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700 génériques retirés du marché : concrètement, ça change quoi ?
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lailaine
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lailaine
Dernière activité le 21/11/2024 à 22:08
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Moi les génériques je n'ai pas confiance et chaque fois ça me pose un problème a la pharmacie !.....
Utilisateur désinscrit
en pharmacie,on est tenu de retenir les noms des molecules,alors pourquoi pas les medecins!
une petite info pour les personnes agees qui risquent de se tromper,la secu a prevu une derogation pour celles ci,afin qu on leur mette les princpes,pour eviter les erreurs,il sufit que le pharmacien note sur l ordonnace "risque d erreur lie a l age",tout du moins,chez nous,cela se fait!
par contre,il est vrai que beaucoup n ont plus de princeps ds leurs tiroirs,donc souvent a commander ds ces cas la!
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@kitty52 ton info est très intéressante. Je vais interroger le personnel dans ma pharmacie. "Risque d'erreur lié à l'âge"... Je vais voir et en même temps je me dis que l'âge n'est pas toujours corrélé à la confusion et qu'ils existe d'autres sources de confusion bien avant le grand âge, après un AVC par exemple...
lilas blanc
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lilas blanc
Dernière activité le 11/01/2022 à 08:38
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Ami
@Kitty ,entièrement d'accord avec toi ,les médecins que je connais dans ma ville donnent systématiquement des princeps aux personnes agées ,ce que je trouve tout a fait logique., après c'est à chaque pharmacien de faire son boulot et d'avoir ses tiroirs bien garnis.
JOSS51
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JOSS51
Dernière activité le 01/04/2020 à 09:48
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Ami
J'ignorais que les personnes âgées (veut dire à partir de quel âge ?) pouvaient obtenir les princeps dans leur pharmacie. Car dans ma ville : à Reims, ils ne le font pas (à ce que je sache) et ont même conseillé à une patiente de demander une infirmière pour lui préparer ses médicaments (génériques).... Ce que son médecin traitant a trouvé peu économique !!! Il a même téléphoné au pharmacien pour s'en étonner !!!
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Joss
Utilisateur désinscrit
@joss51,je suis de chalons et pdt les 15ans que j ai fait ds les pharmacies de cette ville,on a toujours facilite les prises pour les personnes agees ou ayant des risques d erreurs!c est facile de dire de prendre une infirmiere,mais cela fait des depenses supplementares a la cpam;alors que c est tellement simples de leur donner les princeps,afin qu ils gardent leur autonomise!!tout du moins,c est mon point de vue,et c etait ma vision au travail!
Utilisateur désinscrit
Il aurait été bien plus simple de laisser les princeps pour tous, plutôt que de les remplacer par les génériques, ces derniers étant plus ou moins aussi efficaces. Et pourquoi plus au un(es) qu'aux autres...âgé(es) ou malades, réactifs ou non. Retourner voir son médecin ou en consulter un autre parce que le générique en est la cause et qu'il suffit juste de redonner le princep, comme cela m'est arrivé, est une certaine façon de jouer avec notre santé.
JOSS51
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JOSS51
Dernière activité le 01/04/2020 à 09:48
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Ami
Vous avez tout à fait raison Florinda, mais c'est à cause des sacrés budgets et du "trou" de la sécu ou au nom de je ne sais quel principe que les labos ont fabriqué des génériques tout en continuant pour certains à fabriquer les princeps. Ils s'en fichent bien de jouer avec notre santé ! Hélas !
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Joss
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je pense pour ma part que les labos s en foutent,et la secu aussi!cela me fait penser a la medecine a deux vitesses,ceux qui ont les moyens demandent les princeps,et avancent les frais et les autres prennent les generiques pour avoir droit au tier-payant!
au depart,le generique etait cree pour soit disant "faire faire des economies a la secu",mais on sait tous tres bien que c est faux!maintenant,les labos font les deux,generiques et princeps,comme ca,plus d entrees d argent:
par contre,la sante et le bien etre du patient ont totalement disparus,face aux profits des entreprises!
