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Échangeons autour de la dépression !
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mamouchette
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mamouchette
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Bonjour, qu'est ce qui se passe , vs avez quel age
Gilles92
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Gilles92
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@NeWennn
Que votre ami soit dans une phase de contrition et de repli sur soi est normal après la perte de son job, le processus d'autodestruction l'est moins. Ceci explique le traitement psychiatrique. Mais ce dernier semble juguler sa libido, rajoutant au sentiment d'impuissance. Cela m'apparait totalement contreproductif, un changement de traitement s'impose.
Vous ne pourrez le récupérer qu'en faisant preuve de gentillesse et de patience. Ne pas répondre à ses provocations. Ne pas le harceler non plus. Mais lui rappeler pourquoi vous l'aimez sans adopter une attitude suppliante. L'informer également que le sexe ne se limite pas à une érection...
Nous les mecs, on nous apprend à rester fort en toutes circonstances. Si nous échouons, nous avons tendance à lêcher nos blessures dans un coin, là où une femme chercherait de l'aide. Nous avons terriblement besoin d'être rassuré dans ces moments là, même si nous nous en défendons. Une question qui se règle lorsqu'on dépose enfin l'armure et qu'on se sent toujours aimé.
Toutefois, je vous mets en garde contre vos propres démons Mademoiselle : de la dépendance affective à la relation masochiste. Faites ce que vous pouvez, aussi longtemps que vous le pouvez, mais ne sacrifiez pas votre propre santé mentale. C'est la limite que vous devez vous fixer. Et pour cause : comment pourriez-vous alors l'aider ? Et qui vous aidera à votre tour si vous sombrez dans l'abîme ?
Oui l'amour a besoin de preuves d'amour, à condition qu'il ne devienne pas autre chose.
Camillebn
Camillebn
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Bonjour, je suis nouvelle sur ce forum si je suis tombé dessus c'est parce que je suis dans un état dépressif, je n'ai plus envie de manger, je n'ai plus goût à rien, je suis si fatigué, dès que je pense à mon avenir j'angoisse comme pas possible et j'ai parfois des idées noires ...
J'ai 25 ans tout pour être heureuse mais je le suis pas ... Il y a 6 ans de ça j'ai étais en dépression j'ai fais deux tentatives de suicides ( Qui était plus des appels au secours, je n'avais pas tellement envie de mourir ) mais je voulais juste ne plus souffrir . J'ai mis un an à m'en sortir.Et ça allait mieux
Et a l'âge de mes 25 ans je me suis mis à flipper à me poser 30 questions dans ma tête et réfléchir sur ma vie. J'ai toujours étais une grosse stressé et angoissé. J'ai étais harcèle toute ma scolarité et il faut dire que ça m'affecte encore même si ça me fait moins souffrir qu'avant .
Chez moi il n'y a pas de demi mesure. C'est soit tout soit rien et quand c'est rien je suis au fond du trou .... Mais je veux pas vivre comme ça. Dès que ça va mieux j'ai peur que ça recommence et je peux pas vivre ma vie en ayant des états dépressifs par phase. J'ai l'impression que jamais je m'en sortirais ...
Je suis suivis par une psycologue heureusement. Mais c'est dur dur de se battre contre soit même Tout les jours . Je n'ai plus d'énergie ...
Ma famille et mes amies sont là pour m'ecouter. J'entends ce qu'ils me disent et j'essaye de tout faire pour aller mieux et ne pas me laisser abattre mais c'est dur . Ils n'ont pas vécu ça. J'ai besoin de parler de personne qui ont vécu ou qui vivent cette situation.
J'ai besoin d'aide .
Lyppye
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Lyppye
Dernière activité le 06/05/2024 à 21:35
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Bonjour,
je souffre de dépression depuis 15 ans (avec des moments bien quand même :) ) Seulement depuis un peu plus de trois ans ,c'est vraiment la galère, (8 hospitalisations !!! ) et j'ai fait très peu de choses, je travaille pas, et au jour d'aujourd'hui les 9/10ème de ma vie sont fait de rdv médicaux.
Du coup je ne sais plus du tout quoi répondre à la question "qu'est-ce que tu fais dans la vie ? " ou tout simplement " t'as fait quoi aujourd'hui ? " comment répondre sans trop mentir, ni trop dévoiler cette partie de ma vie ? des idées ?
je souhaite en dire peu, car ça n'attire pas et je suis très très seule en ce moment et la grande majorité de mes proches m'ont lâchée (presque personne ne m'a appelé lors de mes hospits) trop de maladie fait fuir ...
comment parler de moi sans faire fuir les gens ?
merci ....
