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Hépatite C : 11.600 patients ont bénéficié du Sovaldi en 2014
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Madine
Madine
Dernière activité le 26/12/2024 à 19:01
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43 commentaires postés | 15 dans le groupe Recherche et liens utiles - Hépatite C
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Ami
J'ai bénéficié du harvoni1c pendant 3 mois 28 jours a3 mois après la fin du traitement les bilans hépatiques sont normaux donc guérison pour l'hépatite c c'est déjà un début pour le reste à observer je suis suivie par un neurologue pour la neuropathie des fibres courtes est ce une consequence de l'hépatite personne n'en sait rien ?????!
Tiouise
Tiouise
Dernière activité le 10/11/2022 à 17:47
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27 commentaires postés | 9 dans le groupe Recherche et liens utiles - Hépatite C
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Ami
moi j,attend des nouvelles analyses pour commencer te traitement.. pour le moment il cherche le pirquoi mes globules blach sont basses...heureuse pour toi Madine si le traitement a bien fonctionné..l,autre maladie dont tu parles je ne connais pas ...bonne chance..
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Tiouise
nininne
nininne
Dernière activité le 19/12/2020 à 17:56
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7 commentaires postés | 3 dans le groupe Recherche et liens utiles - Hépatite C
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Ami
J'ai bénéficié après une ATU, du sovaldi et d'un autre médicament pendant 6 mois. J'étais à fibrose + 3 . L'hépatite C est indétectable mais il faut attendre 1 an d'arrêt du traitement pour faire le fibroscan.
Tiouise
Tiouise
Dernière activité le 10/11/2022 à 17:47
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Ami
merci de ta réponse nininne
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Tiouise
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Julien
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Julien
Dernière activité le 12/06/2024 à 11:32
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La France est le pays où le nouveau médicament a été le plus largement diffusé. Le surcoût des nouveaux antiviraux s'est élevé à 1,15 milliard d'euros en 2014 avant renégociation des prix.
Les malades de l'hépatite C peuvent dire merci au Sovaldi, le nouveau médicament miracle qui permet des taux de guérison supérieurs à 90 %. Mais Gilead, le fabricant du Sovaldi, peut également dire merci à la Sécurité sociale. Selon le rapport annuel de la Caisse nationale d'assurance-maladie (CNAM), la France a été le pays le plus généreux d'Europe en matière d'accès à ce nouveau traitement extrêmement coûteux.
En 2014, 11.600 patients ont été soignés avec des nouveaux antiviraux à action directe (NAAD), principalement le Sovaldi. Résultat, on a jeté aux orties les anciens médicaments qui étaient mal tolérés et dont le taux de guérison était au mieux proche de 50 %. On a ainsi économisé 100 millions d'euros en 2014… mais dépensé 1,15 milliard d'euros en plus pour les NAAD.
Enfin, en théorie. Car trois mesures ont permis de ramener la facture à un montant non divulgué mais vraisemblablement proche de 700 millions d'euros pour l'Assurance-maladie. D'abord, le législateur a voté un dispositif d'écrêtement des chiffres d'affaires des laboratoires pharmaceutiques dans cette classe thérapeutique au-delà de 450 millions d'euros en 2014 ; les pouvoirs publics ont, ensuite, négocié un prix définitif de 41.000 euros le traitement et se sont fait rembourser la différence avec les 56.000 euros de départ ; enfin, Gilead a consenti de grosses remises secrètes à la Sécurité sociale.
Dispositifs d'accès précoce
La CNAM cite une étude d'IMS Health, selon laquelle, en 2014, « la France arriverait largement en tête en termes de volumes avec près de 1 million de comprimés vendus, soit 154 unités standards pour 10.000 habitants ». En Allemagne, le ratio est de 90 comprimés ; vient ensuite l'Espagne, puis tous les pays où il est inférieur à 25 comprimés : Royaume-Uni, Pays-Bas, Finlande, Italie. La prévalence de l'hépatite C est supérieure dans les pays du Sud, où elle s'élève à 3 % de la population. Elle ne serait que de 1 % en France. Dans le nord de l'Europe, elle peut tomber à 0,3 %.
« La conjugaison de dispositifs d'accès précoce et d'un encadrement moins strict s'est traduite par une diffusion beaucoup plus rapide et plus large en France que dans les pays qui nous environnent », écrit la CNAM. La procédure d'autorisation temporaire d'utilisation a permis de commencer à distribuer le Sovaldi dès novembre 2012, et plus largement fin 2013, en attendant l'autorisation de mise sur le marché européenne survenue en janvier 2014.
Ensuite, l'Assurance-maladie universelle a joué son rôle. Alors que, dans la plupart des pays, on attend un stade de fibrose avancée (F4) ou une greffe de foie pour prescrire, en France, on peut être soigné avec les NAAD à partir d'une fibrose hépatique F2 sévère. Certes, le Sovaldi n'est pas en vente dans les pharmacies en ville, et, pour se voir administrer le traitement, il faut une réunion de concertation au sein d'un service expert des hépatites à l'hôpital. Mais la contrainte reste faible en comparaison des autres pays européens, hormis l'Allemagne, qui n'encadre pas la prescription.
La comparaison avec l'Allemagne est d'ailleurs intéressante. Alors que 400.000 personnes seraient porteuses du virus (plus de 350.000 en France), les dépenses occasionnées par les NAAD pour le système de santé outre-Rhin se seraient élevées à 600 millions d'euros en 2014
Source : Lesechos.fr