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Qui aime écrire ? Des lettres, des poèmes, des histoires...
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Tous les commentaires
Aller au dernier commentaireUtilisateur désinscrit
Merci Nora pour tes mots d'elle, je t'envoie les miens en échange, et d'autres encore, si tu le veux...
MISSIVE CONFUSE
Cher Toi,
Fus-tu île ou bien aile
Peu m'importe
Pourvu que tu m'emportes
Et qu'en tes yeux le ciel se noie
Pourvu que mes mots d'elle
Transportent ton émoi
Pourvu que je te touche
Que mes maux dans ta bouche
Offrent une brève idylle
Dans le cœur d'Elle ou Il
Pourvu que tu me lises
Comme on frappe à ma porte
Et que souffle une bise
Au gré des lettres mortes.
Utilisateur désinscrit
OUPS, je m'excuse pour avoir pris tant de place, je ne m'étais pas rendue compte de la grosseur des caractères...
Utilisateur désinscrit
Merci Caramel,
et je tambourine à ta porte avec l'espoir que tu nous ouvriras à d'autres je de mots ou bien passerai-je avec légèreté par la fenêtre sûrement ouverte, qui laissera entrer avec moi des feuilles poétiques tombées du ciel et que la bise d'un amoureux dépose sur le plancher. Aussi prends toute la place que tu aspires, l'imaginaire est presque sans limite, paraît-il !
Bien à toi, bien à vous, Nora
Utilisateur désinscrit
Au fait, j'adore ce que tu écris !
Utilisateur désinscrit
Oh merci, Nora, j'ai beaucoup aimé ton texte aussi, il me parle fort, "mettre le cœur à l'épreuve", j'entends ce que tu dis, avec le cœur aussi...promis, je repasse par chez toi avec mes jeux de maux
Utilisateur désinscrit
Le premier être aimé
Seul sur mon voilier, seul je décidais du sens de ma boussole et j’embrassais les syrènes qui me rendaient fou. Mais je retrouvais toujours le chemin de mon cannot et je ne sauvais que moi. Les années passées je prenais soin de mon navire cabossé, je traversais les misères et me cognais à des rochers mais je naviguais aussi dans les étoiles. Un jour où la mer ressemblait à hier et se préparait à ne pas changer ses vagues pour demain, je regardais le ciel sans nuage et rêvassait au rythme des roulis joyeux quand la nuit m’est tombé sur les yeux. Alors, au détour d'une constellation entre songe et vérité, je l'ai rencontrée, qui crevait le ciel comme une comète de feux. Je l'ai appelée, lui ai fait signe, ai tiré un S.O.S et elle a répondu, elle est venue jusqu’à moi. Je l’ai faite monter dans mon bateau qui lui a tout de suite plu. Depuis lors, nous voguons ensemble dans les tempêtes et dans les voies lactées. Elle est devenue le premier être aimé et je ne sais plus vivre sans elle. Nous sommes comme cette alliance : deux anneaux enclavés ! Elle est mon étoile du berger, elle est la lumière de tous mes firmaments, elle est ma ligne de flotaison sur cet océan qui ne nous perdra plus jamais.
Caramel, j'attends impatiemment de nouveaux mots de toi...
Et bonne journée à tous, Nora
Patrickette
Bon conseiller
Patrickette
Dernière activité le 05/11/2016 à 13:48
Inscrit en 2013
1 930 commentaires postés | 27 dans le groupe Espace détente - Loisirs
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vous êtes très poétique. j'adore!
merci pour ses jolis mots
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Même quand le doute est trop fort, faut pas glisser tenir encore
Utilisateur désinscrit
Tu as le sens de la métaphore, j'aime le ressac de tes mots et j'imagine la beauté de ton étoile. Demain un petit coup d'océan en retour, j'ai beaucoup écris sur l'océan. Bonne soirée, Nora, à toi et à ta belle étoile. A demain.
