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Transparence médicale : quand le malade souffre de trop savoir
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BABARD
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BABARD
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à scobidoo = superbes tes liens pour se défendre, nécessaires pour avoir des arguments massifs, ils nous prennent trop souvent pour des c... Mais il ne faut JAMAIS se laisser faire, baisser la tête, et garder le silence ! NON, vous ne devez JAMAIS..... Essayez UNE fois, vous serez surpris.... vous avez des droits défendez vous ! Mon épouse à la Fibro, vous connaissez ! Eh bien ayant rencontré des Profs, spécialistes divers, médecins.... elle fut " trimballée " pendant plus de 15 ans ! Nous en avons entendu de telles idioties .... par des ignorants et incompétents .... Depuis qq. années, ils ne savent toujours pas comment soigner cette maladie..... et prescrivent n'importe quoi.... Ma femme se bat, sans aucun médicament, elle ne souffre pas plus néanmoins ! Aussi je vous incite de VOUS BATTRE contre cette caste de .... ( il arrive parfois, au détour d'un chemin de campagne, qu'un généraliste vous dise " mais bon sang, mais OUI, vous avez .... " En 5 minutes il a TOUT deviné et COMPRIS ..... enfin, NON, vous n'êtes pas ce qu'ils vous disaient !!! COURAGE à TOUS ...
rickurz
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rickurz
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j'espère qu'ils ne vont pas s'apercevoir que je suis un extra terrestre ....
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Ah! Oui? Vous pouvez me dire comment c'est d'ou vous venez?
A votre place je ne me serais pas posé sur ce tas de [contenu modéré par un administrateur] , dans tous les sens du terme qu'est LA TERRE
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rickurz ! Sois quand même prudent ! LOL !
rickurz
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rickurz
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il y a longtemps qu'on est parmi vous , regardez autour de vous vous allez surement en voir , en fait on est venu sur terre parce que vous avez de bonnes médecines et puis vous êtes rigolos
BABARD
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Cette TERRE est simplement ce que les hommes en font ! La Liberté c'est celle là, mais tout pourrait changer si le coeur de l'homme changeait ! Trop simple, naif ?? Pourtant vrai, alors tentons d'apporter un peu de joie et de bonheur à ceux que nous croisons .... c'est trop simple, pas vrai !! Le monde ne changera que grâce à nous tous ... Nous avons notre destin en main ! Malades, nous pouvons aussi le faire, soyez en persuadé ! Bonne journée à TOUTES et TOUS.
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Ah! Pour étre rigolo , c'est pas faux , pour la bonne médecine , ça reste a voir
BABARD
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hobit67 = Pour cela , je partage tout à fait votre analyse .... Car , ne serait ce que pour mon diabete type2, ils ne sont pas capables de m'expliquer que j'ai pu perdre 20 kgs en réduisant mon alimentation ET que je puisse faire des hypers subites, incontrôlées, qu'ils ne comprennent pas ! Alors, cool, comme me dit mon diabetologue retraité + diabetique lui aussi = " laissez pisser le mérinos "..... sous entendu SOYEZ COOL ne cherchez pas trop.. faites au mieux et oubliez cette maladie ! Alors ne soyons pas plus royaliste que le roi !! COURAGE à tous et sourions ce WE !
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Hobit : Il faut toujours du temps pour vivre en paix avec une longue maladie. Elizabeth Kubler-Ross a bien décrit le processus et les bons médecins sont parfaitement au courant de ce processus de "deuil de la santé". Lire le lien.
http://www.educationdupatient.be/cep/pages/educationpatient/ep42.htm
Ensuite pour revenir au post de Julien et à la loi de 2002, "l'égalité" entre patient et soignant N'A JAMAIS ETE RETABLIE, même si certains soignants sont plus "proches" des patients (surtout chroniques) que d'autres. Ils se sentent beaucoup trop supérieurss par rapport à ceux qui ne sont pas passés par la fac de médecine (mais qui parfois sont passés par d'autres Facultés). Qu'on se le dise.
J'ai dit à mon diabétologue à ma dernière consultation que je voulais, bien que détestant les tatouages, me faire tatouer en gros sur la poitrine : "ne me ranimez pas". Et comme d'hab, ça l'a fait rire. J'ai eu ses félicitations habituelles pour mes résultats, mon ordonnance (que je lui ai dictée), et basta ! A la prochaine (ordonnance) doc !
Euh... BABARD... "oubliez cette maladie" ça aussi ça me fait beaucoup rire. Je la soigne très sérieusement TOUTE SEULE avec la + grande attention car si je "l'oublie" c'est exactement là que tout commence à se gâter car le diabète ne nous oublie jamais, lui ! Je le soigne avec beaucoup d'attention ET DE SERENETE mais je ne l'oublie jamais car c'est exactement là que commence la déconnade.
