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Patients Prostatite
Une prostatite chronique depuis janvier 2015
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Math974
Math974
Dernière activité le 02/11/2024 à 06:46
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Moi cela fait six ans que j’ai une soi disant prostatite … c’est par vague. Troubles mictionelles, sang dans le sperme (lé plus dérangeant pour moi), douleur à l’arrière de l’anus ou testicule, troubles érectiles aussi depuis quelques mois … je n’ai que 32 ans. Ça me pourri la vie. Le fait de ne plus boire d’alcool et d’arrêter le piment aussi m’aide un peu je pense. Aussitôt je me laisse aller, je le sens de suite.
Swarzy
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Swarzy
Dernière activité le 19/03/2023 à 08:32
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Oui c'est bien ça le problème.
Moi ca fait 3 ans, c'est dernier temps j ai bu plus d alcool et le problème revient ...
En gros on doit vivre à 50% c'est ça qui est déprimant.
Mais arrive t il un moment où on guerri de cette merde .... J en doute maintenant
Gilles30
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Gilles30
Dernière activité le 20/07/2024 à 20:14
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Déjà il faudrait être sur que c'est une prostatite car dans beaucoup de cas c'est un problème au niveau du plancher pelvien qu'ils appellent maintenant syndrome douloureux pelvien chronique.
Avant ils appelaient ca prostatite chronique non bactérienne et ils ont compris que les problèmes de prostate étaient la conséquence et non la cause des douleurs et symptômes chroniques.
Hbbl
Hbbl
Dernière activité le 31/12/2022 à 12:10
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Tout à fait @Gilles30 , j'ai vu des médecins qui m'ont orientés vers une thérapie physique et psychologique pluridisciplinaire (ostéo, kiné, psychologue, hypnotherapeute, ...) et je dois dire que ca aide au global, les douleurs diminuent avec les scéances et les médicaments (prégabaline pour augmenter le seuil de tolérance de la douleur). C'est très loin d'être parfait mais je pense aller vers le mieux.
Essayez d'aller consulter un médecin au sein d'un centre de la douleur ou alors d'évoquer la "névralgie pudentale" auprès de votre médecin et lui demander de se renseigner sur la pathologie. @Math974 essaye de regarder aussi de ce côté là tes symptomes y ressemblent etrangement.
@Swarzy je ne bois quasiment plus d'alcool, juste un verre de temps en temps mais en effet, j'ai l'impression que si je bois trop, les symptomes reviennent de manière presque systématique.
Courage à tous.
jart31
jart31
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@Swarzy
Je vous est écouté je prend de la quercetine 2 fois par jour, le matin et à midi que j ai acheté chez Onatera, il me semble que je suis un peu mieux, pas de problème de miction, simplement les douleurs testiculaire ou des fois derrière. J ai refais un peu de quad et là c est pas la joie, les douleurs sont handicapantes, le moral aussi influe pour beaucoup. Je vous tiens informé de la suite.
Swarzy
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Swarzy
Dernière activité le 19/03/2023 à 08:32
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@jart31
content si vous allez mieux. Moi je fais Matin et soir mais je crois que je vais peut être faire comme vous pour tester. J ai vu qu on peut combiner la quercetine avec un nutriment présent dans l ananas se qui favorise encore plus les effets je vais tester et combiné a de l huile de pépin de courge.
franchement moi la quercetine a grandement amélioré mon état.
mais en fait il faut vivre comme un moine si on veut le moins désagrément possible.
hygiène de vie irréprochable, pas d alcool de café et d epice et se coucher tôt mais bon j avoue qu il faut vivre sa vie aussi quand même trop de restrictions mine le moral.
moi je fais du sport en salle j ai abandonne le vélo pas compatible du tout avec les problemes de prostate
jart31
jart31
Dernière activité le 23/11/2024 à 20:16
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L abandon du vélo est pour moi catastrophique....j ai rdv chez mon urologue en septembre ,il me tarde, de plus c est un nouveau ,le professeur qui me suivait est parti au centre anti cancéreux s est toujours bien d 'avoir un autre avis. Ce professeur m'avait prescris des cures de 3 mois de BETASELEM au printemps et a l'automne se que je fait. Je passe des nuits normales, je ne me lève pas pour uriner, les problèmes sont plutôt en fin de journée à condition de ne pas solliciter par des secousses. Voilà ou j en suis... à 62 ans au moment ou nous aurons pu profiter de la vie, c est ainsi.
fblcfblc
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Dernière activité le 20/12/2022 à 20:41
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@ThierryLH
Chez moi ça commence comme ça. Tu aurais le nom de ton médecin sur Paris ?
