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Patients Prostatite
Une prostatite chronique depuis janvier 2015
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Fatigué72
Fatigué72
Dernière activité le 28/10/2023 à 09:57
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@Nikolaï bonjour nikolai
La perte des cheveux ca na rien avoir avec la prostate, il ce peut que tu as fait une carence en vitamine D3, ou le degré de stresse très élevé
Tu fais un test sanguin pour le savoir ,
J'espère que c'est rien du tout
Tiens nous au courant
tawan77
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tawan77
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salut a tous,
une bonne année 2021, et surtout une bonne santé (tant que faire se peut).
je vous fait un premier retour à distance de mon opération. Pour rappel j ai finit par m'orienter vers une chirurgie de résection de prostate et du col vésical en tant que traitement de prostatites récidivante.
Le chirurgien a donc réséqué la partie centrale de la prostate et agrandit le col de la vessie. J'ai eu un traitement antibio suite à une infection liée au cathéter (pas de chance, ca arrive environ à 10% des patients). Celui ci s'est terminé le 15 décembre.
Depuis j'ai beaucoup moins de douleurs (presque plus en fait) et je n'ai pas eu de nouvelle infections pour le moment.
C'est encore très récent bien sur, mais je constate que je souffre moins car je ne prend plus d'anti douleurs.
La résection prostatique est une solution peu proposée aux patients et ne convient que dans certains cas mais je pense que le traitement par la chirurgie des prostatites devrait etre plus souvent mis en avant. On lis peu de choses à ce sujet en France.
Voila, bonne soirée a vous
Scarasm
Scarasm
Dernière activité le 12/02/2021 à 09:51
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Bonjour à tous.
Bonne année 2021 et bonne santé également !
J'ai 27ans et je vous rejoint après avoir lu tous les messages du topic. Lire vos messages me remonte le moral car maladie très difficile et on se sent seul et incompris! Je suis également atteint d'une prostatite chronique depuis 2 ans. Chez moi la prostatite à été déclenchée par une IST (Chlamydia). J'ai été traité par antio pour l'IST et depuis elle n'es plus visible par ECBU. Les symptômes ont disparut lentement avec le traitement mais sont revenus très rapidement. Depuis 2 ans j'alterne donc des crises et période de calme. J'ai la chance d'avoir des symptômes plus léger que la plupart d'entre vous. J'ai uniquement pendant mes crises une sensation de gène/brulure au niveau du méat urinaire + miction fréquente >10/j surtout la nuit. Le tramadol m'aide bien niveau douleur je vais essayer un traitement naturel + massage prostatique. Mon urologue à l'air catégorique sur le traitement massage + antibio => peu ou pas efficace. Mais au grand désespoir et après les témoignages de certain je vais tenter.
Voilà A bientôt !
Prostatite51
Prostatite51
Dernière activité le 30/11/2023 à 22:44
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bonjour la communauté
Déjà courage et force à tous. C est vrai que sa pas facile à vivre surtout psychologiquement pour tous nos divers symptômes.
Une question. Est ce qu il y en a qui en développer une mycose intestinal ou autre ( du au candida albicans) suite à de nombreuses prise d'antibiotiques ? Pour ma part c est le cas et c est horrible aussi a vivre cumuler au probleme genital.
Preniez vous des probiotiques avec les antibiotique ?
Si vous pouvez me partager votre expérience svp
Scarasm
Scarasm
Dernière activité le 12/02/2021 à 09:51
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@Prostatite51 j'ai eu une mycose également mais je ne pense pas que ce soit les antibios pour ma part. Ma compagbe a eu la même chose au même moment. Traité avec un antifongique en 3 jours.
Prostatite51
Prostatite51
Dernière activité le 30/11/2023 à 22:44
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Merci @Scarasm pour ta réponse.
La je suis sur une piste en lisant bcp de témoignages que la prise a répétions d antibiotique entraine un déséquilibre intestinal .un champignon le candida albican se développe et peut se propagé partout. Du coups sa peut donné une cystite fongique qui est dur a diagnostiqué car se ne sont pas des bactéries mais le candida albican qui provoque les même symptômes qu une prostatique.
Personne d autre à ete confronter a se candida albican?
tawan77
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tawan77
Dernière activité le 28/09/2024 à 11:35
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@Prostatite51 Salut l'ami,
cela est simple à vérifier. un ECBU peut tres bien constater la présence de champignons. Ils "cultivent" ce qui est présent dans l'urine et font apres une analyse microscopique.
Pour ceux que ca intéressent la présence de micro bacteries est aussi une piste évoquée par certains chercheurs. Des bacteries plus petite, encapsulées dans un biofilm et qui demandent une culture plus longue.
