- Accueil
- Échanger
- Forum
- Forum Douleurs chroniques
- Traitements de la douleur
- Centres anti-douleurs : 20 millions de Français concernés par les douleurs chroniques
Patients Douleurs chroniques
Centres anti-douleurs : 20 millions de Français concernés par les douleurs chroniques
- 782 vues
- 14 soutiens
- 35 commentaires
Tous les commentaires
Aller au dernier commentaire
stcarpediem51
Bon conseiller
stcarpediem51
Dernière activité le 15/01/2022 à 15:41
Inscrit en 2011
30 commentaires postés | 1 dans le forum Douleurs chroniques
Récompenses
-
Bon conseiller
-
Contributeur
-
Messager
-
Engagé
-
Explorateur
-
Ami
Il semblerait que les centres anti douleurs soit les parents pauvres des CHU. Les crédits ne sont pas reconduits pour des thérapies qui fonctionnent. L'arrêt de l'hypnose au CHU après moins d'un an thérapie car jugée pas assez efficace, et tant pis pour ceux pour qui cela fonctionnait. Les congés maternité ou parentaux des médecins ne sont pas remplacés par manque de médecins algologues : résultats des délais très longs pour avoir un rendez-vous (pour un rdv prévu en octobre, convocation en janvier). On ballade le service d'étages en étages, il est vrai que les douleurs chroniques sont difficiles à doser alors les patients vont finir par se lasser et ne plus venir se plaindre. Lorsqu'un protocole RTms fonctionne on ne fait rien pour le pérenniser à cause de rendez-vous trop éloignés, Résultat on arrive à faire d'un traitement efficace un échec thérapeutique et après on va dire que les patients ne font aucun effort pour aller mieux. Je sais de quoi je parle le premier protocole a perdu son intérêt pour ce motif et le second est en train de suivre le même chemin. L'hiver sera long, long, très long mais vaille que vaille il faut que ça aille, je travaille aïe aïe. Il y en a qui marchent à l'ombre et d'autres qui marchent ou crèvent.
Aléa jacta est. Carpe Diem
Stef
#angie
Bon conseiller
#angie
Dernière activité le 27/01/2023 à 19:09
Inscrit en 2018
41 commentaires postés | 2 dans le forum Douleurs chroniques
Récompenses
-
Bon conseiller
-
Contributeur
-
Explorateur
-
Ami
Tout à fait d'accord. Je viens d'en subir les conséquences. Suivie dans un centre anti douleurs X, je viens de voir mon suivi stoppé net alors que l'on entamait un traitement par ketamine (mes traitements antérieurs ne fonctionnant pas ou plus). Me voilà donc à nouveau "relâchée dans la nature" sans qu'on ne puisse faire quelque chose pour moi et ces douleurs tenaces... retour à la case départ. Me voilà dans un autre centre anti douleurs Y mais jusqu'à quand? Subir à nouveau les délais d'attente extrêmement long, expliquer à nouveau mon parcours difficile et complexe (ayant plusieurs pathologies et des interactions medicamenteuses ) et attendre de nouveau pour une nouvelle prise en charge...
Voir la signature
Anggie
Hookette
Membre AmbassadeurBon conseiller
Hookette
Membre Ambassadeur
Dernière activité le 01/11/2024 à 20:58
Inscrit en 2014
26 544 commentaires postés | 13 dans le forum Douleurs chroniques
3 828 de ses réponses ont été utiles pour les membres
Récompenses
-
Bon conseiller
-
Contributeur
-
Messager
-
Engagé
-
Explorateur
-
Evaluateur
Malheureusement nous le voyons déjà actuellement quand nous voulons simplement un rendez-vous avec un spécialiste le temps attente.
