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Plutôt mourir que de prendre des médicaments à vie ?
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Aller au dernier commentaireUtilisateur désinscrit
Tout à fait Chene.
On m'a donné du Cyflox 500 qui ne m'a pas fait passé ma trachéïte puisque c'était une hernie hiatale et des polipes...
Par contre, depuis 2010, j'ai tjs mal aux tendons d'Achille, aux pieds et chevilles.
Je n'arrive plus à marcher qu'avec des baskets, des chevillères, des semelles et des soquettes et, encore, pas longtemps.
laurelyn13
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laurelyn13
Dernière activité le 14/07/2020 à 09:01
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Ami
bonjour, quand on a une maladie chronique invalidante on ne peut pas vivre sans traitement... Sinon avec un handicap et de grosses douleurs.
J'ai un traitement par biothérapies biensur avec de nombreux désagrément mais au moins j'arrive à vivre à peu près normalement et profiter de mes enfants et ma famille ! A 41 ans je ne me vois pas sans ce traitement !!!
Utilisateur désinscrit
Je suis du même avis que toi laurelyn13, je ne peux pas me passer de mes médicaments.
philippe-44160
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philippe-44160
Dernière activité le 17/11/2024 à 16:15
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Ami
Bonjour,
C'est un sujet, qui est à la fois simple et compliqué. Pour ma part, chaque être humain est différent, par conséquent une réponse ne peux qu'être différente. Aussi, il faut prendre en considération la vie sociale de chaque instant. Aujourd’hui, je réagis en fonction de mes connaissances et demain d’une manière différente, car elles aurons évoluées. Au niveau médicale c'est très complexe, car les actions et réactions, ne sont connus que par les spécialistes. Je pense, qu’il est nécessaire que la communication soit le liens très fort entre les différents êtres humains, afin de pouvoir« collaborer avec le patients» et de pouvoir offrir une vie agréable et heureux pour le malade .
Ma réaction est dû à une prise de médicaments qui ne peux pas me permettre d’être satisfait, « C'est-à-dire : c’est le chat qui je mords la queux ».Néanmoins, je continue mes recherches, le pourquoi et comment, j’en suis arrivé avoir cette maladie.
Enfin, plus il y aura des échanges sur différentes sujets, cela permettra d’améliorer la santé et avoir une vie heureux. ….
Philippe
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Philippe44160
quesaquo
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quesaquo
Dernière activité le 30/09/2024 à 09:06
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Une fois certaines opérations nécessaires effectuées, on est bien obligé de prendre des médicaments qui ne sont pas forcément difficiles à accepter...ex: ablation de la thyroïde. Mais lorsque cela se cumule et que pour remplir le pilulier, on a l'impression d'ouvrir des tas de "paquets cadeaux" sous le sapin de Noël, cela devient pesant...et les effets secondaires qu'on ne sait à qui attribuer...RIEN NE VAUT LA SANTE
verveine
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verveine
Dernière activité le 05/12/2019 à 17:32
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Quesaquo a entièrement raison, on prend un médicament qui est une hormone de synthèse pour remplacer la thyroide (ablation) et après quand il faut rajouter d'autres médoc on ne sait plus à lequel sont attribués les effets secondaires. Mais si la santé se détériore nous n'avons pas toujours le choix, le mieux c est de vivre sainement.
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VERVEINE
rose972
rose972
Dernière activité le 12/10/2018 à 01:10
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Ami
Prendre des médicaments à vie n'a rien de très joyeux mais lorsque c'est la solution pour pouvoir vivre à peu près normalement nous n'avons pas le choix, mais c'est aussi à chacun de faire ses choix, moi les miens sont faits, je veux bien prendre tous ces médicaments mais je ne veux plus être opérée de quoi que ce soit et encore moins des deux anévrismes que j'ai. Si mon chemin doit s'arrêter là il s'arrêtera.
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rose972
Utilisateur désinscrit
Quand bien même on croirait ne pas avoir le choix, on l'a toujours et même celui de faire le + mauvais mais il vaut mieux soit faire le meilleur, soit faire le moins mauvais.
