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Patients Douleurs chroniques
douleurs articulaires
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Aller au dernier commentaireUtilisateur désinscrit
GIGI ...je les ai portés pendant 4 mois car avec la cortisone et les douleurs
ce n’était pas des jambes que j'avais .;même les poteaux étaient plus petits mdr
mais c'est vrai que c'est très bénéfique ..
je suis maintenant en rééducation en espérant que ça porte ses fruits
j'avoue avoir moins mal au jambes .;et puis comme je ne suis pas raisonnable je n'ai
pas envie de mettre mes bas
je connais pas ton médicament ...le daflon par contre oui j'en ai eu au début pas pour les mêmes choses
mais le prix est vraiment excessif d'ailleurs inadmissible
bon courage a toi aussi
GIGI
Bon conseiller
GIGI
Dernière activité le 23/11/2024 à 09:26
Inscrit en 2011
48 372 commentaires postés | 213 dans le forum Douleurs chroniques
2 897 de ses réponses ont été utiles pour les membres
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Sandrine,
En ce qui concerne les poteaux, il y a plusieurs diamètres ....
Diosmine est un veinotonique au même titre que le Daflon mais beaucoup moins cher !
Bon courage
Utilisateur désinscrit
Compte-tenu de l'absence dramatique de force dans mes mains et dans mes bras je suis dans l'impossibilité d'enfiler des bas de contention donc... je fais attention de n'en avoir pas besoin : je marche beaucoup car c'est plutôt dans le haut du corps que j'ai des problèmes articulaires (liés a priori à une maladie de Basedow) et je mets beaucoup de curcuma, de gingembre, de paprika et toutes ces épices aux effets anti- inflammatoires. Ah oui, j'ai aussi un lit à crémaillère et je surélève légèrement mon lit chaque nuit au niveau des jambes...
Pour mon dos j'ai appris à me retourner en bougeant avant tout mes pieds afin de ne pas le contorsionner et j'ai également appris à faire le gros dos comme un chat en colère tout en pliant mes genoux quand je dois faire un effort (faire mon lit c'est faire un effort oui...). Pour mes poignets et mes mains, quand je dois ouvrir ou fermer tous mes volets en même temps, par exemple, je mets des orthèses, une rigide, l'autre souple. Cela aide à ne pas trop déformer l'articulation durant l'effort donc à moins ressentir de douleur in fine. Nous avons tous nos trucs et palliatifs surtout quand l'organisme réagit mal aux anti-douleurs. Je constate d'ailleurs que nous sommes nombreux dans ce cas.
Utilisateur désinscrit
Damedepic connais tu les aides techniques pour enfiler des bas de contention ? Celles ci te permettrait de moins tirer sur tes bras. Viens me voir en mp si ça t'intéresse
Utilisateur désinscrit
Oui je sais qu'il y a des techniques utiles mais je n'ai pas besoin de tels bas car au niveau circulatoire tout va bien. Mes douleurs articulaires sont au niveau des membres supérieurs...
J'ai oublié de dire aussi que sous la douche, en attendant que l'eau chaude arrive, je profite de l'eau froide pour masser mes jambes.
Entre la douche froide, le lit surélevé aux pieds et la marche active... mon sang circule plutôt bien.
Utilisateur désinscrit
Je te proposais cela car tu as dis que tu "étais dans l'impossibilité d'enfiler tes bas", j'avais donc conclu qu'il te faudrait quelque chose pour t'aider, mais tant pis
ptites35
Bon conseiller
ptites35
Dernière activité le 10/01/2017 à 23:07
Inscrit en 2014
1 182 commentaires postés | 3 dans le forum Douleurs chroniques
1 de ses réponses a été utile pour les membres
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Sandrine :le yoga est bon pour retrouver une certaine souplesse mais ne dois pas être pratiqué dans la douleur !!on fait les mouvements sans forcer et dès que l'on ressent une douleur on arrête et on se relaxe !on reprend les mouvements plus tard ;c'est comme les médocs il faut doser l'effort selon notre corps
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ptites
Utilisateur désinscrit
mocouk, c'est très gentil de m'avoir informée. L'info servira sans doute à d'autres qui lisent tout cela.
