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Après la guérison de ma schizophrénie maintenant la guérison de mon diabète de type 2
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Utilisateur désinscrit
@PLUME-DE-SCHIZO bonjour,
Ton message il me surprend suite à la guérison de ta schizophrénie.
Tu as certainement du avoir le meilleur médecin du monde !
Je suis une pointe septique ...
Bonne journée !
Candice.S
Animateur de communautéBon conseiller
Candice.S
Animateur de communauté
Dernière activité le 20/12/2024 à 17:13
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5 624 commentaires postés | 116 dans le forum Diabète de type 2
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Bonjour @PLUME-DE-SCHIZO,
Je vous remercie pour l'ouverture de ce sujet Je l'ai déplacé dans le groupe "Vivre avec le diabète de type 2" pour plus de visibilité
Belle journée,
Candice de l'équipe Carenity
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Candice.S
Utilisateur désinscrit
@Séverine38
Bonjour Séverine,
Merci pour votre remarque vraiment de très bon sens.
Non je n’ai certainement pas eu le meilleur médecin du monde.
Je reconnais toutefois que j’ai eu parfois malgré tout de très bons psys sur le plan humain.
Mais pour la chimiothérapie il ne peut y avoir à mon avis aucun bon psy pour la schizophrénie.
En effet aucun de ceux-ci ne vous dira un jour ou l’autre que vous êtes guéri de cette maladie et même bien au contraire tous vous diront que celle-ci est toujours chronique et que vous devrez continuer à ingurgiter vos médicaments jusqu’à même votre mort sous peine de rechute avec éventuellement bien des crimes et délits.
À ce sujet les statistiques que ce soit celles de l’UNAFAM autrefois ou que ce soit celles du Pr Christophe Lançon dans l’émission du 20 novembre 2004 de France 2 « Savoir Plus Santé - Mieux comprendre la schizophrénie » dans laquelle moi aussi je suis passé (plusieurs fois quelques minutes sous le nom de […] 59 ans) sont à peu près les mêmes et peuvent se résumer ainsi : 85 % des schizophrènes qui arrêtent leur traitement médicamenteux rechutent dans le délai d’un an environ.
Toutefois 15 % des schizophrènes au moins si je me souviens toujours de ce qu’avait écrit ce même Pr C. L. sur le site de son association dédiée aux malades psychiatriques « Solidarité - Réhabilitation » ne feront eux en revanche jamais de rechute et cela jusqu’à même leur mort. Mais s’ils avaient alors écouté eux aussi leur psy celui-ci comme tous ses confrères se serait alors opposé à l’arrêt de leur traitement médicamenteux.
Pourtant le Pr Édouard Zarifian (actuellement décédé) lequel autrefois avait fait un célèbre rapport pour le Ministère de la santé (à quelle époque ? je ne m’en rappelle plus) sur l’abus des prescriptions de médicaments psychotropes en France de la part de tous les médecins dont bien sûr aussi les psys, lui, n’a-t-il pas écrit dans l’un de ses livres (je cite de mémoire et ne me rappelle plus le titre de celui-ci) : « Pour la schizophrénie s’il n’y a pas eu de rechute après trois ans de traitement il faut arrêter le traitement ! » À ce sujet on sait que la durée de la vie de la plupart des schizophrènes est réduite de 10 à 20 ans par rapport aux autres gens dits "normaux" du fait justement des effets iatrogènes de leurs médicaments.
Si 15 % des schizophrènes comme l’ont reconnu autrefois aussi bien l’UNAFAM que le Pr Christophe Lançon arrêtent leurs médicaments et ne font plus ensuite aucune rechute jusqu’à même leur mort cela signifie-t-il pour autant que ceux-ci sont alors réellement guéris de leur maladie ? Si tel est le cas je ne suis pas le seul alors à avoir eu comme vous le dites si bien « le meilleur médecin du monde » !
En réalité la grande majorité des psys actuels déclare que la schizophrénie a avant tout pour origine une anomalie génétique et puisque contre celle-ci les recherches n’ont toujours abouti qu’à rien pour d’une façon ou d’une autre réparer effectivement celle-ci il en résulte logiquement que tous les schizophrènes sont en réalité tous malades à vie puisque tous resteront toujours alors ainsi obligatoirement porteur de celle-ci à vie.
