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Patients Prostatite
Une prostatite chronique depuis janvier 2015
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ThierryLH
ThierryLH
Dernière activité le 30/08/2024 à 04:19
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Salut les amis. J'ai lu un article sur la fesse morte. Il s'agit en fait des muscles de la fesse qui ne sont plus connectés correctement avec le cerveau lorsqu'on a des travails ou des habitudes impliquant d'entre assis très longtemps. Les douleurs pourraient ressembler aux symptômes évoqués, et entraîner également des problèmes de circulation de sang dans cette région qui pourraient (selon moi) déclencher ces prostatite chroniques. J'ai un boulot sédentaire où je reste assis très longtemps derrière mon ordinateur. Je vais essayer de redinamiser mon fessier en faisant des exercices. Car j'ai une fesse engourdie et parfois c'est la jambe. J'ai lu aussi que des fois on ne sentait pas trop l'engourdissement mais que le système nerveux était quand même affecté. Je vous mets le lien d'un article intéressant dessus:
https://entrainement-sportif.fr/fesses-plates-amnesie-fessier.htm
Bon courage
tawan77
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tawan77
Dernière activité le 28/09/2024 à 11:35
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Salut tout l monde,
J’espère que vous vous portez au mieux... malgré ce nouveau confinement qui met le moral dans les chaussettes :(
J'ai fais ma résection prostatique hier. Je dois dire que ce n'est pas agréable mais ca reste supportable.
Le chirurgien a agrandi le col de la vessie car il lui semblait trop petit, ce qui est une source possible d'infections et de contractures. (qui sont tres similaire aux douleurs de prostatites non bactérienne). Il a aussi réséqué la prostate bien sur, donc l'uretre prostatique est normalement plus large et cautérisé, ce qui évite potentiellement les reflux d'urine dans les aciinis. Il a également traité l'utricule prostatique qui est potentiellement une source d'infections aussi.
Selon lui la prostate était plutot en bon état, et avait un bon aspect, donc tant mieux..
Sortie hier matin de la clinique. Je ne ressent pas d'effets positif pour le moment. c'est trop tot.
Par contre difficile d'uriner, et tres douloureux. Beaucoup de sang qui sort, et de bouts de prostate (désolé pour ceux vont manger ^^). Le pire c'était la sonde urinaire. C'est dur à supporter ce truc.
On verra si cette opération aide a éviter le retour des infections.
Pour les conséquences, je vais avoir une éjaculation rétrograde (orgasmes sec), c'est un moindre mal que j'accepte volontiers si ca peut m'éviter les souffrances et antibio a répétitions.
voila pour les nouvelles.
Bon courage à tous les "prostaticiens"
ThierryLH
ThierryLH
Dernière activité le 30/08/2024 à 04:19
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Salut les amis, j'avance dans mes recherches. J'ai trouvé grâce à une irm du bassin, que j'avais cassé mon sacrum il y a des années et qu'il s'est consolidé de travers. Il fait un angle droit au lieu de faire un S et il part sur le côté gauche.
Sa position gêne mes selles au passage, mes muscles et nerfs sont tendus dans cette zone.
Je vois avec un ostéopathe qui va essayer de le redresser en externe, et au pire, il le fera en interne en passant un doigt dans mes fesses.
Je voir avec votre medecin pour faire cette et irm du bassin pour voir la position de votre sacrum.
Je pense que l'inflammation de cette zone peut gêner le fonctionnement de la prostate.
Bon courage les amis.
Bichou89
Bichou89
Dernière activité le 01/11/2024 à 12:38
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Fatigué72 @Adamtlm. moi aussi ils m'ont diagnostiqué prostatite chronique après plusieurs consultations chez les médecins et spécialiste. J'aimerais bien quon soit en contac. J ss a tlemcen Vous pouvez nous mettre en contact si vous voulez. Merci à tt le monde pour ces témoignages et bon courage a vous tous
Luminessence0088
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Luminessence0088
Dernière activité le 27/01/2024 à 14:54
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Salut @tawan77
putain quel enfer la sonde oui je sais ce que c'est hélas. Avec en plus les douleurs liées a la prostate qui s'est ouverte et se désagrège ça a du être vraiment dur la première semaine...
