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Le « trou de la Sécu » expliqué en quatre points
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BABARD
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BABARD
Dernière activité le 21/11/2024 à 16:47
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Certains evoquent le DON à une personne dans la détresse... chacun agit librement, mais je voudrais lancer le débat car je m'interroge ! Perso je donne la pièce car QUI suis je pour juger, penser qu'il va boire ou qu.... Quand mon patron me donnait ma paie me demande t il ce que j'en fais ? Alors ne prêtons pas de mauvaises intentions à celui qui reçoit cette pièce ! Je dirais même, s'il va boire.... où est LE problème ? Il est LIBRE autant que moi, mérite le respect.... car peut être son seul plaisir ! Il s'agit là d'un " non jugement ", de l'amour du prochain ; PENSEZ VOUS que j'ai tort, que lui donner autre chose que l'argent soit mieux ?????
le pote d'Héliott
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le pote d'Héliott
Dernière activité le 02/05/2023 à 14:50
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J'ai pris plaisir à vous lire et vous en remercie, même si parfois ce fut plus ou moins mouvementé... Je ne suis pas surpris quant à moi de certains légers accrochages, qui vont de soi.
Pour rappel, vous souvenez-vous de cette série télévisée d'animation américaine de Joe Ruby et Ken Spear.
Fredrick « Fred » Jones, Rickurz, Le sage, Jr., Damedepic Blake, Chris, Serena Dinkley, Norville « Fanny » Roro, Mocouk et Scoobidoo forment un groupe d'animateurs qui résolvent des énigmes liées à des phénomènes paranormaux, ou tout simplement de leur société. Ils vivent dans la petite ville de Carenity Cove, dont le long passé d'étranges disparitions et apparitions, de présence d'éléphants et autres monstres, de nouvelles mesures, d'abus confère à celle-ci le titre «d'endroit le plus hanté mais le plus animé sur Terre» et alimente le plus grand nombre de discussions. C'est sur cette réputation que s'est construite l'industrie touristique de Carenity Cove, et c'est pourquoi certains membres de la ville, dont les parents des animateurs (principalement madame le maire Léa.Blas, le shérif JulienP et M. Chekroun, qui possède le site de la ville), n'apprécient guère que leurs membres dévoilent les supercheries mises en place par divers charlatans, ministères, politiques et labos. D'aventures en aventures, un certain « M. BABARD » intègre, communique avec beaucoup d'assurance aux héros, des indices qui pourraient être liés aux phénomènes qui se produisent à Carenity Cove. Au fil des sujets, on apprend qu'une autre équipe nommée "les Potes associés" existait bien avant celle-ci.
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«Il y a deux jours dans une année où l’on ne peut rien faire. Ils s’appellent hier et demain. Pour le moment, aujourd’hui est le jour idéal pour aimer, croire, faire et principalement vivre»
Chris31
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Chris31
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Dernière activité le 21/11/2024 à 16:23
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Coucou mon cher pote je n'ai pas tout compris car pas assez investie dans les nombreux sujets lol et n'ai pas un champs de vision élargi concernant ses protagonistes membres actifs de Cover City lol
Mais j'entame ma journée très agréablement grâce à toi qui m'a encore régalé de tes écrits ! Je te tiens au courant si je croise un monstre car les éléphants sont mimi lol ! regarde il ,y a nbien un super babard ici !
à très vite Gros smacks
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Chris31- Faites que le rêve dévore votre vie, afin que la vie ne dévore pas votre rêve. Antoine de Saint-Exupéry
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@ le pote je suis fatigué car pas beaucoup dormi ces dernières nuits, mais j'ai rien compris, désolé
Chris31
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Chris31
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Dernière activité le 21/11/2024 à 16:23
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À babard non tu n'as pas tord mais même si je suis entièrement d'accord avec toi sur le fond , pour la forme qu' à 1/2 ! Quoique maintenant je m'interroge ( réflexion à propos du bien et du mal de l'alcool du "faire la manche" )
Nous donnons pour le bien de notre prochain et il est vrai que boire ne lui fera pas du bien ça lui permettra juste de zapper sur son malheur et sa détresse. .. manger lui permettra de vivre et en même tps de lui offrir une chance de se battre ou souffrir un peu + lgtps...