Autrefois j’avais lu dans un article sur Internet que je n’ai pas retrouvé (je n’ai pas beaucoup le temps pour faire les recherches à ce sujet et ne suis pas un spécialiste de celles-ci) qu’en réalité c’est au moins 50 % des schizophrènes qui ne prendraient plus depuis longtemps leur traitement médicamenteux. C’est possible car les statistiques citées plus haut ne tiennent pas compte des malades qui eux ne sont pas suivis en psychiatrie puisque ceux-ci ont arrêté leur traitement médicamenteux, se déclarent guéris, souvent victimes d’abus de la part de leur psy, ne consultent plus celui-ci et militent même souvent dans des associations vraiment très spécialisées contre justement ces abus de la part des psys. Je peux éventuellement communiquer les noms et adesses de celles-ci en privé à celles et à ceux qui alors me le demanderaient.
Vous trouverez en P.-S. à ce commentaire trois extraits parmi d’autres de mon livre actuel (je vais revenir à nouveau à son ancien titre pour une prochaine édition de celui-ci à savoir : « Les causes de ma schizophrénie et les raisons de sa guérison »). J’ai bien sûr beaucoup d’autres choses à dire encore sur ce sujet de la schizophrénie et de sa guérison. Je ne peux pas les dire actuellement ici même en résumé car entre autres il faut que je travaille à l’actualisation de mon témoignage de 2017 pour Carenity lequel s’intitulait alors : « La schizophrénie est une maladie d’amour ! » Je promets à toutes et à tous qu’après la publication de celui-ci sans doute au début de l’année prochaine je serais plus exhaustif sur n’importe quel sujet de santé qui sera évoqué alors sur Carenity. Je ne prétends pas détenir la vérité mais ne cherche en réalité toujours qu’à être utile grâce à des contributions.
PLUME DE SCHIZO
COMMENTAIRE DÉPOSÉ SUR LE FORUM HTTPS://WWW.CARENITY.COM À PROPOS DE L’ARTICLE : « ÉVOLUTION DE LA MALADIE » SCHIZOPHRÉNIE : JE NE CONSEILLE JAMAIS L’ARRÊT COMPLET D’UN ANTIPSYCHOTIQUE
À chaque fois que j’ai arrêté mon traitement pour plusieurs mois jamais je n’ai rechuté et je ne suis pas le seul à ma connaissance à ce sujet. Statistiquement il y a 75 % de risque de rechute dans un délai d’un à deux ans ! Mais il reste quand même environ 20 % de schizophrènes qui eux ne rechutent jamais. En réalité ce qui caractérise la schizophrénie c’est l’imprévisibilité des malades quant à leur futur et cela qu’ils prennent des médicaments ou pas ! J’ai connu des malades qui ont rechuté même sous 20 mg d’olanzapine. Aucun psy ne vous dira jamais : “Arrêtez-moi ces saloperies d’un coup !” Pourtant il y a bien des malades qui lorsque leur psy leur a dit : “Si vous arrêtez votre traitement c’est sûr que vous allez rechuter !” n’ont en rien écouté celui-ci et n’ont jamais rechuté pour autant ! Ceux-ci avaient rencontré une compagne ou un compagnon dans leur vie et c’est à mon avis l’amour – médicament psychologique – qui a alors remplacé heureusement tous leurs médicaments chimiques. En général on retrouve ensuite ces ex-malades ou ces ex-schizos dans les associations de psychiatrisés en lutte ou d’usagers en psychiatrie où ils y déclarent avoir été victime d’abus de la part des psys. Pour ma part je me considère enfin guéri de ma schizophrénie depuis 2007 car depuis cette date soit je n’ai pris aucun médicament pendant plusieurs mois soit je ne prends qu’un sixième de la dose recommandée en ambulatoire en matière de schizophrénie par le laboratoire qui le fabrique. Je ne conseille jamais l’arrêt complet d’un antipsychotique à qui que ce soit car je ne suis pas voyante !
Le 6 août 2017,
PLUME DE SCHIZO
GUÉRIR DE LA SCHIZOPHRÉNIE ? JAMAIS GRÂCE AUX PSYS !