Je me souviens, en début d'année, qu'ils m'avaient rentré une caméra par l'urètre, puis une sonde RJ jusqu'aux reins ce qui m'avait ouvert l'urètre (extrêmement douloureux au réveil) et en plus a chaque fois que j'urinais, la cicatrice se réouvrait, j'ai vraiment cru que j'allais devenir fou de douleur
Comment tu te sens à présent ? J'espère vraiment que ça va t'aider.
@ThierryLH c'est super ça comme piste !! ce qui voudrait dire que tu n'as aucune infection mais que le problème est d'ordre "physiologique" ? C'est super tiens nous au courant
franchement c'est cool de pouvoir avancer sur les hypothèses... J'espere que ça ira au mieux pour toi et vous tous.
De mon coté, ça va ça vient, j'ai découvert qu'en couplant (en plus de l'origan) des capsules de bruyere avec de l'huile de pépins de courge, deux fois par jours, cela diminuait vraiment les douleurs, ça ne me soigne pas mais y'a pas a dire, ça marche. Donc fini le tramadol. encore un produit chimique en moins... la vie est faite de petites victoires!
courages les amis, bon mois de décembre à vous
tawan77
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tawan77
Dernière activité le 28/09/2024 à 11:35
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Salut, comment va ?
Ravi de lire que tu arrives à bien controler les symptômes. Je prend régulièrement des pépins de courges également. A vrai dire il y en a toujours dans mon armoire à pharmacie :)
Il fait parti de mes compléments favori avec la quercétine, le pollen, vitamine D et busserole / bruyère.
Moi aussi la sonde m'a ouvert l'uretre. c'est douloureux car l'urine est irritante et effectivement ca pique.
Niveau convalescence, je n'ai pas trop eu de chance non plus (le contraire aurait été étonnant ). J'ai attrapé un staphylocoque doré avec la sonde. Donc infection bien sur.
Fort heureusement mon staph a l air sensible à plusieurs antibio. je suis sous oflocet pour le moment. Je dois dire que ca part mais assez lentement... A voir a la fin du traitement.
sinon le positif, car il y en a quand même, c'est une réduction de la douleur de fond. et surtout, malgré la grosse infection du staphylocoque je suis étonné car ca n'a pas tourné en nouvel épisode de prostatite....
Autre truc cool c'est le débit. Je ne m'étais pas rendu compte qu'il s'était beaucoup détérioré. C'est un ennui qui est totalement réglé ca.
Je pourrai vraiment juger des réels bénéfices (ou pas) de cette opération d'ici 2-3 mois après avoir eu le temps de voir si cela influence la fréquence des infections urinaires.
Continuez de faire vivre le sujet en donnant des nouvelles, ca peut aider d'autres lecteurs ;)
Bonne journée à tous.
Bichou89
Bichou89
Dernière activité le 01/11/2024 à 12:38
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Salut mes amis
J'espère que vous aller mieux . Merci pour vos témoignages
@tawan77 @Luminessence0088
Je viens d'être diagnostiqué dune prostatite chronique d'après mon dernier urologue. Sachant que jai consulté avant chez plusieurs urologues (3) ce qui m'étonne cest le fait qu'ils ont jamais suspectés cette piste de la prostatite chronique malgré que j'étais sous plusieurs traitement avec des antibiotiques et tt. Mais ce dernier médecin il était tellement sûr de diagnostique
Mes symptômes envie d'uriner tt le temps. L'année passée jai eu de sang dans le sperme. De spermes gélatineux avec petites boules. brûlures des fois. Des érections douloureuses. Quand j'éjacule ça me saulage mais après deux jours je ressens beaucoup de gêne et comme si mon pénis est irrité. J me lève une seule fois la nuit au maximum deux. Mais avec un sommeil pas profond en ressentant un sentiment désagréable avec les urines. Pour le libido ça marche. Jai envie et excité pas mal de fois.