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@Lyppye Bonjour,
Je comprends exactement ce que vous éprouvez. Je me suis aussi retrouvée dans état de dépression sévère depuis environ un an. J'ai déjà eu des épisodes dépressifs dans ma vie mais celui-ci est particulièrement difficile à surmonter à mon âge. Les gens disent "Oh mais tu es encore jeune !". J'ai près de 60 ans et je ne me sens pas du tout "jeune"... Les "aléas de la vie" depuis ces 4 dernières années y ont largement contribué car j'ai subi épreuve sur épreuve qui ont fini par avoir raison de moi... Ma vie a totalement basculée (divorce au bout de 28 ans de vie commune et 17 ans de mariage, victime d'un manipulateur pervers profitant de ma vulnérabilité cherchant à prendre la place uniquement par intérêts personnels, victime d'escroqueries toujours en raison de ma fragilité menant à une situation financière désormais au plus bas, fractures à répétition...). Je me suis donc petit à petit isolée volontairement, ne pouvant plus faire confiance à personne et tentant ainsi de me "protéger" du monde extérieur. Durant de longs mois, cela m'a permis de faire un bilan de ma vie et de réaliser que mes soi-disant "amis" n'étaient là que pour profiter de mes largesses et de ma générosité, de profiter de tout en fait... A présent que rien de va plus, je ne suis plus intéressante. C'est là où l'on s'aperçoit qui est qui et des vrais amis, il y en a peu très peu... Le peu de mes bons amis sont tous loin et je suis très seule, je n'ai pas de famille, personne... Cet isolement m'a aussi permis de faire une certaine "paix" avec mon passé, de "pardonner" enfin à mes parents... De me dire, OK, tu as vécu telle ou telle épreuve, tu as souffert, tu n'as pas toujours bien réagi, mais tu as fait ce que tu pouvais à l'époque. Cela m'a aussi permis à me "pardonner" à moi-même et à mieux comprendre le pourquoi du comment. Ma seule véritable amie se trouve aux USA, c'est une amie d'enfance et d'une fidélité absolue, elle prend quotidiennement de mes nouvelles par messenger depuis des mois car elle tente en vain de m'aider et sait que je suis au plus bas... Toutefois, elle ne veut absolument rien savoir quant à la Dépression... Elle est dans le déni total. Pour elle, tout n'est qu'une question de volonté. Il faut se "motiver", il faut "se pousser", il faut se "bouger", il faut, il faut, il faut... Plus facile à dire qu'à faire lorsque l'on a plus d'énergie vitale pour rien, que la moindre action constitue un véritable exploit, que l'on n'a plus envie de vivre, que l'on ne recherche qu'à dormir pour fuir, que le simple fait de se lever est une véritable galère... Elle a eu une vie très difficile et continue d'ailleurs à ne pas avoir une vie agréable mais voilà, elle a un mental très fort, elle est très croyante et elle ne veut rien savoir quant aux anti-dépresseurs et autres thérapies auprès de psychiatres... Elle n'a pas tout à fait tort mais bon, nous ne sommes pas tous logés à la même enseigne. Je lui ai fait part que je n'arrive pas à m'en sortir malgré mes efforts quotidiens et ma volonté d'aller mieux, que, sans doute, il me faut reprendre des anti-dépresseurs que j'ai arrêté depuis justement environ un an, que force est de constater que depuis que j'ai arrêté mon traitement, je sombre dangereusement de plus en plus bas... Elle ne veut rien savoir et tente de me bousculer avec des paroles souvent dures et injustes qui font plus de mal que de bien... On se sent totalement incompris et encore plus désespéré. Il est en effet très difficile de faire comprendre aux autres que la dépression à un stade avancé est une véritable maladie et qu'un traitement est nécessaire pour au moins essayer de reprendre goût à la vie. Donc, j'ai décidé de re-consulter un énième psy... Un qui soit au moins secteur 1 car je n'ai plus les moyens de payer les dépassements et ma mutuelle est basique. Je pense que j'ai toujours eu une fragilité, peut-être est-ce aussi dû à un facteur génétique et que j'ai donc besoin d'un traitement pour m'aider. On verra bien, mais c'est déjà un pas pour tenter d'avancer... Je suis de tout coeur avec vous. Surtout ne pas culpabiliser et évidemment, tenter au mieux de ses possibilités de "positiver" tout, ne serait-ce que d'avoir de l'eau courante, un toit, un lit... la moindre chose qu'il nous reste en cultivant la "gratitude"...
