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Plutôt mourir que de prendre des médicaments à vie ?
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Aller au dernier commentaireUtilisateur désinscrit
Bonjour à tous , super les messages sont agréables a lire , pour moi je fais très attention de ne pas oublier un médoc je tiens à la vie pour mon épouse mes enfants & petits enfants , bonne journée à vous tous .
Utilisateur désinscrit
bonjour à tous..sujet intéressant mais étude américaine...ca devrait mieux passer avec un hamburger...
comme vous l'avez dit...demandez à un diabétique d'arrêter son insuline...c'est un suicide ...id pour bien d'autres pathologies...
par contre, si "on" oublie (voir aussi le contexte..) une prise d'anxiolytique...c'est plutôt
tout ca pour dire mon avis juste perso...attention qd même à une bonne observance des traitements en général....et demandez à votre médecin pour certains...c'est ballot de se retrouver hospitalisé...le jeu (américain) n'en vaut pas la chandelle. (à mon avis mais je lis tous les avis...)
Utilisateur désinscrit
Bonjour,
@diabéqui
J'ai du mal à vous suivre : vous n'êtes pas d'accord avec mon 1er post ce qui est votre Droit le + total. Mais plutôt que d'en débattre sur le forum vous me contactez en MP car j'aurai mal compris vos propos (et sur le site vous récidivez). Vous argumentez "ne pas soulever de polémiques". Ma réponse ne vous satisafait pas. Entre comprendre et adhérer il y a différence non ?
Je comprends la souffrance des autres et chacun réagit à sa manière. Pour certains(es) ça glissera, pour d'autres ils/elles feront vivre un enfer à leur entourage. On ne va pas dder à quelqu'un qui souffre "de mettre de l'eau dans son vin"...."pour le bien-être des autres"....faut pas renverser la situation.
Pour en revenir au sujet, je confirme ma position : je refuse de prendre un stock de médicaments pour soit-disant prolonger ma vie. On sera tous centenaires....malades 80 ans de notre vie ? je ne vois pas l'intérêt, d'autant que lesdits médicaments nous apporteront d'autres pathologies et cela tout le monde le sait. Alors le médoc "pour aller mieux"...mouais, dubitative totalement.
Serena
Utilisateur désinscrit
serena , je comprends ta position...elle se défend tout à fait aussi , c'est pour cela que je ne veux pas de polèmiques mais lire les avis qui sont tous très instructifs...car chacun est une personne unique et que l'on doit respecter comme telle. Nous avons tous des vécus différents sur cette terre...alors nous ne pouvons pas faire de généralités, simplement comprendre que nous ne détenons pas une vérité et que le partage ouvre nos façons de penser...
pas besoin de mp pour discuter simplement et revoir aussi nos convictions dûes justement à des incompréhensions...
très amicalement, merci à vous toutes d'être là
scoobidoo
Bon conseiller
scoobidoo
Dernière activité le 27/01/2024 à 01:45
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2 713 commentaires postés | 460 dans le groupe Revue de presse
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Il me semble que le titre du post ne reflète pas le contenu de l'article.
En fait, ce sont des gens de 50 ans qui disent préférer perdre quelques semaines de vie plutôt que de prendre des médicaments jusqu'à la fin de leurs jours.
On ne dit pas que ce sont des malades ni des douloureux, leur réponse est donc logique si c'est le seul risque.
Francine
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La vie est belle si on ne lui demande pas plus que ce qu'elle peut donner.
Utilisateur désinscrit
oui tu as raison !
Utilisateur désinscrit
@arnica,
Justement, me contacter en MP pour me faire adhérer à une idée et non en débattre en direct, aucun intérêt.
Serena
Utilisateur désinscrit
C est instructif que tt le monde profite du débat.
Pour l instant je préfère vivre avec ts mes médicaments mes soucis de travail et de papiers tt le temps ainsi que mes douleurs et ma fatigue épuisante car maman a besoin de moi.
Ensuite je changerai peut-être d avis. Je ne sais pas.