ALORS ????? Je ne sais plus
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Chris31- Faites que le rêve dévore votre vie, afin que la vie ne dévore pas votre rêve. Antoine de Saint-Exupéry
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Chris31
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Et le problème de ce choix on le lui évite en lui donnant un sandwich ! Alors que l'argent passera il y a de grandes chances ds le petit (ou gros) rouge...
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Chris31- Faites que le rêve dévore votre vie, afin que la vie ne dévore pas votre rêve. Antoine de Saint-Exupéry
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Babard je pourrais retourner aussi ce que tu dis dans l'autre sens. . Car comme tu dis "qui es tu pour juger" si je préfère savoir que l'argent que j'investis sera pour qu'au moins ce jour là ce monsieur puisse avoir quelque chose dans le ventre, je ne vois pas du tout ou est le mal. Je ne pense pas que ce soit de la maltrairance. Après, désolée mais en tous cas dans ma ville je le vois tous les jours des sdf qui boivent de la bière et fume leur clope, alors qu'une bouteille d'eau et un sandwich reviendrait à moins cher et serait plus adapté à leur corps. Alors peu n'importe ce que je pense, le principal étant le don non ? C'est comme si tu me reprochais de ne pas donner à tous les sdf, sauf que financièrement je ne peux donner à tout le monde car je donne chaque année à certaines associations et que je ne suis pas Cresus. Et quand je ne peux donner de l'argent, je donne de mon temps comme demain pour la journée de l'accessibilité, et je travaille encore je ne suis ni en retraite ni en invalidité. Donc en gros pour répondre à ta question, je suis quelqu'un qui peut donner financièrement et humainement, mais qui a besoin de savoir pourquoi je donne, et je ne vois pas ou est le mal !
scoobidoo
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scoobidoo
Dernière activité le 27/01/2024 à 01:45
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Sans porter de jugement, je pense plutôt comme Babar. Si je donne, une fois fait, ça ne m’appartient plus.
Ma philosophie vaut ce qu'elle vaut, chacun fait comme il l'entend, le principal est de ne pas être indifférent, non ?
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La vie est belle si on ne lui demande pas plus que ce qu'elle peut donner.
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une chose étant sûr, c'e ne sont pas les sdf qui forme le trou de la sécu !!!
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Donc vous pourriez donner à une association quelconque et ça ne vous ferait pas ch... si vous appreniez quelques temps après qu'elle détournait les fonds ? Puisque l'argent ne vous appartient plus, vous n'auriez ni rancoeur ni amertume ?
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Julien
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Julien
Dernière activité le 12/06/2024 à 11:32
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1. Trop de dépenses pour pas assez de recettes
La Sécurité sociale est complexe, car elle mélange deux principes : celui d'une assurance (je cotise pour bénéficier de prestations) et celui de la solidarité (je cotise pour offrir à tous des prestations). Lorsqu'un salarié part à la retraite par exemple, il profite d'une pension générée par la cotisation des salariés actifs et de ce qu'il a lui-même cotisé durant sa vie active. Mais on peut bénéficier du revenu de solidarité active (RSA) sans avoir cotisé à cet effet.
Or, depuis une vingtaine d'années, le rapport masse salariale/bénéficiaires des prestations est en déséquilibre. En cause principalement : le départ en retraite de la génération de « baby-boomers » et le chômage. Ce déséquilibre a progressivement conduit à une dépense plus importante que les recettes générées par les cotisations, et donc à la formation du « trou de la Sécu ».
Aujourd'hui, avec un montant qui s'élève à 236,6 milliards d'euros en 2014, la dette sociale (déficit accumulé) représente 11,7 % de la dette publique française (qui atteint 2 000 milliards d'euros). Le déficit de la Sécurité sociale est principalement causé par le versement des prestations et les insuffisances des recettes, non pas par le coût de gestion (seulement 3 % du déficit).
2. Un déficit en baisse, mais moins que prévu
15,3 milliards d'euros. C'est le chiffre du déficit de la sécurité sociale pour 2014, au lieu des 9,8 milliards annoncés dans la loi de financement de la Sécurité sociale, en décembre 2013.
Le « trou de la Sécu » diminue chaque année depuis 2010 – un an après avoir plongé – ce dont s'est félicitée la ministre de la santé, Marisol Touraine, « malgré une conjoncture économique très difficile ». Mais depuis l'accession au pouvoir de François Hollande, les objectifs fixés n'ont jamais été respectés.