Utilisateur désinscrit
@Camillebn Bonjour,
Je comprends exactement ce que vous éprouvez. Je me retrouve aussi dans état de dépression sévère depuis environ un an. J'ai déjà eu des épisodes dépressifs dans ma vie (un notoire à votre âge avec tentative de suicide) mais celui que je traverse est particulièrement difficile à surmonter à mon âge. Les gens disent "Oh mais tu es encore jeune !". J'ai près de 60 ans et je ne me sens pas du tout "jeune"... Les "aléas de la vie" depuis ces 4 dernières années y ont largement contribué car j'ai subi épreuve sur épreuve qui ont fini par avoir raison de moi... Ma vie a totalement basculé (divorce au bout de 28 ans de vie commune et 17 ans de mariage avec un mari qui menait une double vie et ne voulait pas me l'avouer, lorsque j'en ai eu la certitude, il m'a tout simplement abandonnée et a fuit, victime d'un manipulateur pervers profitant de ma vulnérabilité cherchant à prendre la place uniquement par intérêts personnels, victime d'escroqueries toujours en raison de ma fragilité menant à une situation financière désormais au plus bas, fractures à répétition...). Je me suis donc petit à petit isolée volontairement, ne pouvant plus faire confiance à personne et tentant ainsi de me "protéger" du monde extérieur. Durant de longs mois, cela m'a permis de faire un bilan de ma vie et de réaliser que mes soi-disant "amis" n'étaient là que pour profiter de mes largesses et de ma générosité, de profiter de tout en fait... A présent que rien de va plus, je ne suis plus intéressante. C'est là où l'on s'aperçoit qui est qui et des vrais amis, il y en a peu très peu... Le peu de mes bons amis sont tous loin et je suis très seule, je n'ai pas de famille, personne... Cet isolement m'a aussi permis de faire une certaine "paix" avec mon passé, de "pardonner" enfin à mes parents... De faire apparaître sur un écran tous les différents chapitres de ma vie... Lorsque je les contemple, je me dis "Oh, c'est moi qui ai vécu tout cela" et je ne me reconnais pas au jour d'aujourd'hui, je ne suis plus la même personne. Je me dis alors que dans une vie, on a plusieurs vie. Mieux vaut s'en charger à 25 ans qu'à 60 mais bon, on fait toujours ce que l'on peut. Je me dis à présent, "OK, tu as vécu telle ou telle épreuve, tu as souffert, tu n'as pas toujours bien réagi, mais tu as fait ce que tu pouvais à l'époque". Cela m'a aussi permis à me "pardonner" à moi-même et à mieux comprendre le pourquoi du comment. Ma seule véritable amie se trouve aux USA, c'est une amie d'enfance et d'une fidélité absolue, elle prend quotidiennement de mes nouvelles par messenger depuis des mois car elle tente en vain de m'aider et sait que je suis au plus bas... Toutefois, elle ne veut absolument rien savoir quant à la Dépression... Elle est dans le déni total. Pour elle, tout n'est qu'une question de volonté. Il faut se "motiver", il faut "se pousser", il faut se "bouger", il faut, il faut, il faut... Plus facile à dire qu'à faire lorsque l'on a plus d'énergie vitale pour rien, que la moindre action constitue un véritable exploit, que l'on n'a plus envie de vivre, que l'on ne recherche qu'à dormir pour fuir, que le simple fait de se lever est une véritable galère... Elle a eu une vie très difficile et continue d'ailleurs à ne pas avoir une vie agréable mais voilà, elle a un mental très fort, elle est très croyante et elle ne veut rien savoir quant aux anti-dépresseurs et autres thérapies auprès de psychiatres... Elle n'a pas tout à fait tort mais bon, nous ne sommes pas tous logés à la même enseigne. Je lui ai fait part que je n'arrive pas à m'en sortir malgré mes efforts quotidiens et ma volonté d'aller mieux, que, sans doute, il me faut reprendre des anti-dépresseurs que j'ai arrêté depuis justement environ un an, que force est de constater que depuis que j'ai arrêté mon traitement, je sombre dangereusement de plus en plus bas... Elle ne veut rien savoir et tente de me bousculer avec des paroles souvent dures et injustes qui font plus de mal que de bien... On se sent totalement incompris et encore plus désespéré. Il est en effet très difficile de faire comprendre aux autres que la dépression à un stade avancé est une véritable maladie et qu'un traitement est nécessaire pour au moins essayer de reprendre goût à la vie. Donc, j'ai décidé de re-consulter un énième psy... Un qui soit au moins secteur 1 car je n'ai plus les moyens de payer les dépassements et ma mutuelle est basique. Je pense que j'ai toujours eu une fragilité, peut-être est-ce aussi dû à un facteur génétique et que j'ai donc besoin d'un traitement pour m'aider. On verra bien, mais c'est déjà un pas pour tenter d'avancer... Je suis de tout coeur avec vous. Surtout ne pas culpabiliser et évidemment, tenter au mieux de ses possibilités de "positiver" tout, ne serait-ce que d'avoir de l'eau courante, un toit, un lit... la moindre chose qu'il nous reste en cultivant la "gratitude"...