C'est pourquoi on recommande de faire des cultures plus poussées au labo DROUOT a paris ou lab FOURNIER. (spermogramme ou test stamey)
Bonne journée a tous
Fatigué72
Fatigué72
Dernière activité le 28/10/2023 à 09:57
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@Prostatite51 bonjour
Ca c'est intéressant, ça fait deux ans que je présente les mêmes symptômes et je crois que les médecins ont accusé la prostate a tort,
Moi par contre j'ai des inflammations au même endroit, ça veut dire derrière les testicules et l'urètre, ça commence à fourmiller et puis la gêne s'intensifie, et la je commence une autre cure d'anti-inflammatoires pour 5 jours pour que ça se calme pour une semaine, et rebelote
La je ne comprend rien et les médecins me disent toujours que j'ai une prostatite chronique
Salutations
Fatigué72
Fatigué72
Dernière activité le 28/10/2023 à 09:57
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@Nikolaï salut
Ont a exactement les mêmes symptômes qui part et qui revient , le seul traitement que mon uro me prescrit a chaque fois . Les alpha bloquants et les anti-inflammatoires
Dès que la gêne s'intensifie je fais une cure de 5 jours, et de préférence en intramusculaires, sinon c'est des supos et comprimés
J'ai déjà consulté un autre urologue en parallèle il m'a diagnostiqué une uretrite, et avec un traitement d'antibiotique pour 4 semaines ça n'a rien donné donc c'est pas ça.
Je vais faire une IRM de l'appareil urinaire dans les jours à venir pour voir ce j'ai dans l'urètre
Je te tiendrai au courant
Bon courage
Prostatite51
Prostatite51
Dernière activité le 30/11/2023 à 22:44
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@Fatigué72
J ai les même simptome derrière les testicule qui remonte jusqu'au penis. Quelques fois jusqu'à l anus.
J'en suis sur qu il faut s orienter vers une piste de candidose du au candidat albican.
Mon sperme n est jamais blanc en plus. Sois transparent soit sa tire ds le jaune
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Philippelo
Bonjour,
Je voulais à mon tour témoigner d’une guérison.
J’ai souffert d’une prostatite chronique pendant environ 10 ans, arrivée comme ça, sans événement particulier. 10 ans d’envies impérieuses, de gouttes retardataires, de stress, de déprime mais aussi de recherche… et puis ça va mieux.
J’ai lu et tenté comme tout le monde plein de recettes et méthodes … et je voulais faire part de celle qui a marché pour moi.
J’ai raisonné par pourcentage en me disant : qu'est-ce qui joue, en % sur la pénibilité de cette maladie ?
J’ai d’abord essayé d’en saisir les déclencheurs. J’avais lu que le stress, l’alcool, les exitants (caféine, théine), l’alimentation épicée étaient des amplificateurs de symptôme, sans vraiment y croire …
Avec le recul, je vois les choses comme ça (et c’est une perception totalement personnelle)
Stress (40%)
Oui, je l'ai longtemps nié mais l’aspect psychologique est très fort : il faut agir, d’une manière ou d’une autre sur le stress. La maladie se nourrit elle-même du stress qu’elle génère (t’es sûr que t’as pas envie de pisser, là ? sûr ?) … D’ailleurs rien que d’en parler … (!)
J’ai réalisé que je n’étais pas forcément conscient du stress que je subissais (ou me créais) : environnement professionnel, familial, fatigue, et maladie elle-même etc … Bizarrement ça diminuait beaucoup pendant les vacances.
J’ai appris, avec le temps, à lâcher prise d’une manière générale et les symptômes ont bien diminué … Un détail : je suis passé du caleçon au boxer, ça évite le stress de la dernière goutte ... j'ai mes petits rituels, je me nettoie soigneusement le gland avant de dormir notamment (et ça marche bien !)
M'écoutant sur cette maladie, ma femme lui a donné un nom ridicule qui l’a un peu remise à sa place (la prostatite, hein) : “la pissotte”.
Alcool (20%)
oui, des effets, sans aucun doute. Les lendemains de fête les symptômes étaient/sont plus forts, certains alcools particulièrement impactants (champagne, rhum blanc, whisky), d’autres presque bénéfiques (la bière notamment, avec un effet de purge, ou du moins l’ai-je vécu comme ça). Bon après, l’alcool, ça relaxe, donc effet sur le stress, bien sûr … mais attention les effets secondaires si trop grande quantité !
Je me suis fixé quelques règles : pas d’alcool avant le jeudi, par exemple … pas (trop) d’excès…
Alimentation (10%)
Je n’ai pas noté de vrai gros déclencheur. J’ai changé quelques habitudes : passé du thé au café puis à la chicorée mais sans me prendre la tête et en revenant à l’un ou l’autre de temps en temps … J’évite autant que possible le piment fort (ça c’est assez radical, en revanche).