Sachant que je suis a 31 ans. A ce que on peut avoir une prostatite chronique sans faire des rapports sexuels ? Et a ce que on vit avec ces douleurs pour tjrs ? On sest exposé au infections urinaires bcps plus par rapport au autres ? Et comment peut-on nous avoir une vie sexuelle?
J m'adresse au gens qui ont cette maladie pour avoir beaucoup d'informations. Et merci à vous tous.
Fatigué72
Fatigué72
Dernière activité le 28/10/2023 à 09:57
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@ThierryLH bonjour
Votre message m'intéresse beaucoup, par contre je voulais te poser quelques questions sur les symptômes que tu présentes avant. Car pour moi l'inflammation que je je présente entre mes cuisses me rend la position assise pas très confortable. Et comme je fais au moins 200km par jour, franchement c'est l'enfer.
Je calme la douleur ( enfin la grande gêne) avec des anti inflammatoire, qui se calme pour 4 à 5 jours et ça repart. Les urologues que j'ai consulté ont diagnostiqué une prostatite chronique, mais tout mes analyses sont négatifs y compris le massage prostatique qui n'a rien révélé. Donc ils me mettent sur alpha bloquants et permixon 160 au point ou ma prostate pèse 16 grammes, ont dirait un jeune de 18 ans alors que j'ai 48 ans.
Cela fait une année et demi que je présente les mêmes symptômes ( inflammation qui commence juste derrière les testicules) puis elle se propage en me causant un jet urinaire faible. Mais après une cure de 3 à 4 jours la gêne disparaît, et qui réapparaît en 4 jours.
1- est-ce que c'est votre cas ?
Parce que moi je commence a douter de cette prostatite chronique, qui n'a pas guéri avec une tonne d'antibiotiques et d'anti-inflammatoires .
2- vous avez consulté quel médecin pour l'IRM du bassin ?
Merci d'avance pour votre aide
A très bientôt
Fatigué72
Fatigué72
Dernière activité le 28/10/2023 à 09:57
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@Mabou24 bonjour
Je crois que pour ce genre d'ist, les urologues prescrivent une injection contre les ist et traitement par antibiotiques de 4 à 6 semaines, et si ça ne disparaît pas le problème est chez ta partenaire si vous êtes marié. Sinon change de médecin
C'est ce que je connais sur cette ist car moi moi-même j'ai fait les tests, prélèvement urétral + recherche chlamidya dans le sang. C'est négatif.
Tu as fait la sérologie au syphilis ?
Ne baisse pas les bras, et tiens moi au courant
Bichou89
Bichou89
Dernière activité le 01/11/2024 à 12:38
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@Fatigué72
Salut mon ami. T peut me diriger voir un urologue klk part. Vu que t es en Algérie aussi !?
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Philippelo
Bonjour,
Je voulais à mon tour témoigner d’une guérison.
J’ai souffert d’une prostatite chronique pendant environ 10 ans, arrivée comme ça, sans événement particulier. 10 ans d’envies impérieuses, de gouttes retardataires, de stress, de déprime mais aussi de recherche… et puis ça va mieux.
J’ai lu et tenté comme tout le monde plein de recettes et méthodes … et je voulais faire part de celle qui a marché pour moi.
J’ai raisonné par pourcentage en me disant : qu'est-ce qui joue, en % sur la pénibilité de cette maladie ?
