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Plutôt mourir que de prendre des médicaments à vie ?
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nainnain
Bon conseiller
nainnain
Dernière activité le 29/10/2022 à 10:15
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Bonjour,
Moi, pour ma leucémie, (LMC) je prends du glivec 400, 3 loupés dans le mois, et c'est un risque important de rechute, sachant que rechute, risque très élevé pour une mutation vers une leucémie plus grave. Malgré des "effets secondaires, parfois difficiles à vivre, je vis, pour moi, ma femme et mon fils. il y a environ une dizaine d'années, il n'y avait pas de traitement qui permettait de vivre avec une grande espérance de vie comme aujourd'hui, et je me dis, que beaucoup de patients décédés auraient tant aimé recevoir ce type de médicament. Malgré tous les problèmes cités ci-dessus, je viens de faire aujourd'hui, 50 km en vélo avec deux autres sorties de prévues cette semaine, comme quoi ?
J'oubliais je prends en plus du glivec 12 autres cachets pour diabète, etc.
Bon courage à vous
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Cyclo
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Julialex je vis sans médicaments et c'est pas n'importe quoi
Félicitations Nainnain
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El Gato
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El Gato
Dernière activité le 24/01/2021 à 08:41
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74 commentaires postés | 7 dans le groupe Revue de presse
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Médicaments ou pas je retourne faire un petit séjour à l'hôpital car le docteur craint que derrière tout cela il y ai encore ??? Avec un peu de chance on retira certains médicaments ........ mais faut pas rêver pour en mettre d'autres Mais bon quoi qu'il en soit le moral est au top et vais profiter pour me reposer broder si mes mains ne font pas trop la java Bon courage à tous
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El Gato
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Le moral c'est une grande part du mieux être et donc mieux vivre El Gato, donc c'est déjà bien, faut continuer dans ce sens
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Le moral : entièrement d'accord.
Mais sans les médicaments, je suis tellement mal que mon moral a du mal à faire surface.
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Bonjour,
Je ne peux pas gérer mes douleurs, ma dépression, mon sommeil, sans les médicaments. J'ai essayé d'autre médecine et sa ne marche pas pour moi. Donc je préfère vivre avec mes médicaments que mourir sans. Quand on a pas le choix et que l'on souffre on prend ce qui nous soulage.
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Tout à fait d'accord.
Sans les médicaments, je n'arriverai même plus à parler ni à manger tellement j'ai mal à la gorge sans le Météoxane pour la Hernie Hiatale et les polypes qu'il faut laisser comme cela d'après le gastro après coloscopie.
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Bonjour à toutes & tous, notre organisme est diffèrent même avec les même médocs c'est pour cela qu'il faut parler calmement de nos problèmes ,moi par exemple mon cardiologue après mon infarctus ma donné du tenormine pour me protéger de l'angine de poitrine ,j'ai eu les vaisseaux et les veines bouchées il me l'a de suite arrêté j'en est souffert pendant 1 ans avec un traitement lourd j'ai pu récupérer mes mains , voila les amis ,bonne soirée.
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Désolée pour toi CHENE...
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Léa.Blas
Animatrice de communautéBon conseiller
Léa.Blas
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Dernière activité le 15/11/2024 à 09:32
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Une personne sur trois accepterait de vivre moins longtemps si cela lui permettait de ne pas avoir à prendre un traitement médical à vie, révèle une récente étude.
Quelques semaines de vie en moins contre une existence sans médicaments. C'est le choix qu'ont fait près d'un tiers des volontaires interrogés pour une étude parue lundi dans Circulation: Cardiovascular Quality and Outcomes, le journal de l'association américaine du cœur.
Des chercheurs de l'université de Californie à San Francisco et de l'université de Caroline du Nord ont demandé à 1000 volontaires, tous âgés d'une cinquantaine d'années, de répondre à un questionnaire via internet. Parmi les questions qui étaient posées: «De combien de temps seriez-vous prêts à raccourcir votre vie si cela pouvait vous permettre de ne pas devoir prendre un traitement cardiaque permanent?». On les a également interrogés sur la somme d'argent qu'ils seraient prêts à débourser et sur le taux d'augmentation des risques de mortalité qu'ils seraient prêts à accepter pour éviter d'être contraints de prendre un traitement cardiaque à vie.
29 % préfèrent mourir plus tôt
Après analyse des réponses, les chercheurs ont constaté que 8 % des participants accepteraient de renoncer à deux années de leur vie au minimum si cela pouvait leur éviter de prendre des pilules chaque jour du reste de leur existence, quand 21 % affirment qu'ils seraient d'accord pour troquer d'une semaine à une année entière. Près de 70 % des personnes interrogées refuseraient de mourir plus précipitamment même si cela leur assurait une vie sans médicaments.
Concernant l'augmentation des risques de mortalité encourus s'ils ne prenaient pas leurs traitements: 13 % des participants se déclarent prêts à accepter des risques minimes pour éviter les pilules au quotidien et 9 % toléreraient jusqu'à 10 % de risques en plus. Près de 62 % des participants déclarent en revanche ne pas vouloir prendre le risque d'une mort immédiate, peu importe les conditions.
Enfin, 21 % se disent prêts à payer 1000 dollars (environ 870 euros) ou plus pour éviter les médicaments à vie quand 43 % déclarent qu'ils ne paieraient rien.
La rentabilité des médicaments
«Nous avons voulu mesurer à quel point le fait de devoir prendre un traitement au quotidien interfère dans la qualité de vie des patients», explique Robert Hutchins, auteur de l'étude et professeur de médecine à l'université de Californie, «Être contraint d'avaler une pilule chaque jour détériore le quotidien d'un individu au point que certains préféreraient mourir plus tôt si cela leur permettait d'en être dispensés».
Les chercheurs précisent néanmoins que le questionnaire était hypothétique pour les personnes interrogées. Bien qu'il ait été stipulé aux participants qu'ils n'auraient rien à débourser pour le traitement cardiaque et qu'il fallait ignorer la probable existence d'effets secondaires, les chercheurs ne sont pas certains que ces critères n'aient pas affecté leurs réponses. «Le fait que nous n'ayons pas noté de grandes différences entre les résultats nous amène à penser que ce facteur n'a pas énormément faussé les réponses», précise l'auteur de l'étude.
«Si même les contraintes les plus minimes ayant trait à la prise d'un traitement contribuent à détériorer la qualité de la vie des gens, cela soulève la question de la rentabilité des médicaments à l'échelle d'une population», ajoute le Pr Hutchins, «Je pense que nos constatations sont à prendre en compte dans l'élaboration des futures politiques publiques de prévention, particulièrement concernant l'efficacité et surtout l'observance des traitements, qui, quand elle n'est pas respectée peut coûter cher».
Source : LeFigaro