Bonjour tout le monde !
Peut-on guérir de la schizophrénie ?
Ma réponse, compte tenu d’environ 55 ans de soins psychiatriques commencés en 1962 pour une névrose obsessionnelle grave à forme essentielle sexuelle à l’âge de 17 ans et qui fut ensuite suivie en 1966 de deux crises psychotiques graves pour lesquelles j’ai eu le diagnostic (en langage international) de « schizophrénie » à l’âge de 21 ans, à la question ci-dessus, est actuellement la suivante :
Jamais grâce aux psys !
Certains pourtant évoquent la « guérison » (Dr Alain Bottéro) ou le « rétablissement » (Pr Christophe Lançon) mais en réalité ils ne précisent jamais si cette « guérison » ou ce « rétablissement » c’est avec ou sans les médicaments dont notamment l’antipsychotique.
Le problème c’est que quand on parle de guérison et surtout dans le domaine de la schizophrénie (qui n’est pas celui de la grippe ou de l’angine) il faudrait s’entendre avant tout sur le sens de ce mot guérison.
Pour ma part je retiendrai deux définitions de celle-ci la première de Freud et la seconde de moi-même :
« On est guéri lorsqu’on est capable d’aimer et de travailler ! » (Freud)
« On est guéri lorsqu’on est heureux que l’on prenne des médicaments ou pas ! » (moi-même)
Je me considère enfin guéri de ma schizophrénie paranoïde depuis maintenant plus de 10 ans car, d’une part soit je ne prends plus qu’un sixième de la dose en ambulatoire d’antipsychotique recommandée en matière de schizophrénie par le laboratoire qui le fabrique soit même je ne prends plus rien de celui-ci, d’autre part je me déclare enfin parfaitement heureux aussi bien de la nouvelle vie que je mène que du nouveau personnage que je suis devenu. Où est la rechute tant annoncée par les psys dont tous ne m’ont-ils pas toujours déclaré à ce sujet : « Si tu ne prends pas tes médicaments c’est sûr que tu vas rechuter ! » ? Et lorsque en 2004 j’ai fait part à ma psychiatre psychanalyste de mon désir de me sevrer de mes somnifères et de mes tranquillisants que je prenais à des doses faramineuses depuis plus de 40 ans ne m’a-t-elle pas alors répondu aussitôt : « Vous n’y arriverez pas ! » ? Remarquons qu’à l’Hôpital Azig Mamadou (pseudonyme), spécialisé dans les troubles du sommeil, l’assistante du Pr Joseph Noirot (pseudonyme), elle, ne m’avait-elle pas répondu à son tour à cette même demande aussi de sevrage de mes somnifères et de mes tranquillisants de ma part dont je lui avais fait part à elle aussi : « Vous devez bien comprendre que si ça fait plus de quarante ans que vous prenez des somnifères et des tranquillisants qu’en réalité on ne peut rien faire pour vous ! Voyez avec votre psychiatre psychanalyste ! » Or toutes les deux se sont bel et bien trompées quant à leur pronostic car ça fait maintenant plus de dix ans que je n’ai jamais repris le moindre comprimé de somnifère ou de tranquillisant !
Je ne suis pas le seul ancien schizophrène à me considérer enfin guéri de la schizophrénie même si sur Internet quand on tape grâce aux moteurs de recherche dans celui-ci : « Guérir de la schizophrénie » il n’y a à mon avis que peu de ceux-ci qui, d’une part se considèrent enfin guéris de celle-ci, d’autre part se déclarent enfin heureux !
En réalité c’est au Groupe Information Asiles (GIA) où j’ai milité de 1989 à 2014 (avec des interruptions et où j’ai été parfois aussi membre du bureau de celui-ci) que j’y ai rencontré le plus d’anciens schizophrènes se déclarant guéris de la schizophrénie dont l’un de ses anciens présidents lui-même.
