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- Plutôt mourir que de prendre des médicaments à vie ?
Plutôt mourir que de prendre des médicaments à vie ?
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assez complexe mais interressant.
christian04
christian04
Dernière activité le 25/05/2015 à 23:34
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15 commentaires postés | 1 dans le groupe Revue de presse
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Tout cela dépend du traitement ... Médicaments ok... Hôpital je ne crois pas , à la maison c'est mieux , mais ...
NICKITA03
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NICKITA03
Dernière activité le 20/11/2024 à 19:10
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Malheureusement pour nous autres diabétiques on ne peut pas se passer de notre traitement au quotidien et on ne resiterait pas longtemps sans nos médocs !!!
Notre vie s'arrêterait vite pas besoin d'attendre longtemps c'est de tout façon inéluctable, par contre je veux bien échanger mes 4 injections quotidiennes contre 1 petite pilule/jour ! entre les 2 le choix est vite fait.
Allez discuter de ça avec des dialysés ou autres maladies contraignantes, je pense qu'ils n'ont pas le choix du traitement.
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Nickie
Utilisateur désinscrit
BONJOUR
ça doit être des gens ""sains"" qui pour leurs majorité n'ont peut-être même jamais souffert de douleurs chroniques
clt
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Alors moi, ce genre d'étude m'exaspère !
Pourquoi ? D'abord parce que je suis diabétique depuis l'âge de 10 ans et que j'en ai maintenant 75 et comme j'ai animé beaucoup de groupes de diabétiques de tous types et de tous âge au sein des Associations, je peux vous dire qu'il y a très peu de suicides dans cette population qui vit avec de nombreuses contraintes médicales.
Ensuite demander aux gens ce qu'ils feraient s'il étaient atteints de telle ou telle maladie au long cours est carrément STUPIDE. Pourquoi ? parce que j'ai souvent entendu des gens dire : si j'étais atteint(e) de telle maladie (en particulier en ce qui concerne les cancers) je me suiciderais. Eh bien j'ai côtoyé de nombreuses femmes atteintes du cancer du sein à l'Institut Curie en tant que patiente et je peux vous dire qu'après le choc violent qu'est l'annonce de cette maladie et la pénibilité des traitements qui s'ensuivent, ces femmes se battaient très fort.
On ne peut JAMAIS dire comment on réagirait devant telle ou telle épreuve, hormis le choc qui est prévisible dès le départ. Et ça n'a aucun sens d'interroger des gens en bonne santé sur ce qu'ils feraient en cas de maladie grave... parce qu'une maladie quelle qu'elle soit, même très pénible c'est autre chose que lorsqu'on n'est PAS malade.
Je trouve perrsonnellement que le diabète m'a beaucoup appris... sur moi-même et sur les autres (et là je parle sur le plan psychologique seulement). Sur le plan médical aussi mais ce n'est pas le sujet.
P.S. Une chose m'a amusée (quand même !) dans ce qui est exposé à savoir la fameuse "étude" : le questionnaire sur les "sacrifices" d'années à vivre sans prendre des pillules" ... parce que, si la question avait été "5 piquouses par jour et minimum 6 piqûres au bout du doigt pour glycémies capillaires toute la vie"... les réponses auraient été très... comiques !
Utilisateur désinscrit
cette etude est faite pour des personnes non chroniques,car qd on est malade,on prefere se battre,vivre tout en prenant un traitement que de demander d en finir!!!
et puis,tout depend bien sur de la maladie,mais si elle est traitable au quotidien,meme sous surveillance,ca vaut qd meme le coup de se battre!mais je pense que je reagirais peut etre differemment si j avais une maladie beaucoup plus grave!
El Gato
Bon conseiller
El Gato
Dernière activité le 24/01/2021 à 08:41
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74 commentaires postés | 7 dans le groupe Revue de presse
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A ce jour qu'importe les médicaments VIVRE est le plus important !!! Gérer les douleurs est le plus facile pour moi mais pour supporter la fatigue ??? Après faire comme si ......... et allez de l'avant
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El Gato
matinclair
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matinclair
Dernière activité le 12/05/2022 à 10:37
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Mon mari ne disait pas la même chose que vous quand il a eu sa chimio pour son cancer du mésothémium !!! il disait tous les jours " j'en ai marre de tout çà je ne veus plus prendre ces p....... de médocs et de chimio etc !!!! et actuellement il est en rémission et même là il n'arrête pas de le dire !! c'est quelqu'un qui n'a jamais été malade avant çà et qui n'a jamais eu besoins de se soigner donc tout çà à été très difficile pour lui !!! très dur à accepter !! çà fait un peu plus de 4 ans que son cancer à démarrer et j'appréhende quand çà va redémarrer car çà va être la guerre encore à la maison avec son traitement et ses chimios à l'hopital !! mais j'espère de tout coeur que ce soit le plus loin possible !! je n'ai pas envie de revivre çà !!! !!!
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matinclair
Utilisateur désinscrit
Je pense que les personnes qui sont prêtes à ne prendre aucuns traitements c'est qu'elles ne souffrent pas suffisament, mais je crois que quand on vous dit pour certaine maladie grave il faut faire tel ou tel traitement le choix est vite fait, si vous savez que sans se traitement c'est votre vie qui est en jeu, vous n'avez mêmes plus de questions à vous poser, et il faut savoir aussi qu'il n'y a pas que les médicaments qui nous empoisonne, la polution que nous respirons tout les jours, tout ce que nous mangeons et bien d'autres choses encore!!! "à chacun son point de vue"
Utilisateur désinscrit
@matinclair :
J'ai parlé en particulier du cancer du sein pour lequel j'ai beucoup aidé les femmes à l'Institut Curie. Mais tout le monde sait que les femmes sont infiniment plus courageuses que les hommes. Attention ! je ne dis pas qu'ils sont tous des mauviettes. Je dis qu'en général les femmes sont plus courageuses.
