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La recherche sur la fibromyalgie et tout autre sujet scientifique en 2013-2014
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Utilisateur désinscrit
Chris, inutile de mettre ton post avec ton lien dans tous les sujets. On l'a bien vu ! Merci
Utilisateur désinscrit
Bonjour,
Je souhaitais vous faire partager cette information sur ce syndrome , 42% des fibromyalgiques seraient mal diagnostiqués et seraient plutôt atteints du SED .
Les douleurs dans le syndrome d’Ehlers-Danlos
Elles représentent l’un des symptômes les plus fréquents (89,7%) et handicapants avec la fatigue (89,4%). Elles sont diffuses intéressant toutes les parties d’un corps qui est souvent perçu et repéré par le truchement de la douleur Cette diffusion faisant d’emblée le départ avec d’autres syndromes algiques importants et parfois très handicapants mais localisés, tels que le mal de dos ordinaire. Elles siègent principalement autour des articulations périphériques épaules, poignets et doigts, coudes, hanches, genoux, chevilles et pieds mais aussi au niveau du cou, du dos (incluant le bassin). La peau, elle-même, est souvent hyperalgique, supportant difficilement le contact et réagissant de façon excessive ainsi que le système ostéo-articulaire à des traumatismes direct ou indirect.
Elle peut prédominer sur les tendons réalisant d’authentiques tableaux de tendinites résistant souvent aux traitements locaux par infiltrations. Les douleurs sont aussi liées à l’hypermobilité, chaque subluxation étant perçue comme particulièrement douloureuse et de façon durable. Elles n’épargnent pas les muscles et peuvent prendre l’aspect de crampes particulièrement pénibles, surtout nocturnes, parfois associées à des secousses musculaires douloureuses incontrôlables allant jusqu’à réaliser des tableaux de « jambes sans repos » (« rest legs syndrome »). Certaines « crises musculaires » sont impressionnantes, survenant par périodes s’étalant parfois sur plusieurs jours, associées à des états de grandes limitations fonctionnelles très handicapantes. Elles peuvent intéresser les extrémités des membres associées à des troubles vasomoteurs avec une sensation pénible de d’extrémités glacées. Ailleurs ce sont des fourmillements diffus, des brûlures ou des décharges électriques, reproduisant, pratiquement toute la gamme des descriptions des centres anti-douleurs, ce qui rend difficile l’orientation thérapeutique selon les protocoles habituellement pratiqués dans ces lieux de soins.
Ailleurs, c’est le maintien d’une activité continue et prolongée (écriture, utilisation de l’ordinateur...) qui engendre la douleur. Dans tous ces cas une caractéristique est la « rémanence » de la douleur qui persiste longtemps après le facteur causal (plusieurs jours parfois). C’est dire que la kinésithérapie en isotonique est globalement contrindiquée sauf en piscine. Nous avons également observé le déclanchement des premières manifestations douloureuses ou l’aggravation importante et durable du syndrome douloureux après un accident de voie publique. Ceci pose un problème médico-légal de réparation du dommage à la personne (ou « corporel »). Les souffrances endurées, dans ce cas, doivent être surévaluées et l’aggravation globale du syndrome appréciée. La connaissance de ces mécanismes débouche sur une prévention : ne pas poursuivre l’activité au-delà d’un seuil douloureux, mieux encore : immobiliser les articulations concernées (les poignets surtout) au besoin avec une orthèse de repos pendant 5 à 15 minutes, ce qui permet d’éviter la prolongation des douleurs et même permet la reprise des activités. « L’impatience douloureuse » est l’impossibilité de rester dans la même position et la nécessité de bouger sur sa chaise par exemple ou même de s’y asseoir en adoptant des postures antalgiques plus inspirées du Yoga que de la « bonne tenue » que l’on exige habituellement des élèves. Ceci est du, peut-être, à la souplesse des tissus qui protègent mal de la dureté de l’appui sur les surfaces osseuses (ici les ischions). Les enseignants doivent être informés pour ne pas accuser les enfants concernés d’être turbulents. L’usage d’un coussin du type anti-escarre (à mémoire de forme, en particulier) qui répartit les appuis en diminuant la pression à l’unité de surface est souvent très efficace. Il en est de même du matelas ou surmatelas anti-escarre avec cette difficulté d’adaptation qui n’est pas insurmontable pour ceux qui dorment en couple. D’autres douleurs sont à type de crampes musculaires avec ou sans contractures, surtout nocturnes, mal expliquées, le rôle des effets secondaires des médications antalgiques est peut-être en cause ou bien les phénomènes circulatoires veineux ou artériels en lien avec la vasodilatation nocturne physiologique. Les sensations douloureuses sont décrites de façon diversifiée le terme de brûlures, de décharges électriques, de fourmillements, d’écrasement revient volontiers mais très souvent elles sont difficiles à caractériser par les mots ayant une tonalité « étrange » comme un bon nombre de symptômes de ce syndrome. Elles conduisent souvent à prendre des positions extravagantes d’étirement et d’amplitudes extrêmes des membres ou du dos dans un but antalgique. Parfois, elles s’associent à des sensations de déformation du corps, de gonflement des mains (qui peuvent, d’ailleurs, augmenter réellement de volume), par exemple.