Voir ce que celui-ci a écrit au sujet de sa guérison dans le livre « Pour en finir avec la psychiatrie : des patients témoignent », à savoir entre autres notamment ceci (je résume de mémoire) : c’est à la suite de son procès contre ses psys abuseurs pour lesquels ceux-ci ont été condamnés à lui verser 12 000 € de dommages et intérêts, qu’alors ses hallucinations auditives ont bel et bien définitivement disparu…
Mais qu’expliquent d'autres schizophrènes guéris de la schizophrénie ? ceci : c’est qu’à l’occasion d’une rencontre (avec un nouveau compagnon ou une nouvelle compagne) ils ont alors arrêté d’un coup les doses faramineuses de médicaments que d’ailleurs ils ne supportaient plus et qu’alors ensuite ils n'ont jamais vu venir pour autant le moindre indice de rechute dans la schizophrénie !
L’amour peut-il guérir de tout et tout le monde ?
Bien sûr que non !
Mais sur certaines personnes n’est-ce pas le meilleur médicament ou remède ?
Je n’ai jamais connu aucun psy aussi bien pour moi-même que pour d’autres qui aient ou auraient déclaré réellement entre quatre yeux à moi-même ou à ceux-ci : « Vous n’êtes pas ou plus malade ! ne prenez pas ou plus vos médicaments ! » Bien au contraire ne disent-pas tous en général ceci : « Prenez bien vos médicaments sinon c’est la rechute assurée ! » ?
C’est peut-être vrai pour certains mais certainement pas vrai pour tous !
Alors que faire ?
Comme je l’explique dans mon livre (qui a différents titres) :
« Il n’y a pas de recette pour guérir de la schizophrénie ! »
Ce qui est certain c’est que si j’avais cru aux thèses actuelles de certains grands professeurs soutenus par certaines associations aussi bien de malades que de parents jamais je n’aurai pu guérir.
Croyez, toutes et tous, à mes sentiments les meilleurs.
Le 1er septembre 2016,
PLUME DE SCHIZO
EXTRAIT DU FORUM WWW.MEDIAPART.FR
SANS LES JEUNES PROSTITUÉES SEXY DE LUXE JAMAIS JE N'AURAIS PU GUÉRIR DE MA NÉVROSE OBSESSIONNELLE GRAVE (1962-1972) NI NON PLUS COMMENCER À GUÉRIR DE MA SCHIZOPHRÉNIE PARANOÏDE (1966-2007)
Ce sont les jeunes prostituées de luxe qui en me débloquant psychologiquement vis-à-vis du sexe opposé (1965-1972) m’ont ensuite permis de rencontrer enfin en 2013 l’amour et la femme de ma vie. Celle-ci grâce à son amour véritable (notre mariage n'est toujours pas consommé dans la fidélité réciproque actuellement en 2019 : il s'agit d'un record du monde) a alors ensuite parfait complètement et définitivement la guérison commencée auparavant par les jeunes prostituées sexy de luxe. Les prestations sexuelles régulières de celles-ci (une fois par semaine au début et une fois par mois vers la fin) m’ont effectivement guéri de ma névrose obsessionnelle grave à forme essentiellement sexuelle (1962-1972) et effectivement commencé à me guérir de ma schizophrénie paranoïde (1966-2007) là où auparavant la psychiatrie avait toujours malgré tout échoué (1962-1966). Sans celles-ci jamais je n’aurais pu connaître aucune autre femme même pour un simple flirt léger tellement autrefois j’étais alors bloqué psychologiquement au début de l’âge adulte vis-à-vis de toutes les femmes. Aux Pays-Bas deux rapports sexuels par mois avec un(e) prostitué(e) ayant reçu une formation médicale pendant un an pour cela dit(e) “assistant(e) sexuel(le)” sont remboursés par la Sécurité sociale. En France le recours à la prostitution (même dans un but psychothérapique) est pénalisé par la loi du 13 avril 2016. À toutes fins utiles je rappelle celle-ci ci-dessous :
LOI N°2016-444 DU 13 AVRIL 2016 - ART. 20 :
Article 20
I.-Au livre VI du code pénal, il est inséré un titre unique ainsi rédigé :
« Titre UNIQUE
« DU RECOURS À LA PROSTITUTION
« Art. 611-1.-Le fait de solliciter, d'accepter ou d'obtenir des relations de nature sexuelle d'une personne qui se livre à la prostitution, y compris de façon occasionnelle, en échange d'une rémunération, d'une promesse de rémunération, de la fourniture d'un avantage en nature ou de la promesse d'un tel avantage est puni de l'amende prévue pour les contraventions de la cinquième classe.