Utilisateur désinscrit
coucou bonjour,
allez un vieux que j'ai retrouver entre mes recettes de cuisines:
La chance
Elle ne tombe jamais du ciel,
et pourtant elle est là...
Tout près de toi!
quand bien même la pluie, le vent,, le froid, s'acharneraient sur Toi
Quand bien même le travaille, les amis, la famille, l'argent s’enfuiraient loin de toi....
Au fond du gouffre TA chance est toujours là....
près de toi.
Il te suffit de relever la tête,
Il te suffit de vouloir te battre
il te suffit de savoir qu'aux creux de la vague.....
Tu ne peux que remonter tout près de toi,
la chance est là......
Ben voilà je ne sais plus de quand sa date mais surement de quelques années. bises à vous tous et courage.... toujours.
Utilisateur désinscrit
Où il est question de sirène et d'océan...je te l'avais promis!
ECHOUEE
Je bouscule l'écrin de mes rêves
D'un coup de pied mal intentionné
Et me retrouve échouée sur la grève
D'une page où l'encre a été jetée
J'accroche un filet à mes hanches
Et balance l'appât au loin
Cauchemar éveillé ou nuit blanche
Le fil des mots reprendra demain
Je suis sirène à la peau d'ébène
Prise au piège à la lumière du phare
Et les marées qui fuient me retiennent
Prisonnière de mes cauchemars
Tu dépose un baiser sur mes lèvres
Et la mer assouvie me reprend
Demain c'est juré plus de fièvre
Juste un plongeon dans ton océan.
Tu vois, j'ai moi aussi une étoile dans les yeux et le cœur!
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Utilisateur désinscrit
Bonjour, à toutes et tous !
J'écris depuis l'âge de huit ans. D'ailleurs, si l'on veut faire la genèse de ma maladie, il faudrait remonter jusque-là.
J'ai commencé avec mon bic bleu de l'école par inscrire des phrases isolées sur le grand carton blanc du miroir qu'avaient un jour acheté mes parents. Puis j'ai ajouté toutes sortes de textes dans mon escarcelle : des poèmes, des histoires en musique et pour enfants, des nouvelles et aujourd'hui, j'ai aussi commencé un roman assez étonnant puisque c'est un polar et que jusqu'à présent j'écrivais plutôt du poétique, de l'autobiographique et de la romance. Mais je me sens devenir de plus en plus écrivain, même si je ne suis pas édité et que cela n'est pas mon but - à l'heure actuelle je m'oriente vers la recherche en psychologie.
J'aimerais beaucoup vous lire, j'aimerais pouvoir partager ensemble nos écrits en toute simplicité et pour vous encourager, je poste un poème qui raconte un moment important de ma vie.
Bien à vous !
L’épée
Armée d'une épée qui tranche la peur et le mensonge, remet inexorablement coup après coup le cœur à l'épreuve, le courage n'a qu'un unique choix : grossir toujours plus que l'angoisse et la douleur qui ne cessent de grandir, un torrent qui frappe les paupières le matin et s'engouffre dans l'obscurité du sommeil inquiet ! La tête ne dort pas, le guerrier ne se repose pas... Les trêves sont courtes, l'immobilité de la rage
est fébrile, la guerre fait fureur ! L'esprit croit en la force, vaine puissance de la destruction et l'amour pleure. Homme de cœur, être de peur, regarde au loin le drapeau blanc de la paix, desserre ta main de la colère et du glaive. Alors, un peu de temps, un matin tu as posé tes doigts blessés sur la poitrine gonflée de pitié de ton amie et elle t'a sauvé. Tu n'avais plus peur que de la perdre et tu as bu l'eau de ses pensées. Ô guerrier, tu as rangé l'épée et jusqu'au fourreau, les armes sont retournées à l'immobilité. Tout est redevenu facile comme lorsque tu étais enfant, insouciant, confiant.
Nora