Les miens se sont contenté de me faire prendre du Premixon. Sans changement depuis 1 mois.
jart31
jart31
Dernière activité le 23/11/2024 à 20:16
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moi je consomme très rarement de l alcool, lorsque j ai un repas je me laisse aller a un apéritif et maximum 2 verres de vin mais cela m'arrive une fois le mois et encore, après je ne pense pas que la cause soi là.Moi s est certain cela provient de troubles psy, j'étais surmené et très stressé par des problèmes de travail et familiaux et cela reviens quand il y a surmenage et stress, je pense que pour s en débarrasser se sera difficile et plus on donne de l'importance à ce handicap plus on souffre.....
fblcfblc
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Dernière activité le 20/12/2022 à 20:41
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Une question à ceux qui sont sur Paris, est ce que vous auriez le nom d'urologie qui savent s'occuper de ce problème ?
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Philippelo
Bonjour,
Je voulais à mon tour témoigner d’une guérison.
J’ai souffert d’une prostatite chronique pendant environ 10 ans, arrivée comme ça, sans événement particulier. 10 ans d’envies impérieuses, de gouttes retardataires, de stress, de déprime mais aussi de recherche… et puis ça va mieux.
J’ai lu et tenté comme tout le monde plein de recettes et méthodes … et je voulais faire part de celle qui a marché pour moi.
J’ai raisonné par pourcentage en me disant : qu'est-ce qui joue, en % sur la pénibilité de cette maladie ?
J’ai d’abord essayé d’en saisir les déclencheurs. J’avais lu que le stress, l’alcool, les exitants (caféine, théine), l’alimentation épicée étaient des amplificateurs de symptôme, sans vraiment y croire …
Avec le recul, je vois les choses comme ça (et c’est une perception totalement personnelle)
Stress (40%)
Oui, je l'ai longtemps nié mais l’aspect psychologique est très fort : il faut agir, d’une manière ou d’une autre sur le stress. La maladie se nourrit elle-même du stress qu’elle génère (t’es sûr que t’as pas envie de pisser, là ? sûr ?) … D’ailleurs rien que d’en parler … (!)
J’ai réalisé que je n’étais pas forcément conscient du stress que je subissais (ou me créais) : environnement professionnel, familial, fatigue, et maladie elle-même etc … Bizarrement ça diminuait beaucoup pendant les vacances.
J’ai appris, avec le temps, à lâcher prise d’une manière générale et les symptômes ont bien diminué … Un détail : je suis passé du caleçon au boxer, ça évite le stress de la dernière goutte ... j'ai mes petits rituels, je me nettoie soigneusement le gland avant de dormir notamment (et ça marche bien !)
M'écoutant sur cette maladie, ma femme lui a donné un nom ridicule qui l’a un peu remise à sa place (la prostatite, hein) : “la pissotte”.
Alcool (20%)
oui, des effets, sans aucun doute. Les lendemains de fête les symptômes étaient/sont plus forts, certains alcools particulièrement impactants (champagne, rhum blanc, whisky), d’autres presque bénéfiques (la bière notamment, avec un effet de purge, ou du moins l’ai-je vécu comme ça). Bon après, l’alcool, ça relaxe, donc effet sur le stress, bien sûr … mais attention les effets secondaires si trop grande quantité !
Je me suis fixé quelques règles : pas d’alcool avant le jeudi, par exemple … pas (trop) d’excès…
Alimentation (10%)
Je n’ai pas noté de vrai gros déclencheur. J’ai changé quelques habitudes : passé du thé au café puis à la chicorée mais sans me prendre la tête et en revenant à l’un ou l’autre de temps en temps … J’évite autant que possible le piment fort (ça c’est assez radical, en revanche).
Inconnu (10%)
Et puis parfois : une crise. Aucun signe vraiment annonciateur. Dans les salles de spectacle, notamment, comme si je me projetais sur scène alors que je suis dans le public ! Un peu de pression et ça recommence. J’en ai pris mon parti. Je n’angoisse plus : je sais que ça repartira tout seul.
Mécanique musculaire (20%) - j'ai pas trouvé plus parlant ...
j’ai essayé pas mal de médications mais rien n’a fonctionné. En revanche je m’astreins à faire du gainage, principalement assis sur une chaise : monter les genoux puis étendre les jambes à l’équerre : c’est quasi miraculeux ! La planche aussi, etc.