« Les personnes physiques coupables de la contravention prévue au présent article encourent également une ou plusieurs des peines complémentaires mentionnées à l'article 131-16 et au second alinéa de l'article 131-17. »
II.-La section 2° bis du chapitre V du titre II du livre II du même code est ainsi modifiée :
1° Après le mot : « prostitution », la fin de l'intitulé est supprimée ;
2° L'article 225-12-1 est ainsi rédigé :
« Lorsqu'il est commis en récidive dans les conditions prévues au second alinéa de l'article 132-11, le fait de solliciter, d'accepter ou d'obtenir des relations de nature sexuelle d'une personne qui se livre à la prostitution, y compris de façon occasionnelle, en échange d'une rémunération, d'une promesse de rémunération, de la fourniture d'un avantage en nature ou de la promesse d'un tel avantage est puni de 3 750 € d'amende. Est puni de trois ans d'emprisonnement et de 45 000 € d'amende le fait de solliciter, d'accepter ou d'obtenir, en échange d'une rémunération, d'une promesse de rémunération, de la fourniture d'un avantage en nature ou de la promesse d'un tel avantage, des relations de nature sexuelle de la part d'une personne qui se livre à la prostitution, y compris de façon occasionnelle, lorsque cette personne est mineure ou présente une particulière vulnérabilité, apparente ou connue de son auteur, due à une maladie, à une infirmité, à un handicap ou à un état de grossesse. »
Utilisateur désinscrit
En réfléchissant au thème de cet article il m’est venu parmi les extraits de mon livre qui pourraient être éventuellement intéressants pour les visiteurs de Carenity aussi le suivant :
JAMAIS LA MÉDECINE NE GUÉRIRA DE LA SCHIZOPHRÉNIE
Seuls la sexualité et l’amour peuvent éventuellement guérir de la schizophrénie ! Au mieux les médicaments suppriment le malheur jamais ils ne font le bonheur ! Ceux-ci suspendent les symptômes de la schizophrénie mais ne la guérissent pas ! Ils n’ont pas du tout le même effet du point de vue psychologique ni de la sexualité bien vécue avec une compagne ou un compagnon ni de l’amour véritable de la part de celle-ci ou de celui-ci dans une vie de couple heureuse de tous les jours ! Les médicaments psy, eux, ne sont en réalité que des camisoles qui n’agissent que sur les effets de la maladie psy et pas du tout sur les causes de celle-ci par l’intermédiaire des neurones ! La simple compassion d’un psy vis-à-vis d’un malade psy peut-elle alors suffire pour le guérir ? C’est pourquoi les psys soutiennent toujours les schizophrènes qui leur confient avoir régulièrement des rapports sexuels avec de jeunes prostitué(e)s sexy. La plupart de ceux-ci souffrent d’un blocage psychologique vis-à-vis du sexe opposé ne leur permettant pas d’adresser normalement la parole à celui-ci. Il s’agit d’une faille au niveau symbolique dans leur inconscient acquise lors de leur petite enfance du fait de la forclusion du Sein-de-la-Mère et de la forclusion du Nom-du-Père et demeurée toujours ouverte dans celui-ci à l’âge adulte. Celle-ci se traduit alors par une faille dans la parole vis-à-vis du sexe opposé. Alors débloqué psychologiquement par celles-ci, pour ma part, j’ai pu enfin rencontrer la femme et l’amour de ma vie ! Les jeunes prostituées sexy auxquelles j’ai eu régulièrement affaire (au début au rythme d’une fois par semaine en 1965 et à la fin au rythme d’une fois par mois en 1972) m’ont bel et bien guéri de ma névrose obsessionnelle grave à forme essentiellement sexuelle et m’ont bel et bien provoqué une importante rémission de ma schizophrénie paranoïde. C’est l’amour véritable de ma femme de 1973 jusqu’à toujours actuellement en 2016 qui m’a ensuite enfin permis de guérir complètement et définitivement de ma schizophrénie paranoïde vers 2004. Après cette date j’ai pu enfin me sevrer de tous mes tranquillisants et somnifères que je prenais malgré tout à des doses faramineuses depuis 1962, puis j’ai supprimé complètement mon antidépresseur que je prenais à une dose moyenne depuis 1981, et depuis 2008 je ne prends plus qu’un sixième de la dose en ambulatoire d’un seul antipsychotique, alors que je prenais depuis 1965 plusieurs neuroleptiques de toutes sortes à toujours des doses faramineuses, voire même je ne prends plus rien du tout. Les prostituées ne m’ont guéri que pour partie de ma schizophrénie mais elles ont bel et bien été à l’origine de ce qui a permis finalement ma guérison complète et définitive de celle-ci. Toutefois d’autres facteurs aussi sont intervenus pour expliquer ma guérison complète et définitive de ma schizophrénie tels que : le travail (1965-1997), le militantisme au Groupe Information Asiles (1989-2013), l’environnement (depuis 2013), mes écrits à mon ancienne psychiatre psychanalyste et à mon ancienne assistante sociale (2002-2012), mon livre, etc. Jamais la médecine ne guérira de la schizophrénie !