Inconnu (10%)
Et puis parfois : une crise. Aucun signe vraiment annonciateur. Dans les salles de spectacle, notamment, comme si je me projetais sur scène alors que je suis dans le public ! Un peu de pression et ça recommence. J’en ai pris mon parti. Je n’angoisse plus : je sais que ça repartira tout seul.
Mécanique musculaire (20%) - j'ai pas trouvé plus parlant ...
j’ai essayé pas mal de médications mais rien n’a fonctionné. En revanche je m’astreins à faire du gainage, principalement assis sur une chaise : monter les genoux puis étendre les jambes à l’équerre : c’est quasi miraculeux ! La planche aussi, etc.
Tout ce qui permet de retenir les viscères pour éviter que “ça appuie” sur la zone sensible. D'ailleurs quand c’est trop fort je saisis les viscères à travers la peau du ventre et essaie de les remonter. Ça peut bien soulager … Parfois aussi, le travail digestif peut aider. Une gène ? je machouille un bout de pain ou autre et souvent, ça passe …
Bref, aujourd’hui, je m’estime quasi-guéri. Je sais que ça peut revenir mais aussi que ça peut disparaitre. Il n’y a pas eu de grande révolution, j’ai juste constaté un jour que je n’avais plus eu de vraie crise depuis longtemps et qu’il fallait peut-être que je partage ça avec ceux qui galèrent comme j’ai pu galérer …
Voilà : et donc surtout, relaaax !
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Philippelo
Bonjour,
Je voulais à mon tour témoigner d’une guérison.
J’ai souffert d’une prostatite chronique pendant environ 10 ans, arrivée comme ça, sans événement particulier. 10 ans d’envies impérieuses, de gouttes retardataires, de stress, de déprime mais aussi de recherche… et puis ça va mieux.
J’ai lu et tenté comme tout le monde plein de recettes et méthodes … et je voulais faire part de celle qui a marché pour moi.
J’ai raisonné par pourcentage en me disant : qu'est-ce qui joue, en % sur la pénibilité de cette maladie ?
J’ai d’abord essayé d’en saisir les déclencheurs. J’avais lu que le stress, l’alcool, les exitants (caféine, théine), l’alimentation épicée étaient des amplificateurs de symptôme, sans vraiment y croire …
Avec le recul, je vois les choses comme ça (et c’est une perception totalement personnelle)
Stress (40%)
Oui, je l'ai longtemps nié mais l’aspect psychologique est très fort : il faut agir, d’une manière ou d’une autre sur le stress. La maladie se nourrit elle-même du stress qu’elle génère (t’es sûr que t’as pas envie de pisser, là ? sûr ?) … D’ailleurs rien que d’en parler … (!)
J’ai réalisé que je n’étais pas forcément conscient du stress que je subissais (ou me créais) : environnement professionnel, familial, fatigue, et maladie elle-même etc … Bizarrement ça diminuait beaucoup pendant les vacances.
J’ai appris, avec le temps, à lâcher prise d’une manière générale et les symptômes ont bien diminué … Un détail : je suis passé du caleçon au boxer, ça évite le stress de la dernière goutte ... j'ai mes petits rituels, je me nettoie soigneusement le gland avant de dormir notamment (et ça marche bien !)
M'écoutant sur cette maladie, ma femme lui a donné un nom ridicule qui l’a un peu remise à sa place (la prostatite, hein) : “la pissotte”.
Alcool (20%)
oui, des effets, sans aucun doute. Les lendemains de fête les symptômes étaient/sont plus forts, certains alcools particulièrement impactants (champagne, rhum blanc, whisky), d’autres presque bénéfiques (la bière notamment, avec un effet de purge, ou du moins l’ai-je vécu comme ça). Bon après, l’alcool, ça relaxe, donc effet sur le stress, bien sûr … mais attention les effets secondaires si trop grande quantité !
Je me suis fixé quelques règles : pas d’alcool avant le jeudi, par exemple … pas (trop) d’excès…
Alimentation (10%)
Je n’ai pas noté de vrai gros déclencheur. J’ai changé quelques habitudes : passé du thé au café puis à la chicorée mais sans me prendre la tête et en revenant à l’un ou l’autre de temps en temps … J’évite autant que possible le piment fort (ça c’est assez radical, en revanche).
Inconnu (10%)
Et puis parfois : une crise. Aucun signe vraiment annonciateur. Dans les salles de spectacle, notamment, comme si je me projetais sur scène alors que je suis dans le public ! Un peu de pression et ça recommence. J’en ai pris mon parti. Je n’angoisse plus : je sais que ça repartira tout seul.
Mécanique musculaire (20%) - j'ai pas trouvé plus parlant ...
j’ai essayé pas mal de médications mais rien n’a fonctionné. En revanche je m’astreins à faire du gainage, principalement assis sur une chaise : monter les genoux puis étendre les jambes à l’équerre : c’est quasi miraculeux ! La planche aussi, etc.