En dépit de sa souffrance que je comprends parfaitement, ton mari ne semble pas prendre conscience ce que son comportement t'inflige. Il faudrait peut-être attirer son attention sur l'égoïsme ont il fait preuve à ton égard, même s'il est parfaitement admissible et compréhensible qu'il souffre beaucoup. Le cancer est très difficile à supporter poour tous les gens qui en son atteints et qui sont obligés de subir des traitements extrêmement difficiles et pas toujours porteurs d'une longue espérance de vie. Mais quand on s'accroche, on résiste beaucoup mieux. Je l'ai expérimenté personnellement et avec de nombreuses personnes. J'ai eu un cancer aussi en plus du diabète insulino-dépendant et je peux vous dire que ça n'a pas été une partie de plaisir... je ne donne même pas les détails de l'ignorance totale des moindres notions de traitements du diabète de certains anesthésistes (excepté un protocole STANDARD ! ! ! ! ! qui a failli me tuer tant il était insuffisant et TROP STANDARD...non je préfère ne pas donner de détails là-dessus, ni sur d'autres erreurs médicales gravissimes qui ont failli me coûter la vie à plusieurs reprises si je n'avais pas personnellement rectifié le tir sans rien dire -forte d'une erreur précédente où ils m'ont carrément confisqué mon insuline alors que j'avais fait exactement ce qu'il fallait pour m'éviter un coma acitocétoczétosique).
Mais si je parle de mes expériences passées, je veux juste tenter de t'aider car une conversation CALME avec ton époux s'impose me semble-t-il. Ce n'est pas parce qu'il souffre beaucoup qu'il doit te faire souffrir, ce qui finalement le dessert car si tu perds ainsi ton énergie, tu pourras beaucoup moins l'aider. Question de réflexion et d'intelligence. Les prises de conscience sont parfois indispensables et doivent se régler dans le calme.
Bon courage.
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Léa.Blas
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Léa.Blas
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Dernière activité le 15/11/2024 à 09:32
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Une personne sur trois accepterait de vivre moins longtemps si cela lui permettait de ne pas avoir à prendre un traitement médical à vie, révèle une récente étude.
Quelques semaines de vie en moins contre une existence sans médicaments. C'est le choix qu'ont fait près d'un tiers des volontaires interrogés pour une étude parue lundi dans Circulation: Cardiovascular Quality and Outcomes, le journal de l'association américaine du cœur.
Des chercheurs de l'université de Californie à San Francisco et de l'université de Caroline du Nord ont demandé à 1000 volontaires, tous âgés d'une cinquantaine d'années, de répondre à un questionnaire via internet. Parmi les questions qui étaient posées: «De combien de temps seriez-vous prêts à raccourcir votre vie si cela pouvait vous permettre de ne pas devoir prendre un traitement cardiaque permanent?». On les a également interrogés sur la somme d'argent qu'ils seraient prêts à débourser et sur le taux d'augmentation des risques de mortalité qu'ils seraient prêts à accepter pour éviter d'être contraints de prendre un traitement cardiaque à vie.
29 % préfèrent mourir plus tôt
Après analyse des réponses, les chercheurs ont constaté que 8 % des participants accepteraient de renoncer à deux années de leur vie au minimum si cela pouvait leur éviter de prendre des pilules chaque jour du reste de leur existence, quand 21 % affirment qu'ils seraient d'accord pour troquer d'une semaine à une année entière. Près de 70 % des personnes interrogées refuseraient de mourir plus précipitamment même si cela leur assurait une vie sans médicaments.
Concernant l'augmentation des risques de mortalité encourus s'ils ne prenaient pas leurs traitements: 13 % des participants se déclarent prêts à accepter des risques minimes pour éviter les pilules au quotidien et 9 % toléreraient jusqu'à 10 % de risques en plus. Près de 62 % des participants déclarent en revanche ne pas vouloir prendre le risque d'une mort immédiate, peu importe les conditions.
Enfin, 21 % se disent prêts à payer 1000 dollars (environ 870 euros) ou plus pour éviter les médicaments à vie quand 43 % déclarent qu'ils ne paieraient rien.
La rentabilité des médicaments
«Nous avons voulu mesurer à quel point le fait de devoir prendre un traitement au quotidien interfère dans la qualité de vie des patients», explique Robert Hutchins, auteur de l'étude et professeur de médecine à l'université de Californie, «Être contraint d'avaler une pilule chaque jour détériore le quotidien d'un individu au point que certains préféreraient mourir plus tôt si cela leur permettait d'en être dispensés».
Les chercheurs précisent néanmoins que le questionnaire était hypothétique pour les personnes interrogées. Bien qu'il ait été stipulé aux participants qu'ils n'auraient rien à débourser pour le traitement cardiaque et qu'il fallait ignorer la probable existence d'effets secondaires, les chercheurs ne sont pas certains que ces critères n'aient pas affecté leurs réponses. «Le fait que nous n'ayons pas noté de grandes différences entre les résultats nous amène à penser que ce facteur n'a pas énormément faussé les réponses», précise l'auteur de l'étude.
«Si même les contraintes les plus minimes ayant trait à la prise d'un traitement contribuent à détériorer la qualité de la vie des gens, cela soulève la question de la rentabilité des médicaments à l'échelle d'une population», ajoute le Pr Hutchins, «Je pense que nos constatations sont à prendre en compte dans l'élaboration des futures politiques publiques de prévention, particulièrement concernant l'efficacité et surtout l'observance des traitements, qui, quand elle n'est pas respectée peut coûter cher».
Source : LeFigaro