Voir la signature
MC - 💕 Nous avons des merveilles à échanger - 💕
verothe
Bon conseiller
verothe
Dernière activité le 27/05/2020 à 14:16
Inscrit en 2015
66 commentaires postés | 3 dans le forum Douleurs chroniques
Récompenses
-
Bon conseiller
-
Contributeur
-
Engagé
-
Explorateur
-
Evaluateur
-
Ami
Bonsoir, j'ai été suivie au centre anti douleur de Nice et quand j'ai voulu avoir un rdv avec un neurologue, il.y avait une attente de plus de 6 mois, j'ai arrêté d'y aller et j'ai vu un neurologue à l'extérieur qui m'a reçu plus rapidement, c'est malheureux de voir que les ministres de la santé successifs n'ont rien fait pour que la douleur des patients soient pris au sérieux..
Voir la signature
verothe
Lindyhop
Bon conseiller
Lindyhop
Dernière activité le 15/02/2021 à 09:51
Inscrit en 2018
34 commentaires postés | 1 dans le forum Douleurs chroniques
1 de ses réponses a été utile pour les membres
Récompenses
-
Bon conseiller
-
Contributeur
-
Engagé
-
Explorateur
-
Evaluateur
Voir la signature
Lindyhop
Nyne00
Nyne00
Dernière activité le 24/04/2021 à 09:24
Inscrit en 2018
12 commentaires postés | 6 dans le forum Douleurs chroniques
Récompenses
-
Contributeur
-
Explorateur
-
Posteur
Notre système de santé part à la dérive .....
Voir la signature
Nyne du 56
Utilisateur désinscrit
@Lindyhop @Musique87 @Hookette @#angie @stcarpediem51 i@verothe Bonjour J'ai été suivie pendant x années par un centre anti douleur..Je n'ai jamais été "lachée" dans la nature.Pour la kétamine , ce sont des essais cliniques qui se déroulent d'après mes souvenirs
Concernant les rendez-vous pour un spécialiste , les délais d'attente sont longs en milieu hospitalier ex neurologue. Ayant dans mon entourage , des personnes consultant des neurologues en privé . J'en ai fait l'expérience moi-même , Désolée pour l'expression , ce sont des "clampins"..Pas spécialisés dans certaines pathologies . L'ALD , la plupart font régler la consultation
jeanjacques30
Bon conseiller
jeanjacques30
Dernière activité le 10/04/2020 à 09:48
Inscrit en 2018
58 commentaires postés | 1 dans le forum Douleurs chroniques
1 de ses réponses a été utile pour les membres
Récompenses
-
Bon conseiller
-
Contributeur
-
Explorateur
-
Evaluateur
bonjour !
en fait ?? il n'y a ni de médecine à deux vitesses ; ni autre chose et belles paroles
la haute noblesse ne fréquente d'aucune manière les mêmes cheminements que la population classe moyenne / classe simple / ou autres ( retraités etc..)
eux sont soignés et traités comme des COQ EN PÂTE ! une attention spéciale et personnalisée et chambre aux normes /et personnel qui parlent avec respect !
_____ pour mon cas ?? mes expériences furent que je fus traités à chaque fois , pire qu'un animal ; mais c'est pas d'hier , ça date depuis le début du monde / et ceux qui dans leur bureau pondent ces articles sont les scribes du pouvoir ; pour 30.% de plus que le smic ?? ils collaborent et même prenent plaisir à sortir des inepties , aujourd'hui les machines vont sur mars là ?? il y a du fric !! mais pour respecter ses propres paroles et traiter les personnes en être humain ?? sur le terrain ; personnelement je vis autre chose !jean-jacques
lucmeert
Bon conseiller
lucmeert
Dernière activité le 28/10/2024 à 10:44
Inscrit en 2017
24 commentaires postés | 4 dans le forum Douleurs chroniques
5 de ses réponses ont été utiles pour les membres
Récompenses
-
Bon conseiller
-
Contributeur
-
Engagé
-
Explorateur
-
Evaluateur
-
Posteur
Bonjour, pour le moment en belgique pas trop de soucis a ce niveau la, 1 mois d'attente, je viens de terminer 6 mois de traitement a la clinique de la douleur a liège, bon suivi (kiné, ergo, hypnose médicale, séance de respi
verothe
Bon conseiller
verothe
Dernière activité le 27/05/2020 à 14:16
Inscrit en 2015
66 commentaires postés | 3 dans le forum Douleurs chroniques
Récompenses
-
Bon conseiller
-
Contributeur
-
Engagé
-
Explorateur
-
Evaluateur
-
Ami
Pour ma part, dans le centre anti douleur de Nice, le médecin que j'ai consulté à été très humaine, ce que je déplore c'est le délai d'attente pour les rdv avec les médecins spécialistes, plus de 6 mois, on est obligé de voir des médecins dans le privé, alors que le but je pense, une fois admise dans ce centre que le suivi médical se fasse entièrement dans le centre, sûrement un manque de personnels où de moyens, je pense que le ministère la santé devrait se pencher là dessus pour que nous soyons pris en charge complètement
Voir la signature
verothe
Donnez votre avis
Les membres participent aussi...