Tout ce qui permet de retenir les viscères pour éviter que “ça appuie” sur la zone sensible. D'ailleurs quand c’est trop fort je saisis les viscères à travers la peau du ventre et essaie de les remonter. Ça peut bien soulager … Parfois aussi, le travail digestif peut aider. Une gène ? je machouille un bout de pain ou autre et souvent, ça passe …
Bref, aujourd’hui, je m’estime quasi-guéri. Je sais que ça peut revenir mais aussi que ça peut disparaitre. Il n’y a pas eu de grande révolution, j’ai juste constaté un jour que je n’avais plus eu de vraie crise depuis longtemps et qu’il fallait peut-être que je partage ça avec ceux qui galèrent comme j’ai pu galérer …
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miguel1975
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Dernière activité le 06/05/2023 à 10:29
Inscrit en 2015
1 commentaire posté | 1 dans le forum Prostatite
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Ami
Miguel, 40 ans, Nantes avec une prostatite chronique depuis début 2015
Bonjour,
Tout d’abord merci d’avoir créé un blog pour cette maladie méconnue !
Pour ma part j’ai subi en début d’année une résection du col vésical (clapet à la sortie de la vessie) qui était trop rigide et déclenchait chez moi entre 10 à 15 mictions par jour.
Cette opération a eu lieu le 12 janvier 2015 et ensuite j’ai été sous traitement anti-inflammatoire pendant 1 mois et tout se passait bien, à l’arrêt de mon traitement j’ai constaté quelques jours après des brulures lorsque j’urinais et des douleurs dans les bourses et c’était le début de la galère !
J’ai été hospitalisé dans un 1er temps pour une prostatite aigue au mois de mars 2015 pendant 7 jours ou j’ai subi un traitement antibiotiques et antidouleurs ensuite retour à la maison avec un traitement de 2 mois sous antidouleurs et anti-inflammatoires par voie orale.
Pendant cette période la douleur a toujours été présente mais supportable, le gros inconvénient est une baisse de la libido et pendant les crises aigu et une éjaculation rétrograde.
Au mois de mai de retour une grise violente avec des douleurs pelviennes insupportable (j’avais stoppé mon traitement), je rappelle la clinique et je suis de nouveau hospitalisé et recommence un traitement par voie intraveineuse d’antibiotiques et d’antidouleurs pendant 5 jours. A ma sortie un traitement par voie oral m’attendait avec du Tramadol pour la gestion de la douleur, l’antibiotique Cefixine (Oroken) pour traiter le germe et du Seroplex soit disant pour « chinter » l’information à mon cerveau que j’ai mal et eux pendant une durée de 6 mois!
Ce dernier étant un antidépresseur je pense que mon Urologue n’a pas eu le courage de me dire qu’il souhaitait traité une éventuelle baisse de morale !
Pendant ce traitement les douleurs au niveau de la vessie et des bourses ne me quitte guère même si elles sont peu douloureuses !
Aujourd’hui je suis de nouveau à la clinique, encore une crise !
Rebelote je suis de nouveau sous traitement antibiotiques et antidouleurs, 4 jours d’hospitalisation (Septembre 2015) car le traitement est par voie intraveineuse !
On va me poser un cathéter veineux par voie centrale avec une pompe afin de pouvoir me traiter sous antibiotique « Tienam » pendant un mois et bien entendu je continu mon traitement par voie oral d’antidouleur « Tramadol ».
D’autre part j’ai pris RDV dans un centre antidouleurs à Nantes (4 mois d’attente), j’ai RDV le 21 octobre 2015, j’espère qu’ils auront un traitement efficace à me proposer !
Cette maladie est compliqué car mal connu par mon entourage et cela ne se voit pas alors si physiquement je présente bien pour eux tout va bien !
C’est pourtant pas le cas, je suis fatigué et depuis le début de mon traitement en Mars il m’est difficile de tenir éveiller des longues journées et il faut que je tienne car je suis Cadre dans l’industrie et mes clients commence à dire « Il est encore en arrêt ».
Et oui même si je fais tout pour limiter mes absences au travail j’ai été obligé de stopper mon activité pendant mes hospitalisations et 3 semaines après l’hospitalisation du mois de mars car j’étais très fatigué !
Mon patron est compréhensible mais va-t-il accepter cette situation pendant plusieurs mois ou plusieurs années je le crains !
Moi je ne tiendrais pas pendant plusieurs années, je veux retrouver ma vie d’avant avec une libido épanoui, un bon moral et surtout plus de douleurs !
Si des personnes vivent ou ont vécu la même situation je serais heureux de partager un moment d’échange avec eux.
Miguel