Elles sont variables influencées négativement par le froid (il existe d’ailleurs souvent une frilosité parfois très importante) et positivement par la chaleur. Le fait de se déplacer dans un pays chaud (Antilles, Turquie en été, Maroc) a pu entraîner la disparition des douleurs comme nous l’avons observé avec plusieurs de nos patients. A l’inverse, nous suivons des Antillaises qui souffrent beaucoup dans leur pays et certaines personnes ne tolèrent pas la chaleur excessive. Elles diminuent dans l’eau si elle n’est pas froide et nous avons observé que cette diminution par des séries de balnéothérapie pendant plusieurs semaines entrainait une amélioration pendant plusieurs mois. Ceci montre l’intérêt d’une kinébalnéothérapie régulière ou par périodes éventuellement dans le cadre du thermalisme ou de la thalassothérapie. D’autant plus que les massages, les douches sous-marines, les bains de boue, d’algues et autres stimulations cutanées, si elles n’entraînent pas une accentuation des douleurs ont des effets antalgiques probablement en favorisant la production des endorphines et par effet de blocage des influx douloureux par des influx tactiles ou thermiques. La pratique quotidienne (15 à 30 minutes le matin) d’un bain chaud tel que nous le conseillions, autrefois avec Jean Demos pour les personnes avec une dystrophie musculaire nous semblent avoir une place ici. Les douleurs disparaissent très souvent pendant les grossesses ce qui est en faveur du facteur hormonal dans les manifestations du syndrome.
Elles sont souvent rebelles aux thérapeutiques antidouleurs habituelles (antalgiques, antiépileptiques, antidépresseurs) dont l’efficacité s’épuise vite. Les effets secondaires et l’addiction que nous avons pu observer chez certaines personnes ayant des effets handicapants qui neutralisent les effets positifs attendus. Les gels locaux (sous forme de pansements surtout) ont ici une efficacité réelle pour les douleurs d’insertion musculo-tendineuses ou ligamentaires superficielles probablement parce que les tissus permettent une meilleure absorption du produit à travers la peau. Les anti-inflammatoires sont à utiliser avec prudence du fait des altérations du tube digestif et du risque hémorragique à ce niveau. Les décontracturant, volontiers proposés par les centres antidouleur, ne nous semblent pas non plus indiqués chez ces personnes aux muscles trop souples et fatigables.
Elles résistent volontiers aux anesthésiques locaux, ceci est apparent lors des soins dentaires, durant lesquels, le praticien doit s’y reprendre à deux fois et pas toujours avec succès. Les infiltrations locales à la cortisone associées à un anesthésique local n’ont pas toujours sur les lésions ligamentaires ou tendineuses, l’effet très bénéfique que l’on obtient avec d’autres patients. Les réactions à l’injection sont parfois extrêmement douloureuses, bien au-delà de ce que l’on observe habituellement en dehors du syndrome. L’utilisation récente d’emplâtres médicamenteux de lidocaïne (Versatis 5%), appliqués 12 heures par 24 heures sur le régions douloureuses avec un intervalle libre de 12 heures semble encourageant. Il en est de même du lévocarnil (L. Carnitine) buvable 2 à 3 flacons répartis sur la journée), avec, aussi, un objectif de lutte contre la fatigue.