Tout ce qui permet de retenir les viscères pour éviter que “ça appuie” sur la zone sensible. D'ailleurs quand c’est trop fort je saisis les viscères à travers la peau du ventre et essaie de les remonter. Ça peut bien soulager … Parfois aussi, le travail digestif peut aider. Une gène ? je machouille un bout de pain ou autre et souvent, ça passe …
Bref, aujourd’hui, je m’estime quasi-guéri. Je sais que ça peut revenir mais aussi que ça peut disparaitre. Il n’y a pas eu de grande révolution, j’ai juste constaté un jour que je n’avais plus eu de vraie crise depuis longtemps et qu’il fallait peut-être que je partage ça avec ceux qui galèrent comme j’ai pu galérer …
Voilà : et donc surtout, relaaax !
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Philippelo
Bonjour,
Je voulais à mon tour témoigner d’une guérison.
J’ai souffert d’une prostatite chronique pendant environ 10 ans, arrivée comme ça, sans événement particulier. 10 ans d’envies impérieuses, de gouttes retardataires, de stress, de déprime mais aussi de recherche… et puis ça va mieux.
J’ai lu et tenté comme tout le monde plein de recettes et méthodes … et je voulais faire part de celle qui a marché pour moi.
J’ai raisonné par pourcentage en me disant : qu'est-ce qui joue, en % sur la pénibilité de cette maladie ?
J’ai d’abord essayé d’en saisir les déclencheurs. J’avais lu que le stress, l’alcool, les exitants (caféine, théine), l’alimentation épicée étaient des amplificateurs de symptôme, sans vraiment y croire …
Avec le recul, je vois les choses comme ça (et c’est une perception totalement personnelle)
Stress (40%)
Oui, je l'ai longtemps nié mais l’aspect psychologique est très fort : il faut agir, d’une manière ou d’une autre sur le stress. La maladie se nourrit elle-même du stress qu’elle génère (t’es sûr que t’as pas envie de pisser, là ? sûr ?) … D’ailleurs rien que d’en parler … (!)
J’ai réalisé que je n’étais pas forcément conscient du stress que je subissais (ou me créais) : environnement professionnel, familial, fatigue, et maladie elle-même etc … Bizarrement ça diminuait beaucoup pendant les vacances.
J’ai appris, avec le temps, à lâcher prise d’une manière générale et les symptômes ont bien diminué … Un détail : je suis passé du caleçon au boxer, ça évite le stress de la dernière goutte ... j'ai mes petits rituels, je me nettoie soigneusement le gland avant de dormir notamment (et ça marche bien !)
M'écoutant sur cette maladie, ma femme lui a donné un nom ridicule qui l’a un peu remise à sa place (la prostatite, hein) : “la pissotte”.
Alcool (20%)
oui, des effets, sans aucun doute. Les lendemains de fête les symptômes étaient/sont plus forts, certains alcools particulièrement impactants (champagne, rhum blanc, whisky), d’autres presque bénéfiques (la bière notamment, avec un effet de purge, ou du moins l’ai-je vécu comme ça). Bon après, l’alcool, ça relaxe, donc effet sur le stress, bien sûr … mais attention les effets secondaires si trop grande quantité !
Je me suis fixé quelques règles : pas d’alcool avant le jeudi, par exemple … pas (trop) d’excès…
Alimentation (10%)
Je n’ai pas noté de vrai gros déclencheur. J’ai changé quelques habitudes : passé du thé au café puis à la chicorée mais sans me prendre la tête et en revenant à l’un ou l’autre de temps en temps … J’évite autant que possible le piment fort (ça c’est assez radical, en revanche).
Inconnu (10%)
Et puis parfois : une crise. Aucun signe vraiment annonciateur. Dans les salles de spectacle, notamment, comme si je me projetais sur scène alors que je suis dans le public ! Un peu de pression et ça recommence. J’en ai pris mon parti. Je n’angoisse plus : je sais que ça repartira tout seul.
Mécanique musculaire (20%) - j'ai pas trouvé plus parlant ...
j’ai essayé pas mal de médications mais rien n’a fonctionné. En revanche je m’astreins à faire du gainage, principalement assis sur une chaise : monter les genoux puis étendre les jambes à l’équerre : c’est quasi miraculeux ! La planche aussi, etc.