Le 20 mai 2015,
PLUME DE SCHIZO
beffay
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beffay
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@PLUME-DE-SCHIZO Merci de votre long témoignage qui fait partager à vos lecteurs votre expérience et les analyses que vous en faites.
Je ne suis pas psy. je n'ai aucune compétence pour en débattre, mais bravo pour ce combat et pour savoir le faire partager.
Par manque de qualification, ma question n'a pas grande valeur, je vous la donne quand même et si vous n'étiez pas schizo et ne l'avez jamais été ?
Vos troubles de personnalités pouvaient être induits par des angoisses, des incertitudes, des difficultés mais s'il n'y avait pas eu les médicaments vous seriez encore moins "entré dans le personnage qu'il eut fallu être"?
Certaines pathologies ont sûrement besoin de médicaments, quand il est visible qu'il n'améliorent pas, il faut avoir l'humilité pour le prescripteur de faire marche arrière. Est ce que les prescripteurs le font ? Ou ne choisissent ils pas plutôt de rajouter ?
Là, est le scandale de quantité de gens divers, c'est tout de même normal d'être dissemblables, qui se retrouvent pris dans l'engrenage de la psychiatrie qui fait vivre le psychiatre, des médicaments qui font vivre les pharmaciens et les laboratoires et eux, comment vivent ils ? Sont ils heureux ? Ont ils les moyens de l'être ? Ils finissent par être tellement formatés qu'ils vont réclamer la dose de plus, le médicament de plus...
Alors moi, j'espère que votre beau témoignage fera réagir ceux qui le pourront ? Car, est il encore possible de réagir après avoir tout avalé ?
Bonheur à vous. On n'a qu'une vie!
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Beffay
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PLUME DE SCHIZO À CANDICE (ANIMATRICE)
Bonjour Candice,
Je remercie Carenity et vous-même d’avoir accepté que mon témoignage de 2017 au sujet de ma schizophrénie soit à nouveau actualisé et reprendrai davantage à votre message à ce sujet demain. Et cela tombe bien pour une information qui me paraît très importante à ce sujet à communiquer si toutefois Carenity est d’accord pour cela dans mon témoignage : après la guérison de ma schizophrénie paranoïde je constate depuis quelques jours maintenant la guérison de mon diabète de type II aussi. Je résume très rapidement comment je me suis aperçu de cela : jeudi dernier vers la fin de mon repas du soir (avec ma femme) après la prise de metformine à la dose de 250 mg (la meilleure molécule contre le diabète : je prends aussi la même dose de celle-ci le matin) en même temps qu’un certain nombre de médicaments contre l’hypertension artérielle j’ai commencé à être saisi par un malaise sans douleur mais pour lequel j’avais la sensation que j’allais m’effondrer. Il a fallu que je me couche et c’est alors qu’un bout d’un certain temps pas très long ma femme me dit : “Tu ferais bien de prendre ta tension !” Celle-ci prise trois fois de suite révéla alors qu’elle était en réalité supérieure à 19. C’est alors que je suis allé me recoucher et qu’à nouveau j’ai repris ma tension au bout d’un certain temps pas très long. Celle-ci prise trois fois tout de suite révéla encore à nouveau une tension supérieure à 19. Je suis allé encore une fois me recoucher et c’est alors que j’ai senti mon malaise (assez indescriptible mais toujours sans douleur) s’aggraver pire. Je reprends à nouveau ma tension encore à nouveau trois fois de suite et quelle ne fut pas à nouveau encore ma surprise : celle-ci était en réalité alors supérieure à 20. Le SAMU a été appelé par ma femme. À l’hôpital on m’a fait un électrocardiogramme qui ne révéla alors aucun problème au cœur et rien de nouveau non plus par rapport à un précédent électrocardiogramme fait huit jours auparavant par ma cardiologue de ce même hôpital. J’avais consulté celle-ci (avec ma femme) car ma tension avait alors augmenté et se situait alors entre 17 et 18. Elle m’avait alors aussi bien augmenté mes doses d’antihypertenseurs que rajouté alors en même temps une nouvelle molécule antihypertensive. Vers 1 heure du matin j’ai été ramené par la même ambulance que pour aller à l’hôpital à mon domicile. En effet ma tension était alors descendue spontanément à 16 sans alors aucune prise de nouveau médicament pour cela. Le soir de ce même jour j’ai raconté les faits ci-dessus à mon autre cardiologue en cabinet privé. Mais comme celle-ci n’a guère pu en réalité alors m’expliquer les raisons de ce malaise je me suis permis alors de lui donner mes explications suivantes que j’avais cherchées et trouvées sur Internet : “L’association metformine et molécules antihypertensives a provoqué une hypoglycémie se traduisant alors par un début de malaise et celui-ci s’est alors ensuite aggravé car cette hypoglycémie a provoqué elle à son tour alors une vive montée de tension !” À ce sujet cliquez sur le lien suivant (en espérant qu’il fonctionnera) : http://dianantes.free.fr/hypoglycemie/diabete-hypo-hypertension.html. Après la consultation de ma cardiologue en cabinet privé j’ai alors le jour suivant prévenu ma femme que je ne prendrai plus de la metformine pour mon prétendu diabète de type II. En effet comme j’ai ingurgité aussi bien des neuroleptiques que des antipsychotiques à des doses faramineuses depuis l’âge de 17 ans je me suis demandé alors si mon diabète de type 2 depuis deux ans à ce jour ne serait pas alors un effet iatrogène justement de ceux-ci ? Tous mes médecins (dont une ex-psy et ma psy actuelle) m’ont alors déclaré que mon diabète de type 2 n’était certainement pas dû à ces médicaments psychotropes car si tel était le cas effectivement celui-ci se serait alors déclaré selon leur science en réalité dans les premiers six mois du début de la prise de ceux-ci. En conséquence pour ceux-ci celui-ci n’était sans doute en réalité qu’un diabète dit des « vieux ». Depuis vendredi dernier lorsque je vérifie dans un but de surveillance ma glycémie d’une part à jeun celle-ci alors ne se situe toujours qu’entre 0,80 gr et 0,95 gr et d’autre part une heure et demie ou deux heures après les repas celle-ci alors ne se situe toujours qu’entre 1 gr et 1,40 gr selon ce que j’ai mangé auparavant. Non seulement personne n’a jamais pu concevoir que même quarante ans plus tard la guérison de ma schizophrénie serait devenue enfin une réalité qui perdure ni même non plus que la guérison de mon diabète de type II serait enfin une réalité un jour ou l’autre aussi.
Bien cordialement à vous,
PLUME DE SCHIZO
P.-S. : la dernière fois que j’ai consulté ma cardiologue en cabinet privé c’était lundi dernier. Elle m’a déclaré que je prenais le maximum de médicaments antihypertenseurs aux doses elles aussi maximum que l’on puisse prescrire d’après elle et que ma tension pouvait être qualifiée de vraiment très « résistante ». Compte tenu de mon malaise provoqué probablement par au moins l’un de ceux-ci elle m’a retiré l’un d’entre eux et prescrit aussi bien un test pour l’apnée du sommeil qu’un scanner des coronaires.