Elles sont sensibles aux traitements de Médecine Physique (massages, balnéothérapie, thermothérapie, étirements..). Parmi ces traitements figurent les stimulations électriques transcutanées (TENS). Il s’agit de procurer une sensation cutanée dans le territoire de la douleur par un courant de faible intensité répété 80 à 100 fois par seconde au moyen de deux jeux d’électrodes autocollantes, ce qui permet de stimuler plus largement la zone douloureuse. Il peut être laissé en place sans limitation de temps. On obtient, très souvent, un soulagement de la douleur qui cesse malheureusement à l’arrêt de la stimulation. Le courant est produit par un boitier rechargeable de petite taille qu’il est possible de placer dans un vêtement. Pour des questions, probablement de conductivité particulière de la peau dans le syndrome d’Ehlers-Danlos, l’effet est nettement plus important que chez d’autres patients. C’est d’ailleurs un élément de valeur diagnostic en faveur du syndrome du fait du contraste entrez son efficacité et l’échec des antalgiques puissants.
Vous communiquerai le lien ,ultérieurement .
Utilisateur désinscrit
Je découvre aujourd'hui ce sujet alimenté, semble-t-il, par les avancées de la recherche médicale. Très intéressant !
NADINE81
Bon conseiller
NADINE81
Dernière activité le 11/10/2020 à 08:55
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Je trouve se sujet intéressant le relirais ultérieurement.nadine
Utilisateur désinscrit
bonsoir, merci d'avoir fait remonter ce sujet !
tous les copiés-collés sont bien entendu accéptés et pratiquement obligatoires !.
à vos découvertes...sur tous les sujets qui nous concernent !
merci à vous !!
Utilisateur désinscrit
Ici, je découvre sans arrêt de nouvelles maladies dont j'ignorais l'existence. Pourtant, avant que ne tombe enfin le diagnostic de la maladie de Basedow j'en ai fait des recherches !!!
Utilisateur désinscrit
ce jour, puisque les" vacanciers" reviennent...
Des scientifiques ont découvert un champignon mortel qui pourrait tuer les larves des moustiques, une avancée qui pourrait éradiquer l'avancée mortelle du chikungunya et de la dengue.
Grâce à une étude menée par des scientifiques argentins de l'Université nationale de La Plata, près de Buenos Aires, un « insecticide biologique » a été découvert pour lutter contre la dengue et le chikungunya.
En effet, les travaux de ces 10 chercheurs argentins ont révélé que, ledit champignon (Leptolegnia chapmanii) « peut se développer dans différents milieux, dans des eaux pures ou souillées, quelle que soit la température ». Il serait donc mortel « pour les larves de quinze types de moustiques, y compris, ceux qui propagent le virus de la dengue et du chikungunya. »
Partant de là, ils réfléchissent à l'élaboration d'une pastille ou d'un liquide pouvant « être introduit dans l'eau pour que le champignon s'y développe et élimine les larves ». De ce fait, en contrôlant la propagation des virus, ce champignon représente une véritable arme contre les moustiques tigres.
Rappelons que pour l'heure, il n'existe aucun vaccin homologué contre ces maladies qui déciment des populations tropicales et qui, commence à faire des victimes sur des territoires qui semblaient être loin d'être contaminés.
Des scientifiques américains ont également réalisé « un premier essai clinique d'un vaccin contre le chikungunya qui s'est révélé très prometteur ».
Inutile de refaire l'historique et de compter le nombre de morts suite à la propagation de ces virus mais, face à ce fléau de santé publique, cette nouvelle avancée scientifique semble être un grand espoir pour la santé des personnes en danger. Converti "en insecticide biologique à grande échelle", ce champignon est attendu partout et de tous...
GIGI
Bon conseiller
GIGI
Dernière activité le 21/11/2024 à 22:47
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Merci Arnica.
Une belle avancée qui redonne espoir
Utilisateur désinscrit
merci gigi , c'est encourageant de constater que nos nouvelles interressent...
merci à damedepic de remonter des sujets qui avaient leur place... plutôt que des joutes inutiles.(j'assume!)
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GérardC
@MayaneZede
Nous croisons sans le savoir des gens qui souffrent et dont la maladie peut être mortelle. La Fibromyalgie fait souffrir, est invisible, est invalidante, mais, si elle est difficile à vivre, n'est pas mortelle. Dans tous les cas, ce sont des situations injustes.
Et dans tous les cas, les malades doivent être écoutés par le corps médical, pris au sérieux et aidés à vivre le moins mal possible. Le traitement de la douleur est maintenant pris en compte.
Laissez tomber les jugements contre productifs comme quoi la fibromyalgie serait imaginaire : qu'ils prennent votre place pendant une semaine ! Plus simplement : qu'ils lisent ce qu'en dit Carenity ; qu'ils écoute la liste de vos douleurs et mal êtres divers et variés.
Si ce sont des médecins qui disent cela, à défaut de les faire changer de métier, allez en voir d'autres.