J’ai d’abord essayé d’en saisir les déclencheurs. J’avais lu que le stress, l’alcool, les exitants (caféine, théine), l’alimentation épicée étaient des amplificateurs de symptôme, sans vraiment y croire …
Avec le recul, je vois les choses comme ça (et c’est une perception totalement personnelle)
Stress (40%)
Oui, je l'ai longtemps nié mais l’aspect psychologique est très fort : il faut agir, d’une manière ou d’une autre sur le stress. La maladie se nourrit elle-même du stress qu’elle génère (t’es sûr que t’as pas envie de pisser, là ? sûr ?) … D’ailleurs rien que d’en parler … (!)
J’ai réalisé que je n’étais pas forcément conscient du stress que je subissais (ou me créais) : environnement professionnel, familial, fatigue, et maladie elle-même etc … Bizarrement ça diminuait beaucoup pendant les vacances.
J’ai appris, avec le temps, à lâcher prise d’une manière générale et les symptômes ont bien diminué … Un détail : je suis passé du caleçon au boxer, ça évite le stress de la dernière goutte ... j'ai mes petits rituels, je me nettoie soigneusement le gland avant de dormir notamment (et ça marche bien !)
M'écoutant sur cette maladie, ma femme lui a donné un nom ridicule qui l’a un peu remise à sa place (la prostatite, hein) : “la pissotte”.
Alcool (20%)
oui, des effets, sans aucun doute. Les lendemains de fête les symptômes étaient/sont plus forts, certains alcools particulièrement impactants (champagne, rhum blanc, whisky), d’autres presque bénéfiques (la bière notamment, avec un effet de purge, ou du moins l’ai-je vécu comme ça). Bon après, l’alcool, ça relaxe, donc effet sur le stress, bien sûr … mais attention les effets secondaires si trop grande quantité !
Je me suis fixé quelques règles : pas d’alcool avant le jeudi, par exemple … pas (trop) d’excès…
Alimentation (10%)
Je n’ai pas noté de vrai gros déclencheur. J’ai changé quelques habitudes : passé du thé au café puis à la chicorée mais sans me prendre la tête et en revenant à l’un ou l’autre de temps en temps … J’évite autant que possible le piment fort (ça c’est assez radical, en revanche).
Inconnu (10%)
Et puis parfois : une crise. Aucun signe vraiment annonciateur. Dans les salles de spectacle, notamment, comme si je me projetais sur scène alors que je suis dans le public ! Un peu de pression et ça recommence. J’en ai pris mon parti. Je n’angoisse plus : je sais que ça repartira tout seul.
Mécanique musculaire (20%) - j'ai pas trouvé plus parlant ...
j’ai essayé pas mal de médications mais rien n’a fonctionné. En revanche je m’astreins à faire du gainage, principalement assis sur une chaise : monter les genoux puis étendre les jambes à l’équerre : c’est quasi miraculeux ! La planche aussi, etc.
Tout ce qui permet de retenir les viscères pour éviter que “ça appuie” sur la zone sensible. D'ailleurs quand c’est trop fort je saisis les viscères à travers la peau du ventre et essaie de les remonter. Ça peut bien soulager … Parfois aussi, le travail digestif peut aider. Une gène ? je machouille un bout de pain ou autre et souvent, ça passe …
Bref, aujourd’hui, je m’estime quasi-guéri. Je sais que ça peut revenir mais aussi que ça peut disparaitre. Il n’y a pas eu de grande révolution, j’ai juste constaté un jour que je n’avais plus eu de vraie crise depuis longtemps et qu’il fallait peut-être que je partage ça avec ceux qui galèrent comme j’ai pu galérer …
Voilà : et donc surtout, relaaax !
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Philippelo
Bonjour,
Je voulais à mon tour témoigner d’une guérison.
J’ai souffert d’une prostatite chronique pendant environ 10 ans, arrivée comme ça, sans événement particulier. 10 ans d’envies impérieuses, de gouttes retardataires, de stress, de déprime mais aussi de recherche… et puis ça va mieux.
J’ai lu et tenté comme tout le monde plein de recettes et méthodes … et je voulais faire part de celle qui a marché pour moi.
