- Accueil
- Échanger
- Forum
- Forums généraux
- Revue de presse
- 700 génériques retirés du marché : concrètement, ça change quoi ?
700 génériques retirés du marché : concrètement, ça change quoi ?
- 1 600 vues
- 63 soutiens
- 87 commentaires
Tous les commentaires
Aller au dernier commentaire
rickurz
Bon conseiller
rickurz
Dernière activité le 04/01/2021 à 18:50
Inscrit en 2014
698 commentaires postés | 141 dans le groupe Revue de presse
10 de ses réponses ont été utiles pour les membres
Récompenses
-
Bon conseiller
-
Contributeur
-
Messager
-
Engagé
-
Explorateur
-
Evaluateur
bonjour
c'est assez rigolo vous avez du remarquer que la société Mylan (touché par ses retraits) spécialiste des génériques fait justement de la pub à la télé en précisant et vantant la bonne qualité de ses exipients...
Lorkasil
Bon conseiller
Lorkasil
Dernière activité le 24/10/2024 à 12:12
Inscrit en 2014
10 354 commentaires postés | 254 dans le groupe Revue de presse
4 de ses réponses ont été utiles pour les membres
Récompenses
-
Bon conseiller
-
Contributeur
-
Messager
-
Engagé
-
Explorateur
-
Evaluateur
Malheureusement Mylan n'est pas le seul labo touché par la mauvaise qualité des exipiants ! Ils ont qu'à arrêter de se fournir en Chine et faire travailler les labos européens plus fiables !! Mais money is money !!!!
Voir la signature
Lorkasil
lailaine
Bon conseiller
lailaine
Dernière activité le 21/11/2024 à 22:08
Inscrit en 2014
1 455 commentaires postés | 115 dans le groupe Revue de presse
2 de ses réponses ont été utiles pour les membres
Récompenses
-
Bon conseiller
-
Contributeur
-
Messager
-
Engagé
-
Explorateur
-
Evaluateur
Moi je ne fais pas confiance au générique sauf si c'est mon docteur qui les prescrit.
Utilisateur désinscrit
Et bien cela, je l'apprends et c'est une très bonne nouvelle. Car si dans un médicament générique,la molécule est identique, il faut savoir que certains excipients à effet notoire sont différents et peuvent causer de gros problèmes comme des allergies cutanés.
Le générique du lévothyrox n'est pas du tout apprécié par les endocrino, ni par moi même car désormais je ne dois plus prendre aucun générique.
majo58
Bon conseiller
majo58
Dernière activité le 07/04/2023 à 18:57
Inscrit en 2015
472 commentaires postés | 53 dans le groupe Revue de presse
6 de ses réponses ont été utiles pour les membres
Récompenses
-
Bon conseiller
-
Contributeur
-
Messager
-
Engagé
-
Explorateur
-
Evaluateur
Je ne suis pas du tout "générique", mais malheureusement, je n'ai pas le choix. Surprise, je viens d'apprendre @lianka qu'il y a un générique du levothyrox, c'est le seul que je n'ai pas ! Ouffffffffff
Voir la signature
Majo
Utilisateur désinscrit
@majo58, bonjour. Il y a environ 1 an 1/2, 2 ans, il y a eu une pénurie de Lévothyrox sur le marché. J'ai parlé avec des endocrinos et j'ai lu beaucoup d'articles, il ne faut surtout pas prendre le générique. Alors, précise à ton médecin qu'il l'indique sur l'ordonnance. Bonne journée.
Utilisateur désinscrit
Je ne sais pas ce que l'on voit de rassurant dans les génériques. Mais je constate que beaucoup ont été supprimés.
Des génériques m'ont été prescrit ou bien les précédents ont été remplacés, puisque les pharmaciens doivent répondre "aux décisions de la sécurité sociale".
j'ai pu me rendre compte au fil du temps que certains médicaments ne me faisaient plus aucun effet, ce que j'ai rapporté à mon médecin généraliste: sans réponse.
Je suis suivie par le CAD, j'ai donc formulé de nouveau le manque d'effet des médicaments, qui m'a tout de suite demandé si on m'avait délivré des génériques. Cela ne l'a donc pas surprise. Depuis elle me prescrit mon traitement en notant "non substituable" et je retrouve l'efficacité de mon traitement. Je suis allée dans un centre de rééducation pour les douleurs pendant 5 semaines, là aussi, ils ne donnaient aucun générique.
Et sans compter la pénurie de certains médicaments.
Que doit-on faire? Qui croire? Quoi penser? car on ne nous laisse pas le choix, c'est à peine si le médecin le peut.
Utilisateur désinscrit
Je pense, suite à tout ce qu'on peut lire sur le sujet des génériques, qu'ils ont souvent été fabriqué dans des régions du monde à moindre coût mais sans les contrôles qualité indispensables. Les grandes firmes pharmaceutiques qui les ont commandés et commercialisés sont donc coupables de négligences multiples et variées...
Utilisateur désinscrit
je suis tout a fait d accord avec vous!juste un petit rappel,pour le levothyrox,il n est pas generiquable!je m explique ,une personne stabilise avec le levothyrox,on ne doit jamais lui mettre le generique,et par contre,une personne stable sous "levothyroxine",restera toujours sous le generique au risque de destabiliser!mais a ce niveau,la caisse primaire ne sanctionne pas,et le pharmacien n a pas le droit de vous changer de traitenement!s il y a rupture du "levothyrox",il existe une specialite italienne qui est a l identique en tout point;donc au pharmacien de se la procurer!
qd aux doutes,ne pas hesiter a demander du "non substituables",surtout qd on a des maladies chroniques comme nous!!