Ric.spa
Compte tenu des différents symptômes de la maladie, j’ai essayé de catégoriser les traitements possibles selon les atteintes.
💊 Médicaments sur ordonnance : en cas de poussée, et peu importe la localisation, il existe plusieurs type de médicaments pour soulager la douleur :
- Antalgiques : du type paracétamol ou paracétamol codéiné (selon l’intensité de la crise)
- Anti-inflammatoires + oméprazole : afin de soulager ponctuellement à l’inflammation
- Anti-dépresseurs : certains médicaments comme l’amitriptyline (Laroxyl) sont prescrits pour rendre la douleur « plus supportable » psychologiquement.
Pour tous ces médicaments, il convient de consulter votre rhumatologue et d’adapter le traitement selon votre sensibilité et vos besoins.
🏊🏻♂️ Physiothérapie : le sport est d’importance primordiale pour réduire les douleurs axiales. Encore faut-il choisir prudemment l’activité pour ne pas créer l’effet inverse. A ce stade, je recommande deux sports :
- La natation : deux nages idéales dans ce cas, le crawl et le dos crawlé.
- La kinésithérapie : je vous conseille de consulter un kinésithérapeute du sport qui saura vous construire un programme adapté à vos besoins et à l’état actuel de votre spondylarthrite.
La maladie étant imprévisible, la pratique du sport peut donner lieu à des scénarios très différents : vous pouvez avoir mal durant l’entraînement et ne plus avoir mal après, ne pas avoir mal avant mais avoir mal pendant, avoir mal avant mais ne pas avoir mal pendant etc… Il est donc essentiel d’écouter son corps. Si une légère douleur pendant l’entraînement peut être acceptable, vous devez cependant mettre une limite et cesser votre séance si la douleur est insupportable.
🧴 Crèmes : plusieurs crèmes sans ordonnance peuvent être pertinentes pour remédier aux douleurs, notamment périphériques (genoux, talons etc…) :
- Baume du tigre rouge : naturel et agréable avec son effet chauffant, il a cependant l’inconvénient de tâcher vos vêtements à cause de sa couleur.
- Voltaren Actigo.
🧊 Douches froides : certes peu agréables sur le moment, elles peuvent cependant casser la douleur inflammatoire. Pour maximiser les effets, je vous recommande d’en prendre une par jour pendant 1 mois. Pour qu’elles soient plus supportables, il est préférable de les prendre l’après-midi ou le soir et de privilégier les mois chauds.
💡 Mon conseil ultime : créer une fiche avec chaque douleur répertoriée, et les traitements associés pour y remédier. Cela vous aidera vous, mais également vos proches s’ils doivent vous aider.
Voir le meilleur commentaire
Vivre avec des douleurs chroniques
Incompréhension de l'entourage, se sentir seule face à la douleur
Dadou67
Bonjour à toutes
Il faut souvent du temps pour que les proches acceptent la maladie. Il nous en faut d'ailleurs aussi quand le diagnostic tombe.
Pour ma part j'ai 42 ans et j'ai une polyarthrite rhumatoïde étendue à toutes les articulations et le déclic chez mon mari c'est fait au passage du traitement par injection. Je pense que l'effet seringue me rend plus malade à ses yeux.