Utilisateur désinscrit
bonjour
Tous os points de vue sont intéressant, cela peut donner à réfléchir sérieusement .
Bonjour philippe 44160, nous sommes voisin (juste pour info)
clt
Utilisateur désinscrit
Ah bon, le sage, tu n'as pas l'intention d'offrir le café un jour à Philippe ?
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Léa.Blas
Animatrice de communautéBon conseiller
Léa.Blas
Animatrice de communauté
Dernière activité le 15/11/2024 à 09:32
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Une personne sur trois accepterait de vivre moins longtemps si cela lui permettait de ne pas avoir à prendre un traitement médical à vie, révèle une récente étude.
Quelques semaines de vie en moins contre une existence sans médicaments. C'est le choix qu'ont fait près d'un tiers des volontaires interrogés pour une étude parue lundi dans Circulation: Cardiovascular Quality and Outcomes, le journal de l'association américaine du cœur.
Des chercheurs de l'université de Californie à San Francisco et de l'université de Caroline du Nord ont demandé à 1000 volontaires, tous âgés d'une cinquantaine d'années, de répondre à un questionnaire via internet. Parmi les questions qui étaient posées: «De combien de temps seriez-vous prêts à raccourcir votre vie si cela pouvait vous permettre de ne pas devoir prendre un traitement cardiaque permanent?». On les a également interrogés sur la somme d'argent qu'ils seraient prêts à débourser et sur le taux d'augmentation des risques de mortalité qu'ils seraient prêts à accepter pour éviter d'être contraints de prendre un traitement cardiaque à vie.
29 % préfèrent mourir plus tôt
Après analyse des réponses, les chercheurs ont constaté que 8 % des participants accepteraient de renoncer à deux années de leur vie au minimum si cela pouvait leur éviter de prendre des pilules chaque jour du reste de leur existence, quand 21 % affirment qu'ils seraient d'accord pour troquer d'une semaine à une année entière. Près de 70 % des personnes interrogées refuseraient de mourir plus précipitamment même si cela leur assurait une vie sans médicaments.
Concernant l'augmentation des risques de mortalité encourus s'ils ne prenaient pas leurs traitements: 13 % des participants se déclarent prêts à accepter des risques minimes pour éviter les pilules au quotidien et 9 % toléreraient jusqu'à 10 % de risques en plus. Près de 62 % des participants déclarent en revanche ne pas vouloir prendre le risque d'une mort immédiate, peu importe les conditions.
Enfin, 21 % se disent prêts à payer 1000 dollars (environ 870 euros) ou plus pour éviter les médicaments à vie quand 43 % déclarent qu'ils ne paieraient rien.
La rentabilité des médicaments
«Nous avons voulu mesurer à quel point le fait de devoir prendre un traitement au quotidien interfère dans la qualité de vie des patients», explique Robert Hutchins, auteur de l'étude et professeur de médecine à l'université de Californie, «Être contraint d'avaler une pilule chaque jour détériore le quotidien d'un individu au point que certains préféreraient mourir plus tôt si cela leur permettait d'en être dispensés».
Les chercheurs précisent néanmoins que le questionnaire était hypothétique pour les personnes interrogées. Bien qu'il ait été stipulé aux participants qu'ils n'auraient rien à débourser pour le traitement cardiaque et qu'il fallait ignorer la probable existence d'effets secondaires, les chercheurs ne sont pas certains que ces critères n'aient pas affecté leurs réponses. «Le fait que nous n'ayons pas noté de grandes différences entre les résultats nous amène à penser que ce facteur n'a pas énormément faussé les réponses», précise l'auteur de l'étude.
«Si même les contraintes les plus minimes ayant trait à la prise d'un traitement contribuent à détériorer la qualité de la vie des gens, cela soulève la question de la rentabilité des médicaments à l'échelle d'une population», ajoute le Pr Hutchins, «Je pense que nos constatations sont à prendre en compte dans l'élaboration des futures politiques publiques de prévention, particulièrement concernant l'efficacité et surtout l'observance des traitements, qui, quand elle n'est pas respectée peut coûter cher».
Source : LeFigaro