J’ai raisonné par pourcentage en me disant : qu'est-ce qui joue, en % sur la pénibilité de cette maladie ?
J’ai d’abord essayé d’en saisir les déclencheurs. J’avais lu que le stress, l’alcool, les exitants (caféine, théine), l’alimentation épicée étaient des amplificateurs de symptôme, sans vraiment y croire …
Avec le recul, je vois les choses comme ça (et c’est une perception totalement personnelle)
Stress (40%)
Oui, je l'ai longtemps nié mais l’aspect psychologique est très fort : il faut agir, d’une manière ou d’une autre sur le stress. La maladie se nourrit elle-même du stress qu’elle génère (t’es sûr que t’as pas envie de pisser, là ? sûr ?) … D’ailleurs rien que d’en parler … (!)
J’ai réalisé que je n’étais pas forcément conscient du stress que je subissais (ou me créais) : environnement professionnel, familial, fatigue, et maladie elle-même etc … Bizarrement ça diminuait beaucoup pendant les vacances.
J’ai appris, avec le temps, à lâcher prise d’une manière générale et les symptômes ont bien diminué … Un détail : je suis passé du caleçon au boxer, ça évite le stress de la dernière goutte ... j'ai mes petits rituels, je me nettoie soigneusement le gland avant de dormir notamment (et ça marche bien !)
M'écoutant sur cette maladie, ma femme lui a donné un nom ridicule qui l’a un peu remise à sa place (la prostatite, hein) : “la pissotte”.
Alcool (20%)
oui, des effets, sans aucun doute. Les lendemains de fête les symptômes étaient/sont plus forts, certains alcools particulièrement impactants (champagne, rhum blanc, whisky), d’autres presque bénéfiques (la bière notamment, avec un effet de purge, ou du moins l’ai-je vécu comme ça). Bon après, l’alcool, ça relaxe, donc effet sur le stress, bien sûr … mais attention les effets secondaires si trop grande quantité !
Je me suis fixé quelques règles : pas d’alcool avant le jeudi, par exemple … pas (trop) d’excès…
Alimentation (10%)
Je n’ai pas noté de vrai gros déclencheur. J’ai changé quelques habitudes : passé du thé au café puis à la chicorée mais sans me prendre la tête et en revenant à l’un ou l’autre de temps en temps … J’évite autant que possible le piment fort (ça c’est assez radical, en revanche).
Inconnu (10%)
Et puis parfois : une crise. Aucun signe vraiment annonciateur. Dans les salles de spectacle, notamment, comme si je me projetais sur scène alors que je suis dans le public ! Un peu de pression et ça recommence. J’en ai pris mon parti. Je n’angoisse plus : je sais que ça repartira tout seul.
Mécanique musculaire (20%) - j'ai pas trouvé plus parlant ...
j’ai essayé pas mal de médications mais rien n’a fonctionné. En revanche je m’astreins à faire du gainage, principalement assis sur une chaise : monter les genoux puis étendre les jambes à l’équerre : c’est quasi miraculeux ! La planche aussi, etc.
Tout ce qui permet de retenir les viscères pour éviter que “ça appuie” sur la zone sensible. D'ailleurs quand c’est trop fort je saisis les viscères à travers la peau du ventre et essaie de les remonter. Ça peut bien soulager … Parfois aussi, le travail digestif peut aider. Une gène ? je machouille un bout de pain ou autre et souvent, ça passe …
Bref, aujourd’hui, je m’estime quasi-guéri. Je sais que ça peut revenir mais aussi que ça peut disparaitre. Il n’y a pas eu de grande révolution, j’ai juste constaté un jour que je n’avais plus eu de vraie crise depuis longtemps et qu’il fallait peut-être que je partage ça avec ceux qui galèrent comme j’ai pu galérer …
Voilà : et donc surtout, relaaax !