Utilisateur désinscrit
sandrine,maintenant,on fait des bas et des chaussettes speciales "ete" qui sont tres belles,couleurs bronzes et qui sont fines!cela peut faire tres joli et on est tres loin de celle que l on conseille surtout l hiver ,qui elles sont beaucoup plus epaisses!moi,jen ai aussi pour l ete et qd j ai mal,je les mets,ca me fait les jambes bronzees leger(moi qui suis blanche comme un cachet d aspirine!!lol!)!
donc a l ocasion,tu peus demander a ton pharmacien,car regulierement,ils sortent de nouveau modeles de plus en plus joils!!
kikoulo
Bon conseiller
kikoulo
Dernière activité le 02/09/2024 à 01:58
Inscrit en 2012
1 056 commentaires postés | 22 dans le forum Douleurs chroniques
32 de ses réponses ont été utiles pour les membres
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Posteur
c'est ce que je porte les chausettes speciales été
etant donne que a gauche je n'ai deja plus de saphène et qu'a droite je devrait la faire enlever je préfère les bas ou chausettes de contention
il faut dire que ce sont les infirmière qui me les mettent en meme temps que le corset
souvent cette faiblesse veineuse est hereditaire!!
a 25 ans je me faisait de la scleroser les veines!! car les grossesses et le travail comme CAthy
; debout toute la journée a pietiner sont des phénomènes agravants
bon courage!!
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YLES56
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Ric.spa
Compte tenu des différents symptômes de la maladie, j’ai essayé de catégoriser les traitements possibles selon les atteintes.
💊 Médicaments sur ordonnance : en cas de poussée, et peu importe la localisation, il existe plusieurs type de médicaments pour soulager la douleur :
- Antalgiques : du type paracétamol ou paracétamol codéiné (selon l’intensité de la crise)
- Anti-inflammatoires + oméprazole : afin de soulager ponctuellement à l’inflammation
- Anti-dépresseurs : certains médicaments comme l’amitriptyline (Laroxyl) sont prescrits pour rendre la douleur « plus supportable » psychologiquement.
Pour tous ces médicaments, il convient de consulter votre rhumatologue et d’adapter le traitement selon votre sensibilité et vos besoins.
🏊🏻♂️ Physiothérapie : le sport est d’importance primordiale pour réduire les douleurs axiales. Encore faut-il choisir prudemment l’activité pour ne pas créer l’effet inverse. A ce stade, je recommande deux sports :
- La natation : deux nages idéales dans ce cas, le crawl et le dos crawlé.
- La kinésithérapie : je vous conseille de consulter un kinésithérapeute du sport qui saura vous construire un programme adapté à vos besoins et à l’état actuel de votre spondylarthrite.
La maladie étant imprévisible, la pratique du sport peut donner lieu à des scénarios très différents : vous pouvez avoir mal durant l’entraînement et ne plus avoir mal après, ne pas avoir mal avant mais avoir mal pendant, avoir mal avant mais ne pas avoir mal pendant etc… Il est donc essentiel d’écouter son corps. Si une légère douleur pendant l’entraînement peut être acceptable, vous devez cependant mettre une limite et cesser votre séance si la douleur est insupportable.
🧴 Crèmes : plusieurs crèmes sans ordonnance peuvent être pertinentes pour remédier aux douleurs, notamment périphériques (genoux, talons etc…) :
- Baume du tigre rouge : naturel et agréable avec son effet chauffant, il a cependant l’inconvénient de tâcher vos vêtements à cause de sa couleur.
- Voltaren Actigo.
🧊 Douches froides : certes peu agréables sur le moment, elles peuvent cependant casser la douleur inflammatoire. Pour maximiser les effets, je vous recommande d’en prendre une par jour pendant 1 mois. Pour qu’elles soient plus supportables, il est préférable de les prendre l’après-midi ou le soir et de privilégier les mois chauds.
💡 Mon conseil ultime : créer une fiche avec chaque douleur répertoriée, et les traitements associés pour y remédier. Cela vous aidera vous, mais également vos proches s’ils doivent vous aider.
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Vivre avec des douleurs chroniques
Incompréhension de l'entourage, se sentir seule face à la douleur
Dadou67
Bonjour à toutes
Il faut souvent du temps pour que les proches acceptent la maladie. Il nous en faut d'ailleurs aussi quand le diagnostic tombe.
Pour ma part j'ai 42 ans et j'ai une polyarthrite rhumatoïde étendue à toutes les articulations et le déclic chez mon mari c'est fait au passage du traitement par injection. Je pense que l'effet seringue me rend plus malade à ses yeux.