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... Voilà de bonnes raisons pour exiger que les usagers de la Sécurité Sociale siègent à nouveau dans les conseils d'administration des multiples CPAM voire à la CNAM. Nous n'y sommes plus et il y a de très nombreux mois lorsque j'ai parlé d'une pétition sur ce sujet je n'ai eu pratiquement aucun retour. Si nous ne nous battons pas nous n'obtiendrons jamais rien et quelques happy fews décideront pour la masse.
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Julien
Bon conseiller
Julien
Dernière activité le 12/06/2024 à 11:32
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Isabelle Adenot, présidente du Conseil national de l'Ordre des pharmaciens, revient pour Sciences et Avenir sur les conséquences du retrait massif de médicaments génériques du marché européen.
Vendredi 21 août 2015, 700 médicaments génériques à travers l'Europe ont été retirés des officines. Un retrait des autorisations de mise sur le marché décidé en juillet 2015 par l'Agence européenne du médicament (EMA). Une décision prise après plus d'un an passé à réévaluer quelque 1.000 génériques dont les tests de bioéquivalence menés en Inde avaient révélé des entorses aux bonnes pratiques cliniques. Ces tests sont conçus pour évaluer la conformité pharmacologique du générique avec le médicament princeps. Une procédure dont nous vous expliquions les tenants et les aboutissants à l'annonce de l'Agence européenne du médicament.
"Il y a des alternatives pour chacun des génériques retirés du marché" - Isabelle Adenot, présidente du Conseil national de l'Ordre des pharmaciens
Mais concrètement, comment ces retraits vont-ils se traduire pour les patients concernés ? "En France, ce n'est vraiment pas un souci, explique Isabelle Adenot, présidente du Conseil national de l'Ordre des Pharmaciens (CNOP). Il y a des alternatives pour chacun des génériques retirés du marché. Par ailleurs, il y a déjà eu une première alerte il y a quelques mois, à la suite de laquelle les laboratoires concernés avaient agi", précise-t-elle, confirmant ainsi les dire de l'Agence nationale de sécurité du médicament (ANSM) qui avait prévenu qu'en France, ces retraits n'auraient pas d'impact. Par ailleurs, "sur cette liste de 700 génériques retirés, la France n'est concernée que par une infime partie, une trentaine je crois", ajoute-t-elle.
Cet épisode montre que les génériques sont surveillés de la même façon que les princeps" - Isabelle Adenot
La présidente du CNOP voit même un motif de satisfaction dans ces retraits successifs l'année passée (25 génériques retirés en décembre 2014, puis 8 en janvier 2015 et, donc, 700 en août 2015) : "Je me réjoui d'une chose : c'est que les grandes agences du médicament (Etats-Unis, Australie, Europe, Canada...) fonctionnent main dans la main et se font mutuellement confiance. Ce qui me rassure, c'est que le mode de contrôle a fonctionné. Tout n'est pas parfait bien évidemment, mais cet épisode montre que les génériques sont surveillés de la même façon que les princeps ; et c'est plutôt rassurant", fait-elle valoir. Une façon peut-être légitime mais optimiste de voir les dysfonctionnements survenus dans les tests de bioéquivalence menés en Inde.
Dans le reste de l'Europe, certains pays sont néanmoins touchés à plus grande échelle par ces retraits : "En Angleterre ou en Allemagne, ce sont entre 100 et 200 médicaments qui sont concernés", précise Isabelle Adenot. Mais même là, "la possibilité de continuer à recevoir un des traitements retirés est envisageable sur dérogation si jamais il existait des cas sans alternative", ajoute-t-elle. Les dysfonctionnements constatés dans les tests de bioéquivalence ne mettant pas en jeu une éventuelle dangerosité des produits.
Sciences et Avenir