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miguel1975
miguel1975
Dernière activité le 06/05/2023 à 10:29
Inscrit en 2015
1 commentaire posté | 1 dans le forum Prostatite
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Ami
Miguel, 40 ans, Nantes avec une prostatite chronique depuis début 2015
Bonjour,
Tout d’abord merci d’avoir créé un blog pour cette maladie méconnue !
Pour ma part j’ai subi en début d’année une résection du col vésical (clapet à la sortie de la vessie) qui était trop rigide et déclenchait chez moi entre 10 à 15 mictions par jour.
Cette opération a eu lieu le 12 janvier 2015 et ensuite j’ai été sous traitement anti-inflammatoire pendant 1 mois et tout se passait bien, à l’arrêt de mon traitement j’ai constaté quelques jours après des brulures lorsque j’urinais et des douleurs dans les bourses et c’était le début de la galère !
J’ai été hospitalisé dans un 1er temps pour une prostatite aigue au mois de mars 2015 pendant 7 jours ou j’ai subi un traitement antibiotiques et antidouleurs ensuite retour à la maison avec un traitement de 2 mois sous antidouleurs et anti-inflammatoires par voie orale.
Pendant cette période la douleur a toujours été présente mais supportable, le gros inconvénient est une baisse de la libido et pendant les crises aigu et une éjaculation rétrograde.
Au mois de mai de retour une grise violente avec des douleurs pelviennes insupportable (j’avais stoppé mon traitement), je rappelle la clinique et je suis de nouveau hospitalisé et recommence un traitement par voie intraveineuse d’antibiotiques et d’antidouleurs pendant 5 jours. A ma sortie un traitement par voie oral m’attendait avec du Tramadol pour la gestion de la douleur, l’antibiotique Cefixine (Oroken) pour traiter le germe et du Seroplex soit disant pour « chinter » l’information à mon cerveau que j’ai mal et eux pendant une durée de 6 mois!
Ce dernier étant un antidépresseur je pense que mon Urologue n’a pas eu le courage de me dire qu’il souhaitait traité une éventuelle baisse de morale !
Pendant ce traitement les douleurs au niveau de la vessie et des bourses ne me quitte guère même si elles sont peu douloureuses !
Aujourd’hui je suis de nouveau à la clinique, encore une crise !
Rebelote je suis de nouveau sous traitement antibiotiques et antidouleurs, 4 jours d’hospitalisation (Septembre 2015) car le traitement est par voie intraveineuse !
On va me poser un cathéter veineux par voie centrale avec une pompe afin de pouvoir me traiter sous antibiotique « Tienam » pendant un mois et bien entendu je continu mon traitement par voie oral d’antidouleur « Tramadol ».
D’autre part j’ai pris RDV dans un centre antidouleurs à Nantes (4 mois d’attente), j’ai RDV le 21 octobre 2015, j’espère qu’ils auront un traitement efficace à me proposer !
Cette maladie est compliqué car mal connu par mon entourage et cela ne se voit pas alors si physiquement je présente bien pour eux tout va bien !
C’est pourtant pas le cas, je suis fatigué et depuis le début de mon traitement en Mars il m’est difficile de tenir éveiller des longues journées et il faut que je tienne car je suis Cadre dans l’industrie et mes clients commence à dire « Il est encore en arrêt ».
Et oui même si je fais tout pour limiter mes absences au travail j’ai été obligé de stopper mon activité pendant mes hospitalisations et 3 semaines après l’hospitalisation du mois de mars car j’étais très fatigué !
Mon patron est compréhensible mais va-t-il accepter cette situation pendant plusieurs mois ou plusieurs années je le crains !
Moi je ne tiendrais pas pendant plusieurs années, je veux retrouver ma vie d’avant avec une libido épanoui, un bon moral et surtout plus de douleurs !
Si des personnes vivent ou ont vécu la même situation je serais heureux de partager un moment d’échange avec eux.
Miguel