JOSS51
Bon conseiller
JOSS51
Dernière activité le 01/04/2020 à 09:48
Inscrit en 2014
727 commentaires postés | 75 dans le groupe Revue de presse
9 de ses réponses ont été utiles pour les membres
Récompenses
-
Bon conseiller
-
Contributeur
-
Engagé
-
Explorateur
-
Evaluateur
-
Ami
Si j'ai bien lu, vous parlez de ces retraits de génériques dans d'autres pays que la France ! de 700 qui ont été retirés et 25... Ne peut-on voir une liste pour comparer avec ceux qui subsistent en France et qu'on est presqu'obligés de prendre même si votre médecin est cool, il ne va pas mettre toute l'ordonnance en N.S (non substituables) car lui aussi est contrôlé et rappelé à l'ordre par la Sécurité Sociale.... Mylan n'est pas mieux ni moins mauvais que tous les labos qui se sont mis à fabriquer et le princeps et le générique....
Ils se valent tous à mon avis. Ce n'est qu'une question de "gros sous" et c'est tout !!!! Comme si c'était par plaisir que nous sommes malades et qu'on doive ingurgiter des médicaments !
Si quelqu'un peut avoir une liste à nous communiquer ? Merci bcp
Voir la signature
Joss
Donnez votre avis
Articles à découvrir...
18/11/2024 | Actualités
Médicaments et libido : les traitements qui peuvent affecter votre désir sexuel ?
16/11/2024 | Actualités
Troubles de l’attachement : quelles conséquences sur nos relations interpersonnelles ?
08/11/2024 | Conseils
La procrastination : mauvaise habitude ou stratégie secrète pour prendre soin de soi ?
04/11/2024 | Actualités
Les ballonnements : tout comprendre pour soulager cet inconfort !
09/01/2019 | Nutrition
14/02/2019 | Conseils
La vie amoureuse à l’épreuve de la maladie : comment faire face ?
15/04/2019 | Conseils
S'abonner
Vous souhaitez être alerté des nouveaux commentaires
Votre abonnement a bien été pris en compte
Julien
Bon conseiller
Julien
Dernière activité le 12/06/2024 à 11:32
Inscrit en 2012
10 075 commentaires postés | 815 dans le groupe Revue de presse
25 de ses réponses ont été utiles pour les membres
Récompenses
Bon conseiller
Contributeur
Messager
Engagé
Explorateur
Evaluateur
Isabelle Adenot, présidente du Conseil national de l'Ordre des pharmaciens, revient pour Sciences et Avenir sur les conséquences du retrait massif de médicaments génériques du marché européen.
Vendredi 21 août 2015, 700 médicaments génériques à travers l'Europe ont été retirés des officines. Un retrait des autorisations de mise sur le marché décidé en juillet 2015 par l'Agence européenne du médicament (EMA). Une décision prise après plus d'un an passé à réévaluer quelque 1.000 génériques dont les tests de bioéquivalence menés en Inde avaient révélé des entorses aux bonnes pratiques cliniques. Ces tests sont conçus pour évaluer la conformité pharmacologique du générique avec le médicament princeps. Une procédure dont nous vous expliquions les tenants et les aboutissants à l'annonce de l'Agence européenne du médicament.
"Il y a des alternatives pour chacun des génériques retirés du marché" - Isabelle Adenot, présidente du Conseil national de l'Ordre des pharmaciens
Mais concrètement, comment ces retraits vont-ils se traduire pour les patients concernés ? "En France, ce n'est vraiment pas un souci, explique Isabelle Adenot, présidente du Conseil national de l'Ordre des Pharmaciens (CNOP). Il y a des alternatives pour chacun des génériques retirés du marché. Par ailleurs, il y a déjà eu une première alerte il y a quelques mois, à la suite de laquelle les laboratoires concernés avaient agi", précise-t-elle, confirmant ainsi les dire de l'Agence nationale de sécurité du médicament (ANSM) qui avait prévenu qu'en France, ces retraits n'auraient pas d'impact. Par ailleurs, "sur cette liste de 700 génériques retirés, la France n'est concernée que par une infime partie, une trentaine je crois", ajoute-t-elle.
Cet épisode montre que les génériques sont surveillés de la même façon que les princeps" - Isabelle Adenot
La présidente du CNOP voit même un motif de satisfaction dans ces retraits successifs l'année passée (25 génériques retirés en décembre 2014, puis 8 en janvier 2015 et, donc, 700 en août 2015) : "Je me réjoui d'une chose : c'est que les grandes agences du médicament (Etats-Unis, Australie, Europe, Canada...) fonctionnent main dans la main et se font mutuellement confiance. Ce qui me rassure, c'est que le mode de contrôle a fonctionné. Tout n'est pas parfait bien évidemment, mais cet épisode montre que les génériques sont surveillés de la même façon que les princeps ; et c'est plutôt rassurant", fait-elle valoir. Une façon peut-être légitime mais optimiste de voir les dysfonctionnements survenus dans les tests de bioéquivalence menés en Inde.
Dans le reste de l'Europe, certains pays sont néanmoins touchés à plus grande échelle par ces retraits : "En Angleterre ou en Allemagne, ce sont entre 100 et 200 médicaments qui sont concernés", précise Isabelle Adenot. Mais même là, "la possibilité de continuer à recevoir un des traitements retirés est envisageable sur dérogation si jamais il existait des cas sans alternative", ajoute-t-elle. Les dysfonctionnements constatés dans les tests de bioéquivalence ne mettant pas en jeu une éventuelle dangerosité des produits.
Sciences et Avenir