P.S. Etant diabétique TYPE 1 (et non T2) et pratiquant l'insulinothérapie fonctionnelle j'adapte le diabète et mon traitement à ma vie ert non l'inverse ; donc si j'ai envie d'un gâteau je mange un gâteau en faisant un peu + d'insuline et je suis rarement en hyperglycémie... mais il ne se passe pas du tout la même chose dans le corps des T1 et celui des T2) w.e. ou pas je suis COOL mais n'oublie jamais les réalités.
BABARD
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BABARD
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à jojo9203 = vous avez raison, on ne peut jamais totalement oublier ce diabete T1 ou T2 ; c'est ce que me dit mon diabétologue " adoré " par " laisser pisser le mérinos ..." Il a l'avantage d'être diabetologue + diabétique... mais gros ( je lui ai dit !!! ) il a une HbA1C de 5 ! Comme quoi nous ne sommes pas tous identiques .... Néanmoins, il nous faut prendre du recul face à nos glycémies qui ne sont pas celles espérées .... Mourir en bonne santé .... ou pas .... c'est la maladie imposée à tous ! Alors.... Courage et bonne journée à vous et à tous
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Julien
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Julien
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LIVRE - Dans son ouvrage «Docteur, ne me dites pas tout», Anne-Marie Merle-Béral décrypte les relations entre patients et médecins et s'interrogent sur l'impératif du «tout dire».
Une maladie grave est l'histoire d'une double chute. Le patient «tombe» malade tandis que son médecin, «dieu infantile et omnipotent», peut défaillir devant trois tâches immenses: annoncer le diagnostic, organiser un suivi semé d'embûches, parfois mener le malade vers sa demeure ultime…
La loi du 4 mars 2002 et la démocratie sanitaire ont instauré un «droit à l'information» censé rétablir l'égalité entre patients et médecins. Mais dans la maladie, écrit Anne-Marie Merle-Béral, il y a toujours «d'un côté une personne en état d'infériorité par sa faiblesse et, de l'autre, la personne aidante qui a un pouvoir. Nul ne peut modifier cette situation inégale».
Carcan législatif et thérapeutique
Médecin, psychiatre et psychanalyste, Anne-Marie Merle-Béral explore la relation entre patient et soignant à l'aune du sacro-saint impératif du «tout dire», qu'elle juge parfois dangereux pour le soignant comme pour le soigné.
Le médecin, affirme la psychanalyste,se retrouve seul dans un carcan législatif et thérapeutique. Envahi par la technique et les protocoles thérapeutiques, il ne dispose pas toujours du temps nécessaire pour comprendre qui est son patient, ce qu'il vit, ce qu'il souffre, ce qu'il espère.
Mais surtout, la loi (du moins le médecin le croit-il) l'oblige à tout dire, loin de l'«asepsie verbale» pratiquée autrefois. «Le médecin était capable de dire tout en se taisant. Il biaisait quand il le fallait pour le bien-être du malade. Et il en avait le droit». Médecine paternaliste, certes, mais qui savait protéger lorsqu'il en était besoin.
«Parce qu'il préfère le clair-obscur, depuis toujours l'être humain effectue de petits arrangements avec la mort», nous dit Anne-Marie Merle-Béral. Mais désormais, le clair-obscur n'est plus possible.
«Condamné à voir son mal»
Le malade doit savoir de quoi il souffre, écouter des pronostics de survie, connaître son dossier. Il doit participer à des programmes d'éducation thérapeutique, responsable de son mal même lorsqu'il ne peut porter ce trop lourd fardeau. Il doit participer aux choix de traitements bien que dépourvu des connaissances nécessaires. Parfois le médecin «pense tout haut», pas certain de son diagnostic, mais contraint à la transparence de crainte d'être poursuivi pour défaut d'information.
Une transparence à tous crins qui, selon Anne-Marie Merle-Béral, peut empêcher le malade de mettre en place des défenses psychiques contre le mal. Quel que soit le soin qu'on y met, l'annonce d'une maladie grave ne peut jamais se passer «bien», affirme l'auteur. Mais en plus de cette première blessure, «les stratégies habituelles du Moi, clivage et déni, ne peuvent fonctionner» dans le système de soin actuel. «Condamné à voir son mal, les yeux maintenus grand ouverts», le malade ne peut plus s'en protéger en le niant ou en l'«isolant» dans les recoins de son psychisme. Interdit de «régression structurante», il ne peut plus se faire dorloter dans une passivité reposante. Le malade, regrette l'auteur, est comme le taureau d'une corrida: «D'abord blessé par les banderilles de l'annonce, puis traumatisé par les piques insistantes des discours de l'information éclairée qui font saigner son narcissisme.» Il a, concède l'auteur, le droit de savoir. Mais gare à ne pas l'écraser plus encore que ne le fait déjà la maladie.
Source : LeFigaro.fr