La maladie m'a appris à penser plus à moi, à m'occuper de moi et les laisser se débrouiller pour les tâches du quotidien, à profiter de la vie car ma vie de maman m'a relégué au second plan pendant 15 ans.
Je n'attends plus de la compassion, de l'aide de mon mari et mes enfants par contre dès qu'une crise survient je deviens égoïste, je me soigne, me repose et étonnamment tout ce petit monde se réveil et vient prendre soin de moi.
Alors peut être que c'est ça le secret....penser à soi!E n tout cas chez moi ça a marché.
Voir le meilleur commentaire
Ric.spa
Compte tenu des différents symptômes de la maladie, j’ai essayé de catégoriser les traitements possibles selon les atteintes.
💊 Médicaments sur ordonnance : en cas de poussée, et peu importe la localisation, il existe plusieurs type de médicaments pour soulager la douleur :
- Antalgiques : du type paracétamol ou paracétamol codéiné (selon l’intensité de la crise)
- Anti-inflammatoires + oméprazole : afin de soulager ponctuellement à l’inflammation
- Anti-dépresseurs : certains médicaments comme l’amitriptyline (Laroxyl) sont prescrits pour rendre la douleur « plus supportable » psychologiquement.
Pour tous ces médicaments, il convient de consulter votre rhumatologue et d’adapter le traitement selon votre sensibilité et vos besoins.
🏊🏻♂️ Physiothérapie : le sport est d’importance primordiale pour réduire les douleurs axiales. Encore faut-il choisir prudemment l’activité pour ne pas créer l’effet inverse. A ce stade, je recommande deux sports :
- La natation : deux nages idéales dans ce cas, le crawl et le dos crawlé.
- La kinésithérapie : je vous conseille de consulter un kinésithérapeute du sport qui saura vous construire un programme adapté à vos besoins et à l’état actuel de votre spondylarthrite.
La maladie étant imprévisible, la pratique du sport peut donner lieu à des scénarios très différents : vous pouvez avoir mal durant l’entraînement et ne plus avoir mal après, ne pas avoir mal avant mais avoir mal pendant, avoir mal avant mais ne pas avoir mal pendant etc… Il est donc essentiel d’écouter son corps. Si une légère douleur pendant l’entraînement peut être acceptable, vous devez cependant mettre une limite et cesser votre séance si la douleur est insupportable.
🧴 Crèmes : plusieurs crèmes sans ordonnance peuvent être pertinentes pour remédier aux douleurs, notamment périphériques (genoux, talons etc…) :
- Baume du tigre rouge : naturel et agréable avec son effet chauffant, il a cependant l’inconvénient de tâcher vos vêtements à cause de sa couleur.
- Voltaren Actigo.
🧊 Douches froides : certes peu agréables sur le moment, elles peuvent cependant casser la douleur inflammatoire. Pour maximiser les effets, je vous recommande d’en prendre une par jour pendant 1 mois. Pour qu’elles soient plus supportables, il est préférable de les prendre l’après-midi ou le soir et de privilégier les mois chauds.
💡 Mon conseil ultime : créer une fiche avec chaque douleur répertoriée, et les traitements associés pour y remédier. Cela vous aidera vous, mais également vos proches s’ils doivent vous aider.
Voir le meilleur commentaire
Vivre avec des douleurs chroniques
Incompréhension de l'entourage, se sentir seule face à la douleur
Dadou67
Bonjour à toutes
Il faut souvent du temps pour que les proches acceptent la maladie. Il nous en faut d'ailleurs aussi quand le diagnostic tombe.
Pour ma part j'ai 42 ans et j'ai une polyarthrite rhumatoïde étendue à toutes les articulations et le déclic chez mon mari c'est fait au passage du traitement par injection. Je pense que l'effet seringue me rend plus malade à ses yeux.
La maladie m'a appris à penser plus à moi, à m'occuper de moi et les laisser se débrouiller pour les tâches du quotidien, à profiter de la vie car ma vie de maman m'a relégué au second plan pendant 15 ans.