La maladie m'a appris à penser plus à moi, à m'occuper de moi et les laisser se débrouiller pour les tâches du quotidien, à profiter de la vie car ma vie de maman m'a relégué au second plan pendant 15 ans.
Je n'attends plus de la compassion, de l'aide de mon mari et mes enfants par contre dès qu'une crise survient je deviens égoïste, je me soigne, me repose et étonnamment tout ce petit monde se réveil et vient prendre soin de moi.
Alors peut être que c'est ça le secret....penser à soi!E n tout cas chez moi ça a marché.
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Ric.spa
Compte tenu des différents symptômes de la maladie, j’ai essayé de catégoriser les traitements possibles selon les atteintes.
💊 Médicaments sur ordonnance : en cas de poussée, et peu importe la localisation, il existe plusieurs type de médicaments pour soulager la douleur :
- Antalgiques : du type paracétamol ou paracétamol codéiné (selon l’intensité de la crise)
- Anti-inflammatoires + oméprazole : afin de soulager ponctuellement à l’inflammation
- Anti-dépresseurs : certains médicaments comme l’amitriptyline (Laroxyl) sont prescrits pour rendre la douleur « plus supportable » psychologiquement.
Pour tous ces médicaments, il convient de consulter votre rhumatologue et d’adapter le traitement selon votre sensibilité et vos besoins.
🏊🏻♂️ Physiothérapie : le sport est d’importance primordiale pour réduire les douleurs axiales. Encore faut-il choisir prudemment l’activité pour ne pas créer l’effet inverse. A ce stade, je recommande deux sports :
- La natation : deux nages idéales dans ce cas, le crawl et le dos crawlé.
- La kinésithérapie : je vous conseille de consulter un kinésithérapeute du sport qui saura vous construire un programme adapté à vos besoins et à l’état actuel de votre spondylarthrite.
La maladie étant imprévisible, la pratique du sport peut donner lieu à des scénarios très différents : vous pouvez avoir mal durant l’entraînement et ne plus avoir mal après, ne pas avoir mal avant mais avoir mal pendant, avoir mal avant mais ne pas avoir mal pendant etc… Il est donc essentiel d’écouter son corps. Si une légère douleur pendant l’entraînement peut être acceptable, vous devez cependant mettre une limite et cesser votre séance si la douleur est insupportable.
🧴 Crèmes : plusieurs crèmes sans ordonnance peuvent être pertinentes pour remédier aux douleurs, notamment périphériques (genoux, talons etc…) :
- Baume du tigre rouge : naturel et agréable avec son effet chauffant, il a cependant l’inconvénient de tâcher vos vêtements à cause de sa couleur.
- Voltaren Actigo.
🧊 Douches froides : certes peu agréables sur le moment, elles peuvent cependant casser la douleur inflammatoire. Pour maximiser les effets, je vous recommande d’en prendre une par jour pendant 1 mois. Pour qu’elles soient plus supportables, il est préférable de les prendre l’après-midi ou le soir et de privilégier les mois chauds.
💡 Mon conseil ultime : créer une fiche avec chaque douleur répertoriée, et les traitements associés pour y remédier. Cela vous aidera vous, mais également vos proches s’ils doivent vous aider.
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Incompréhension de l'entourage, se sentir seule face à la douleur
Dadou67
Bonjour à toutes
Il faut souvent du temps pour que les proches acceptent la maladie. Il nous en faut d'ailleurs aussi quand le diagnostic tombe.
Pour ma part j'ai 42 ans et j'ai une polyarthrite rhumatoïde étendue à toutes les articulations et le déclic chez mon mari c'est fait au passage du traitement par injection. Je pense que l'effet seringue me rend plus malade à ses yeux.
La maladie m'a appris à penser plus à moi, à m'occuper de moi et les laisser se débrouiller pour les tâches du quotidien, à profiter de la vie car ma vie de maman m'a relégué au second plan pendant 15 ans.
Je n'attends plus de la compassion, de l'aide de mon mari et mes enfants par contre dès qu'une crise survient je deviens égoïste, je me soigne, me repose et étonnamment tout ce petit monde se réveil et vient prendre soin de moi.
Alors peut être que c'est ça le secret....penser à soi!E n tout cas chez moi ça a marché.
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Utilisateur désinscrit
bonjour j'ai du essayer plusieurs traitement car je ne répondais pas aux anti inflammatoires et j en suis arrivé aux dérivés morphiniques