oui aller de l'avant, tant que l'on peut, le mental est très important, en ce moment mes forces me manquent un peu, je marche tant que je peux, se mettre en mouvement pour ne pas s'enkyloser, la machine a du mal à se mettre en route le matin , c'est pour cela la marche c'est le matin dans un parc, il y a des bancs pour souffler un peu  et on repart, j'ai peur de ne plus pouvoir marcher, le côté droit est plus vulnérable ,quand je tombe c'est toujours le côté droit qui prend, je tremble beaucoup à droite,

Pareil pour moi, on me dit que je ne suis pas bien mon traitement car à la question avez-vous pris votre médicament hier j'ai dit non... On est mercredi et je le prends le jeudi ! Mais jamais aucun oubli !

et il aurait été bon d'avoir une question sur les effets secondaires et l'importance qu'on y mettait pour chaque : ex : perso, même si je suis à 2 doigts du malaise quand j'ai des diarrhées profuses, je supporte

par contre la chute des cheveux, et les injections 1jour/2 pour limiter la casse et toujours ces poignées de cheveux qui partent... Pour moi c'est un motif d'arrêt du traitement... Et pas comme mon généraliste m'a dit, parce que pour une femme c'est pas facile esthétiquement, mais parce que les cheveux me servent à planquer mon pso... Si j'en ai plus j'ai plus qu'à me terrer chez moi vu que le methotrexate fonctionne pas sur le pso (depuis 3mois...)

si quelqu'un peut me dire à ce propos si quand on arrête le traitement les cheveux cessent rapidement (ou pas) de tomber et s'ils repoussent vite (ou pas) ? Je voudrais savoir si je dois arrêter tôt mon traitement car mes cheveux vont continuer à tomber au meme rythme pendant plusieurs mois ? Ou si je peux me permettre de pousser encore un peu le traitelent car dès que j'arrêterai ça s'arrêtera de tomber ?

merci pour vos conseils et désolée du laïus un peu long

Bonjour,

votre témoignage ptite truffe m'a émue, j'aimerais pouvoir vous aider mais je n'y connais rien, vous devriez ouvrir un sujet sur le psoriasis et la perte de cheveux, ou le nom du médicament et la perte de cheveux sur le groupe psoriasis. Vos questions sont légitimes j'espère que vous trouverez des réponses.

La seule chose que je peux vous dire ce que j'ai lu sur "le grand dictionnaire des malaises et maladies" de Jacques Martel :

Maladie = « le mal qui a dit » ! Le lien entre nos émotions et maladies

Le point de vue yogique est de regarder le corps comme un instrument de développement spirituel. Comme chaque instrument notre corps a ses propres règles et son langage. C’est seulement par l’ignorance que nous ne pouvons (ou ne voulons) pas entendre et comprendre ses messages. Il est devenu normal aujourd’hui de réagir sur une maladie ou une douleur avec une action repressive. Et si on essayait par un système de « décodage corporel »  trouver la cause d’une maladie qui se trouvent toujours dans le psychisme ?

Il existe aujourd’hui tout un ouvrage composé par Jacques Martel “Le grand dictionnaire des malaises et des maladies” qui permet de comprendre nos états intérieurs en faisant des observations extérieures. Ce livre est une sorte de guide pour comprendre ce qui se joue et de faire remonter en surface les choses que nous pourrions avoir tendance à refouler, ou à ne pas vouloir apercevoir. Toutes les émotions que nous refoulons à l’intérieur de nous-même parce que nous ne pouvons pas ou ne voulons pas les verbaliser, peuvent se cristalliser dans différentes parties du corps ou se manifester à travers tel ou tel problème corporel.

La panique peut provoquer des diarrhées.

La colère retenue ou la rancune : une crise de foie.

La difficulté à trouver ou à prendre sa place peut provoquer des infections urinaires à répétition.

Quelque chose qu’on ne veut pas entendre ou quand on ne s’écoute pas : des otites, douleurs d’oreilles.

Quelque chose qu’on n’a pas osé dire, qu’on a ravalé : des angines, des maux de gorge.

Un refus de céder, de plier, d’obéir ou de se soumettre : des problèmes de genoux.

Peur de l’avenir, peur du changement, peur de manquer d’argent : des douleurs lombaires.

Intransigeance, rigidité : des douleurs cervicales et nuque raide.

Conflit avec l’autorité : des douleurs d’épaules.