Je n'attends plus de la compassion, de l'aide de mon mari et mes enfants par contre dès qu'une crise survient je deviens égoïste, je me soigne, me repose et étonnamment tout ce petit monde se réveil et vient prendre soin de moi.
Alors peut être que c'est ça le secret....penser à soi!E n tout cas chez moi ça a marché.
Voir le meilleur commentaire
Articles à découvrir...
07/02/2024 | Témoignage
Association AFVD : l’association spécialisée sur les douleurs chroniques en France
08/02/2023 | Témoignage
Fibromyalgie : “Vous n’avez pas moins de valeur car vous êtes malade.”
03/03/2022 | Actualités
La neurostimulation électrique transcutanée (TENS) : tout savoir !
11/09/2018 | Actualités
Le cannabis thérapeutique, autorisé à la fin de l'année 2018 ?
30/11/2018 | Actualités
18/10/2018 | Conseils
Semaine contre les douleurs | La fibromyalgie et les douleurs chroniques
Fiches médicaments - avis...
S'abonner
Vous souhaitez être alerté des nouveaux commentaires
Votre abonnement a bien été pris en compte
Louise
Bon conseiller
Louise
Dernière activité le 11/06/2021 à 09:00
Inscrit en 2018
2 069 commentaires postés | 36 dans le forum Douleurs chroniques
18 de ses réponses ont été utiles pour les membres
Récompenses
Bon conseiller
Contributeur
Messager
Engagé
Explorateur
Evaluateur
Près de 20 millions de Français, soit environ 30% de la population adulte, souffrent de douleurs chroniques rebelles aux traitements, mais leur prise en charge au sein des 273 centres de la douleur est menacée, a mis en garde lundi l'Académie de médecine.
Les "structures spécialisées douleur chronique", ou SDC, mises en place en France à partir de 1998, sont pour 67 d'entre elles des centres dédiés et pour 206 des consultations douleur. Elle prennent en charge 5.000 patients par centre et par an, avec un délai moyen d'attente de trois mois et le nombre de demandes de consultations est en hausse. Mais plusieurs d'entre elles sont menacées en raison du prochain départ à la retraite des médecins qui les ont fondées et du risque que ceux-ci ne soient pas remplacés, faute de candidats formés à la médecine de la douleur ou du fait de non renouvellements de postes médicaux, souligne le rapport de l'Académie.
Moins de consultations suite à des départs à la retraite préoccupants
La moitié des personnels de ces centres sont partis ou partiront à la retraite entre 2015 et 2025 (115 sur 229 selon une enquête auprès de 132 structures), avec le risque que la moitié de ces emplois ne soient pas remplacés. Sur la même période, 16 SDC (13 consultations et 3 centres dédiés) sont en danger de fermeture. Les SDC, qui marient plusieurs spécialités (neurologues, rhumatologues, psychiatres, psychologues, infirmiers...) sont essentiels pour appréhender les douleurs chroniques, définies comme "des douleurs évoluant depuis plus de 6 mois et affectant de façon péjorative le comportement et le bien-être du patient".
Quel est le profil des patients dans les centres de la douleur ?
Les malades consultent essentiellement pour des lombalgies et sciatiques (26%), des douleurs neuropathiques (19%), des douleurs cancéreuses (17%), des céphalées et migraines (12%), et des fibromyalgies (10%). Le vieillissement de la population, l'amélioration du taux de survie après un cancer plaident en faveur d'un meilleur traitement de la douleur chronique. D'autant qu'elle coûte cher, notamment en arrêts maladie et en consultations. On recense cinq fois plus d'arrêts maladie de longue durée chez des malades chroniques souffrant de douleur et ils consultent deux fois plus que les autres, soit un surcoût annuel évalué à 1,163 milliard d'euros.
L'Académie de médecine préconise de consolider le réseau de SDC existants, mais aussi de renforcer les formations des médecins à la douleur et de développer la recherche clinique et fondamentale.
Qu'en pensez-vous ?
Quelle est votre expérience des centres anti-douleurs ?
Quelles améliorations apporter ?
AFP