Le déficit baisse, en effet, mais selon la Cour des comptes, dans un rapport publié le 17 septembre, « le retour à l'équilibre prévu pour 2017 est très incertain ». Expliquant que la réduction du déficit a été assurée « par des prélèvements supplémentaires plus que par des économies sur la dépense », l'institution de la rue Cambon insiste sur « l'enjeu crucial » que représente le redressement des comptes sociaux.
3. La branche « maladie », principal poste de dépense
Afin de régulariser les dépenses de l'Assurance-maladie, un outil de pilotage a été créé en 1996 : l'Objectif national des dépenses d'assurance maladie (Ondam). Il s'agit du montant prévisionnel des dépenses de l'Assurance-maladie en France, qui est voté chaque année par le Parlement. Une sorte de « règle d'or » pour la sécurité sociale, qui ne doit pas en principe dépasser cette frontière.
Et depuis 2010, l'Ondam n'est plus dépassé, la dépense de la Sécurité sociale étant en deçà de l'objectif voté par le Parlement. Cela ne signifie pas pour autant que les finances de la Sécu s'améliorent, les objectifs de l'Ondam n'étant pas forcément très ambitieux.
Réparti en quatre branches, le régime général de la Sécurité sociale (auquel s'ajoute le Fonds de solidarité vieillesse) voit son déficit grevé par la branche « maladie », principal poste de dépenses, selon les chiffres de la Commission des comptes de la Sécurité sociale.
Le maintien du déficit augmente évidemment la dette sociale, en partie remboursée par la Caisse d'amortissement de la dette sociale (Cades). Celle-ci est spécialement dédiée au remboursement de la dette :
4. Une série de mesures pour tenter d'inverser la tendance
A propos de la Sécurité sociale, la droite et la gauche ont traditionnellement deux méthodes différentes : la première préfère rogner sur les dépenses, tandis que l'autre active le levier des prélèvements.
Résorber « par le haut », ou pour tout le monde ?
Sous la présidence de Nicolas Sarkozy, le gouvernement a tenté de résorber ce « trou de la Sécu » en rognant sur les avantages des assurés : franchises sur les boîtes de médicaments et les actes médicaux, création d'une vignette orange de remboursement à 15 % pour les médicaments à service rendu médical faible ou insuffisant.
Une réduction des dépenses que Marisol Touraine, alors dans l'opposition, n'avait pas manqué de pointer du doigt : « On ne peut pas pérenniser l'Assurance-maladie avec des ajustements à la marge. Il faut lancer des mesures qui modifient réellement les comportements et pérenniser les ressources. »
Un diagnostic pas simple à mettre en pratique, une fois au ministère, surtout dans un contexte de crise où la croissance atone et de chômage en hausse. La progression de la masse salariale devrait être nettement inférieure à la prévision (1,6 % pour 2014 contre 2,2 % prévu initialement), « entraînant un affaissement significatif des recettes de cotisations sociales et de CSG par rapport aux prévisions, mais également des recettes fiscales affectées à la Sécurité sociale », explique le ministère.
Taxes farfelues
Résultat : le gouvernement compte sur les hauts revenus. Un milliard devait être récupéré grâce à l'abaissement du quotient familial, passant de 2 336 à 2 000 euros l'année dernière, puis à 1 500 cette année. En revanche, la tentative de l'instauration d'une taxe comportementale, avec l'« amendement Nutella » (qui prévoyait l'augmentation de 300 % de la taxe sur l'huile de palme) a échoué fin 2012, à cause d'une trop grande pression du groupe Ferrero et des pays producteurs.
Plusieurs « coups de rabot » ont été effectués par le ministère de la santé : deux milliards d'euros par le gel de la quasi totalité des retraites et des allocations en avril dernier. Dimanche, la ministre de la santé a finalement renoncé à cette mesure – uniquement en ce qui concerne les allocations familiales – pour 2015. Elle a toutefois annoncé de nombreuses coupes, à hauteur de 700 millions d'euros, dans la branche famille : baisse des aides de garde à l'enfant pour les familles les plus riches, la baisse de la prime à l'enfant à partir du deuxième et le partage du congé parental, entre autres.
En revanche, comme promis lors de la campagne de François Hollande, aucune réduction des dépenses n'a été opérée sur les remboursements des soins et des médicaments des patients.
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