Quand on prends trop de choses sur soi : également douleurs d’épaules avec une sensation d’un fardeau.

Affronter une situation ou une personne sans se permettre de s’exprimer : des douleurs dentaires, aphtes, abcès.

L’incapacité d’avancer : des douleurs dans les pieds, les chevilles.

Peau

Les maladies de peau ont très souvent, à l’origine, un conflit de séparation mal géré, une séparation mal vécue, soit par la mère, soit par l’enfant, ou la peur de rester seul et un manque de communication. Séparation aussi envers soi-même : dévalorisation de soi vis-à-vis de l’entourage. Porter trop d’attention à ce que les autres peuvent penser de nous.

Psoriasis 

Personne souvent hypersensible qui n’est pas bien dans sa peau et qui voudrait être quelqu’un d’autre. Ne se sent pas reconnue, souffre d’un problème d’identité. Le psoriasis est comme une cuirasse pour se défendre.

Besoin de se sentir parfait pour être aimé.

Souvent une double conflit de séparation, soit avec deux personnes différentes, soit un ancien conflit non résolu, réactivé par une nouvelle situation de séparation.

Se sentir rabaissé ou rejeté, à fleur de peau.

Se protéger d’un rapprochement physique, ou protéger sa vulnérabilité, mettre une barrière.

Peau -- Psoriasis

J'accepte maintenant ma sensibilité ; j'apprends à faire des choses pour moi et non pas seulement en fonction de ce que les autres attendent de moi. Et bien que le psoriasis soit probablement survenu à la suite d'un événement douloureux ou d'un choc émotionnel, j'accepte que cela fasse partie du processus naturel de la vie et de ma croissance et de devenir plus fort et plus solide intérieurement. J'apprivoise chacune de mes émotions. J'apprends à me faire confiance. J'ose prendre le risque de m'ouvrir aux autres afin de recevoir la douceur du contact. En étant « en contact » avec ce qui se passe à l'intérieur de moi, l'angoisse fait place à la confiance en moi-même et en la vie !

J'espère que ces quelques mots pourront vous aider, et que vous allez trouver quelqu'un pour répondre à vos questions, bon courage

bonsoir petite truffe ,c'est une grande détresse pour toi, et que tu souffres par rapport à ton image ,il faut revoir le spécialiste et lui expliquer que tu perds tes cheveux, c'est une maladie difficile à soigner, en plus elle est  visible, à l'hôpital st louis à paris ils soignent cette maladie , en province il doit y avoir aussi des centre de soins, il y a des cures à la roche posay qui soignent cette maladie, il faut faire de la relaxation, bon courage bisous

Il me semble que ce test n'a pas grand intérêt et que les résultats ne reflètent pas la réalité.

Bonjour Raymond

Oui le fait de parler de nos soucis ouvrent une porte qui, si elle reste fermé on étouffe, on tourne en rond à nous lamenter, et le fait de parler on se sent toujours mieux, plus léger et qu'importe si tu te répète ce n'est pas grave car nous sommes des être humains et pas des machines, toujours apprécier la vie malgré les problèmes que nous rencontrons.

Xavier666 

@ptiteTruffe  je viens de te lire. Côté cheveux, s'ils continuent à tomber ou ne repoussent pas assez vite, pourquoi ne pas investir dans une perruque médicale? On en fait à présent de très seyantes et ainsi tu pourrais continuer à sortir sans complexe. Bonne journée!

J'ai aucune idée du coût des prrruques médicales mais comme déjà les injections ne sont pas prises en charge par la sécu car c'est considéré comme de l'esthétisme, du confort... bref, de la coquetterie ! Alors j'imagine que pour les perruques c'est pareil... et je suis pas dire que le contact perruque-peau soit top ... ça risque d'irriter la peau (et ke pso aime pas trop qu'on le "titille", qu'on le gratte, qu'on le frotte... bref, je pensé arrêter le traitement. Je revois le spécialiste la semaine prochaine, on verra si elle peut me faire bénéficier d'un autre traitement (biothérapie par exemple)

merci pour vos conseils 

aquarella, les détails des différentes somatisations sont très justes... pour ma part j'ai du pso depuis ma naissance, accentué en période de stress certes mais j'en ai en continue depuis... 38 ans !c'est une sacrée analyse qu'il me faut !

J'espère de tout coeur que vous allez trouver une solution pour cette perte de cheveux, bon courage

bonsoir

, la médecine douce peut-elle aider à soulager la maladie?