles infections en Israël"... et sur la base de ces constats, toujours la même affirmation : les vaccins contre le Covid-19 seraient donc "inefficaces".

 Derrière des chiffres bien réels, une interprétation fausse : mathématiquement, ces chiffres sont tout à fait logiques, surtout dans deux pays massivement vaccinés.

 Des vaccins efficaces à "seulement" 90%   avec en  +  un  petit échappement immunitaire ( à ne pas négliger) dû à ce variant Delta
C'est le premier point : les meilleurs vaccins protègent à 95%, les moins bons à 80%. Ils ont surtout été conçus pour éviter les formes graves de la maladie. Lorsqu'on évoque leur efficacité, c'est sur ce terrain-là - même s'ils se sont montrés efficaces pour, aussi, freiner les transmissions.

Autrement dit, un petit pourcentage des vaccinés sera toujours infecté par le virus. 

 Un effet d'optique mathématique
40% de vaccinés parmi les nouveaux cas, c'est beaucoup? En fait cette présentation relève d'une présentation exacte, mais un peu malhonnête des chiffres.

Pour s'en convaincre, il suffit de prendre un cas extrême : dans un pays vacciné à 100%, l'apparition d'un seul cas permettrait de dire "100% des infections ont frappé une personne vaccinée".

Or, les exemples dont il s'agit concernent Israël et le Royaume-Uni, parmi les pays les plus vaccinés au monde. A mesure que la vaccination progresse, il est tout à fait logique qu'une plus grande part des cas concerne des personnes vaccinées.

En revanche, le nombre de cas global diminue à mesure que plus de personnes sont vaccinées. "

Même les reprises épidémiques observées depuis l'apparition du variant delta (et la levée des restrictions sanitaires) débouchent beaucoup moins souvent sur des hospitalisations, voire des décès.

 Parmi les malades, la proportion de vaccinés infectés va augmenter à mesure que la campagne vaccinale avance. C'est logique et attendu, et n'enlève rien à l'efficacité de la vaccination. "

@keke le lyon 

Si les propos peuvent être exacts, leur interprétation peut être erronée. Pour ce dernier point, il faut faire appel aux statistiques.

https://www.leprogres.fr/sante/2021/07/01/non-40-d-infections-chez-des-vaccines-ne-signifie-pas-que-le-vaccin-est-inefficace

Penser toujours dans le même sens est une autre forme de non - penser, Suivre la ligne du parti peut être évidemment critiquable mais refuser tout ce qu'il dit ou fait peut l'être tout autant.

Le but d'une discussion sur une liste est de fournir des arguments différents pour que ceux qui la suivent puissent se faire leur propre opinion.

"Imaginez un vaccin tellement sûr que vous devez être menacé pour le prendre,
contre une maladie si mortelle que vous devez être testé pour savoir si vous l'avez"

https://www.youtube.com/watch?v=XYr0fXLE2Vk

Je ne suis ni pro, ni anti-vaccin. Cette précision utile étant faite :
Cahuzac, le TCE, le Brexit, Benalla, les armes de destruction massive, Kadhafi et Sarkozy, les réformes sociales, économiques, territoriales etc ...
Sur tous ces sujets et bien d'autres, les sphères politiques et médiatiques ont trop souvent joué avec l'opinion publique.
Aujourd'hui l'opinion publique est méfiante envers la voix de ses élites. Et honnêtement elle a raison d'être critique, c'est une réaction des plus saines.
Alors oui, parfois, cette défiance est sûrement dans l'erreur quand médias et politiques soulignent l'importance de la vaccination, peut-être vaudrait-il mieux ne pas s'y opposer par principe. Mais comment en vouloir à des citoyens maintes fois trompés par leurs dirigeants et leurs portes-paroles médiatiques ? Pour le coup les incitations gouvernementales et médiatiques sont contre-productives tant ces acteurs sont totalement discrédités.
Et encore une fois, la presse (qui n'est plus achetée) et les politiques (qui ne sont plus élus) sont incapables de se remettre en question. Une fois encore ils préfèreront traiter avec arrogance les citoyens de "gaulois réfractaires", de "fachos", "d'irresponsables", "de beaufs" ...
Alors avant de condamner les hésitants à la vaccination (je ne parle pas des antivax qui pensent qu'on a éradiqué la tuberculose avec des tisanes au romarin et des régimes à base de poudre de jonquilles cueillies à la pleine lune), qui s'est interrogé sur cette défiance envers les autorités morales ? Qui a osé poser la question des causes de ce déficit de crédit de la parole publique ?
Au lieu de perpétuellement se lamenter des conséquence en méprisant des citoyens qui ont toutes les raisons d'être méfiants, quand demandera-t-on des comptes à ceux qui ont sciemment joué avec la précieuse et fragile confiance entre des citoyens et ses élites ?
Les véritables irresponsables ne sont pas ceux qui hésitent à se faire vacciner parce qu'ils se méfient des propos médiatico-politiques. Non les véritables irresponsables, et que l'on ne condamne pourtant pas en ces jours hystériques, ce sont toutes ces élites qui ont joué avec la confiance démocratique de ce pays.
Mais comme pour l'abstention, il est toujours plus facile de condamner moralement ceux que l'on a trompé de ne plus nous faire confiance, plutôt que de faire son mea culpa.