"Dans la tête", ce n'est pas totalement faux, si l'on considère qu'à l'origine de la Fibromyalgie il peut y avoir un traumatisme passé inaperçu sur le moment, et réveillé par un autre traumatisme beaucoup plus tard. "Dans la tête", ce peut être en partie là que se trouvent des pistes pour aller mieux, en adaptant sa vie et ses pensées, en essayant d'être positif, constructif, sans rancœur. En étant avec bienveillant avec soi-même.
Ce ne sont que des avis. Prenez soin de vous. Sans colère. Avec confiance.
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GérardC
@MayaneZede
Nous croisons sans le savoir des gens qui souffrent et dont la maladie peut être mortelle. La Fibromyalgie fait souffrir, est invisible, est invalidante, mais, si elle est difficile à vivre, n'est pas mortelle. Dans tous les cas, ce sont des situations injustes.
Et dans tous les cas, les malades doivent être écoutés par le corps médical, pris au sérieux et aidés à vivre le moins mal possible. Le traitement de la douleur est maintenant pris en compte.
Laissez tomber les jugements contre productifs comme quoi la fibromyalgie serait imaginaire : qu'ils prennent votre place pendant une semaine ! Plus simplement : qu'ils lisent ce qu'en dit Carenity ; qu'ils écoute la liste de vos douleurs et mal êtres divers et variés.
Si ce sont des médecins qui disent cela, à défaut de les faire changer de métier, allez en voir d'autres.
"Dans la tête", ce n'est pas totalement faux, si l'on considère qu'à l'origine de la Fibromyalgie il peut y avoir un traumatisme passé inaperçu sur le moment, et réveillé par un autre traumatisme beaucoup plus tard. "Dans la tête", ce peut être en partie là que se trouvent des pistes pour aller mieux, en adaptant sa vie et ses pensées, en essayant d'être positif, constructif, sans rancœur. En étant avec bienveillant avec soi-même.
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Utilisateur désinscrit
UN SUJET POURTENTER DE REGROUPER TOUTES LES INFORMATIONS MEDICALES ACTUELLES
Fibromyalgie : un désordre neuronal en cause.
Les douleurs inexpliquées des personnes souffrant de fibromyalgie s’expliquerait par un décalage entre les systèmes nerveux et sensoriels.
La fibromylagie est une maladie encore bien mystérieuse qui n’a été officiellement reconnue par l’OMS qu’en1992. Elle provoque des douleurs musculaires et articulaires chroniques associées à des troubles du sommeil ainsi qu’à une fatigue chronique. Elle touche principalement les femmes autour de la cinquantaine, sa reconnaissance tardive, surtout en Europe, fait que le nombre de cas recensés est sans doute en deçà de la réalité mais cette pathologie concernerait entre 2 et5% de la population. La difficulté du diagnostic, qui repose essentiellement sur les compétences cliniques du médecin, retarde la prise en charge des patients trop souvent confrontés à la méconnaissance de la maladie même au sein du corps médical.
Outre cet aspect diagnostic, c’est l’origine de la maladie qui suscite bien des polémiques. De nombreuses hypothèses ont été avancées : trouble psychologique, virus, anomalie du système immunitaire….jusqu’à présent aucune n’a résisté très longtemps. Dans un article publié dans la revue Rheumatology, une équipe de scientifiques expose une nouvelle théorie mettant en cause un dysfonctionnement du système nerveux.
Selon eux, c’est un déséquilibre entre les neurones du système nerveux sensoriel et ceux du système moteur qui est à l’origine de la fibromyalgie. Pour appuyer leur hypothèse, ils ont soumis des patients à différents test sensori-moteur. Ils ont réussi à faire apparaître les douleurs en créant, à l’aide de miroirs, un décalage entre le mouvement effectué et celui observé, ce qui confirme qu’un conflit entre les voies sensorielles et motricesestbien à l’origine du syndrome algique. Plus probant encore, les médecins ont soulagé les douleurs présentes dans un bras en induisant le cerveau en erreur : le malade face à un miroir bouge le bras opposé non douloureux mais visuellement pour le cerveau c’est le bras souffrant qui se déplace.
Cette explication s’avère donc prometteuse mais certainement pas suffisante. En effet, si elle permet de comprendre l’existence de douleurs musculaires voire tendineuses ou articulaires en revanche elle n’explique pas les troubles du sommeil ni la fatigue chronique.
Joël ignasse
Sciences et Avenir.com
arnica