Comme quoi tt dépend du vécu de chacun.
Bon week-end.
Utilisateur désinscrit
angelina vous avez raison voila un bon raisonnement , bonne continuation & bon WE .
Utilisateur désinscrit
Merci Chêne. Bonne continuation et bon week-end à toi aussi.
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Léa.Blas
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Léa.Blas
Animatrice de communauté
Dernière activité le 15/11/2024 à 09:32
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Une personne sur trois accepterait de vivre moins longtemps si cela lui permettait de ne pas avoir à prendre un traitement médical à vie, révèle une récente étude.
Quelques semaines de vie en moins contre une existence sans médicaments. C'est le choix qu'ont fait près d'un tiers des volontaires interrogés pour une étude parue lundi dans Circulation: Cardiovascular Quality and Outcomes, le journal de l'association américaine du cœur.
Des chercheurs de l'université de Californie à San Francisco et de l'université de Caroline du Nord ont demandé à 1000 volontaires, tous âgés d'une cinquantaine d'années, de répondre à un questionnaire via internet. Parmi les questions qui étaient posées: «De combien de temps seriez-vous prêts à raccourcir votre vie si cela pouvait vous permettre de ne pas devoir prendre un traitement cardiaque permanent?». On les a également interrogés sur la somme d'argent qu'ils seraient prêts à débourser et sur le taux d'augmentation des risques de mortalité qu'ils seraient prêts à accepter pour éviter d'être contraints de prendre un traitement cardiaque à vie.
29 % préfèrent mourir plus tôt
Après analyse des réponses, les chercheurs ont constaté que 8 % des participants accepteraient de renoncer à deux années de leur vie au minimum si cela pouvait leur éviter de prendre des pilules chaque jour du reste de leur existence, quand 21 % affirment qu'ils seraient d'accord pour troquer d'une semaine à une année entière. Près de 70 % des personnes interrogées refuseraient de mourir plus précipitamment même si cela leur assurait une vie sans médicaments.
Concernant l'augmentation des risques de mortalité encourus s'ils ne prenaient pas leurs traitements: 13 % des participants se déclarent prêts à accepter des risques minimes pour éviter les pilules au quotidien et 9 % toléreraient jusqu'à 10 % de risques en plus. Près de 62 % des participants déclarent en revanche ne pas vouloir prendre le risque d'une mort immédiate, peu importe les conditions.
Enfin, 21 % se disent prêts à payer 1000 dollars (environ 870 euros) ou plus pour éviter les médicaments à vie quand 43 % déclarent qu'ils ne paieraient rien.
La rentabilité des médicaments
«Nous avons voulu mesurer à quel point le fait de devoir prendre un traitement au quotidien interfère dans la qualité de vie des patients», explique Robert Hutchins, auteur de l'étude et professeur de médecine à l'université de Californie, «Être contraint d'avaler une pilule chaque jour détériore le quotidien d'un individu au point que certains préféreraient mourir plus tôt si cela leur permettait d'en être dispensés».
Les chercheurs précisent néanmoins que le questionnaire était hypothétique pour les personnes interrogées. Bien qu'il ait été stipulé aux participants qu'ils n'auraient rien à débourser pour le traitement cardiaque et qu'il fallait ignorer la probable existence d'effets secondaires, les chercheurs ne sont pas certains que ces critères n'aient pas affecté leurs réponses. «Le fait que nous n'ayons pas noté de grandes différences entre les résultats nous amène à penser que ce facteur n'a pas énormément faussé les réponses», précise l'auteur de l'étude.
«Si même les contraintes les plus minimes ayant trait à la prise d'un traitement contribuent à détériorer la qualité de la vie des gens, cela soulève la question de la rentabilité des médicaments à l'échelle d'une population», ajoute le Pr Hutchins, «Je pense que nos constatations sont à prendre en compte dans l'élaboration des futures politiques publiques de prévention, particulièrement concernant l'efficacité et surtout l'observance des traitements, qui, quand elle n'est pas respectée peut coûter cher».
Source : LeFigaro