Gilles92
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@Lyppye Dites que vous êtes en repositionnement professionnel, Chacun comprendra que si vous n'êtes pas active, vous étudiez de nouvelles perspectives. Vous évitez de mentir, sans avoir à dévoiler votre situation. Si on vous demande ce que vous faites de vos journées, vous expliquez que votre préoccupation immédiate c'est de règler quelques soucis de santé pour lesquels vous ne voulez pas ennuyer votre interlocuteur. A la question comment parler de vous sans faire fuir les autres, c'est simple : vous pouvez vous confier à votre psy, à certains membres de votre famille, à des amis très proches, mais évitez de vous livrer à n'importe qui.
Le fait que vous soyez au chômage et/ou dépressive ne change rien à l'affaire, la règle sociale c'est qu'on se dévoile progressivement quand grandit la confiance, pas l'inverse. Votre intimité n'est pas un dû ; on pourrait même trouver impudique ou égocentrique de parler ainsi de soi. Il faut vous y prendre autrement : un bouquin que vous avez aimé, un film, un restau, une anecdote, une expérience de vie, une actualité, un voyage, que sais-je.... Vous ne faites pas du "speed dating" n'est-ce pas, donc prenez le temps et laissez en aux autres. N'imposez pas vos états d'âme pour décharger ce qui vous dérange, car personne n'aime servir de paillasson. Je crois que c'est surtout ça qui coince dans vos relations aux autres.
Prenez conscience qu'on ne peut pas parler de tout avec n'importe qui. Il ne vous viendrait pas à l'idée de vous jeter à poil sur la première personne qui vous sourit et bien émotionnellement, c'est la même chose. Cela ne veut pas dire que vous ne pouvez pas échanger avec "les gens", ou que vous devez forcément mentir pour vous faire accepter, simplement qu'il convient de choisir ce qu'on veut partager en fonction de chacun.
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@newpath2021 le conseil apporté à Lyppye vaut aussi pour vous : chosissez ce que vous voulez partager avec votre amie. Je spécule que cette dernière est probablement une "Evangéliste". Je connais bien puisque j'ai deux tantes américaines qui en font partie.
L'une d'elle s'est coltinée un cancer du sein. Sa communauté lui a recommandé d'éviter tout traitement chimique. Volonté et prières devaient suffir. Résultat : elle en est morte dans des souffrances inimaginables.
Pour avoir beaucoup voyagé aux US, je confirme une chose : les Américains embrassent beaucoup, mais étreignent mal. Qu'est-ce que ça veut dire ? Simplement qu'ils sont faciles d'accès, chaleureux, mais qu'ils se détournent tout aussi facilement.
Conclusion : je crains que votre amie américaine profite de votre relation pour vous évangéliser. A vous de faire la part des choses : prenez vos médicaments et laissez la prier pour vous.
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@Gilles92 bonjour et merci pour votre message. Je suis désolée pour votre tante et je connais aussi les évangélistes... je n'adhère pas du tout.
Quant à cette amie, elle est catholique et est devenue du style pur et dur... Je sais que c'est pour elle son moyen de sauvegarde. Je suis née à Los Angeles et je l'ai connue lorsque j'avais 9 ans. On ne s'est quasiment jamais perdu de vue depuis toutes ces années. Elle est très pratiquante et ne parle que de "God"... Ok je veux bien mais... s'en remettre à "God" pour tout à ce point et n'avoir que "God" à la bouche me semble exagéré. Si cela l'aide tant mieux pour elle, je ne juge pas. Je lui ai fait part de mon désaccord par rapport au traitement qui manifestement m'est nécessaire. Chacune reste sur ses positions. Je vois bien que j'en ai besoin puisque malgré mes efforts je n'arrive pas à sortir de cet état de non-être. Les médicaments sont nécessaires lorsque l'on a atteint le fond et qu'on arrive plus à s'en sortir surtout lorsqu'on est aussi seule que moi.
Gilles92
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Gilles92
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Ami
@newpath2021 Vous admettrez qu'en l'espèce, l'étiquette n'a que peu d'importance. Vous avez besoin d'une amie, pas d'un gourou. Vous avez semble t'il beaucoup en commun : une détresse personnelle, une jeunesse commune, un lien de fidèlité, un besoin spirituel. Mais l'amitié comme l'amour ne supposent-il pas de laisser une part de liberté à l'autre en échange de sa confiance ? Les désaccords font partie de l'altérité, mais si votre amitié est véritable ce qui vous rassemble devrait être plus fort que ce qui vous sépare, non ?
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Candice.S
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Bonjour à tous et à toutes,
Comment allez-vous ?
Comme vous le savez, nous avons dû fermer la discussion "Échanger autour de la dépression ? (ancien)" car elle devenait très longue.
Nous vous invitons à reprendre vos échanges sur celle-ci !
En espérant que vous y trouviez un endroit d’échange et de partage tout aussi convivial et que de nouveaux membres en profiterons pour rejoindre cette nouvelle discussion !
Très belle journée à tous,
Candice de l’équipe Carenity