Tout ce qui permet de retenir les viscères pour éviter que “ça appuie” sur la zone sensible. D'ailleurs quand c’est trop fort je saisis les viscères à travers la peau du ventre et essaie de les remonter. Ça peut bien soulager … Parfois aussi, le travail digestif peut aider. Une gène ? je machouille un bout de pain ou autre et souvent, ça passe …
Bref, aujourd’hui, je m’estime quasi-guéri. Je sais que ça peut revenir mais aussi que ça peut disparaitre. Il n’y a pas eu de grande révolution, j’ai juste constaté un jour que je n’avais plus eu de vraie crise depuis longtemps et qu’il fallait peut-être que je partage ça avec ceux qui galèrent comme j’ai pu galérer …
Voilà : et donc surtout, relaaax !
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miguel1975
miguel1975
Dernière activité le 06/05/2023 à 10:29
Inscrit en 2015
1 commentaire posté | 1 dans le forum Prostatite
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Ami
Miguel, 40 ans, Nantes avec une prostatite chronique depuis début 2015
Bonjour,
Tout d’abord merci d’avoir créé un blog pour cette maladie méconnue !
Pour ma part j’ai subi en début d’année une résection du col vésical (clapet à la sortie de la vessie) qui était trop rigide et déclenchait chez moi entre 10 à 15 mictions par jour.
Cette opération a eu lieu le 12 janvier 2015 et ensuite j’ai été sous traitement anti-inflammatoire pendant 1 mois et tout se passait bien, à l’arrêt de mon traitement j’ai constaté quelques jours après des brulures lorsque j’urinais et des douleurs dans les bourses et c’était le début de la galère !
J’ai été hospitalisé dans un 1er temps pour une prostatite aigue au mois de mars 2015 pendant 7 jours ou j’ai subi un traitement antibiotiques et antidouleurs ensuite retour à la maison avec un traitement de 2 mois sous antidouleurs et anti-inflammatoires par voie orale.
Pendant cette période la douleur a toujours été présente mais supportable, le gros inconvénient est une baisse de la libido et pendant les crises aigu et une éjaculation rétrograde.
Au mois de mai de retour une grise violente avec des douleurs pelviennes insupportable (j’avais stoppé mon traitement), je rappelle la clinique et je suis de nouveau hospitalisé et recommence un traitement par voie intraveineuse d’antibiotiques et d’antidouleurs pendant 5 jours. A ma sortie un traitement par voie oral m’attendait avec du Tramadol pour la gestion de la douleur, l’antibiotique Cefixine (Oroken) pour traiter le germe et du Seroplex soit disant pour « chinter » l’information à mon cerveau que j’ai mal et eux pendant une durée de 6 mois!
Ce dernier étant un antidépresseur je pense que mon Urologue n’a pas eu le courage de me dire qu’il souhaitait traité une éventuelle baisse de morale !
Pendant ce traitement les douleurs au niveau de la vessie et des bourses ne me quitte guère même si elles sont peu douloureuses !
Aujourd’hui je suis de nouveau à la clinique, encore une crise !
Rebelote je suis de nouveau sous traitement antibiotiques et antidouleurs, 4 jours d’hospitalisation (Septembre 2015) car le traitement est par voie intraveineuse !
On va me poser un cathéter veineux par voie centrale avec une pompe afin de pouvoir me traiter sous antibiotique « Tienam » pendant un mois et bien entendu je continu mon traitement par voie oral d’antidouleur « Tramadol ».
D’autre part j’ai pris RDV dans un centre antidouleurs à Nantes (4 mois d’attente), j’ai RDV le 21 octobre 2015, j’espère qu’ils auront un traitement efficace à me proposer !
Cette maladie est compliqué car mal connu par mon entourage et cela ne se voit pas alors si physiquement je présente bien pour eux tout va bien !
C’est pourtant pas le cas, je suis fatigué et depuis le début de mon traitement en Mars il m’est difficile de tenir éveiller des longues journées et il faut que je tienne car je suis Cadre dans l’industrie et mes clients commence à dire « Il est encore en arrêt ».
Et oui même si je fais tout pour limiter mes absences au travail j’ai été obligé de stopper mon activité pendant mes hospitalisations et 3 semaines après l’hospitalisation du mois de mars car j’étais très fatigué !
Mon patron est compréhensible mais va-t-il accepter cette situation pendant plusieurs mois ou plusieurs années je le crains !
Moi je ne tiendrais pas pendant plusieurs années, je veux retrouver ma vie d’avant avec une libido épanoui, un bon moral et surtout plus de douleurs !
Si des personnes vivent ou ont vécu la même situation je serais heureux de partager un moment d’échange avec eux.
Miguel